Histoire Erotique

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La maîtresse de Marc est 15 ans plus vieille que lui, et c'est une folle !

La vie de couple de Marc est proche du zéro absolu. N'en pouvant plus, il part faire du shoping. C'est là qu'il rencontre Marie, une nymphomane qui va devenir sa maîtresse. Sauf que Marie est une sacré lunatique, mais elle a de si beaux seins !

Proposée le 10/02/2022 par goelan

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Essayage
Type: Roman


Marc n'en pouvait plus, c'était la goutte d'eau qui débordait du vase. Pour la énième fois, sa femme s'était refusée à lui. Il y avait toujours une raison, elle était fatiguée, elle avait ses règles, elle avait mal au ventre, elle n'avait pas envie, elle se trouvait grosse, etc. Oui sa femme n'était pas bien dans son assiette. Enveloppée depuis qu'elle s'était noyée dans la nourriture après le décès de sa mère puis perdu son job ensuite, elle n'arrivait pas redresser la barre. Il y avait eu un sursaut lorsque la mairie lui avait proposé un poste. 

Bon ce n'était pas excellent, mais au moins elle avait un boulot en attendant mieux. Marc était marié depuis 8 ans maintenant. Mais cela faisait maintenant quasiment 14 mois qu'il devait se masturber seul sous la douche en rêvant de sexe, en imaginant 1001 scènes érotiques pour pouvoir jouir. 

Pourtant il l'aimait sa femme, enfin il le croyait, mais de jour en jour une rancune s'installait dans son coeur.

Elle lui avait sorti plus d'une fois "si j'accepte, je me force, ce n'est pas ce que tu veux ?". Bref, Marc n'en pouvait plus. Pour sa femme rien allait dans sa vie et elle ne cherchait pas à savoir si lui allait bien, si à sou boulot tout baignait, car pour elle il n'avait aucun soucis. Et pourtant, il n'avait pas eu la promotion qui lui tendait les bras, il se sentait exclu dernièrement et le Covid n'aidait pas. Encore plus lorsqu'il devait bosser en télétravail et être aux côtés de sa femme et qu'il ne pouvait pas la toucher sans risque de la voir se crisper, de le repousser, de lui dire d'arrêter.

Le pire, c'est qu'il était certain qu'elle ne le trompait pas. Ou alors c'était l'actrice du siècle. Mais il se demandait même maintenant si elle l'aimait encore. Pourtant lui lui disait souvent, multipliait les actions pour lui prouver qu'il était là et qu'il avait besoin d'elle.

Mais avec ce dernier refus, sa frustration venait de grimper à un sommet si haut qu'il n'arriverait pas à le voir. Le lendemain matin, il devrait encore se masturber sous la douche en imaginant des scènes torrides avec... d'autres femmes. Merde, il avait une femme qui dormait dans son lit tous les soirs et il devait se branler comme lorsqu'il était ado.

Il aurait pu consulter, aller voir un psy de couple, mais pour quoi faire ? Du point de vue de sa femme tout allait bien, sauf que le sexe ne l'intéressait plus du tout. Une fois elle l'avait branlé dans le lit pour "lui faire plaisir" mais de la voir lui prendre son sexe entre deux doigts comme s'il s'agissait d'une saucisse snack, sans amour ni passion l'avait fait débander aussi vite. Forcément, elle ne l'avait pas raté, pourquoi faire l'amour s'il n'en était même pas capable.

Pourtant Marc n'était pas vieux, à peine 35 ans, 30 ans de plus il aurait pu se satisfaire de la situation, mais pas à cet âge. Ni moche ni beau, légèrement sportif, il était tout simplement banal. L'attitude de sa femme à son égard l'avait rendu plutôt en retrait, elle le menait pas le bout du nez et lui n'osait rien dire ouvertement de peur d'avoir encore une de ses esclandres. Ce qui se ressentait au boulot. Si au début il avait eu les dents longues, elles s'étaient émoussées et depuis, il n'osait plus se rebiffer ni critiquer. 

Et ce qui devait arriver, arriva... La vie de Marc bascula quasiment du jour au lendemain.
Blasé, démoralisé, abattu par sa vie qui s'échappait de ses mains, il quitta son domicile sans détail, mais sa femme le connaissait, il n'aurait pas le courage de fuir sans revenir, et puis il était assez grand pour faire ce qu'il voulait de sa vie, elle l'attendrait au dîner comme d'habitude. Ils passeraient une soirée devant la télé avec un plateau repas, puis elle gagnerait sa chambre pour lire et lui jouerait sur son téléphone jusqu'à la réveiller vers minuit et lui casser son sommeil. Petite vengeance mesquine de Marc. 

Ce samedi-là, il déambula de magasins en magasins sans but précis regardant plutôt le sol qu' intéressé par ce qui l'entourait. Il ressassait le dernier refus de sa femme. Merde, au début ils filaient le parfait amour, s'envoyant en l'air dès qu'ils le pouvaient mais maintenant...

Il termina dans un magasin de vêtements mixtes, étrangement il n'y avait pas grand monde. Il faut dire que les prix ici étaient assez élevés. L'unique vendeuse était occupée par une cliente grincheuse mais aussi par des cartons à déballer. Marc vogua entre les rayonnages et puisqu'il n'avait que ça à faire, il prit un pantalon qui lui plaisait pour l'essayer.

Dépenser de l'argent était un palliatif à sa morosité. Il ne le faisait pas souvent mais aujourd'hui un achat compulsif pourrait l'aider à aller mieux. Il entra dans une cabine et commença à se déshabiller pour enfiler le pantalon. En caleçon, il se rendit compte d'un drôle de bruit dans la cabine d'à côté. Comme des murmures et de drôles de bruits louches Tout de suite son imagination entra en ébullition, se pourrait-il qu'un couple se fasse plaisir juste ici ? D'un côté cela le démoralisa encore plus et de l'autre cela l'excita.
Debout, retenant sa respiration, il écouta plus attentivement, oui ces murmures, c'était plutôt des plaintes, non des gémissements légers, comme si quelqu'un tentait d'être discret. Et aussi un autre bruit... plus visqueux. La bite de Marc gonfla aussitôt dans son caleçon et il tenta de situer d'où cela provenait. Cela faisait un moment qu'il n'avait pas eu ce petit coup de chaud en  lui, ces émotions brutales d'hormones en ébullition, cette envie d'en savoir plus.

Il ouvrit son rideau de quelques centimètres, personne dans le couloir, il passa la tête dehors, écouta, regarda, la seule cabine dont le rideau était fermé était celle à côté de la sienne. Merde, que pouvait-il faire ? Qu'allait-il faire surtout ? Il retourna dans sa cabine son sexe tendant le tissu de son caleçon. Il passa sa main dedans et commença à se branler en écoutant les bruits provenant de la pièce d'à côté. 

