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Housewives pas si desperate… (Partie 5)

Où l’on apprend comment Rose, découvrant une incartade de son mari Paul, en est arrivée à séquestrer son pénis. Se sentant trahie, elle a murement préparé sa vengeance. Par amour, Paul n’a pu qu’endurer les sévices de sa femme pour lui prouver son repentir.

Proposée le 18/07/2022 par Scribouilleur

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Thème: Homme soumis
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


§ Rose & Paul §


Rose n’avait pas tout dévoilé à ses amies sur ses pratiques avec Paul. Paul et elle gardaient le secret sur leur vie d’avant.

Quinze ans auparavant ils vivaient dans une autre ville. Paul travaillait déjà pour la même banque mais dans une autre agence et Rose avait une boutique de lingerie.

En cherchant un numéro dans le téléphone de son mari, Rose tomba sur une vidéo qui avait été envoyée à Paul par sa collègue de bureau.

Elle s’était filmée façon selfie en train de faire une fellation. Elle semblait ivre et gloussait avec un sexe dans la bouche. Choquée, Rose regardait la vidéo quand l’angle de vue changea et elle vit que celui qui était en train de se faire sucer n’était autre que son mari qui avait l’air complètement bourré.

Le ciel s’écroula. En moins d’une heure, elle avait mis son homme infidèle à la porte malgré ses protestations.

Dévastée, un mois plus tard elle préparait son divorce avec Sidonie son amie avocate. Celle-ci prit contact avec la partie adverse. Paul voulait revenir. Il ne voulait pas divorcer. Il criait haut et fort qu’il aimait sa femme, que c’était un accident, qu’il était saoul à un pot de départ et qu’il s’était fait avoir par cette cinglée qui lui courrait après.

Rose ne voulait rien savoir même si elle aimait toujours son mari, elle ne pouvait pardonner. Sidonie lui rappela qu’elle avait deux jeunes enfants, cinq et sept ans à l’époque, et qu’un divorce était toujours compliqué, traumatisant et coûteux. Son avocate lui expliqua que si elle acceptait qu’il revienne, elle pourrait lui faire payer sa traitrise.

Elles échafaudèrent un plan et un contrat. Paul fut convié un soir pour finaliser le projet. Il croyait naïvement que tout allait rentrer dans l’ordre, mais il constata que Rose restait les bras croisés au bout de la table tandis que seule l’avocate acceptait de discuter avec lui. Il commença à lire le contrat qu’elle lui avait remis.

Parmi toutes les clauses pratiques ou financières qu’il devait accepter pour revenir, il lui était demandé de porter une cage à pénis.

Demandant de quoi il s’agissait, Sidonie posa l’objet sur la table.

« Tu veux que je mette mon pénis là-dedans ? »

C’est Sidonie qui répondit : « Oui, et comme tu peux le voir, cela ferme avec un cadenas et c’est Rose qui en aura la clé. »

Paul se saisit de l’objet extravagant et le retourna dans tous les sens.

— « Mais je fais comment pour… »

— « Pour uriner, je te conseille de t’asseoir sur les toilettes. Pour te laver, c’est suffisamment ajouré pour que l’eau et le savon passe à l’intérieur. »

— « Et pour… le sexe ? » demanda-t-il incrédule.

— « C’est le point 10.5 sur la page 9, comme tu peux le voir, Rose te libère une fois par mois pour que tu puisses te masturber. »

— « Une fois par mois, mais c’est insuffisant ! »

Sidonie adressa un regard complice à Rose. C’était gagné. Elle lui avait dit, sitôt qu’il commencerait à négocier, c’est qu’il aurait accepté.

— « On peut monter à une éjaculation tous les quinze jours. »

— « Je ne suis pas d’accord, il m’en faut une au moins par semaine ! » dit-il véhément en cherchant désespérément le regard de sa femme qui restait de marbre.

— « Va pour une par semaine » souffla Sidonie et rectifiant le document.

