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Viens, je te ramène … chez moi (3)

Je caresse tout d'abord tout ton corps de mon souffle en prenant bien soin de ne pas te toucher. J'ai toutes les peines du monde à résister à cette muette invitation de ton sexe qui diffuse son discret parfum de désir.

Proposée le 24/05/2023 par Rackham

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Je caresse tout d'abord tout ton corps de mon souffle en prenant bien soin de ne pas te toucher.
Je démarre de ton pied droit doucement je remonte vers ta cheville, l'extérieur de ton mollet, au genou je passe vers l'intérieur en prenant bien soin de ne pas te frôler de ma tête. Je me retiens car je voudrais embrasser tes chaires, ta cuisse. Mon souffle caresse l'intérieur de ta cuisse, tu frissonne et ta respiration s'accélère un peu.
J'évite de trop m'approcher, mais suffisamment, de ce fruit juteux que je voudrais dévorer à pleine bouche.
Tu te trémousses pour tenter de rapprocher mon souffle de tes lèvres gonflée par l'excitation.
J'ai toutes les peines du monde à résister à cette muette invitation de ton sexe qui diffuse son discret parfum de désir.
Je poursuis ma remontée, ton ventre la vallée qui sépare tes seins, maladresse de ma part, mauvaise coordination de mes mouvement, je frôle ton sein droit, tu laisses échapper un petit cri, sans doute la surprise du contact inattendu avec ma joue.
Je ne me démonte pas pour autant et poursuit mon ascension aérienne de tes chairs entravées et à ma merci.
Ton cou reçoit les mêmes faveurs que le reste de ton corps, mon souffle chaud va caresser le pourtour de ton oreille et je descends vers ton visage et tes lèvres que tu mords, au moment où tu arrêtes ta morsure j'y dépose un bref baiser, tu en veux plus en les tendant vers moi par un redressement de ta tête, mais je me suis déjà écarté m'attendant à une telle réaction.
"Non pas tout de suite, patience" te dis-je. "Salaud" me répliques-tu en souriant.

J'avise une sorte d'arbre à bijoux sur lequel je trouve un grand collier de perles dont je m'empare.
Tu t'inquiètes d'entendre ce bruit, que tu ne reconnais pas car étouffé par le bandeau placé sur tes yeux et ne me sentant plus sur le lit : "Que fais-tu?", je te rassure : "Ne te tracasse pas, je ne fouille rien, je prends juste ce que tu m'as laissé à portée de mains", "C'est quoi?" me demandes-tu, question à laquelle je ne réponds pas, "C'est quoi?" insistes-tu.
Pour toute réponse, je fais un peu de bruit avec le collier.
Je dépose celui-ci sur ton épaule et tu sursautes, c'est étrange comme les sens sont exacerbés lorsque l'on est privé de l'un d'entre eux, "Qu'est-ce que c'est" susurres-tu d'une voix légèrement inquiète. Je en te réponds pas et pourtant tu le connais tu le mets toi-même.
Je le fait rouler sur le haut de ton buste, tu pousses un "Aaah" de soulagement, apparemment tu viens de le reconnaître.
Je poursuis mon cheminement en ne faisant rouler que quelques perles du long collier sur tes seins et m'approchant doucement de tes larges auréoles aux tétons qui sous la caresse commence à se redresser.
Je décris des cercle de plus en plus serrer sur tes beaux et plantureux melons, en les rétrécissant j'accélère le rythme, ils sont maintenant fièrement au garde-à-vous, pointé vers le ciel comme s'ils tentaient de se saisir des perles tournoyantes. Ta respiration s'accélère un peu, tu passes ta langue sur tes lèvres et je vois tes dents s'emparer de ta lèvre inférieure et la mordre.

