Histoire Erotique

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Quand le chat dort...

Face à la promesse d'une folle nuit d'amour, notre héroïne sent l'excitation pointer avant de trouver son homme endormi. Cela sera-t-il suffisant pour l'arrêter dans sa quête de plaisir ?

Proposée le 26/08/2020 par stella29

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


L’horloge de la voiture annonce 01:13. Thibault est assis à côté de moi, légèrement éméché.

- Tu as passé une bonne soirée ? me demande-t-il.

- Ça va, tu sais bien que j’apprécie tes collègues. Sabrina m’a longuement parlé de ses dernières vacances aux Canaries.

- Oh, ne m’en parle pas ! C’est son seul sujet de conversation depuis bientôt deux mois, dit-il avec un léger rire. J’aime beaucoup la façon dont tu t’es pomponnée ce soir.

Sa remarque fait mouche et je sourie malgré moi. Il est vrai que, n’ayant rien eu à faire de ma journée, j’avais hâte de sortir et ai pris le temps de me faire belle, même pour une simple sortie avec ses collègues.

- Ah oui ? Qu’est-ce que tu penses de ma robe ? Je l’ai achetée hier.
Je lui tends une perche, bien que pas très subtile.

- Elle te va très bien. Elle met tes fesses particulièrement en valeur. J’ai d’ailleurs remarqué que Tom ne pouvait pas décoller ses yeux de toi quand tu te levais.

Il devient taquin et rentre dans mon jeu.

- Tiens, tiens. Tu as aussi apprécié le spectacle, j’espère ?

- Bien sûr, mais je crois que j’apprécierai encore plus de te l’enlever quand on sera rentrés.

Voilà, je commence à mouiller. Il suffit de ces quelques mots pour me mettre en émoi à l’idée de ce que Thibault pourra bien me faire une fois rentrés et cette jolie robe enlevée… Le reste du trajet se déroule dans le silence, bien qu’une tension se soit très clairement installée entre nous. J’aperçois Thibault réajuster son pantalon, gêné par l’érection que cette conversation a provoquée.

Nous arrivons enfin à l’appartement. Il descend de la voiture non sans me lâcher :

- Dépêche-toi de garer la voiture, j’ai hâte de te prendre.

S’il voulait m’exciter d’avantage, il a réussi ! Je fais de mon mieux pour trouver une place de parking dans le quartier, désormais convaincue que ma culotte est absolument trempée. Il me faut presque dix minutes pour trouver une place et cinq supplémentaires pour rejoindre l’immeuble à pieds.

Je rentre dans l’appartement, terriblement excitée à l’idée de la scène qui va s’y jouer dans quelques minutes. Je marque une pause pour ôter ma culotte, sachant que m’enlever ma robe pour trouver mon corps nu en dessous rendra Thibault complètement fou, idée qui est loin de me déplaire. Elle est trempée et je frémis frémir de désir en poussant la porte de la chambre.

Les vêtements de Thibault gisent sur le sol et je le trouve nu sur le lit, déjà endormi. Quelle déception ! Je n’arrive cependant pas à lui en vouloir, lui qui a enchaîné une journée de travail avec une longue soirée bien arrosée entre collègues, il doit être exténué. Je rentre dans la chambre, lui embrasse délicatement la joue de façon à ne pas le réveiller (aucun risque après ce qu’il a bu) et finit de me déshabiller. Je prends ensuite une culotte propre, un t-shirt, et pars me démaquiller et me brosser les dents, résignée à ne pas passer le bon moment auquel je m’attendais.

En me glissant sous les draps, je me dis qu’il me reste néanmoins un moyen de calmer l’excitation qui grandit dans mon bas-ventre depuis tout-à-l’heure. Je me demande quel jouet utiliser pour atteindre l’orgasme qui me permettra de calmer ma frustration, avant de me rendre compte que ceux-ci réveilleront sûrement Thibault. Soit, je vais devoir me servir de mes doigts. L’idée est loin de me déplaire, d’autant que l’idée de les promener sur mes lèvres déjà trempées à nouveau fait basculer mon bassin vers l’avant, ma chatte n’attendant qu’à être touchée, voire malmenée.

