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Trahisons et vengeances - Saison 1 épisode 1 : Sous le choc

Un couple de cadres trentenaires aisés. Une grande maison dans un coin tranquille. Une vie heureuse et épanouie sous tous ses aspects. Et puis un soir, le mari découvre, vidéo à l'appui, la trahison de sa femme...

Proposée le 26/08/2020 par cielooros

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Réveil en douceur

Marc, nu comme un vers, ouvrit son placard dans la chambre conjugale, encore trempé de la douche rapidement prise et encore vibrant de l’orgasme obtenu 5 minutes plus tôt, se prit un caleçon qu’il enfila de suite. L’homme de 35 ans se tourna alors vers le lit, sa femme, qui remise de son orgasme matinal – il était sept heures du matin – se redressait, enfilant elle sa robe de chambre jaune.

Ce modèle « ultra érotique » comme il l’appelait, qu’il lui avait offert il y a quelques années, pour un usage dans l’intimité. D’un tissu jaune extrêmement fin – il avait peur de lui déchirer quand il lui enlevait - et quasiment transparent, il se fermait à la taille par un nœud brillant, les deux pans du vêtement se croisant pile poil entre les seins, sur la partie inférieure du sillon, laissant voir ainsi une bonne partie des masses à l’air libre, recouvrant que leur centre et leur partie extérieure.

Mais vu la transparence de l’étoffe, cela ne changeait pas grand-chose. L’homme pouvait admirer ces masses à travers le tissu, voyant sans difficulté les poires aux larges mamelon presque circulaires mais presque elliptiques avec leur téton saillant, qu’il venait de passer plusieurs minutes à lécher et mordiller. La vue de ces deux mamelles se secouant quand la femme se releva, très libres dans le vêtement, lui provoquait un nouveau début d’érection, d’autant plus que, parce qu’assise au pied du lit face à son homme, Julie, 40 ans, dévoilant sans le faire exprès son entrejambe, laissait voir à son mari sa chatte dilatée et suintant d’amour. La femme souri, se leva, embrassa son chéri et fila dans leur salle de bain privée. Hors de question de se balader dans cette tenue dans la maison, leur fils de 11 ans, étant en train de se préparer à partir pour aller au collège.

L’homme continuait de s’habiller. Cadre supérieur, décontracté, jean, chaussures de ville, polo blanc. Quelques minutes plus tard, Julie sortait de la salle de bain. Ses cheveux noirs avec des mèches blondes tenus en chignon, elle ne portait qu’un string noir, avec un très large triangle couvrant tout le pubis, dont la largeur contrastait avec la finesse du tissue – un fil - aux hanches. A l’arrière, ce fil disparaissait totalement entre les fesses un peu ramollies et un peu flasques mais toujours aussi appétissantes. L’homme contemplait son amour, toujours assez fine, 1m70, faisant son âge, toujours belle, ses deux seins moyen mais au large mamelon ayant encore suffisamment de fermeté pour rester en place, mais vibrant érotiquement quand la femme marchait.

Il se dirigea vers elle, et l’embrassa. Il lui dit alors « Je suis en retard, bonne journée mon amour ». Avec son regard coquin et encore plein d’étoiles dans les yeux, Julie lui chuchota à l’oreille « Elle va être bonne, mes collègues vont être jalouses... » « Ah bon ? Pourquoi ? » Elle ajouta alors  « Les femmes savent reconnaître une autre femme fraîchement baisée ». L’homme éclata de rire et l’embrassa encore, excité par cette idée.

L’homme sorti et monta dans sa berline, imaginant sa femme, cadre marketing, au milieu de ses assistantes de tous âges.

Fin de journée tranquille… ou pas.

Marc rentra chez lui après une bonne journée de travail bien remplie. Il se gara devant leur belle maison de banlieue chic. Vu qu’il rentrait plus tôt, il s’attendait à ne trouver personne à la maison. Julie rentrait généralement bien plus tard, et leur fils finissait les cours à 18h et avait en plus un entraînement de foot dans la foulée.

Regardant le salon vide et silencieux, Marc se demanda ce qu’il pourrait faire sans être dérangé. En ces moments de tranquillité, il aurait d’habitude pu se regarder quelques vidéos ou imagines coquines, mais le fait qu’il ait débuté la journée avec volupté avec sa chérie, il n’en eut pas l’envie ni le besoin. Par contre, il se rappelait qu’il avait essayé de trouver le temps pendant le week-end de classer ces centaines de photos et vidéos prises en famille au cours des derniers mois, sans pouvoir rester concentré sans être dérangé. C’était l’occasion.

Il alla dans son bureau. Sur une table, étaient posées un petit tas de cartes mémoires qu’il avait préparées. A côté, caméscope et appareils photos étaient également en attente. C’était la partie du travail qu’il détestait le plus : ouvrir l’appareil, retirer la carte, la mettre dans le PC, copier les fichiers, vider la carte, remettre la carte dans l’appareil. Pendant 30 minutes l’homme répétait la même manipulation, remplissant un dossier dans son son ordinateur, étape préalable à au moins deux heures de tri.

Néanmoins il avait fallu auparavant trier les cartes, car dans le tas, une était un peu « à part » et nécessitait un traitement particulier. Le but du tri préliminaire était en effet de séparer avec précaution une carte différente des autres, celles qui contenaient quelques photos privées qu’il prenait avec sa femme. Il ne fallait évidemment que personne ne tombe dessus. Marc fut surpris un instant, car au terme de ce tri et des copies de fichiers, il vit deux cartes restantes, de deux marques différentes que les précédentes, qui venaient toutes du même fabriquant (une technique qu’il utilisait pour reconnaître celle « spéciale »). Il reconnu la première, et eut un petit sourire. C’est celle qu’il cherchait.