Mais il voulait savoir, que se passait-il réellement là-bas ? Un couple ? Non, il ne le pensait pas, il n'entendait des bruits que d'une personne. Une fille ? Une femme ? Un mec ? Non, à l'idée qu'il se branlait en entendant un mec faire la même chose le refroidit. Cela ne pouvait être qu'une femme, oui c'était certain, voire même une jeune femme, belle, jolie, aux formes sensuelle, un peu nympho ou exhibitionniste. Il le fallait pour faire ça ici. Elle devait se branler ou même plus peut-être, s'insérer des trucs dans le vagin ? 

Plus il y pensait, plus son excitation grandissait, plus son imagination galopait et plus il se branlait.

Il devait voir.

Il repassa la tête dehors, toujours personne. Marc glissa un oeil vers le rideau voisin, son coeur battait la chamade, s'il se faisait prendre à mater les autres cabines tout en se branlant, son compte était bon. Il avait chaud et sa tête lui tournait. Il inspecta le rideau, la personne en train de se faire plaisir avait bien refermé le tissu, elle savait donc ce qu'elle faisait à n'en point douter. Puis il remarqua un léger interstice en haut, près des anneaux.

Il rentra dans sa cabine, cela le taraudait. Il songeait à ce petit centimètre, cette ouverture, cette tentation. Il devait choisir vite, la femme à côté finirait tôt ou tard par jouir, remballer ses affaires et lui n'aurait que son imagination pour finir le travail. D'un autre côté il n'était pas un voyeur, et la peur de se faire prendre était forte.
Soudain, il entendit un gémissement plus fort que les autres. Comme quelqu'un qui mordait dans quelque chose pour étouffer ses plaines. N'en pouvant plus, il repassa dehors et sur la pointe des pieds, jeta un coup d'oeil dans la cabine d'à côté.

Son sang ne fit qu'un tour, assis sur un petit tabouret dans le coin de la cabine, une femme d'environ 40 à 50 ans, les jambes nues bien écartées, le sexe glabre, un chemisier à moitié ouvert, un gros sein sortant comme un trophée à saisir, une jambe au sol, l'autre relevée et posée contre la paroi, faisait glisser un god dans son vagin lubrifié par sa cyprine avec de grands gestes fluides. Elle mordait dans un mouchoir et les yeux mi-clos visiblement, cela lui faisait réellement du bien. C'était une assez belle femme en plus, pour ce qu'il pouvait en voir.

 A moitié hors de sa cabine, la bite au garde à vous, sur la pointe des pieds, Marc enregistra la scène avec gourmandise, oubliant complètement où il se trouvait et dans quel état il était. Et forcément, il perdit l'équilibre.

Il bascula en avant, s'accrochant à moitié au rideau de la cabine suspicieuse, tout en jurant et se cogna le coude sur la paroi. Son pied glissa sur les habits au sol de la femme qui cria à son tour de surprise, mais son bâillon de fortune amorti le son. Il finit sa chute sur le derrière, à moitié dans la cabine, à moitié dehors, le rideau ouvert au trois-quart laissant qui le voulait la vu de cette femme se branlant avec un god et de lui, en caleçon, sa bite toujours tendue.

Marc plus que gêné, atterré et surtout effrayé par la réaction de la femme. Il tenta de se relever, rouge comme une pivoine, bégayant des excuses en évitant de regarder l'entre-jambe de la vicieuse.

- Dé... désolé, murmura-t-il honteux se rendant compte qu'il en montrait autant qu'elle.
Incrédule, la femme recracha son baillon sans pour autant cacher son anatomie.

- Prends-moi, vite ! S'exclama-t-elle, et referme le rideau

Marc n'en croyait pas ses oreilles, la femme l'invitait à la baiser ?

Pour preuve, elle retira son engin de sa chatte en chaleur et écarta encore plus les jambes.

Une douleur dans le coude, Marc se redressa ne sachant que faire. C'était impossible, jamais une femme prise au dépourvue ainsi demanderait à un inconnu la bite à l'air de la baiser !

- Dépêche-toi petit voyeur, avant que quelqu'un n'arrive !

La voix de la femme était à la fois douce mais surtout autoritaire. Elle voulait qu'il la baise, elle savait qu'il l'avait espionné. L'avait-elle fait exprès ? D'ailleurs depuis quand était-elle là ? Avant ou après lui ? Etait-ce un piège ?

Mais Marc était en manque, l'odeur du sexe, la vue de se sexe offert, de ce sein qui ne demandait qu'à être peloté, de cette situation plutôt pornographique qu'érotique , tout cela lui brûla les neurones. Il se releva, tira le rideau et comme dans un rêve se mit à genoux entre les jambes de la femme.

- Vas-y, prends moi, murmura-t-elle en manque.

Marc ne se fit pas prier, au diable sa femme, au diable la pudeur, au diable  la culpabilité ou la peur de se faire prendre. Il caressa une des cuisses de la femme, elle était musclée et chaude. 

La femme commençait visiblement à s'impatienter, elle lui prit son sexe entre ses doigts fins, longs et manucurés et le tira à elle tout en s'avançant vers lui.

- Tu attends quoi petit pervers ? Lui murmura-t-elle en frottant sa bite sur ses lèvres humides et chaudes.

Marc avança son bassin en avant et guidé par la main, il trouva l'entrée du vagin et d'un coup, glissa tout son membre dedans. La femme râle de plaisir, enlaça Marc de ses bras et lui murmura dans le creux de l'oreille un "vas-y".

Marc sentit en même temps la chaleur brûlante du vagin, le parfum de la femme aussi puissant et entêtant, la grosseur de la poitrine contre son torse, l'étau des bras autour de ses épaules et l'envie de celle-ci autant que la sienne. Il se retira et se planta, elle gémit, mordant dans sa chemise. Il recommença et la sentit se tordre de plaisir alors il y alla franco faisant aller et venir sa bite dans le vagin inconnu et offert.

Cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas éprouvé de telles sensations. Il prit sur lui pour ne pas jouir rapidement. La femme gémissait dans son cou, se retenait à lui, tremblait de tout son corps et le bruit du clapotis du coït remplit bientôt tout l'espace clôt. Marc se défoulait, il y allait à grands coups, purgeant ainsi toute sa frustration emmagasinée depuis tant de mois.

Il glissa une main entre leur torse et agrippa le sein offert. Il était gros, moelleux, ferme avec un gros téton pointu. Il changea un peu de position et se remit en devoir de faire jouir l'inconnu. Ce n'était pas une jeunette comme il l'avait supposé, mais une femme plus vieille que lui d'au moins 10 à 15 ans, mais sur le coup, il n'en avait cure, elle voulait du sexe et lui aussi.

Soudain, elle s'arqua le tirant encore plus vers elle, il plongea le plus loin qu'il le pu et ne se souciant guère des conséquences, il libéra enfin sa pression et son sperme jaillit en de grands jets au fond du vagin de la vicieuse. Il était essoufflé et en sueur. Son souffle roque accompagnait celui de la femme.

- Cela t'a plu ? Demanda-t-elle en s'écartant de lui.

