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Pour l'amour de son prochain 3

Trois couples d'Européen découvre une tribu première au cœur de la jungle du Congo. Ils sont de plus en plus troublé par les us et coutumes des autochtones.

Proposée le 12/10/2023 par cerisemoche

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


Merci à ma correctrice Duchesse qui est aussi une auteur à connaître. Amarante, femme libre est mon histoire préféré d'elle.


      Je n'avais pas eu ce que m'avait promis Délimaou, après lui avoir obéi cette menteuse ne m'avait pas sucé, faignant même de ne pas comprendre mes attentes. Je n’étais pas loin de la baffer, mais je ne pouvais pas faire ça sans passer aux yeux de ma petite amie et des miens pour une bête immonde. De toute façon, Françoise était si heureuse de mes caresses que je ne pouvais tout simplement pas tout gâcher. Elle m'avait toujours regardé amoureusement, mais maintenant, je percevais du désir. Après notre excursion dans la crique, mes amis Pierre et Jean m'avaient l'air aussi dépités que moi. J'avais l'impression qu'on nous avait tous abusés et que nos petites amies avaient clairement été complices des jeunes Africaines. Françoise, Anna et Maria savaient ce qui allait se passer pour nous, attachés, humiliés, réduits à leurs quémander des caresses. J'étais peut-être un brin paranoïaque, mais je sentais qu'un complot se tramait.


    Le lendemain, j'eus l'occasion d'en parler avec mes amis. En fin de matinée pour ne pas se perdre dans la jungle, on suivit la berge d'un bras du fleuve Congo. Enfin seuls à l’abri d’oreilles indiscrètes, il fallait qu'on parle de ce qui s’était passé. Cette fois Pierre et Jean étaient d'accord avec moi, les jeunes vierges comme on appelait les autochtones à la coupe militaire avaient une très mauvaise influence sur nos douces. Jean reconnaissait à peine sa douce Maria, il finit très gêné par lever son tee-shirt pour nous montrer une marque de dents sur un pectoral. Pierre nous avoua que sa petite amie Anna l'avait traité de petit chien pendant qu'il lui faisait des choses déjà assez humiliantes. J'avouai à mon tour que Françoise devait entretenir une relation avec la séduisante Délimaou et ce peut-être depuis le premier jour. Il nous restait cinq semaines avant la rentrée universitaire. Ni Pierre, ni Jean, ni moi ne voulions écourter pour autant notre séjour dans la tribu. Mis à part les écarts de nos petites amies, on avait beaucoup de satisfaction à aider ces hommes oubliés de la civilisation. Au final, on n'avait rien sorti de concret de notre réunion, si ce n’était un peu de réconfort de ne pas être le seul dans la tourmente.


       Les jours suivirent dans une relative bonne humeur, passer à autre chose était facile quand on était tout le temps occupé. Pierre avec les moyens du bord avait commencé à construire une nasse, sorte de caisse qu'on immergeait dans l'eau pour y piéger poissons et crustacés. Si c'était viable, il apprendrait la méthode à tous. Jean commençait à faire intégrer aux hommes des bois la notion de mer. De l'eau salée à perte de vue pour des gens qui n'en avaient jamais vu était difficile à concevoir. Jean voulait prévenir les volontaires à l'exil des dangers de la Méditerranée, que savoir nager ne suffirait pas à rejoindre l'Europe. Qu'il faudrait trouver un gros bateau en bon état avec des gilets de sauvetage, des provisions et de l'eau en quantité.
       De mon côté, j'avais un petit projet que j’espérais pouvoir achever avant notre départ. Quand j'avais quelques heures de libres, je dessinais dans un carnet étanche toutes les causes qui avaient ces dernières années frappé mortellement les hommes des bois. Ensuite, je cherchais dans deux gros ouvrages de médecine qu'on avait rapportés de France les premiers soins à apporter ou les médicaments à donner que je dessinais sur la feuille de droite. Sans médecin, sans hôpital, sans rapatriement possible vers une ville, chaque membre de la tribu devait pouvoir avec mes croquis comprendre les mesures à prendre en cas de morsure vénéneuse, d'os cassé, de fièvre.
    Moins d'une semaine, s’était écoulée depuis notre aventure dans la crique ou selon les points de vue notre mésaventure. En fin de journée quand les hommes des bois commencèrent à rentrer de la chasse et de la cueillette sous les félicitations ou les reproches de leurs femmes Katharina se pencha sur mon travail. J'étais assis sur un banc de la classe vide à cette heure à dessiner du mieux que je pouvais la méthode pour sauver quelqu'un qui s'étouffe, l'année précédente un enfant avait trouvé la mort ainsi. Cinq barres et une main qui percute un dos devaient faire comprendre à la tribu de donner cinq claques dans le dos de la victime. Arrivée dans mon dos sans que je ne l'entende Katharina crut drôle de me donner de petites tapes entre les omoplates. Tournant la tête, je me retrouvai nez à nez avec ses lourds seins retenus dans un tee-shirt trop petit. Levant la tête, je trouvais les yeux verts de cette sublime trentenaire. J'étais toujours fasciné par la myriade de taches de rousseur qui comme les étoiles pour le ciel ornaient son beau visage. À son sourire, mon cœur bondit aussi vite que mes joues s'empourprèrent, même son odeur sans artifice me plaisait. À mesure que mes sentiments pour elle se faisaient clairs, j’essayai au maximum de l'éviter.