Paul ajouta : « Je voudrais aussi pouvoir… enfin, pas que me masturber. Je voudrais aussi pouvoir… »

— « Pénétrer ma cliente ? » demanda Sidonie en soulevant un sourcil puis en se tournant vers Rose.

— « Une pénétration par mois. » accepta Rose.

— « En plus de la branlette par semaine » s’empressa-t-il d’ajouter. Rose acquiesça.

— « Ok, alors je rajoute une pénétration d’une minute par mois, libre à ma cliente de choisir de quelle manière l’opération est effectuée. »

— « Une minute !? Je veux au moins cinq minutes ! », Paul était aux abois.

— « Disons deux ? » Sidonie leur adressa un regard à chacun. Ils opinèrent tous les deux.

— « Bien, il est rappelé dans le point suivant que toute autre pratique sexuelle peut être proposée mais que seule Rose est habilitée à accepter ou refuser. Paul-Henri je te laisse aller enfiler ta cage avant de signer. »

Penaud, il se leva et alla dans les toilettes. Il descendit son pantalon et tout tremblant entreprit, non sans mal, de glisser son sexe à l’intérieur de cette entrave en plastique. La sensation était étrange. Il referma le cadenas, se rhabilla et retourna mal à l’aise vers les deux femmes qui l’attendaient. Il remit la clé à Rose et signa les papiers. Sa nouvelle vie de repentance commençait.

— « Dernière chose, peux-tu descendre ton pantalon s’il-te-plait ? » lui dit Sidonie. Comme il restait interdit, elle précisa « Juste pour être sûre que tout est en place et que le cadenas est bien fermé… »

Rouge d’humiliation, il s’exécuta. Sidonie se pencha sur lui et tira légèrement le cadenas vers le haut. Le laissant retomber avec dédain, elle se tourna vers Rose. « Bien, c’est tout pour moi. Je vous laisse. ».


La première semaine fut glaciale. Il fallut quelques jours à Paul pour s’habituer à son entrave. Le plus dur, c’était le matin et le soir quand Rose s’habillait ou se déshabillait devant lui. Elle portait toujours des dessous chics. Il la dévorait des yeux tandis que son sexe était comprimé dans sa cage. Elle faisait exprès de prendre tout son temps et de déambuler en petite tenue.

Quand vint le soir de sa première libération, ils étaient dans la salle de bain et elle s’agenouilla devant lui pour ouvrir le cadenas. Elle se saisit de la cage et sentit de la résistance en tirant dessus tellement sa verge était gonflée à l’intérieur. Une fois enlevée, il semblait impossible qu’une seconde plus tôt cette bite en érection fut à l’intérieur.

Rose se releva indifférente et avant de sortir en fermant la porte derrière elle, elle lui dit « Dépêche-toi, tu as le dîner à préparer et les enfants ont faim. ».

Cela faisait partie du contrat. Toutes les tâches ménagères sans exception dorénavant lui incombaient. Il s’empoigna vigoureusement et au bout de trente secondes déjà il expulsait toute sa semence sous la douche. Comme le dit le dicton, plus c’est long, plus c’est bon. Autant dire qu’il n’avait pas joui du tout.

Un soir qu’ils venaient de se mettre au lit, alors qu’il lisait son livre, un bourdonnement se fit entendre. Se tournant vers Rose, il constata qu’elle était en train de se donner du plaisir avec son vibro. La frustration d’être à côté d’elle, le sexe boursoufflé dans sa cage, était extrêmement douloureuse et la voir s’adonner à cette activité était insupportable.

Ouvrant les yeux et constatant qu’il l’observait, elle lui dit railleuse « Si ça te fait plaisir, tu peux me lécher les pieds pendant que je m’envoie en l’air. ». Excité comme il était, il se précipita sous la couette et pendant que sa splendide femme jouissait des vibrations de son appareil, lui-même était à deux doigts de venir dans sa cage en suçant avec délices ces orteils qui lui étaient offerts.

