Histoire Erotique

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Et si on jouait à chat perché ?

Tu aimes les jeux de rôle ? Ma femme les adore ! Tous les jeudis, je deviens le maître de Polly. Une petite chatte affectueuse et bien gourmande. Ce qu'elle souhaite par-dessus tout c'est me faire plaisir. Elle sait quand obéir. Mais, cette coquine a son petit caractère et ses envies félines !

Proposée le 9/03/2024 par LaColombed'Aphrodite

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Mes pas grimpaient une à une les marches d’escalier. Nous étions jeudi. Pendant un instant, cela m’était sorti de la tête. Je passai négligemment une main dans mes cheveux. Les jeudis étaient particuliers, ma femme disparaissait de la maison. Enfin… presque. Ne restait d’elle que sa bestialité.

À l’avant dernière marche, le bois geignit, craquant sous mon poids. J’avais à peine ouvert la porte que ma chatte déambulait déjà entre mes jambes manquant de me faire tomber à la renverse. Elle ronronna en frottant son flanc à mes tibias. Le coin de ma bouche se releva et je me penchai pour la gratter derrière l’oreille.

— Tu veux bien me laisser entrer ?

Elle s’écarta à contrecœur en filant dans le salon d’où elle provenait certainement. Je soupirai en retirant mes chaussures. Dieu, que la journée avait été longue ! Je roulai mes épaules courbaturées par l’effort, puis passai une main par-dessus ma tête pour retirer mon t-shirt avant de filer à la douche.

Plus tard, lorsque j’entrai à mon tour dans le salon une bière à la main, je fus surpris de ne pas la trouver roulée en boule sur le canapé. Je me laissai lourdement tomber sur ce dernier, puis avalai une rasade de liquide frais et ambré. Alors que je venais d’étendre mes jambes croisées sur la grande table basse en bois massif, elle fit à nouveau son apparition de sa démarche gracieuse et féline. Elle feignait de regarder droit devant elle, mais je la connaissais assez pour savoir qu’elle m’observait du coin de l’œil.

À présent sur la table, elle mouva sa tête de façon à faire rouler le pouce de mon pied le long de l’arête de sa mâchoire. Les yeux fermés, elle semblait se délecter de la caresse qu’elle s’administrait. Pour une raison qui m’était mystérieuse, elle avait toujours adoré câliner mes pieds. Son regard vert croisa brièvement le mien tandis qu’une autre gorgée pétillante descendait le long de ma gorge.

Je battais des cils plus longuement que nécessaire emprunt à la fatigue quand sa langue se faufila sur et entre mes orteils. Ce contact humide me fit tressaillir et j’écarquillai les yeux de surprise, alors qu’un frisson déferlait le long de ma colonne vertébrale. Elle avait bien sûr profité de mon inadvertance pour assouvir son penchant obscur.

— Coquine va ! grognai-je en ramenant mes jambes contre moi. Viens plutôt par-là, dis-je en tapotant du plat de la main la place libre à côté de moi sur le canapé.

Elle ne se fit pas prier davantage et me rejoignis aussitôt. Me faisant dos, elle me présenta sa croupe de manière parfaitement scandaleuse !
Ce fut donc avec un sourire en coin sincère que je mis à gratouiller le point culminant de ses jolies fesses puisque c’était si gentiment demandé. Elle ronronna presque immédiatement. Dieu que les chats aimaient être le centre d’attention ! Il suffisait de porter son intérêt, rien qu’une seconde, à un livre ou tout autre chose pour qu’ils viennent aussitôt se mettre en travers de ceux-ci ! Polly, ma chatte, ne faisait pas exception à la règle. Évidemment, elle avait raison de le faire. Ne méritait-elle pas toute la déférence du monde ?