    — C'est bien Eric d'avoir utilisé un format de poche, les hommes des bois n'aiment pas être encombrés.


    Continuant à regarder mes croquis Katharina se pencha un peu plus en posant une main sur mon épaule, j'en fus parcouru d'un exquis frisson. Je jetai un coup d’œil vers mon bas-ventre bien que je sache pertinemment que mon short ne pouvait en aucun cas dissimuler ma fulgurante érection. Me voûtant un peu, je la couvris de mon avant-bras, en quelques secondes Katharina m'avait allumé comme le puceau que j'étais encore bien malgré moi.


    — Tu as un bon coup de crayon tout le monde va comprendre, ça va nous être très utile.
    — Merci.
    — Comment tu trouves la vie ici, pas trop dure ?
    — En fait non, c'est vrai que les premiers jours ça me paraissait dur et que j'avais peur des possibles dangers de la jungle. Mais maintenant ça va beaucoup mieux, je ne saurai pas bien l'expliquer, mais je me sens dans mon élément.
    — Je te comprends ça m'a fait le même effet, à mon arrivé, j'avais peur de la vie rude à mener, des maladies tropicales,des animaux sauvages surtout ceux venimeux. Puis une fois ses peurs rationalisées, je me suis sentie incroyablement bien. Vivre ici dans une petite communauté soudée, c'est retrouver l'essence de la vie. L’Homme a inventé la philosophie pour trouver un sens à la vie, mais la vérité est bien dans cette jungle. L'Homme pour être épanoui n'a besoin que de boire, manger, aimer, dormir.


    Je restai figé sur mon croquis, le mot aimer résonnait dans mon esprit. J'avais envie de me lever pour la prendre dans mes bras, de l'embrasser et de lui avouer mes sentiments. Peut-être pas dans cet ordre, mais il était clair que j'étais tombé amoureux d'elle, et ce, dès notre première rencontre à l’aéroport de Kinshasa. Mon cœur se serra en pensant à Françoise, je l'aimais aussi, jamais je ne pourrais lui faire du mal. Je repris mes coups de crayon en espérant à la fois que Katharina reste et parte. Sa main sur mon épaule passa sur ma nuque, je frissonnai une nouvelle fois sans savoir si c'était le geste affectueux d'une grande sœur ou le signe d'une femme intéressée.


    — Eric si je suis venue te parler, c'est pour te faire part d'un problème au sein de la tribu.


    Poussant mes ouvrages médicaux Katharina vint s’asseoir sur le bord du rondin qui me servait de table, dans un short court elle croisa ses longues jambes galbées, elle avait les atours féminins pour faire perdre la tête à n'importe quel homme, j'avais toutes les peines du monde à la regarder dans les yeux. La grande hutte était à moins d'une dizaine de mètres, le brouhaha des femmes me parvenait clairement, je reconnus même la voix de Maria dans le lot. Pourtant, dans cette classe à ciel ouvert, je sentais une intimité s’installer.


    — Comme dans beaucoup de peuples Eric, la tribu a des rites initiatiques pour passer de l'état d'enfant à celui d'adulte. La bande de Liazou faute d’hommes célibataires risque de ne jamais être reconnue comme des femmes à part entière. Si la nourriture venait à manquer, elles seraient chassées de la tribu.
    — C'est terrible.
    — C'est naturel, en cas de disette, les hommes vont d'abord nourrir leurs femmes et leurs progénitures.
    — Vous voulez que j'aille acheter des vivres ?


    Ma nervosité m'avait fait la vouvoyer et dire n’importe quoi, les vivres c'était bien la première chose qu'on avait voulu amener à la tribu. Les hommes des bois étaient très fiers, ils acceptaient occasionnellement de la nourriture d'étrangers, comme présent et en petite quantité. Un homme dans leur esprit devait subvenir seul à sa famille. Ce qui n'était pas si éloigné de nos sociétés patriarcales, que mes amis et moi essayions de changer.  