Lors de sa deuxième libération, Rose accepta de rester avec lui dans la salle de bain. Elle était assise jambes croisée sur le rebord de la baignoire tandis que quelque peu honteux il se masturbait en regardant ses pieds nus et en se rappelant comment il était délicieux de les lécher. Après qu’il eut rapidement giclé malgré tous ses efforts pour essayer de tenir un peu plus que la dernière fois pour parvenir au plaisir, elle se leva et sortit en disant « Nettoie moi bien toutes tes saletés. »

Pour la troisième fois, Rose consentit à le branler à condition qu’il ait les mains attachées dans le dos. Elle ne voulait pas qu’il puisse interférer. Il trembla de désir quand avec dédain elle saisit sa bite du bout des doigts. Puis ne cachant pas son ennui, elle commença lentement ses mouvements réguliers. En fait, elle était parfaitement attentive à ses réactions. Quant au bout de quelques va-et-vient il fut évident qu’il allait venir, elle le lâcha. Affolé, Paul regardait les spasmes de son sexe tendu et sentait le sperme monter dans sa verge.

Deux gouttes perlèrent au bout avant que son jus ne reflue dans ses couilles. Il avait manqué deux ou trois mouvement de plus pour qu’il n’éjacule complètement. Paul regarda anxieusement Rose qui semblait amusée. Elle recueillit du bout des doigts sa semence. « Je pourrais considérer ça comme une éjaculation, non ? » dit-elle sur un ton sarcastique. Paul protesta avec véhémence. « Dans ce cas, si tu veux que je continue, nettoie. ». Il lécha avec délice son foutre sur le bout de ses doigts.

Elle reprit sa branlette de la même façon et rapidement Paul sentit qu’il allait exploser. Au même moment, Rose qui l’avait compris aussi, le lâcha de nouveau. Impuissant Paul regardait sa bite se contracter, une fois, deux fois… trois fois… et cette fois le sperme se mit à couler abondement. Rose l’ayant lâché trop tôt, il avait à peine joui. Satisfaite, elle se leva, lui détacha les mains et le laissa nettoyer.

Pour la quatrième ouverture de cage, elle le fit ramper devant elle. Alors qu’il était au sol sur le ventre, elle le stoppa en posant son pied sur le bout de sa bite qui dépassait. Puis elle appliqua des pressions rythmées dessus comme si elle actionnait une pompe pour gonfler un matelas jusqu’à ce que son sperme sorte et se répande. Cette fois-ci elle n’avait pas eu le temps d’arrêter son manège avant qu’il ne jouisse. Elle lui tendit néanmoins le pied pour qu’il lèche le sperme qui s’y trouvait. Reconnaissant, il accepta cette récompense avec empressement.

Enfin vint le soir de la pénétration à laquelle il avait droit. Rose s’amusait intérieurement de l’état d’excitation de son mari. Le voir faire tous ces efforts ces dernières semaines l’avait attendrie. Elle l’aimait et elle savait qu’il l’aimait. Il lui en donnait la preuve tous les jours en endurant sa pénitence. Mais elle se reprit. Elle voulait qu’il paye, elle irait jusqu’au bout du plan qu’elle avait établi.

Paul tout frétillant se retrouva nu, attaché sur le lit. Il savourait d’avance son plaisir. Rose qui avait gardé sa guêpière et ses bas, passa ses doigts dans sa culotte pour la faire glisser le long de ses jambes jusqu’au sol. Elle s’en saisit et le pas légèrement chaloupé elle s’approcha de Paul qui écarquillait les yeux. Lentement, méticuleusement, elle lui fourra sa culotte dans la bouche pour le bâillonner. Paul exultait.

Elle s’approcha de sa cage, soupesa ses couilles d’une main et ouvrit le cadenas de l’autre. Enfin elle extirpa de son entrave le sexe maintenant triomphant de son mari.