La respiration de Thibault est profonde et bruyante, je me permets donc d’allumer mon téléphone pour regarder une vidéo qui pourra m’accompagner dans ce moment de plaisir intime. S’il y a bien une chose qui réussit toujours à décupler mes orgasmes solitaires, c’est de regarder une autre femme jouir.

Je tombe assez rapidement sur une vidéo qui semble adéquat à mes envies, soit un homme et une femme, dans une cuisine, sans mise en scène grotesque. Les évènements s’accélèrent bien vite, des mains passent sous les vêtements, celles de l’actrice rejoignent l’érection de l’homme, qui se dépêche d’enlever son pantalon et caleçon pour rendre ses mouvements plus faciles. Elle s’accroupit et fait glisser lentement ses lèvres le long du sexe tendu de son partenaire, lui arrachant des gémissements. Il lui empoigne les cheveux afin de la guider vers une fréquence qui lui fera prendre le plus de plaisir possible.

Je me retiens de me toucher, sachant pertinemment que plus j’attends d’être absolument trempée, plus le contact de mes doigts sur ma chatte humide m’amènera à un orgasme intense. L’homme fait remonter la femme vers lui et l’embrasse à pleine bouche, toujours en lui tenant les cheveux. Elle enlève sa robe, exhibant un corps nu et dont l’entrejambe est visiblement aussi humide que le mien. Il l’a fait s’assoir sur un tabouret et commence à faire glisser ses doigts, non pas sur ses lèvres mais directement en elle. Elle n’a même pas le temps de gémir qu’elle commence déjà à crier de plaisir, son compagnon ayant, en quelques secondes seulement, augmenté considérablement la cadence et la doigtant violemment avec deux doigts.

Je vois ça comme un signal et, n’y tenant plus, mon bas ventre se tordant déjà malgré moi, mes doigts amorcent une descente vers ma vulve. Même l’intérieur de mes cuisses est mouillé et j’arrive sans problème à rentrer deux de mes doigts dans mon vagin et commence de lents va-et-viens, afin de ne pas me consumer trop vite. À mesure que le couple sur mon écran se dirige vers une table pour ce que j’imagine (et espère) être une scène de pénétration brutale, mon majeur s’aventure sur mon clitoris. Celui-ci, déjà engorgé de plaisir, me fait sursauter au moindre contact. Mes caresses se font de plus en plus insistantes, passant de mon clitoris à mon vagin pour ne pas jouir trop vite, je suis incapable cependant d’arrêter complètement de me toucher.

L’homme s’allonge sur la table et sa partenaire s’assied sur lui, lui tournant le dos, dans la position de la reverse cow-girl. Après s’être empalée sur sa bite, la femme murmure à l’homme de la prendre fort et il ne tarde pas à s’exécuter. Sa compagne rebondit sur ses cuises à mesure que sa bite s’enfonce toujours plus profondément et vite en elle, lui arrachant des cris et des « Encore ! » qui m’excitent au plus haut point. Mon corps est plus tendu que jamais, prêt à exploser de plaisir et je me mords les lèvres pour retenir des cris qui réveilleraient mon homme endormi.

Les mains de l’homme passent à l’avant du corps de celle qui est empalée sur lui. Elles quittent les hanches qu’il tenait fermement, l’une se dirigeant vers son cou, l’allongeant sur lui, l’autre lui frottant violemment le clitoris. Il déclenche l’orgasme de sa compagne à coups de cris et de convulsions, ainsi que le mien. Je contiens mes propres cris mais n’arrive pas à contenir les soubresauts de mes hanches et de mon bas-ventre qui se tordent sous l’effet du plaisir.

Une fois ma respiration retrouvée, j’enlève mes écouteurs et tourne mon regard vers Thibault, pour vérifier qu’il dort toujours.

- C’est moi ou tu viens de te toucher devant du porno pendant que je dormais ?

Mince, moi qui pensais avoir été discrète ! Appuyé sur un coude, il me lance un regard qui, bien loin d’être accusateur, témoigne très clairement de l’état d’excitation dans lequel la scène à laquelle il vient d’assister l’a plongé.

- Ça dépend, tu as apprécié le spectacle ? je lui demande, espérant l’attiser encore plus.

