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Les douze degrés du nirvâna - saison 2/2

Dans ce deuxième épisode de la saison 2, « L’Amour est universel « , Günther emmène V dans un sex-shop BDSM pour lui acheter quelques atours en vue de la soirée à laquelle il a convié quelques amis. Les essayages mènent loin...

Proposée le 18/04/2021 par Chab

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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman


Shopping

« Bon, shopping, maintenant », annonce Gustav une fois que nous sommes revenus à la réalité. Il a observé la scène torride sans marquer beaucoup d’intérêt ni quelque désir que ce soit d’y participer. Comme s’il se réservait pour la soirée.

«V., si déjà tu es ici, on pourrait essayer la tenue que j’ai prévue pour toi ce soir?» Tu approuves en hochant la tête, encore dans les vapes, pendant que la gothique te détache. Sans réfléchir, tu te mets nue, t’agenouilles et attends des instructions. Instinctivement, tu es entrée dans le mode soumise sans que personne ne te le demande. Gustav éclate d’un gros rire mâle sonore. « Hahaha ! Regarde la petite. Une esclave dans l’âme, je te dis! « Et de repartir d’un éclat de rire encore plus puissant. «Debout, V, ordonne-t-il, compatissant. Peut-être que tu aimerais être dominée ici et maintenant. Désolé. Seulement ce soir.» Jack Sparrow/Johnny Depp te lance un regard concupiscent. Idem pour sa copine. Mais le couple de commerçants ne veut pas froisser un si bon client. Ils se taisent donc, même s’ils utiliseraient volontiers cette belle blonde soumise tombée du ciel. Le septième.

- Pour ce soir, nous n’avons pas besoin de culotte ou de soutien-gorge. Seulement du cuir, du métal et des chaussures. Montre-moi vos colliers et bracelets pour les poignets et les chevilles. Vous en avez en métal ?
- De luxe ou normal? Demande la dame
- Quelle est la différence?
- Et bien, le luxe, ça signifie de l’argent ou de l’or. L’ordinaire, c’est de l’acier.
- J’aime l’or. Est-ce que vous avez la panoplie complète, pour le cou, les poignets et les chevilles ?
- Regarde ça.

La tenancière se dirige vers un coffre-fort. Elle manipule rapidement le mécanisme d’ouverture pour en ressortir 5 objets magnifiques en or massif : un collier de chienne et quatre bracelets pour les poignets et les chevilles dotés de boucles permettant de les attacher ensemble.

- Wow, j’adore! Gustav semble emballé. Toi aussi, tu es éblouie par ces bijoux et, même si tu ne dis rien, au fond de toi, tu adorerais les porter.
- Est-ce que V. peut les essayer ? ?
- Bien sûr, annonce le pirate gothique en fixant le collier à ton cou. Son associée s’occupe des chevilles et des poignets. Bientôt, tu resplendis de mille feux. L’or jaune profond s’accorde merveilleusement à tes cheveux, à tes yeux et au teint de ta peau.
- Oui, elle est magnifique, confirme la patronne du magasin. Je la boufferais séance tenante.

Tu ignores la remarque. Tu es sexuellement satisfaite pour le moment et seuls ces bijoux magnifiques t’occupent. Tu te diriges vers une glace où tu t’admires par-devant, puis par-derrière. En contemplant ton cul, dont tu as raison d’être très fière, tu te dis qu’un plug anal assorti aux bracelets et au collier compléterait bien la tenue. Souvent deux personnes qui s’aiment vraiment n’ont pas besoin de mots pour se comprendre.
- Vous avez un plug anal en or ? demandé-je. Ça irait super bien ensemble. Gustav me lance un regard approbateur.
- Non, pas en or. Mais un plug de luxe, ça, nous avons. La femme retourne au safe et en ressort un plug en acier, plutôt standard. Elle le fiche dans ta bouche et nous pouvons tous voir un gros diamant qui scintille entre tes dents. « Un vrai diamant 14 carats, annonce-t-elle. »

D’autorité, elle reprend le plug, vient derrière toi, te penche en avant en appuyant sur ta nuque et enfonce d’un coup le jouet dans ton anus peu lubrifié ni dilaté. Tu pousses un petit cri de douleur. Mais elle s’estompe rapidement et tu ressens plutôt un certain confort à avoir ainsi un de tes orifices rempli. Tu as définitivement rejoint le mode mental esclave. La femme ne se laisse pas intimider. Elle te fait mettre à genoux, à quatre pattes, et t’ordonne de tendre ton cul. « C’est pas splendire, ça?» Gustav, qui doit quand même un peu s’inquiéter du prix de toutes ces merveilles, contemple ton cul, pensif. Jack Sparrow donne un coup de ses Doc Martens sur ton cul en ordonnant : « Bouge, esclave ! » Tu réagis instantanément et marche à quatre pattes à travers la pièce en faisant bien attention de tendre tes fesses afin que ton public puisse admirer ce cul magnifiquement décoré.