Devant les yeux incrédules de Paul, elle enfila une paire de gants et s’approcha de son sexe en érection avec un tube de crème. Elle entreprit de le badigeonner abondamment de cet onguent dont Paul n’avait aucune idée de la nature. Semblant satisfaite du résultat, elle se leva et revint avec un préservatif qu’elle enfila sur la bite de Paul. Ce dernier était trop pressé pour essayer de comprendre ce qui se passait.

Puis prenant tout son temps, Rose se mis à califourchon sur ses jambes juste devant sa verge tendue. Elle saisit son vibro et se donna du plaisir une bonne minute durant alors que Paul mourait d’impatience. S’estimant prête, elle posa son appareil, saisie le sexe roide de son homme et le positionna à l’entrée de sa vulve. Elle prit son téléphone et afficha le décompte de deux minutes et lui montra l’écran. Paul opina de la tête pour dire qu’il avait bien compris. Elle posa le téléphone en évidence de façon à ce qu’il puisse le voir en permanence, puis elle se laissa lentement glissé sur sa bite tout en enclenchant le décompte. Elle se releva un peu pour lui laisser de l’espace pour se mouvoir.

« Maintenant mon salaud, profite bien de tes deux minutes. Vas-y à fond et défonce-moi ! ». Paul ne se fit pas prier. Il se mit à monter et descendre frénétiquement son bassin. Alors qu’il la pénétrait comme un forcené, il se rendit compte que quelque chose clochait : il ne sentait rien. Mais alors, rien du tout. C’est comme si sa queue n’était plus là. Il baissa la tête le plus qu’il pouvait pour regarder. Il était bien tout raide, en train d’entrer et sortir du sexe de sa femme, et cette dernière avait même commencé à accompagner ses mouvements. Mais il n’avait aucune sensation !

Voyant le compteur qui défilait sous ses yeux, il redoubla d’effort, mais toujours rien, c’est comme s’il avait été amputé de la bite. Il savait qu’il bandait, il était fou de désir, mais il ne ressentait rien physiquement.

Rose se mit à rire de la situation et tout en le chevauchant, elle se moqua de lui : « Je t’ai mis de la crème EMLA sur la queue, c’est un anesthésiant local, c’est pour ça que tu ne sens rien ! ».

Paul eut un frisson d’angoisse. Il était en rut, il bandait comme un damné mais jamais il n’arriverait à jouir dans ces conditions. Il ne restait déjà plus que quarante secondes. Il donna tout ce qu’il pouvait, mais rien n’y fit. La sonnerie fatidique retentit et lentement Rose se souleva jusqu’à ce que son sexe soit sorti d’elle.

Essoufflée de sa cavalcade, elle était elle-même encore toute excitée. Ce n’était pas dans son plan, mais tant pis. Elle lui arracha la culotte de la bouche et plaqua sa chatte moite dessus. D’une voix roque, elle lui dit « Tu vois, tu n’auras pas tout perdu, lèche moi bien ! ». Il ne se le fit pas dire deux fois et la dévora jusqu’à lui donner le plaisir qu’elle voulait.

L’effet engourdissant mit du temps à passer et il dû attendre une demi-heure seul dans la salle de bain pour débander et réussir à remettre sa cage. Dépité, il rejoignit Rose au lit mais à son grand étonnement, exceptionnellement elle se blottit contre lui pour s’endormir.


Il leur fallut six mois pour déménager trois cents kilomètres plus loin. Paul avait réussi à être muté dans une autre agence bancaire et Rose vendit son magasin pour en racheter un autre dans leur nouvelle ville d’adoption.

Ce furent aussi six mois d’à peu près le même traitement pour Paul toujours encagé. Mais avant de partir, Rose eut une dernière exigence. Blessée comme elle l’avait été, elle voulait que son mari subisse la même souffrance. Pour qu’elle le reprenne définitivement, Paul n’avait pas d’autre choix que d’accepter ce qu’elle demandait.