Ta respiration allant en s'accélérant, elle fait par la même occasion monte en moi mon excitation et j'ai, il faut bien le reconnaître, beaucoup de mal à ne pas fondre sur toi comme un rapace sur sa proie, mon sexe est tendu à me faire mal.
Je laisse maintenant rouler beaucoup plus de perles sur ton ventre, certaine "coule" sur tes flancs.
Je poursuis la descente vers tes cuisses en prenant grand soins que le collier reste bien à l'extérieur de tes jambes. Je vais jusqu'aux chevilles et je remonte. A hauteur du genou la trajectoire oblique vers l'intérieur de tes cuisses en ne laissant encore une fois que trois ou quatre perles en contact avec ta peau et en ralentissant la progression. Ton corps et parcouru d'un frisson et au fur et à mesure que les bille remonte vers ton entre-jambes des gémissements se font entendre, "Huuumm c'est boooon" et tu écartes tes cuisses au maximum de ce que te permettent les liens.
L'écartement de tes jambes est juste suffisant pour que les perles arrive au plus bas vers le matelas et jusqu’à tes lèvres gonflée par l'excitation des caresses.
Je laisse le reste du collier vadrouiller comme bon lui semble sur ton ventre et tes cuisses pendant que j'emprisonne une longueur plutôt réduite de perle, là où elle sont plus fine et plus petites, en la maintenant bien tendue, j'effectue des mouvements de bas en haut avec ce "morceau" de collier en le pressant délicatement sur tes lèvres.
Elle ne résiste pas très longtemps et s'écartent pour laisser passer les billes entre les deux délicats pétales qui jusqu’à présent bien que gonflé par l'excitation étaient resté bien clos et entamer la caresse de ton petit bouton de plaisir.
Il subit les frottements successif des perles qui vont et viennent selon ma cadence.
J'accélère progressivement, ta respiration en fait de même, je vois ta poitrine qui se soulève de plus en plus rapidement. J'augmente la cadence des mouvements et la pression du collier.
Tu te mords les lèvres comme pour retenir quelque chose, t'empêcher de lâcher prise, ne pas laisser paraître le plaisir qui monte en toi.
D'un coup de mon index je pousse le collier dans ton antre chaude et dégoulinante d'excitation tout en le gardant bien en contact avec ce petit morceau de chair qui te procure dans de plaisir
"Aaargg, salauuuuud comme c'est boooooon", "Plus viiiiite", "Ouuuiiiiiii", ne me faisant pas prier j'accélère un peu le va et vient.
Ton bassin est maintenant agité de soubresauts, tellement que j'ai bien du mal à maitriser mes mouvements.
Je me contente de garder le collier dans ton vagin et de masser cette zone qui se trouve sur la face antérieure de ta grotte d'amour et qui fait grimper les échelons de la jouissance, je m'applique car avec le doigt seul il est plus facile de trouver l'endroit tandis qu'avec le collier, je n'ai aucune sensation. Qu'importe, je glisse mon majeur en plus dans ton abricot juteux et place mes doigts de part et d'autre des perles, je ne peux ainsi que me trouver avec l'un ou l'autre sur ce point déclencheur de plaisir.
Il ne faut pas longtemps pour que je sois au bon endroit et que tes soupirs deviennent plus lascifs et longs : "Huuuuummmmm, oui vas-y, continue lààààààà", "Haaaaaaa" et là les soubresauts se muent en ruades et ton corps est transpercé par la jouissance qui te foudroie, je ne bouge plus laisse doucement redescendre la pression et délicatement, millimètre après millimètre j'ôte mes doigts et le collier, tu reprends lentement ta respiration.

Le sang bat à mes tempes et mon cœur pulse dans mon sexe qui fièrement se dresse ne demandant qu'une chose, t'honorer.

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Commentaires de l'histoire :

Pongodu21
Très jolie histoire. Néanmons, attention aux fautes d'orthographe et à l'urilisaton des pronoms personnels (exemple: " les lèvres" devraient être écrites "elles" et non elle);
Posté le 25/05/2023


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