Marc n'osa pas répondre, il était si bien dans l'étau chaud bouillant où sa queue se trouvait encore. Même si une pointe de culpabilité commençait à poindre dans son cerveau.

- Timide en plus de ça, ajouta-t-elle en souriant

- Je... n'ai pas l'habitude de... faire ce genre de chose, s'excusa-t-il

- Et me mater en te branlant ?

Marc devint rouge, il ouvrit la bouche sans dire un mot.

- Tu crois que je ne t'avais pas entendu ni vu ?

- Vous... L'avez fait exprès ?

Elle fit un mimique.

- Parfois ça marche, parfois non.

Marc n'en cru pas ses oreilles.

- Je pense qu'il est temps de regagner ta cabine, avant que... quelqu'un ne s'intéresse trop à ce que tu as fait.

Ce qu'il avait fait ? Mais elle était folle ou quoi ? C'était elle qui se masturbait la première ? Mais dans un monde comme celui-ci, qui serait la victime et qui serait le fautif ?

Il se retira d'elle, la queue molle, la renfilant dans son boxer.

- Attends, juste un truc, j'ai bien aimé tu sais.

Elle se pencha et lui déposa un baiser sur les lèvres, il en frémit de la tête aux pieds.

- Allez file petit vicieux.

Il ne se fit pas prier et jetant un coup d'oeil rapidement, il quitta la cabine pour revenir dans la sienne. Il n'y croyait pas vraiment, mais en fait si, il venait de tromper sa femme avec une nymphomane parfaitement inconnue. Cette situation était des plus incongrue et embarrassante. Il se rhabilla, ne prit même pas la peine de tester le pantalon la tête lui tournant. C'était si irréel ! Il venait de baiser une autre femme, il en avait eu tant envie, et dans ses rêves érotiques il l'avait fait mainte et mainte fois, mais là, ici, c'était dingue.

Il laissa le pantalon sur une tringle au bout des vestiaires et évita la vendeuse occupée à la caisse avec la grincheuse, il fila dehors sans demander son reste.

- Tu m'offres un café ? Demanda une voix qu'il reconnut derrière lui
Glaçait, il se retourna pour faire face à l'inconnue. Il la regarda bouche baie de pied en cap, elle avait plutôt l'air d'avoir la cinquantaine mais putain qu'elle avait du charme. Habillé d'une jupe froissée d'origine, ça aide tiens, d'une chemisier rose tendue par sa poitrine et d'une veste lui allant à la perfection, Marc se demanda comment, en si peu de temps elle avait réussi à se recoiffer et de maquiller pour enlever toutes traces de leurs ébats.

- Euh, oui, oui, répondit-il sans réfléchir de peur qu'elle fasse un esclandre. 

Mais il aurait préféré ne plus jamais la voir et passer à autre chose.

- Tu culpabilises ? Sourit-elle. C'est la première fois que tu fais ça comme ça ?

- Oui, enfin non. Je... Ce fut surprenant en effet, et...

- Et quoi ? On se quitte comme ça, tu as vidé tes petites couilles et maintenant tu compte rejoindre ta petite femme ?

Elle avait l'air vexée et menaçante.

- Non, non... Ce n'est pas ça, c'est... Ma situation est compliquée en fait. 

- Ah bon ? Allez, tu vas tout me raconter.

***

Marc et la jolie femme tu prénom de Marie, enfin si c'était bien le sien, étaient maintenant attablés dans un café pas trop loin du centre commercial. 

Depuis près d'une heure ils bavardaient comme de vieux amis autour de deux cafés vides et d'une pâtisserie ingurgitée depuis un moment.

Marc avait raconté sa vie, ses frustrations, sa femme, sa vie vide de sens et sans intérêt. Marie l'avait écouté, sans le critiquer, sans l'interrompre. Cela lui fit du bien et en même temps il se sentait drôle de raconter sa vie à une inconnue qu'il venait de baiser.

- Donc c'est la première fois que tu trompes ta femme ?

- Oui, avoua-t-il

- Et tu te sens comment ?

- Étrangement bien et en même temps...

- Coupable ? Lui demanda-t-elle avec un large sourire.

Putain qu'elle avait du charme, avec 20 ou 30 ans de moins elle avait du faire des ravages.

- Peut-être, je ne sais pas trop. Et toi, pourquoi tu fais ça ?

- Petit curieux va.

Il n'insista pas. Il avait parlé plus qu'elle et à part son prénom, il ne connaissait rien de sa vie.

- Mais disons que mon coeur a des besoins 

- Et euh... tu fais ça... souvent ? Demanda-t-il en rougissant

- Cela dépend de ce que tu définies pas "souvent"

- Je... Il rougit à nouveau. Ce n'est pas grave, je n'ai pas à te juger

- Surtout que tu y as pris ton pied petit vicieux

- Ce n'était pas voulu, j'ai perdu l'équilibre et...

- Mais tu me matais tout de même, ce n'est pas bien, j'aurai pu faire un scandale.
Difficile, pensa-t-il, vu la position où elle se trouvait. Il sourit à cette pensée

- Pourquoi cela t'amuse-t-il

- J'imagine la scène, la vendeuse arrivant dans la cabine, avec nous deux dans une position indélicate, un objet dans... Hum, enfin, tu vois quoi

- En effet, tu es plus malin que je ne le pensais. La plupart pensent à ce moment que je vais leur faire du chantage

La plupart ? Donc il n'était pas le premier venu à la baiser de la sorte. Il en fut à la fois déçu et irrité. Et du chantage ? Pourquoi faire ? Il n'y avait aucune preuve de... A moins que... Il balisa tout à coup.

- La plupart ? Répondit-il pour éviter de parler de chantage

- Tu n'es pas le premier et...

- Je ne serai pas le dernier, la coupa-t-il

Elle lui sourit, putain et quel sourire. Pas étonnant qu'il ait craqué, c'était une bombasse et elle le savait.

- Tiens tiens, tu es vraiment étonnant tu sais. 

- Pourquoi

- Tu te traites de moins que rien pourtant tu sembles ressortir du lot. 

- Je ne comprends pas

- Tu es l'un des plus réalistes que... Enfin passons. Certains ont eu peur du chantage, d'autres sont quasiment tombés amoureux de moi parce que je voulais qu'ils me baisent...

- Moins fort grinça Marc de peur qu'on les entende

Marie lui sourit, joua avec sa cuillère dans sa tasse vide puis le regarda dans les yeux
- As-tu peur de moi ?

Marc réfléchit rapidement. Oui cette femme pouvait être dangereuses mais en même temps quelque chose lui disait qu'elle était seule, trop seule, et surtout triste.

"Ais-je quelque chose à craindre" voulu-t-il dire mais à la place il lança

- Pourquoi une femme si... sensuelle, se sent elle si seule ?

Marie ouvrit de grands yeux, blêmit, reprit contenance et s'esclaffa, ce qui fit retourner bien des têtes.

- Houaaa. C'est la première fois que l'on me sort cela. Qu'est-ce qui te fait dire ça petit pervers ? 

