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Viens, je te ramène … chez moi (1)

Vingt minutes de route, ma main sur ta cuisse ... L'entrée d'un parking souterrain ... "Viens, montons, nous serons bien plus à l'aise dans mon appartement"

Proposée le 23/05/2023 par Rackham

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Vingt minutes de route, ma main sur ta cuisse ...
L'entrée d'un parking souterrain ...
Les phares de ta voiture qui éclaire quelques box vides, emplacement 34 ...
La lumière faiblarde du couloir vers les ascenseurs ...
Des ronds de buée de ta respiration sur le miroir de l'ascenseur …
Des chaussures et des vêtements épars dans le salon ...
Un lit à barreaux avec des dizaines de foulards, d'écharpes et de chèches ...
Et là, … sur le lit, … nos deux corps comme emboité dans la position de la cuillère, toi me tournant le dos.
Nous dormons d'un sommeil réparateur de cette folle fin de nuit d'amour.
Nous sommes sur le côté gauche, face à la fenêtre et au soleil levant ...
Nos respiration sont calme, bien différente par rapport à il y a seulement quelques heures.
Mais qu'a-t-il bien pu se passer pour en arriver là?

Nous prenons congé de nos ami, Christophe me propose de me ramener étant donné qu'il est venu me chercher, tu bondis en disant : "NON, c'est moi qui le ramène!", je réponds : "Merci de ta proposition Christophe, j'espère que tu me pardonneras un jour, mais je vais accepter celle de Judith".
Nous nous dirigeons vers ta voiture, avant d'y entrer, je te prends dans mes bras, te plaque contre la portière et t'embrasse fougueusement.
"Viens, je te ramène … chez moi, si tu n'y vois pas d'inconvénient", me glisses-tu à l'oreille, "Nous n'en avons pas encore fini nous deux ….". "Je te suis", dis-je.

Durant le trajet ma main posée sur ta cuisse, je l'ai sagement laissée à mis hauteur, ce fut difficile mais j'ai résisté. Il eut été dommage d'avoir un accident.
Tu roules calmement, respect des limitations de vitesses et prudence au volant, conductrice exemplaire.
Nous entrons dans la ville, voici l'entrée du parking souterrain de l'immeuble où tu résides.
Tes phares sont la seul lumière dans le sous-sol, quelque box vides, emplacement 34, tu y stationne ton véhicule.
Tu coupes le contact, nous défaisons nos ceintures de sécurité et tombons dans les bras l'un de l'autre comme si ce trajet avait été interminable et que nous étions en manque de nous embrasser.
Pour le manque c'était bien le cas.

Mes mains cours sur ton corps comme les tiennes sur le mien, nos langues dansent une sarabande effrénée.

Nous tentons de nous rapprocher l'une de l'autre, mais cette maudite et volumineuse console centrale nous empêche de le faire.
"Viens, montons, nous serons bien plus à l'aise dans mon appartement", j'acquiesce d'un signe de tête ponctué par un "Oui tu as raison".

Nous sortons de la voiture, je te prends par la taille et tu en fais de même, tu nous dirigeons vers les ascenseurs, ta mains se glisse dans mon dos par dessous mon t-shirt, tu joues de tes ongles sur ma peau.
La lumière faiblarde du couloir vers les ascenseurs ne doit pas être rassurante lorsque tu t'y retrouve seule le soir.
En l'attendant, je suis derrière toi, je passe mes bras autour de toi et me presse contre ton dos.

De sentir tes fesses pressées contre les miennes, mon sexe entame un redressement qui ne fait pas partie des figures imposées en gymnastique, mais bien de celle du p'tit dico de l'acte sexuel.
Tu ressens ce muet hommage et entame un léger mouvement ondulant de ton bassin, ce massage fessier ne fait qu'accroître mon érection, "Comme tu bouges bien ton petit cul" te glissais-je à l'oreille.
Je t'embrasse la nuque et derrière ton oreille, je te mordille délicatement le lobe, un murmure de contentement franchi la barrière de tes lèvres, "Huuummmm". Tu penches ta tête en arrière afin que nous soyons le plus possible en contact, "Embrasse-moi dans le cou, cela me fait des frissons et j'aime ça" me dis-tu, je ne peux qu'accéder à une telle requête, je dépose donc de petit baisers sur ta nuque.

L'ascenseur plutôt lent arrive, les portes s'ouvrent, nous y entrons dans cette même position, tu presse le bouton du septième.

Je ne te laisse pas plus de temps, te pousse en avant en te plaquant contre la cloison de l'étroite cabine.
Mon corps presse le tien contre la paroi ton visage contre le froid miroir, ta respiration s'accélère et fait des ronds de buée, mes mains parcours les parties accessibles de ton corps.
Je glisse mes mains sous le cardigan de maille, tire le top vers le bas pour découvrir tes seins qui restent emprisonner dans le filet, tes tétons déjà bien dressés passe au travers des maille et se retrouve en contact avec le verre froid, ce qui ne manque pas de les faire durcir plus encore, tu pousses un gémissement; "Huuuummmm"
"Défais tes cheveux" te dis-je en continuant de t'embrasser dans le cou. Tu lèves tes bras et attrape la tige de bois qui maintien emprisonnée ta chevelure dans la pièce de cuir, tes cheveux s'étale sur ta nuque et le haut de ton dos.
Mon sexe bien tendu est emprisonné entre nos deux corps, tu ne sais plus onduler des fesses écrasée que tu es contre la cloison.

Septième étage déclare la voix métallique dans le haut-parleur.
Je relâche mon étreinte, tu te retournes pour m'embrasser à pleine bouche, nous sortons ainsi enlacer de notre ascenseur vers le septième ciel.
Nous virevoltons dans le couloir, comme le font nos langues entre elles et nos mains sur le corps de l'autre, en direction de la porte de gauche.
Tu as du mal à trouver la serrure.
Ça y est nous entrons, notre étreintes se relâche un peu, …

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