Je continuais de la caresser ainsi pendant plusieurs minutes tout en admirant sa silhouette plutôt élancée sous sa robe brune tachetée ainsi que ses petites rondeurs qui la rendaient unique jusqu’à ce qu’elle se retourne pour mordiller mes doigts. Nous savions tous les deux ce que cela voulait dire. C’était le signal qu’une chatte, ici, avait faim. Une boule de chaleur naquit dans mon bas ventre. Son regard intense captura le mien me forçant à déglutir. Mes mains animées d’une volonté propre firent glisser mon pantalon de survêtement sur mes chevilles. Mon sexe sensible à son appel commençait lentement à se dresser pour la contenter. Alors qu’elle descendait gracieusement du canapé pour se placer entre mes jambes, je jurai que l’ombre d’un sourire s’était dessinée sur sa bouche animale.

Sans me quitter des yeux, elle lapa ma verge. D’abord, légèrement presque furtivement. Mes muscles se tendirent et un spasme agita mon membre où l’afflux de sang était, en ce moment, le plus important. Puis, elle réitéra son geste une seconde fois. Cette fois, de la base jusqu’au gland en prenant son temps. Je l’observais, le souffle court. Elle était à nouveau immobile.

— Tu aimes ça pas vrai ?

Après quelques secondes de silence, je passai mes doigts sur le haut de sa tête en un geste affectueux. Il était inutile d’attendre une réponse de sa part. Nous étions jeudi et les chats ne parlaient pas.

— Alors continue, l’invitai-je.

Un éclat lumineux traversa ses traits avant qu’elle ne reprenne ce qu’elle avait commencé. Sa bouche glissa sur ma verge jusqu’à la faire disparaître entièrement et je grognais de plaisir en sentant sa langue s’enrouler autour de la partie la plus sensible de mon anatomie. Dieu, que cette chatte aimait me faire plaisir !
Mon pouce dessinait des cercles encourageants dans son pelage brun soyeux. Elle me goûtait, me titillait avec une passion dévorante. Et même la pression légère qu’elle exerçait avec ses dents était délicieusement bonne. Je ne savais plus qui, d’elle ou de moi, se régalait le plus de ce repas.

Sa bouche tiède et humide se détacha encore. Elle haletait. Quelques secondes s’écoulèrent avant qu’une goutte de foutre perle à mon gland. Ses prunelles d’un vert profond se mirent à briller et je sus alors que c’était ce qu’elle avait attendu. Tous ses efforts s’étaient portés sur ce moment précis. Elle exultait. Sa victoire, sa récompense, se manifestait là entre nous. Je pouvais sentir sa requête flotter dans l’air.

— Prends-la, Polly. Je sais que tu la veux. Prends-la, elle est à toi.

La luminosité de ses yeux redoubla d’intensité. Lentement, très lentement, elle tendit sa langue pour revendiquer la preuve de mon désir pour elle. Je passai un doigt sur sa lèvre inférieure avant de l’enfoncer dans sa bouche.

— Gourmande, gloussai-je.

Dénouant ses membres, elle vint me rejoindre sur le canapé. Repue, elle s’allongea sur le dos, exposant son ventre au passage. Ma main s’y aventura non sans une certaine méfiance. Des fois, qu’elle grifferait. C’était déjà arrivé lorsque je l’avais chatouillé par mégarde. Et pour rien au monde je n’aurais voulu la brusquer, alors que cela avait si bien commencé !

Alors que d’une main cajoleuse, je remontais le long de son ventre pour finir entre ses seins généreux dont les tétons durcis et rouges accaparaient toute mon attention, ses paupières se fermèrent. La courbure de son dos s’accentua, une manière subtile de me faire savoir que j’étais sur la bonne voie. Ses lèvres s’entrouvrirent légèrement tandis que j’effectuais l’exact chemin inverse, mais descendant un peu plus bas cette fois-ci. Un miaulement lui échappa lorsque mes doigts investiguèrent la toison frisée entre ses cuisses où se cachait une seconde bouche, qui je le savais pouvait se montrer féroce en cas de fringale. Mon index glissa sur ses lèvres rouges et déjà enflées. Je haussai les sourcils en la découvrant inondée sous ma paume.

— Tu es trempée, fis-je remarquer d’une voix rauque. C’est moi qui te mets en appétit comme ça ?

Elle ronronna pour toute réponse.

— Ça me plaît !