- Pourquoi chercher ailleurs ce que tu pourrais avoir chez toi ? 

- Qui te dis que je ne suis pas comblé chez moi ?

- Ce n'est pas ce que je voulais dire. 

- Explique toi 

- Je ne suis pas un expert, mais j'ai senti, dans ton regard, quelque chose de... Comme si faire cela pouvait combler autre chose.

- Tu es psy en plus ?

- Non, j'ai l'impression de voir ce que je lis dans mes yeux lorsque je me fais face dans un miroir

Interloquée, Marie se recula dans sa chaise. Marc sentit qu'elle allait se lever, vexée ou il ne savait quoi d'autre.

- Reste, dit-il tout simplement

Elle le fixa dans les yeux, quelque chose passa, elle respira fortement puis se détendit.
- Vraiment, tu es surprenant.

- Sait-il que tu fais cela ?

Encore une fois Marie se raidit et lui lança cette fois-ci un regard de menace.

- Tu me dis seule puis maintenant tu insinue que je suis mariée ? C'est illogique.

- Juste... une intuition

- Tout le monde n'est pas malheureux dans son couple comme toi.

La pique lui fit mal surtout que le ton était coupant.

- Désolé, murmura-t-il, je ne voulais pas te blesser

- Admettons, répondit-elle, et quand bien même, qu'est-ce que cela te rapporte de connaître ma vie privée ? On a baisé, on a joui, tout le monde est content, nous sommes des adultes et on en reste là.

- Alors pourquoi vouloir discuter ensuite avec moi, ou les autres... avant, dans ce cas
Marie accusa encore le coup. Ce nouveau venu était le premier à la sonder aussi intimement. Cela lui faisait peur et en même temps l'intriguait.

- Cela n'arrive pas tout le temps, j'avais juste envie de boire un café, mais pas toute seule

- J'ai encore envie de toi, lui avoua-t-il sans y réfléchir.

Marie se raidit, serrant la cuillère entre ses doigts.

- Jamais deux fois avec la même personne, répondit-elle au tac au tac.

- Trop dangereux ?

- Trop de sentiments ensuite...

- De la part de qui ? De toi ou des autres ?

- Tu deviens trop curieux petit pervers, n'es-tu pas marié ?

- Cela ne t'a pas gêné

- Je ne pouvais pas le savoir

- Moi si

Elle s'esclaffa moins bruyamment

- Tu es amusant tu sais

Marce se leva

- Tu vas où là ? 

- Dans les toilettes du café, si cela te dit...

Tremblant, peu sûr de lui, ayant dépensé tout son courage dans la discussion avec cette femme, la tête lui tournant, Marc prit la direction des toilettes du café.

Mais qu'est-ce qui lui prenait ? Il venait de tromper sa femme, cela aurait pu se terminer ici, personne ne l'aurait su et le voilà qu'il invitait cette inconnue nymphomane à venir le rejoindre dans un lieu encore plus dangereux que les cabines d'essayage de ce magasin de vêtements.

Il entra dans les toilettes pour handicapés car ils étaient plus grands et en profita pour se soulager debout devant la cuvette des toilettes, ayant laissé la porte entrouverte.
Quelques minutes plus tard, il se retrouvait entre les cuisses de Marie, Les jambes autour de sa taille, la jupe relevée, sa culotte dans la poche sa bite bien au fond de son vagin, contre un des murs des toilettes.

Elle était entrée aussi discrètement que possible, le fusillant du regard, il n'avait pas intérêt à dire un mot. Cela devait être fait rapidement, sans chichi. Il avait prit son courage à deux mains, l'avait repoussé contre le mur, sa bite se raidit en quelques secondes et maintenant il la prenait la tenant par les fesses, leurs bouches se rencontrant pour la première fois.

Pendant que leurs langues se cherchaient, Marc fouillait son vagin de petits coups de pine baignant dans un cocon de jouissance éphémère.

- Jamais deux fois avec le même ? Ne peut-il s'empêcher de lancer entre deux baisers

- Tais-toi ou je te mords l'oreille, on verra ce que ta femme dira ensuite

Marc ferma alors sa bouche et lança encore quelquefois son bassin en avant avant de décharger à nouveau. Marie serra ses cuisses autour de lui et jouit en silence.
Elle sortit en premier et lorsqu'il arriva dans la grande salle, elle n'était plus là. Déçu, il paya l'addition et fuit à son tour les lieux.

Il regarda dehors, Marie n'était plus visible. Son coeur se serra, il avait été trop loin. Mais que pouvait-il attendre d'une femme comme ça ? De toutes manières il était marié et maintenant il allait retrouver sa petite vie de pauvre mec, avec une femme qui le repoussait et un boulot qui ne répondait plus à ses attentes.

En enfonçant sa main dans sa poche droite, il rencontra une serviette en papier chiffonnée. Il la sortit, l'ouvrit et trouva griffonné à la va-vite un email et un message. "tu me le paieras".

Marc sourit et fixant droit devant lui et non plus le sol, il se décida d'aller voir un film avant de rentrer chez lui. De toutes manières sa femme ne l'attendait surtout pas pour combler ses manques.

*** *** ***

Les jours qui suivirent, Marc repensa au message. Il devrait payer quoi ? Le fait d'avoir vu en elle beaucoup plus que ses autres victimes ? Après coup il avait réfléchi à la situation et il ne savait pas s'il voulait vraiment la revoir. Comme sa femme se fichait de ce qu'il faisait en journée et ne faisait plus cas de leur relation physique, elle ne s'était aperçu de rien. Cela le taraudait et en même temps le rendait triste. On aurait dit 2 collocs dans la même maison, des amis proches, deux êtres aimant mais d'un amour platonique, ... Sans compter que son caractère devenait de plus en plus ombrageux. Pourtant lui en faisait des efforts mais c'était comme si elle ne le voyait pas.
Il repensa aussi de nombreuses fois à ce qu'il avait fait. Il aurait pu se faire choper les deux fois et quel scandale ensuite. Ils avaient vraiment eu de la chance. D'un autre côté quelle chance avait-il de tomber nez à nez avec une telle femme ? Quels secrets gardait-elle en elle ? Quelles seraient les chances de la revoir ? Et surtout cela ne risquait-il pas de foutre en elle son mariage ? Il ruminait sur ses pensées et en avait d'autres sous la douche, sa pine en main, se branlant en repensant aux cuisses ouvertes de Marie. Puis l'idée qu'elle puisse recommencer avec un autre le terrifia. Il n'aurait alors été qu'un jouet sexuel pour assouvir ses pulsions :

Finalement, un soir où Marc était d'une humeur boudeuse, il finit par entrer l'adresse email de Marie, qu'il avait appris par coeur, sur une messagerie secondaire créée pour l'occasion et lui envoya un court message.

"Tu veux te venger de quoi ?

Pas de bonjour, pas de comment vas-tu, pas de j'ai encore envie de toi. Pour lui, cela ne servirait à rien avec elle. 

Ce soir-là, malgré son impatience, il n'eut pas de réponse.