« Ok, on prend, tranche soudain Gustav qui a du mal à avaler sa salive – et à masquer la bandaison qui fait enfler son jean. Il nous fait encore des chaussures et un belle laisse.» Le choix de la laisse est rapide. Gustav opte pour une lanière en cuir « Agent provocateur » parsemée de brillants. Pour ce qui est des chaussures, c’est plus difficile. Le plug est toujours dans ton cul alors que l’on te fait essayer une douzaine de paires de chaussures différentes : des rouges, des noires et même des dorées ; des talons de 30 cm qui manquent de te faire t’écraser à terre alors que tu pratiques un cat walk à travers le magasin ; des bottes qui t’arrivent à mi-cuisses et te donnent trop l’aspect d’une domina, dixit Gustav. Finalement, son choix se porte sur des chaussures relativement simples, noires à lanières, avec un talon qui ne dépasse pas dix centimètres mais te forcent à marcher croupe tendue, ce qui fait admirablement ressortir le plug diamanté. Gustav te fait faire plusieurs allers-retours devant le couple et moi. Nous sommes subjugués par ta beauté, par tout l’érotisme qui se dégage de ton corps et par le désir que tu as inconsciemment ressuscité en nous. Toi-même, tu es troublée par cette exhibition. Des papillons volètent de ton ventre jusque dans ta poitrine et tu comprends bien l’effet que tu produis sur tes spectateurs.

- Parfaite. Elle est absolument parfaite, confirme Gustav. Il ne faut rien de plus. Tu peux faire la facture, dit-il à la femme qui semble être celle qui tient le porte-monnaie.
- Tu souhaites un rabais ? demande-t-elle
- Bien sûr, toujours, rétorque Gustav, interloqué.
- 10% si je peux encore l’utiliser ; 20% si elle nous fait les deux jouir, déclare-t-elle sur un ton commercial en désignant Jack Sparrow du menton.
- Ouais, en ce qui me concerne…. Qu’en penses-tu, V., demande le vieil homme?

Tu hésites, me regardes, ne dis rien. Je viens te souffler à l’oreille : « Accepte, mais à condition que tu puisses conserver toute la parure, y compris le plug, la laisse et les chaussures.» Tu souris, prête à ce sacrifice pour me faire plaisir – mais aussi pour te faire plaisir à toi : tu trouves vraiment ces bijoux extraordinaires, et tu imagines qu’ils coûtent la peau des fesses- c’est le cas de le dire :)

Tu es debout au milieu du magasin, entourée de fouets, de pinces, de godes, de meubles de torture et de quatre personnes avides de te posséder. Cette énergie sexuelle puissante qui charge toute l’atmosphère pénètre chaque pore de ta peau. Tu mouilles à profusion.

- Bon, dis-tu finalement à Gustav. Je les satisfais volontiers. Les deux. Mais j’ai une condition: tous ces objets m’appratiennent.A partir de maintenant.
- Gustav saisit ton menton dans sa main et te toise, un sourire paternel aux lèvres: «Tu es vraiment une petite pure, V., prononce-t-il en détachant distinctement chaque syllabe.
- Parfois, confirmes-tu, sûre de gagner.
- Mais alors moi aussi j’ai encore une condition: tu t’engages à me servir encore une fois après ce soir, mais cette fois pour tout un week-end. Je te donne 20'000 francs.

Tu hésites et jettes un regard interrogateur vers moi. « Ton ami peut participer comme d’habitude. » L’homme a vraiment beaucoup d’intelligence émotionnelle – et de l’argent! En tout cas, il te comprend admirablement. Je hoche du chef. «Bon, alors c’est ok, confirmes-tu. » Il te prend par les épaules et te tourne en direction du couple de commerçants sado-maso. « Elle vous appartient, annonce-t-il. Mais pasmplus q’une heure. Après, nous devons y aller!»