J’enfonçai un majeur long et fin dans ce nœud de chair aussi humide et chaud que sa première bouche l’était. Puis flattai le bouton de nerf à vif qui semblait palpiter sous mon pouce. Ma caresse lui arracha un petit cri. Un soubresaut agita ma verge et je m’en emparai de ma main libre. J’avais dès le plus jeune âge montré des qualités ambidextres, si bien, qu’il ne me fallut pas longtemps pour trouver le bon rythme entre mon poing gauche descendant et remontant le long de ma queue et la gymnastique des doigts de ma main droite pour procurer à ma chatte le plaisir qu’elle réclamait.

Je me délectais de la voir ainsi les jambes écartées, exposant sa bouche comme des fidèles religieux le feraient d’une offrande à un dieu. En train de se tortiller sous mes caresses. Ses chairs indécentes et détrempées agitées sous mon nez, offertes. Elle avait une légère odeur de musc qui me montait à la tête. Ah la vicieuse ! Elle savait quoi faire pour me rendre fou.

L’effort crispait mes poignets alors que je sentais la vague de plaisir monter toujours plus haut, s’accumulant au centre de mon corps, de ma virilité, là où je souhaitais qu’elle explose pour me libérer. Une douce libération si proche et pourtant. Qui pour l’instant encore me faisait grincer des dents. Haletant, je ralentis au bord du gouffre pour plonger la main qui me branlait une seconde plus tôt entre les cuisses de Polly. Ses halètements montèrent dans les aiguës tandis que j’effectuais des vas et viens rapides et intenses.

— Tu es si douce Polly. La meilleure chatte que j’aie jamais eue, te l’ai-je déjà dit ? susurrai-je entre mes dents serrées. Ronronne encore une dernière fois pour moi, veux-tu ?

Et elle le fit. Car, j’étais son maître et que je le lui demandais gentiment. Elle avait son caractère et il ne fallait pas la froisser, mais au final, elle faisait toujours ce que je lui ordonnais. Pour la simple et bonne raison qu’elle souhaitait par-dessus tout me faire plaisir. Et je ne manquais jamais de lui rendre la pareille. Un tremblement secoua entièrement son corps tendu et ses yeux encore libidineux et écarquillés posés sur moi roulèrent en arrière. Je la laissais reprendre son souffle, avant de l’interpeller.

— Polly ?

Lentement ses yeux sauvages se rouvrirent et me fixèrent.

— J’aimerais que tu finisses ce que tu as commencé, dis-je en pointant du menton mon membre dur et épais qui, ma fois, se sentait un peu seul en cet instant.

Sa langue darda ses lèvres et par réflexe, j’écartai un peu plus les jambes. Quelle coquine, elle avait encore faim ! Elle se précipita devant moi et sa première bouche engloutit mon sexe d’un seul coup. La succion qu’elle exerça alors m’arracha un cri de surprise. Dieu, elle était vraiment affamée !

Je l’observais s’atteler à la tâche avec passion. M’avaler entièrement. Elle suçota délicatement la peau douce de mes couilles avant de revenir à mon gland en l’éraflant de ses dents. La dévotion qui découlait de ses mouvements me fit bander encore plus, si cela était réellement possible. Son rythme devint vite frénétique et la pression de ses lèvres plus vigoureuse.

— Je vais bientôt exploser Polly, grondai-je alors que mes hanches accompagnaient ses mouvements pour la remplir plus fort, plus loin.

Bon Dieu, elle ne pouvait certainement plus respirer, mais j’étais incapable de m’arrêter ! Agrippée au bord du canapé, elle m’autorisait à l’étouffer. Et bordel, c’était divin !

— Maintenant ! jouis-je en tremblant de tout mon être.

Elle s’écarta juste à temps de quelque centimètre pour libérer ma verge tout en la soutenant de sa langue tandis que j’éjaculais sur l’ensemble de son visage. La preuve de mon excitation maculait à présent son joli minois et elle jubila sa victoire au goût salé en se léchant les babines d’un air triomphant. D’un geste plein de langueur, je caressai sa tête.

— La meilleure des chattes, soupirai-je assouvi.

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