A la demande de sa femme, ils se rendirent dans un club échangiste. C’était la première fois et ils étaient tous les deux très mal à l’aise. Cependant Rose était déterminée. Paul alla s’asseoir à une table tandis qu’elle s’installait au bar et commandait un cocktail.

Quelques couples étaient répartis dans la pénombre de la salle. Des sons sans équivoques parvenaient des autres pièces. Tentant de se donner de l’assurance, Rose croisa les jambes sur le côté ce qui releva sa robe à mi-cuisse et laissait devinait le porte jarretelle qu’elle portait dessous.

Une minute plus tard, un homme l’accostait et entamait la conversation, curieux de savoir ce qu’elle recherchait ici.

« Monsieur, je trouve qu’il serait grossier que ce soit moi qui vous sollicite. Je préférerais que vous vous adressiez directement à mon mari qui se trouve là-bas. » dit-elle sur un ton de grande dame un peu pète sec.

Paul était livide. Le beau gosse qui s’était approché de Rose venait maintenant vers lui. Il demanda sans ambages « C’est avec vous qu’il faut voir pour faire quelque chose avec votre femme ? ».

Paul, se racla la gorge. « Oui, seriez-vous disposé si elle vous plait, de… comment dire, de lui lécher… le sexe ? »

— « Vous rigolez ! Une bombe pareille, je veux bien lui lécher la chatte toute la nuit si elle veut ! ». Paul avala cul-sec le whisky qu’il avait commandé.

— « Parfait… Euh, comment procède-t-on ? »

Le bellâtre les entraîna dans une petite alcôve privative. Rose en profita pour le détailler. Bien bâti, il était tout à son goût. A son invitation, elle s’assit sur le bord d’un canapé. Elle trônait comme une reine et semblait très sûre d’elle, mais à l’intérieur elle était tout à la fois excitée et apeurée.

L’homme qui s’agenouilla devant elle était une gravure de mode. Sentant le rouge lui montait aux joues, elle se concentra sur l’instant pour se détendre au son de la musique langoureuse et aidée par l’alcool qu’elle venait de prendre.

Paul s’assit dans le fauteuil tout à côté de façon à ne pas en perdre une miette comme l’avait exigé sa femme.

L’apollon commença à remonter lentement la robe de Rose et avec doigté fit glisser sa culotte jusqu’à ses chevilles et l’extirpa avec précaution. Posant une main sur chacun de ses genoux, il lui écarta délicatement les cuisses. Rose eut l’impression de rougir encore plus en voyant que l’homme constatait avec satisfaction que son sexe s’ouvrait déjà. Doucement, il plongea entre ses jambes et elle se laissa aller en arrière contre le dossier.

Paul était troublé. Il trouvait sa femme magnifique et la voir prendre du plaisir faisait gonfler douloureusement son sexe dans sa cage. C’était comme regarder un porno dans lequel aurait joué Rose. En même temps, il était frustré de ne pas être celui qui la faisait grimper au rideau.

Rose était emportée dans un tourbillon. Ce mec était incroyablement doué. Sa langue, ses lèvres, ses léchages, ses sucions, tout contribuait à la faire monter. Cependant, dans un jeu pervers, chaque fois qu’elle était proche de la jouissance, il changeait la zone de ses agacements. Au bout de dix minutes de ce traitement, elle n’en pouvait plus et elle finit par l’attraper par les cheveux et à resserrer ses cuisses autour de sa tête pour qu’il se concentre au même endroit et qu’elle puisse enfin jouir pleinement. Ce fut un cri de délivrance.

Quand elle reprit ses esprits, le garçon était toujours à ses pieds, souriant. Il se releva et, gentleman, lui tendit sa culotte. « Merci » dit-elle toute troublée par le regard de braise qu’il lui lançait. « Tout le plaisir était pour moi. » dit-il de sa voix chaude.