A vrai dire il avait patienter plusieurs jours pour lui écrire, il n'en devait qu'à lui même de la lenteur de la réponse, si réponse il y aurait

Ce fut le surlendemain, en plein milieu de la matinée, un beau mardi en plein boulot, qu'il reçut sa réponse. 

"D'en vouloir plus

Réponse aussi laconique que son message de départ, cela l'intrigua
"D'en vouloir ou d'en savoir plus ?

Plus de réponses de la journée, cela ne l'étonna pas 

Une prude correspondance s'installa alors entre Marc et Marie. A aucun moment ils ne parlèrent de sexe, de ce qu'ils avaient fait ou encore de projets à venir. Juste des questions, des réponses simples, des laps de temps de quelques minutes à quelques jours entre chaque email.

Finalement Marc lui demanda :

"As-tu recommencé ?

Et l'échange se poursuivit encore

"Jaloux ?

"Curieux

"Et dans le cas positif ?

Marc ne su pas trop quoi répondre.

"Non, écrivit-il enfin, après tout, il n'avait aucune droit de l'être

"Parfait, répondit-elle rapidement

Cela le surprit. Et s'il avait dit oui? Certainement qu'il n'y aurait plus eu de réponse.
Le message suivant le laissa sur le cul, elle lui donnait rendez-vous le midi même dans un restaurant pas trop trop loin de son travail. Il en fut tout retourné et stressé. Pourquoi si soudainement voulait-elle le revoir ? Pour une nouvelle petite baise ou pour juste discuter ?

Il y avait du monde dans la brasserie et Marie était déjà là lorsqu'il arriva. Elle était toujours aussi féminine et charmante que dans son souvenir. Comment une femme plus vieille que lui pouvait lui faire cet effet là ? Il n'était pas le seul à lui jeter des regards.
Elle portait un pull moulant qui délimitait bien sa poitrine, ses cheveux étaient libres et elle était subtilement maquillée. En bas, elle ne portait qu'une jupe longue et des baskets.

- En retard, j'ai commandé pour toi.

- Euh, ok, dit-il en prenant place

- Élégant en costume, c'est pour ton boulot ?

- Oui, il faut bien, tu es bien jolie... quelque chose à fêter ? 

Il rougit en la complimentant.

- Merci. Je porte un plug anal

Marc via au rouge, regarda autour de lui dans des mouvements vifs et se demanda s'il avait bien entendu. Il évita son regard guettant le serveur qui aurait pu briser le silence. Elle le fixa les mains croisées attendant une réaction.

- C'est pour cela... que tu voulais me voir ? Murmura-t-il comme si sa question était aussi osée que la remarque de Marie

- J'avais juste envie de manger avec quelqu'un.

Puis elle lui sourit à la limite du rire.

- Je t'ai choqué ? 

- Dans ce genre de lieu, oui

- J'ai menti

- Sur quoi ?

Le serveur arriva avec deux bières et deux burgers frites.

Marc prit son verre et bu en attendant la réponse

- Je ne pratique pas l'anal

Marc recracha et vira au rouge

- Tu es mignon, lança-t-elle amusé

- Arrête, on pourrait nous entendre

- Cela t'a excité ?

- Intéressée ?

Soudain Marc sursauta et faillit renverser son verre, il sentit un pied nu glisser le long de sa jambe, remonter sa cuisse et se poser sur sa braguette.

- Je m'en doutais

La nappe de la table était assez longue pour que la geste de Marie passe inaperçu, mais Marc affolé posa sa serviette sur son entre-jambe dont la bosse de son sexe était compressée par la voute plantaire du pied de Marie.

- Cela t'amuse ?

- Tous les mêmes, dès qu'on parle de cul...

Marc prit sa fourchette et l'orienta vers son bas-ventre

- Je pourrai te faire mal

- Oserais-tu ?

- Je suis gêné

- Par la situation ?

- La pression... 

Il grimaça

Marie fit jouer son pied et Marc serra les dents tentant de ne pas montrer ce qui se passait entre ses jambes. La salope, elle savait y faire.

- Cela t'excite le public ? Lança-t-il

- Manges, le gronda-t-elle, sinon les autres vont se douter de quelque chose 

Elle n'enleva pas son pied pour autant, au contraire, elle le massa le sexe tendu de Marc par de petits mouvements. Ce qui ne l'aida pas à se concentrer sur son plat.

- Tu as baisé ta femme depuis la dernière fois ? Demanda-t-elle aussi banalement que demander s'il fera beau demain.

Marc qui déjà se sentait comme une souris prise au piège devant un chat ne l'avait pas vu venir celle-là.

- Non, avoua-t-il en tentant de repousser le pied le plus discrètement que possible

- Ne compte pas sur moi pour la remplacer, puis elle retira son pied et piqua dans une frite

Marc se sentit mal à l'aise, mais à quoi jouait-elle ?

- Je n'en avais pas l'intention

- Dommage, j'aurais pu dire oui pour un nouvel essayage

Elle mit sa frite entre ses lèvres et la croqua d'une manière si érotique que Marc rougit à nouveau.

- Tu aimes ça ?

- Quoi ?

- Jouer avec les autres...

- Et toi regarder dans les cabines des autres

Touché en plein coeur, il n'avait rien d'autre à ajouter. Il devenait de plus en plus mal à l'aise. Il n'avait pas imaginé que ce rendez-vous tournerait comme ça.

- Je n'ai pas très faim en fait

Il était prêt à quitter le restaurant et cette folle. Un serveur arriva et demanda si tout était à leur goût. Marc géné répondit que oui et malgré sa décision commença enfin à manger.

Ils mangèrent en silence pendant plusieurs minutes. Marie le fixait tout le temps mais Marc commençait à regarder ailleurs.

- Je te fais honte ? Demanda-t-elle abruptement

Il releva la tête et la fixa

- Je ne m'attendais pas à ce genre de... mise en bouche

- Tu ne m'as pas répondu

Son ton fut sec et à froid

- Non répondit-il sans mentir

- Je te crois. Dépêches-toi, ensuite on va baiser

Marc eut une quinte de toux avalant de travers. Merde, elle était vraiment folle.

- Pardon ? Lança-t-il en avalant la moitié de son verre

Elle se pencha et lui caressa le bout des doigts de sa main libre

- Si tu ne veux pas arriver en retard à ton travail, dépêches toi de terminer, car ensuite on va...

- Ok, ok, j'ai compris.

- Tu bandes ?

- Arrêtes, ce n'est pas drôle

- Je dois vérifier ?

- Pas la peine

Il rougit

- Et si je mentais ?

Marc ferma les yeux puis les rouvrit. Il souffla et enfin reprit la parole

- Ecoute...

- Oui mon choux ? Répondit-elle mielleusement

- Fais pas ça

- Faire quoi ? 

- Jouer ainsi avec les gens, cela t'apporte quoi ?

- C'est comme ça que tu me vois ? Une allumeuse ?

Help, help, help cria le cerveau de Marc. Réponse à double tranchant à venir.