- Je n’ai pas assisté à grand chose, tes petits cris de sourie viennent tout juste de me réveiller.

Il m’embrasse sans retenue, fait jouer sa langue avec la mienne et me mordille la lèvre avant de me dire d’une voix grave, terriblement impérative et urgente :

- Relance la vidéo.

Il sait que je ne peux pas résister et que rien ne m’excite plus que quand il commence à me donner des ordres. J’appuie sur le bouton play, faisant retentir dans la chambre les cris de plaisir de l’actrice en train de se faire prendre.

- Ne quitte pas l’écran des yeux.

J’obtempère pendant qu’il fait descendre ses lèvres de mon oreille à la base de mon cou. Il s’attarde sur le creux à la base de ma mâchoire, sachant cette zone particulièrement érogène. Ma respiration, qui s’était pourtant calmée, se fait de plus en plus rapide.

En parallèle, j’assiste à un cunnilungus des plus torrides. Allongée sur une table, la femme tient la tête de son amant, agrippée comme si ça vie en dépendait à ses cheveux bouclés, pendant qu’il fait jouer sa langue sur son clitoris. Ses mains lui tiennent fermement les hanches afin que son travail ne soit pas entaché par les mouvements de sa partenaire.

Dans sa descente, Thibault atteint enfin mes seins. Ses lèvres vagabondent, se perdent dans le creux qui les sépare, avant que ses dents ne rencontrent mon téton gauche. Je sens ses dents frôler son pourtour, tandis que sa langue le titille avec des mouvements répétés et de plus en plus rapides.

Je ne résiste pas et, tout en sachant que ça ne fera que m’exciter d’avantage, je baisse la tête en espérant croiser son regard. Affairé qu’il est, il ne remarque pas tout de suite que je le regarde et, quand ses yeux s’ouvrent et se lèvent enfin, une lueur sombre et joueuse les traverse et sa main ne tarde pas à m’agripper le menton pour relever ma tête de force. Son geste provoque chez moi un premier gémissement.

- Si tu veux que je continue, ne t’avise plus de baisser les yeux.

Tremblante de désir, je murmure un léger « Oui… Pardon… ». Ses lèvres sont maintenant sur mon ventre. Elles descendent jusqu’à mon nombril en enchaînant de petites morsures avec des coups de langue et des baisers, pour ensuite s’attarder sur le côté de mon bas-ventre, un endroit que je sais qu’il apprécie tout particulièrement.

Alors que son corps descend le long du mien, je le sens, raide de désir, frôler ma cuisse. J’ai du mal à contenir mes gémissements. Ils se mélangent rapidement aux halètement et légers cris que pousse la femme dans la vidéo que je me force tant bien que mal à regarder. Je frissonne d’excitation alors que je sens le souffle de Thibault sur mon entrejambe, pendant que l’acteur de la vidéo commence à prendre sa partenaire en levrette. Le mien, de partenaire, conscient de l’attente fiévreuse qui m’habite et prêt à en jouer, m’embrasse l’intérieur des cuisses. Une légère morsure me fait tressaillir et mes hanches se tendent plus que jamais vers sa bouche, victimes du désir qu’il sait si bien attiser en moi. Je sens enfin sa langue caresser mon intimité quand la levrette qui se joue devant mes yeux devient intense et, il n’y a pas d’autres mots pour le dire, bruyante. L’actrice crie de plaisir pendant qu’elle se fait baiser violemment, les mains de l’acteur collées sur ses hanches, ramenant son bassin toujours plus vite et fort vers lui.