Rose baissa pudiquement les yeux. Elle remarqua une protubérance dans le pantalon de son chevalier servant. Timidement, elle posa une main hésitante sur son entre-jambe et semblant se souvenir de la présence de Paul, elle se tourna vers lui. « On ne peut pas laisser notre ami dans cet état, qu’en penses-tu mon chéri ? »

Paul était en sueur, les yeux humides. Il fut incapable de lui répondre. Reportant son attention sur son amant qui la regardait du dessus, Rose s’appliqua à défaire son pantalon sans le quitter ses yeux. Elle fit glisser son caleçon pour libérer un sexe énorme.

Paul s’étrangla. Il n’avait vu ce genre de spécimen que dans des films porno.

« Bingo ! » s’exclama Rose contemplant ce membre magnifique qui lui était offert. Elle n’en avait jamais vu de pareil. Après l’avoir contemplé à loisir, elle le prit en bouche avec gourmandise et commença sa fellation avec une lenteur langoureuse.

Paul était fasciné par le spectacle. Il sentait des perles de sperme couler de son sexe et craignit de jouir dans sa cage tellement il était serré. Voir sa femme donner du plaisir était tellement troublant, beau, frustrant et douloureux à la fois. Elle était en train de tailler la plus belle pipe de tous les temps et ce n’était pas avec sa pauvre bite.

Rose cherchait le regard de l’homme pour déceler ce qui lui plaisait le plus. Elle commençait à avoir mal à la mâchoire à force de l’ouvrir en grand pour gober cette grosse queue.

Elle commença à le branler en même temps qu’elle le suçait goulûment. Puis sentant qu’il arrivait au bout, elle sortit la bite de sa bouche et intensifia sa branlette. Quand il donna des signes de jouissance, elle ouvrit la bouche et tira la langue jusqu’à ce qu’il décharge tout. Et ce fut abondant. Elle en avala une bonne partie tandis que le reste maculait ses lèvres, son menton et coulait dans son cou.

L’homme la remercia et s’éclipsa sans demander son reste et s’éclipsa. Rose s’approcha de Paul qui semblait bouleversé. Après une hésitation, ils s’embrassèrent langoureusement. Paul avait le goût du sperme de l’inconnu dans la bouche de sa femme, mais ça ne faisait rien, il était tellement excité !

Rose sortit la clé du cadenas de la cage de Paul et la lui donna. « Maintenant, je veux que tu me punisses. ». En une fraction de seconde, Paul s’était libéré. Il fit basculer Rose sur ses genoux et lui administra une fessée pendant qu’ayant gardé une main entre ses jambes elle se masturbait.

Sous les claques de son mari, Rose avait le derrière en feu. Constatant que les fesses de sa femme étaient devenues écarlates, Paul cessa, la releva et la fit se pencher en avant alors qu’il se plaçait derrière elle. Sous son ordre, elle continua de se caresser le clito. Sans ménagement il la pénétra sans résistance tant elle était moite. Puis se retirant, il s’enfonça dans son cul. Elle eut un hoquet de surprise.

Agrippant ses fesses, il arc-bouta pour s’enfoncer au plus profond d’elle. Rose ne savait pas si elle avait mal ou si elle prenait du plaisir. En fait, c’était les deux à la fois. Sous ses doigts son clito était dur comme une petite pierre. Elle jouit au même moment où Paul se déversait au fond de son cul.

Ils se retrouvèrent tous les deux pantelants sur le canapé. « Prêt pour un nouveau départ ? » lui demanda-elle enfin. Il l’embrassa passionnément.


Un mois après leur emménagement, Paul avoua que sa cage lui manquait parfois. Rose fit le même aveu. Ils décidèrent de continuer à jouer avec de temps en temps.

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Commentaires de l'histoire :

del monte
tres beau texte
Posté le 20/07/2022


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