- J'ai fini de manger, répondit-il en évitant la question

- Tu es venu en voiture ?

- Oui

- Alors allons-y

***

Garé dans une ruelle qu'elle connaissait visiblement, Marie n'avait pas attendu longtemps pour passer au-dessus de Marc, ouvrir sa braguette, sortir son sexe et s'empaler dessus en remontant sa jupe pour cacher le tout.

Marc l'embrassait fougueusement tout en envoyant son bassin en avant, s'imprégnant des sensations exquises et des odeurs de Marie.

- Tu vois je... n'avais pas menti ! Gémit-elle en feulant de plaisir

Une idée traversa l'esprit de Marc, tout en la caressant il passa la main sous sa jupe et tripotta ses fesses. Puis d'un mouvement subtil il passa ses doigts dans sa raie. Il n'y trouva rien que son anus fripé.

- Hep, tu n'as rien à faire ici !

- Je vérifiais c'est tout.

- Tu me prends pour une menteuse maintenant ? Je n'aime pas ça...

Elle lui mordit la lèvre, se leva et se rassit sur son siège, le laissant en plan la bite luisante de sécrétion à l'air libre

- Sort, murmura Marc au bord de l'énervement, malgré le désir et l'excitation, il n'en pouvait plus. Il avait déjà sa femme qui le menait par le bout du nez, pas deux maintenant.

- Tu boudes ? Lança-t-elle en se penchant vers lui

- Sort s'il te plait, rentre chez toi, on arrête là !

- Tu es sûr ?

Elle se pencha comme s'il n'y avait eu aucune dispute et prenant son sexe dans la main l'engloutit dans sa bouche.

Marc se tendit. Il ne s'était pas attendu à cela. Putain, elle lui prodiguait une fellation comme jamais il n'en avait eu.

- Dois-je vraiment sortir ? Demanda-t-elle en se relevant les lèvres luisantes de salive

- A quoi joues-tu ?

Elle revint sur lui tenant son sexe entre ses doigts le massant doucement.

- Tais-toi petit pervers

Se faisant, elle se releva et fit glisser sa bite entre ses lèvres, ouvrant sa bouche pour respirer plus fortement. Puis elle glissa le membre en elle et sauta sur Marc secouant sa poitrine sous ses yeux.

Marc s'en empara et la pelota sans vergogne fermant son clapet, profitant du moment. 

- Tu me rends folle, lança Marie en gémissant plaquée contre lui tout en se déhanchant sur sa bite.

- Et toi donc, répliqua-t-il en passant ses mains sous son pull, rencontrant ses seins nus.

- Vas-y plus fort

Marc en fit bouger la voiture, par chance il n'y avait personne dans le coin. Marie cria à son oreille en plein orgasme. Marc la baisa encore quelques coups puis laissa son sperme exploser au fond du vagin de sa partenaire.

- Il n'y en a pas eu d'autres depuis, lui glissa-t-elle à l'oreille reprenant son souffle

- Moi non plus, ironisa-t-il

- T'es con, murmura-t-elle en se redressant, merde tu en as mis partout, j'en ai sur ma jupe

Elle se leva, le sexe de Marc luisait de sperme et de mouille. Marie s'affala sur la place du passager, écarta ses jambes, remontant sa jupe pour examiner les dégâts.

- Tu as des mouchoirs ?

- Dans la boite à gants

Elle farfouilla en prit et lui en donna quelques uns aussi.

- Pas mieux, j'ai salopé mon pantalon.

Ils se mirent à rire tous les deux.

- Tu te sens mieux, demanda-t-il 

- Pourquoi, je devrais ?

- S'il n'y a eu personne, c'est qu'il y a une évolution

Elle garda le silence, essuyant le sperme entre ses cuisses.

- Tu vas être en retard à ton travail

Il regarda l'heure

- Merde, c'est vrai

- Tu regrettes ?

- Non

- Tu culpabilise ?

- Non, en fait mon couple n'est qu'une pure fumisterie

- T'emballa pas hein, on baise simplement, on va pas vivre ensemble

- Je sais bien, ça fait déjà longtemps que je fais semblant que tout va bien

- Tu veux divorcer ?

- J'ai pas les couilles pour ça

- Ok

- Rassurée ?

- Oui, j'ai pas les couilles pour vivre avec toi, tu es insupportable !

Elle se mit à rire et lui aussi

- Allez, je descends ici, file à ton boulot

Elle l'embrassa, rabaissa sa jupe, rattrapa sa culotte à terre et sortit de la voiture.

*** ***

La relation entre Marc et Marie était étrange. Il pouvait rester sans nouvelles d'elle pendant plusieurs jours, puis ce voir juste pour discuter, prendre un verre, déjeuner et une autre fois pour baiser rapidement, voire même un samedi après-midi, elle l'avait attendu dans une chambre d'hôtel pour forniquer avec lui pendant près de 3h00.
Ce fut la première fois qu'il l'a vit complètement nue. Elle avait beau avoir passé les 50 ans, son corps restait superbe, ses seins bien haut, gros et moelleux. Il avait su qu'elle pratiquait plusieurs sport, faisait attention à sa ligne et... c'est tout. Elle ne parlait quasiment pas de sa vie privée. Par contre, elle lui avait avoué qu'il était le seul mec avec qui elle entretenait ainsi une relation "durable". 

Seul véto qu'elle lui imposa niveau sexe, la sodomie. A force de demander, Marc avait appris qu'étant plus jeune, un compagnon de l'époque l'avait forcé à essayer. Sa relation avec lui avait prit fin juste après cette expérience qui lui avait causé une vive douleur anale pendant plusieurs jours.

Marc de son côté ne se sentait pas amoureux d'elle. C'était sa bouffée d'oxygène, son jardin secret, un moyen de passer une période difficile autant dans son couple qu'à son boulot. 

D'un autre côté, à force de cotoyer Marie et son caractère lunatique, ses questions ou réponses parfois piquantes, personnelles ou encore vibrantes lui avait fait comprendre qu'il pouvait changer sa façon d'être. Il se fit plus présent au boulot, regarda même les propositions d'embauche ailleurs, tant et si bien qu'il passa le cap et après plusieurs entretiens d'embauche, il quitta sa boite pour une autre où il pourrait tout recommencer à zéro sans qu'on le prenne pour un looser.

Le plus dur avait été de le dire à sa femme. Déjà qu'elle se morfondait dans son job, le voir ainsi épanoui n'arrangea pas son moral ni leur relation.

- Vas-tu divorcer un jour ? Demande sa maîtresse alors qu'ils se promenaient dans un parc un jour.

- Nous n'avons pas d'avenir, elle s'accroche à moi comme une bouée, mais refuse qu'on se retrouve comme avant. 

- Chantage affectif ?

- Je suppose. SI je la laisse tomber, elle sera seule et qui sait quelle connerie elle pourrait faire.

- Quelle démissionne.

- Quoi ?