La femme gothique saisit la laisse «Agent provocateur» et te fait mettre à genoux brutalement. Elle soulève sa jupe noire, écarte sa culotte et presse ton visage contre son sexe. Il sent le sperme et l’urine. « Lèche-moi, salope, ordonne-t-elle en collant son sexe contre ta bouche. » Tu n’as pas d’autre choix que d’obéir. Les fortes odeurs et saveurs qui s’échappent de son vagin te rebutent au début, et tu marques une hésitation. « Josef, ordonne-t-elle, cette chienne a un problème. Elle a besoin d’une douzaine de coups de fouet sur le cul!» Jack Sparrow, Josef, donc, n’hésite pas une seconde, lui. Il saisit un martinet plutôt innocent et administre une douzaine de coups sur tes fesses. Chaque brûlure provoque un soubresaut dans ton corps qui projette ton visage vers l’avant. Vers le sexe de la femme. Mais aussi, chaque trait de douleur te fait oublier les goûts et les odeurs. Tu te mets au travail avec frénésie, comme une bonne petite travailleuse du sexe consciente de ses obligations. Dès que ta langue a effleuré le clitoris de la femme, elle commence à gémir et haleter. Ce plaisir que tu procures évacue toutes les mauvaises odeurs ou les mauvais goûts. Tu réussis même à trouver agréable dans sa perversité ce mélange âcre et salé de pisse, de sperme et de chatte humide. Il faut s’habituer à ces goûts qu’on ne trouve nulle part ailleurs, c’est tout ! Le bon et le mauvais sont après tout des valeurs subjectives.

Gustav et moi apprécions la scène en connaisseurs. Il a sorti une petite fiasque de whisky de son paletot et me la tend. Je bois une rasade en admirant ta performance. Gustav, lui, est soulagé de savoir que tu sais très bien donner du plaisir à une femme. Tes réponses à ce sujet, au restaurant, étaient un peu évasives… Mais là, tu prouves ton expertise comme lesbienne. Il ne faut pas beaucoup de temps pour que la gothique jouisse sur ton visage en hurlant et en libérant une quantité impressionnante de liquide. Une femme fontaine ! Il ne te manquait plus que ça !

Josef, lui, après t’avoir fouettée, a sorti son membre de nouveau bien dur et t’a obligée à le masturber. Maintenant que ta bouche est libre, il enfonce son sexe entre tes lèvres pendant que sa compagne noue une ceinture-gode autour de sa taille. Elle te prend en levrette pendant que tu continues à sucer son comparse. Le godemiché provoque certes quelques sensations agréables, mais rien qui approche the real thing. Le sexe, le vrai, le délicieux, ce sont des terminaisons nerveuses qui se frottent, qui s’excitent mutuellement, et qui libèrent toutes sortes de substances de plaisir dans le corps et le cerveau. Ces gros bouts de plastique n’arriveront jamais à reproduire l’effet d’un sexe, d’une vraie grosse bite gorgée de sang et de sensations. Tu subis donc le sex toy, un peu à contre-cœur, un peu par obligation. En fait, la bite souple et ferme dans ta bouche te procure davantage de plaisir que les ruades de la furie. Tu te concentres donc sur Josef, veillant à titiller ses couilles avec ta main, à glisser même un doigt à l’orée de son anus. Tu sens qu’il aime : son beau gland violacé n’arrête pas de prendre du volume. Il se retire soudain de ta bouche. « Est-ce que je peux te sodomiser pendant que Martina baise ta chatte? » Sa question te surprend un peu: tu as pris l’habitude d’obéir sans qu’on te demande ton avis. « Enfin des gens plus ou moins normaux, songes-tu. » « Oui, mais sûrement pas sans capote, réponds-tu. » « Saloperie de capote. Je préfères jouir dans ta bouche sans capote. » Il remet sa bite dans ta bouche et la viole sur un rythme effréné jusqu’à ce qu’il s’arrête tout soudain. Tu sens alors un flot de sperme gicler dans ton palais, dans toute ta bouche, jusqu’au bas de ta gorge. « Attends ! hurle la mégère qui t’embroche ». Elle se dégage de ta chatte, et viens t’embrasser goulûment pour récolter quelques gouttes du précieux liquide que tu as déjà presque entièrement avalé.

Tu regardes Josef. Tu es resplendissante, les cheveux trempés par le squirt de la femme fontaine, de la sueur, du sperme et de la mouille ruisselant sur ton beau corps paré d’or massif. Même si tu n’as pas vraiment joui, tu es fière et heureuse d’avoir procuré un plaisir intense à Johnny Depp. « La jouissance mentale a quelque chose de très fort aussi, songes-tu en te relevant. »

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