Aussi fascinante qu’est cette scène, mes yeux se ferment pour profiter du plaisir que me prodigue la langue de Thibault, toujours affairée à lécher tous les recoins de ma vulve. Il la fait glisser le long de mes lèvres, titille l’entrée de mon vagin, puis revient sur mon clitoris et commence à exercer de petites succions avec ses lèvres. Je ne peux plus contrôler mes gémissements. Des « Ah ! », « Oh… » et enfin des « Oui, continue s’il te plaît » s’échappent de mes lèvres sans que je m’en rende compte, rendant son envie de me satisfaire encore plus intense. Je le connais bien et sait quelle est la prochaine étape de ce cunnilungus. Mon bas ventre se creuse et il est obligé de me tenir le bassin tant mon impatience pour ce que je sais être le coup final qui m’amènera à l’orgasme se fait sentir. Enfin, mes supplications et les mouvements de mon bassin l’y invitant, je sens deux de ses doigts me pénétrer profondément tandis que sa langue continue de malmener mon clitoris. Les va-et-viens de ses doigts ne tardent pas à déclencher en moi une onde de plaisir qui l’oblige à me tenir les jambes à l’aide de ses coudes, celles-ci se refermant sous le coup de mon orgasme.

Le connaissant, je sais qu’il ne s’arrêtera pas là et prendra un malin plaisir à me titiller toujours plus, jusqu’à ce que je lui demande d’arrêter, de peur que les soubresauts de mes hanches ne cognent sa tête. Cette nuit, je suis cependant bien décidée à ne pas le laisser faire. Je pose mon téléphone sur la table de chevet et exige de lui qu’il remonte. Je n’ai maintenant plus qu’une envie, le sentir me pénétrer. Il ne veut rien entendre et continue de me satisfaire malgré mes gémissements et, sentant un sourire sur son visage, je m’accroche à ses cheveux, tirant sa tête vers moi et l’implore :

- J’ai trop envie de toi, viens.

Sa tête se lève enfin et ses yeux rencontrent les miens, que je devine embués par le plaisir et l’orgasme qu’il m’a fait atteindre en si peu de temps. Les siens sont rieurs et, il me lance sur le ton de la rigolade :

- Très bien, si tu es si pressée que ça…

Je sens le désir faire légèrement trembler sa voix.

Mes mains agrippent son corps de toutes leurs forces, je sens les muscles de son dos raidis par l’effort alors qu’il me regarde, sa tête enfin à hauteur de la mienne, et me dit :

- Putain, tu étais tellement bonne ce soir. Je devrais te lécher après que tu te sois fait jouir plus souvent.

Je suis sur le point de répondre quand le mouvement de hanches qui projète sa bite en moi me coupe le souffle. Il soupire de plaisir et je comprends aisément que, même s’il voulait prendre son temps pour me lécher, il attendait ça avec impatience. Il est si dur et je suis si trempée que ses va-et-viens s’accélèrent rapidement, sa bite s’enfonçant profondément dans mon vagin tandis que nous haletons plus fort à chaque coup de reins. Bientôt, je ne halète plus mais lâche des cris contenus, mélangeant des « Oui… », « Putain, continue », ou encore « Encore ! ». Je suis incontrôlable et finit par agripper ses fesses pour l’attirer encore plus profondément en moi tandis qu’il agrippe les miennes, conscient que ce geste décuplera mon plaisir. Mes jambes s’enroulent d’elles-même autour de lui et mes orteils commencent à se tordre d’un façon que seul un plaisir intense peut provoquer. Je jouis pour la troisième fois de la soirée pendant que Thibault me pilonne la chatte tellement fort qu’il en fait grincer le lit. Pour ne pas crier trop fort, je plonge ma tête dans son cou et le mords, ce qui déclenche chez lui un orgasme parmi les plus spectaculaires qu’il m’ait été donné de sentir. Un cri lui échappe alors que je sens son membre se raidir et je plaque ses fesses contre moi une dernière fois, voulant faire durer cet instant aussi longtemps que possible.

À bout de souffle, il repose sa tête sur ma poitrine et lâche un « J’en peux plus… » qui ne parvient toutefois pas à masquer son sourire satisfait. J’attrape rapidement un mouchoir afin qu’il puisse s’allonger à mes côtés. Alors qu’il m’enlace et m’embrasse la joue puis le cou, je lui demande, d’un ton aguicheur :

- Ça valait le coup de se réveiller ?

- C’était bien un des meilleurs réveils impromptus de ma vie, me répond-il avec un léger rire.

Deux minutes plus tard, j’entends sa respiration s’étirer et il s’endort.

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Commentaires de l'histoire :

Ivannormal
J'adore très beau récit ! très excitant et bien écrit. Bravo !
Posté le 27/08/2020


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