- Avec ton boulot, tu gagnes assez ta vie maintenant, dis lui de démissionner

- Mince, oui ça pourrait le faire, mais dans ce cas je devrais rester avec elle

- Tu l'aimes encore ?

- Plus comme avant, mais je pense que oui, dans un certain sens
- Et ensuite ?

- Je ne sais pas

- On baise ?

Marc connaissait les changements d'humeur de Marie, elle pouvait ainsi passer d'une conversation super sérieuse à une envie subite de lui faire l'amour.

- Où ?

- Ici

- Tu es folle

- Là-bas derrière les bambous

- Il y a un parc pour enfant à 200 mètres

- Allons, allons...

Et elle se dirigea vers l'endroit en question

A croupi devant Marc, Marie se masturbait les jambes écartées la jupe relevée pendant que sa bouche glissait autour du membre du bienheureux. Mais il était stressé, si personne ne les avait vu passer par là, il pouvait entendre au loin les voix des enfants et des familles. Marie était complètement folle, il fallait toujours qu'elle choisissent un lieu public pour leurs ébats ou presque.

- Prends-moi vite, lança-t-elle en se relevant

Il passa derrière elle et glissa son membre turgescent entre ses lèvres intimes puis glissa en elle. Marie feula et agrippant une poignée de bambous elle se courba pour mieux ressentir la pine qui lui labourait le ventre.

- Tu es complètement folle, lança Marc en la prenant par les hanches et faisant aller son membre en elle furieusement, rapidement

- Vite, ça viens, vite...

Marc accentua ses mouvements et Marie mordit sa manche pour éviter de crier son plaisir. Marc la laboura encore un peu avec de jouir en elle.

Elle se releva, se rajusta et l'embrassa.

- Merci, souffla-t-elle ensuite

Marc ni comprenait rien, pourquoi agissait-elle ainsi ? 

- Alors, que vas-tu faire avec ta femme ?

Merde, comment pouvait-elle passer du coq à l'âne comme ça ?

- Je... ne sais pas, ça va trop vite

- Dix ans de vie commune, trois ans de guerre froide et zéro baise, c'est sur que c'est le TGV

- Tu es insupportable parfois

- Parfois seulement ?

- Je n'arrive pas te comprendre

- Il n'y a rien à comprendre,

- Et ensuite je fais quoi ? Je divorce, je la laisse en plan, je m'inscris sur un site de rencontre

- Et pourquoi pas ?

Pas la peine de demander à vivre avec Marie, le sujet était clos. Trop grande différence d'âge et juste du sexe, rien d'autre. De toutes manières Marc ne pensait pas qu'il y aurait d'avenir entre eux, cela résolvait le problème.

- Et toi, tu as un ami, un mari, quelqu'un dans ta vie ?

- Oui, toi petit pervers

Elle lui effleura la jour avant de l'embrasser

- Je ne sais rien de toi

- Il n'y a rien à savoir

- C'est frustrant

- J'ai envie de recommencer

- Ah non, pas ici, c'est trop dangereux

- De faire du shopping

Marc comprit tout de suite de quoi elle parlait et devint tout blanc.

- Jaloux ?

- C'est ta vie, répondit-il d'une voix atone

- J'ai soif, allons prendre un verre

*** ***

Marc passa un cap de blues durant les jours qui suivirent. Il avait quitté Marie comme s'il ne la reverrait plus jamais. Il avait aussi réfléchi à son couple et donner une seconde chance à sa femme relevait de la pure fantaisie. Même si elle démissionnait, elle ne reviendrait plus dans ses bras. Il tenta néanmoins de discuter avec elle, sur leur vie de couple, leur relation amoureuse et ce manque cruel de sexe entre eux. Il trouva les mots, grâce à Marie il avait reprit confiance en lui et n'eu pas eu peur de mettre les choses aux points. 

Sauf que sa femme n'était pas prête à l'entendre, trouva toutes les excuses du monde, l'accusa presque et au final, Marc décida qu'il était temps d'arrêter les frais. 
Peut-être que cette proposition devait être émise pour que sa femme réalise la situation dans laquelle ils se trouvaient. Elle ne savait pas qu'il avait une maîtresse mais eu soudain très peur qu'il aille voire ailleurs, elle finit par pleurer toutes les larmes de son corps et se jeter sur Marc comme un noyé sur une bouée. Celui-ci ne su pas comment réagir et ne dit rien, c'était le mieux à faire.

Elle lui demanda du temps, promis de faire des efforts, elle ne voulait pas qu'ils se séparent et entrevoyait pour la première fois ce que Marc vivait avec son comportement.
Sauf que celui-ci ne savait plus sur quel pied danser. Il se demandait encore s'il avait un avenir avec sa femme. L'aimait-il encore tout simplement ? Car maintenant il y avait Marie dans l'équitation et même s'il ne pouvait rien rêver avec elle dans du long terme, elle lui avait ouvert les yeux sur ce qu'il était, ce qu'il pouvait faire et attendre des autres

Sans nouvelles de Marie, quelques jours plus tard, il accepta l'invitation timide de sa femme à se retrouver au lit, non pas juste pour dormir. Ce fut une expérience étrange, comme coucher avec une inconnue ou presque. Cela fait longtemps qu'il ne l'avait pas vu nue ou entendu ses plaintes, qu'il ne pu que comparer sa prestation avec celle de sa maîtresse. Il n'osa pas prendre d'initiative de peur de la heurter et elle n'osait pas franchir certaines limites tellement elle s'était retranchée dans son cocon isolé. Ce ne fut pas terrible au final, juste un coït défouloir, du sexe fade et insipide. Marc compris alors... Il ne pouvait plus rester avec sa femme.

*** ***

- Je l'ai fait

Presque 15 jours après avoir demandé le divorce avec sa femme, Marc reçu ce message de Marie. Il en fut transit de froid, de colère et oui aussi de jalousie. Il se promit de ne plus la revoir et d'envoyer toutes les femmes petre à jamais.

- Réaction ? Demanda-t-il bien plus tard

- On baise ?

Marc hésita, si elle lui demandait c'est qu'elle n'était pas satisfaite de son expérience. Mais d'un autre côté, il n'aimait pas jouer le rôle de bouche-trou.

- Non, envoya-t-il finalement

- Jaloux ?

- Oui

- Pourquoi, je ne suis ni ta femme, ni fidèle

- Exact

- Ce midi, au même hôtel 

Il ne répondit pas. Il ne savait pas s'il irait la voir.

***

Allongé sur le lit de la chambre d'hôtel, Marie complètement nue venait de s'empaler sur la bite dressée de Marc. Elle s'allongea sur lui, écrasant ses gros seins sur sa poitrine puis l'embrassant avec pleine bouche.

- Tu veux savoir ? Demanda-t-elle en bougeant doucement sa croupe

- Est-ce nécessaire ?

- Si tu es venu oui...

- J'écoute...

Elle ne lui parla pas tout de suite prenant son temps pour bouger son corps langoureusement sur le membre de Marc. Puis elle se redressa, il agrippa aussitôt ses seins et de mit à les pétrir vigoureusement.