Il la mis dans l’ordinateur et visualisa la liste des fichiers. Il n’y avait pas grand-chose : deux photos de Julie en dessous sexy qu’il avait prises il y a deux mois. Rien d’important, comparé aux contenus osés qu’ils immortalisaient parfois. Marc mis les deux photos en sécurité avec les autres dans un disque chiffré.

Il fronça ensuite les sourcils en regardant la dernière. Elle ne lui disait rien, ni le fabriquant, ni sa couleur. Il y réfléchi un instant, hésitant, puis la mis dans le lecteur, se disant qu’au pire l’antivirus ferait son travail. Aucune alerte. Il ouvre le dossier. Il n’y a qu’un seul fichier dedans. Il était surpris, car apparemment il s’agissait d’une vidéo, et d’après la date, prise trois semaines auparavant. Il l’ouvrit, toujours perplexe.

Les premiers instants, l’homme était en pleine interrogation. Il reconnaissait la chambre, leur lit, sa femme, mais ne se rappelait pas d’avoir jamais filmé « à la volée » comme ceci. Un instant, il eut un mauvais pressentiment. Le contenu était une surprise totale, car il aurait pu tout imaginer, sauf cela. Il cliqua sur « Lecture ».

La vidéo, d’environ deux minutes, avait donc été prise dans leur chambre, face au lit, donc avec un appareil posé sur le meuble TV, mais avec un mauvais cadrage faisant passer pour une caméra cachée. Julie était debout face au lit, à moitié nue, vue de presque de dos, à environ 30 degrés, laissant voir son visage quand elle tournait la tête. Si elle était encore vêtue sur le haut du corps, un haut blanc moulant élégant qu’elle met pour le travail, elle était cul nul, la jupe posée sur le côté du lit, penchée en avant sur le lit avec un homme derrière elle.

Marc eut un temps de surprise et mis pause. Il eut froid dans le dos. C’était quand ça ? Il ne se rappelait pas. Et puis… Ce cul de mec ? Non ce n’est pas possible. Ce n’était pas lui ! Impensable. Il regarda à nouveau la date dans le détail du fichier. Il eut un nouveau choc : il regarda son agenda sur son smartphone, oui, c’était bien ça, c’était quand il s’était absenté pour quelques jours pour le travail !

La main tendue raide par cette situation, il cliqua à nouveau sur « Lecture ».

La courte vidéo montrait Julie en train de se faire prendre en levrette. L’homme donnait des coups de reins fermes qui faisaient vibrer les fesses et le peu de cellulite de la femme qui poussait des petits cris – cris qu’il connaissait si bien - à chaque entrée virile. Parfois, Julie tournait la tête vers l’arrière, regardait l’homme, vers le haut, puis vers le bas, vers le bassin du type, ce dernier soufflait très fort et répétait régulièrement « Ah oui. C’est trop bon » et autres phrases du genre.

Vers la moitié de la vidéo. L’homme s’arrêta et marqua une pause. Il dit alors à Julie, dans une voix que malheureusement Marc ne reconnu pas malgré la dizaine de visionnages qu’il allait faire, « Ca va ? » auquel la femme répondit « Oui, désolée, je suis… fatiguée... Continue ». L’homme ne demanda pas son reste et remis un coup de rein violent ce qui fit lâcher un « oh oui » à Julie. L’homme la limait violemment à présent, soufflant de plus en plus fort. Le coeur de Marc se serra quand il entendit d’abord sa femme, qui serrait les dents et regardait en arrière vers le mâle, répéter, avec un regard coquin « Ouiii Vas-y…. Vas-y ! », et l’homme lui demander « Ca te plais hein ? De te faire prendre comme ça ? » ce à quoi elle répondit « Oh oui ! Baise moi, baise moi fort ! ». L’homme accélérait alors encore plus, pilonnant Julie qui plongeait sa tête dans les draps alors que son corps était secoué par les assauts.

Puis dans une dernière série de coups, l’homme explosa. Dans un souffle et des râles qui dégoûtèrent Marc, il mit une dernière série de culbutes dans les reins de sa femme. Julie n’était pas en reste « vas-y, ouiii ». C’était fini. L’homme et Julie restaient là, reprenant leur souffle.

Et puis au bout de quelques secondes, l’homme repoussa doucement Julie qui était encore le cul en l’air et souriant en reprenant son souffle. Marc était dévasté, alors qu’il regardait l’homme se retirer de sa chérie, masquant la croupe de la femme, mais, se voyant à présent de profil, montrant une bite encore un peu dure et gluante. Cela en était trop. En plus, ils le faisaient sans protection, sa chérie laissant ce type jouir en elle.

Marc resta ainsi en silence plusieurs minutes, sans bouger, à réfléchir. Puis la réalité le rattrapa quand il entendit la porte s’ouvrir et rangea alors ce matériel compromettant en vitesse. Il savait dès à présent qu’il allait devoir faire l’acteur, celui qui ne se doute de rien, le temps de savoir comment réagir. En personne calme et posée, il savait qu’il ne faut pas réagir à chaud face à la colère.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
bien mais trop court
Posté le 16/04/2024

phillcoquin
Quel dommage qu'il n y ait pas de suite... Cela commencait pourtant bien...
Posté le 13/05/2021

Anonyme
Et la suite
Posté le 21/09/2020


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