le régisseur (partie 2)

mon deuxième rendez-vous avec la châtelaine va aller crescendo la tension, la température, la chevauchée, tout monte a une vitesse ... mais chaque étape de dressage d'une pouliche ne se fait pas qu'avec de la délicatesse

Proposée le 7/11/2023 par THOR

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Deuxième rendez-vous.

J’arrive vers 20 heures, grande salle avec tableaux de chasse, ancêtres, sur la grande table des toasts et du champagne, la cheminée est allumée et la flamme donnent un jeu d'ombre du plus belle effet dans cette pièce.
Un canapé Chesterfield en cuir et des fauteuils du même style meuble la pièce ainsi qu'une grande bibliothèque.
« bonsoir madame »  «  appeler moi Diane » donc pour moi c'est Philippe » « très bien, du champagne Philippe ? »
Diane un foulard autour du cou, une robe porte feuille couleur beige avec un décolleté a couper le souffle qui laisse entrevoir un soutien gorge de dentelle blanche et des escarpins vernis beige.
Madame se promène devant la cheminée, me frôle, reviens, la tension monte !! elle m’excite ou je rêve ...
Je sent qu'il va falloir passer la deuxième vitesse quitte a tout perdre un peu de hardiesse.
Je m’assois sur l'accoudoir du canapé et lui demande «  qu'elle est ton chiffre préféré ? » «  le deux pourquoi ?»
Je lui attrape le bras la couche sur mes cuisses, remonte la robe jusqu'au reins et lui dis «  désormais tu prendras deux claques sur les fesses a chaque fois que tu ne sera pas sage »
«  non mais ça va pas bien » me réplique t'elle  et vlan deux nouvelles claques. «  Diane je vais te dresser comme une belle pouliche, salope et bourgeoise »
Diane :« dans tes rêves, je ne suis pas une pute » et re vlan deux claques claquent sur son cul.
« je n'ai pas dis que tu étais une pute, je dis simplement que je vais faire de toi ma pouliche préféré et bien dresser »
Je la remet debout, elle vacille un peu, prend son verre pour reprendre ses esprit, me tourne le dos face a la cheminée.
Discrètement j'attrape une cravache sur une commode, et lui dit
«  enlève ta robe » Diane :  «  non, je ne joue pas Philippe »
La cravache s'abat sur sa fesse droite « aie, mais tu es malade »
« Diane je viens de te dire que j'allais te dresser comme une pouliche, alors exécution »
elle enlève les boutons qui ferme la robe et les deux pans découvrent un soutien gorge et un tanga de dentelle d'une blancheur immaculé magnifique.
« tourne toi et pose tes mains sur le rebord de la cheminée, face a la flamme, son corps devient sculpturale.
Je la caresse, fait sortir ses seins des balconnets, je fais rouler ses tétons entre mon pouce et l'index en serrant ce qui la fait gémir.
Ma main descend sur son ventre chauffer par les flammes et écarte sa culotte pour découvrir les lèvres déjà humides, mon majeur découvre sa chatte qui mouille comme une éponge.
J'excite son bourgeon bien dur et l'abandonne tel quel.
Je me serre du champagne et elle me dit «  c'est tout » je répond, «  mais ma belle le dressage ne fait que commencer, tu sera ma pouliche et je serai ton cavalier et propriétaire »
Je la couche le ventre sur l'accoudoir du canapé lui enlève sa culotte, j'admire se cul magnifique qui désormais m'appartiens.
Dans un support a parapluie, je voie des cannes dont une avec un pommeau en argent en forme de boule, sur la table, le beurrier a toasts me sert a lui enduire la rondelle dans lequelle j'y met deux doigts «aie!! doucement ça fait mal» et deux claques sur les fesses pour la faire taire.
Le pommeau de la canne bien enduit je commence doucement a la pénétrer « arrête tu va me déchirer » hélas le pommeau est déjà a l’intérieur « ne t’inquiète pas je vais bien prendre soin de toi » après quelques va et viens le trou est suffisamment ouvert pour que ma queue la pénètre.
Diane : «  je préfère ton sexe en moi » je t'avais dis que j'allais bien m'occuper de toi » mes couilles tapent dans ses fesses a chaque pénétration de plus en plus fort Diane crie !! «  j'aime ça quand tu me défonce le cul » deux claques sur les fesses « est ce que je t'ai autoriser a donner ton avis petite salope » j'attrape sa tresse tire en arrière, me retire de son cul et lui enfonce ma bite dans la chatte avant de jouir par grandes giclées au moment ou elle hurle sa jouissance.
« je pense que j'ai rempli ton pot de miel, maintenant il va falloir lécher la cuillère » un coussin sous les genoux, elle s'applique a me lécher le sexe, un petit coup de cravache sur la fesse «  mieux que ça avec tes mains aussi » la douceur de ses mains comme du velours me caresse la tige et les bourses.
Diane s'enhardi en me doigtant l'anus, un petit coup de cravache « je t'ai autoriser ? Petite garce » je lui enfonce ma queue jusqu'au couilles au fond de la bouche et lui retiens la tête.
Le nettoyage se termine, je l'embrasse goulûment et l'autorise a une petite toilette et un changement de tenue.
Une demi heure plus tard Diane revient dans un peignoir en soie japonnais a fleur et en escarpin, je lui offre une coupe de champagne qu'elle bois cul sec, puis une autre les effets de l'alcool et des événements se font sentir dans ses yeux.
Je tire sur la ceinture du peignoir et la découvre entièrement nue, je la couche dos sur la table, m'assied et lui lèche sa chatte toute fraiche qui sent bon.
Apres avoir bien exciter son clito de ma langue je prend une gorgée de champagne et lui met dans la chatte
elle me dit « ça pétille dans mon ventre » je fourre ma queue dedans et lui dit : «  je baise ma pouliche bourgeoise au champagne ce soir et plus tu sera sage et docile plus je prendrai soin de toi ma belle »
Diane: « Philippe, je crois que j'aime ce que tu me fais subir, ont ne m'as jamais prise comme ça »
« ma beauté sache que mes chevauchées avec toi ne font que commencer le chemin est encore long, mais bien dresser tu deviendra docile et amoureuse et tu n'aura plus de ruades de refus donc tes fesses ne s'en porteront que mieux »
Diane :  « c'est vrai que cette semaine a chaque fois que je montais a cheval, je pensais a toi tellement j'avais mal aux fesses et a mon cul, mais je veux être a toi »

a suivre

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