- Et avec ta femme ?

- J'ai demandé le divorce

- Je n'ai pas été satisfaite

- J'ai eu l'impression de coucher avec une inconnue, lorsqu'elle a tenté de nous réconcilier

- J'ai perdu cette sensation de plaisir

- Tu m'as transformé, avant j'aurai accepté enfin de la retrouver

- C'était un père de famille, on a failli se faire choper

- Bien fait

- Connard !

Elle le gifla sans trop lui faire mal, juste pour le geste. Marc le repoussa, la plaqua sur le ventre et se planta en elle pour la pourfendre à grand coups de bassin.

- Salope !

Marie gémit puis cria tout en agrippant les draps autour d'elle.
Puis Marc se retira juste avant qu'elle ne jouisse. Il se dégagea et soufflant, il s'assit à côté d'elle, la queue toujours tendue et luisant de secrétions.

- Merde, j'y étais presque beugla-t-elle en se relevant et se jetant sur lui

- Pourquoi ?

- Pourquoi quoi ?

- Pourquoi agis-tu comme ça ?

- Parce que je ne peux plus faire confiance à un homme

- Et moi alors ?

Elle ne répondit pas mais le fixa dans les yeux. Elle lui attrapa le sexe et commença à le branler.

- Toi c'est différent

- Tu attends quoi de moi ? 

Elle le lâcha subitement puis le poussa sur le dos et le lova contre lui.

- Je ne sais pas, finit-elle par avouer

- On n'a pas d'avenir ensemble, tu n'as pas arrêté de me le dire

- Je le sais que trop bien, à quelques années près je pourrai être ta mère

- As-tu des sentiments pour moi ?

- Et toi ?

- Réponds

- Je t'apprécie, mais ce n'est pas de l'amour

- On fait quoi alors ?

Elle se tourna vers lui et l'embrassa.

- On baise, lui souffla-t-elle au visage

Puis elle se remit sur lui frotta son sexe sur le sien, le prit en main et le glissa en elle
- Et ensuite ?

- Tais toi petite pervers.

*** ***

Les jours, les semaines et les mois passèrent. Le divorce de Marc avança et pas facilement. Il quitta sa maison pour s'installer dans un appartement. Sa relation avec Marie fut apériodique comme d'habitude et il se mit en tête de refaire sa vie, plus calme, plus naturelle, plus stable.

- J'ai un rendez-vous, lui avoua-t-il un jour qu'ils déjeunaient ensemble

- Raconte

Et il lui raconta. De son âge, avec un enfant, divorcée, jolie, joyeuse surtout, enjouée et pleine de charme. Ils c'étaient rencontrés par hasard dans une longue file d'attente et avaient finit par discuté ensemble. Au final, un échange de numéro de téléphone et de longues discussions, puis une prises de rendez-vous avec des sous-entendus.

- Et ton divorce ? 

- Il suit son cours.

- Cela la gêne ?

- Elle est passée par là déjà

- Elle sait pour moi

- Non

- Tu vas coucher avec elle ?

- Jalouse  ?

- Possible

- Pourquoi ?

- Je t'apprécie beaucoup

- On n'a pas d'avenir, tu le sais

- Je le sais, avoua-t-elle tristement

- On baise? Demanda-t-il pour une fois

- Gardes tes forces, au cas où...

- Tu vas me manquer

- On se quitte ?

- Un jour oui sûrement

- Pourquoi ? Est-ce obligé ?

- Si j'entame une nouvelle relation en gardant ma maîtresse...

- Je suis ta maîtresse alors ?

- Que veux-tu être d'autre

- Cela me va alors

- Non, mais ce n'est pas ce que je voulais dire

- Si, et tu le sais bien

Marc la dévisagea longuement

- Et toi ?

- Quoi moi ?

- En couple ?

- Oui

- Avec qui ?

Elle le fixa puis pour la première fois lui répondit

- Mon mari est handicapé, il ne peut plus me faire l'amour

Marc en fut si choqué qu'il en eut les larmes aux yeux

- Et il sait que...

- C'est lui qui me l'a proposé, avant, nous étions des bêtes de sexe, et depuis l'accident il sait que mon corps en veut encore jusqu'au jour où mes désirs seront taris

- Tu l'aimes ?

- Plus que tout au monde

- Je... Je ne sais pas quoi dire

- Ne dit rien

- Il sait pour nous ?

- Je lui raconte toujours tout, il préfère cela à mes virées solitaires

- Mince...

Marc en fut si choqué sur toutes envies de cul l'avait passé.

- Toujours envie de moi ?

- Pour être franc là tout de suite, non...

- Et après ?

- On verra

- Oui on verra

Ils se quittèrent sans un mot.

*** ***

Marc eut du mal à passer une agréable soirée avec sa dulcinée du moment, il pensait sans arrêt à Marie et sa vie. Et lui dans tout ça? Devait-il continuer à la voir et entretenir une nouvelle relation ?

Juliette de son prénom, prit son humeur pour de la timidité, après-tout c'était la première fois qu'ils étaient tous les deux ensemble. Il ne fit rien pour la détromper. Il appréciait fortement sa chaleur, sa bonne humeur, son sourire charmeur. De plus, malgré son léger embonpoint, elle n'était pas vilaine et plutôt assez jolie. Il finit par ne plus penser à Marie et tenta de la séduire le plus efficacement possible. Mais il ne lui proposa pas de dessert intime ce soir là, elle comprit bien, ne pas aller trop vite, lui pensait à Marie.

Une fois seul il l'appela

- On baise ?

***

Après une longue relation amoureuse cachée de son enfant, Juliette finit par inviter Marc chez elle et plusieurs mois plus tard, il s'y installa. Il commençait une nouvelle vie, à son boulot tout allait bien, son ex-femme était passée aux oubliettes, le divorce n'allait pas tarder à se clôturer et Marc était le plus heureux des  hommes, en plus c'était une férue de sodomie, ce qui plu encore plus à Marc.

Et Marie dans tout cela ? Et bien elle continua à faire l'amour avec Marc avec le plus de discrétion possible d'un commun accord. Plus de baise en public, plus de rendez-vous impromptu. Juste une relation stable pour que chacun puisse se défouler, parler, se divertir et se soulager de leurs contraintes personnelles. 

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Marc 80
Magnifique histoire, j'y ai retrouve des bribes de ma vie d'il y a bien longtemps. Bravo.
Posté le 13/09/2022

Anonyme
Cette histoire m'a bouleversé... certe, j'ai été très excité par les scènes de sexe mais les rapports et les échanges entre Marc et Marie m'ont profondément touché. Me pas juger lorsque l'on ne connaît pas la vie de l'autre, ses raisons, son quotidien... Pas de hasard ils devaient se rencontrer pour avancer dans leurs vies.
Posté le 5/03/2022

raymondo
belle histoire de vie bravo jj adere
Posté le 4/03/2022

bison
Excellent roman, difficile de ne pas toujours chercher la suite
Posté le 21/02/2022


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