    — C'est gentil de le proposer Eric, mais ça ne changera pas le problème de la bande de Liazou. Pour s'affirmer dans la tribu il leur faut passer le rite initiatique, il leur faut un homme.
    —Vous voulez que je me marie avec l'une d'elles ?!
    — Mais non pas du tout, le rite de passage pour les femmes de la tribu consiste à éprouver la force de ceux qui se réclament être des hommes. Lors d'une cérémonie, ce sont les jeunes femmes encore vierges qui éprouvent l'aspirant à devenir un homme, alors seulement elles sont considérées par la tribu comme des femmes à part entière.
    — Qu'est-ce que je devrai faire ?
    — Rien ou presque, l'aspirant à devenir un homme est mis dans un cercle de liane. Les jeunes vierges essayent de l'en faire sortir, à la fin de la cérémonie si l'aspirant est toujours dedans, il devient un homme de la tribu. Il peut alors prendre femme et fonder une famille.
    — S'il échoue ?
    — Ça ne change rien pour les jeunes vierges, elles ont pris part à la cérémonie, c'est tout ce qui importe. Grâce à toi Délimaou, Farra, Batanda et les autres pourront en cas de disette rester dans la tribu.

    Katharina posa une main sur la mienne, assise sur le rondin qui me servait de table elle se pencha à mon oreille pour passer sur le ton de la confidence.
    — Eric la cérémonie est hautement religieuse néanmoins, on n'y chante pas des cantiques. Les jeunes filles vont tenter de te séduire pour t’amener à quitter le cercle. Comme tu es en couple Françoise devra elle aussi participer à la cérémonie, elle sera alors séduite par un homme de la tribu.
    —Alors c'est non, je ne veux pas qu'un homme séduise ma petite amie.
    — Eric, interdis-tu à Françoise de sortir en boîte de nuit ?
    — Non, bien sûr que non.
    — Tu lui fais confiance.
    — Oui.
    — Françoise et toi vous ne serez que tentés, personne ne vous fera jamais de mal ça irait à  l'encontre de leurs lois les plus sacrées. Parles-en avec elle, rien ne presse prenez votre temps, mais sache que ça rendrait un grand service à la tribu.
    — D'accord, j'en parlerai à Françoise.
    — C'est tout ce que je te demande, merci.


    Katharina pressa ses lèvres pulpeuses sur ma joue, ça ne dura qu'une fraction de seconde, mais j'en fus fou de joie. Une goutte de sueur descendait le long de sa carotide, j'avais envie de me redresser pour lécher son gracieux cou, la prendre sur la table et mille autres choses qui auraient brisé le cœur de Françoise. Cette voluptueuse rousse m'observa un instant, puis doucement comme pour me laisser le choix de détourner la tête elle se pencha de nouveau pour poser ses lèvres sur les miennes. J'aurais pu tout aussi bien être percuté par un train tant une violente bouffée de chaleur me compressa le torse, expirant mon bonheur, je rejoignis la langue intrusive, je ne savais plus ce que je faisais, mais Dieu que c'était bon. Katharina se redressa, assise sur la table moi sur un banc, je ne pouvais que quitter ses lèvres ou faire une immense connerie en me levant.


    — Tu es un garçon si sage, trop peut-être.
    — Je suis désolé madame, vous me plaisez, mais j'aime ma petite amie,bredouillai-je.
    —Attention Eric si tu continues à me vouvoyer et à me donner du madame, je vais abuser de cette ascendance.


    Katharina posa une main sur ma joue, son pouce passa sur mes lèvres. Elle reprit sur ton plus sec.


    — Tu as envie que j'abuse de toi ?
    — Oui, soufflai-je.
    — Oui qui ?
    — Oui madame.


    Mon cœur battait la chamade, je ne savais plus ce que je lui disais, j'étais perdu dans ses yeux indéchiffrables. Quand son pouce passa mes lèvres je le suçai, n'importe qui pouvait nous voir, mais dos à la grande hutte j’avais l'espoir que personne ne comprenne.


    — Bon garçon, continue à me démontrer combien tu m'es attaché.


    J'étais très gêné par cette étrange situation, mais aussi très excité, le mot attaché sonnait à mes oreilles comme le mot aimé. Katharina sortit son pouce de ma bouche pour y enfoncer son index et majeur, je ne pus me retenir de les sucer. Elle les fit coulisser dans ma bouche avant de rajouter l’annuaire, je faisais jouer ma langue entre les trois doigts.


    — Mets-toi debout mains le long du corps, désobéis et j'arrête tout.


    Lui exposer ma queue qui déformait mon short me mortifia plus que de lui obéir. Je ne voulais pas qu'elle me voit comme une bête, mes sentiments étaient sincères. Assise sur le bureau elle passa ses jambes de chaque côté de mon bassin en reposant ses pieds sur le banc derrière moi, une bouffée de chaleur se rajouta à la boule qui me comprimait le torse. J'étais entre les cuisses de plus la voluptueuse femme que je n'avais jamais rencontrée, j’étouffai sous le déferlement d'émotions. Ses doigts, qui fouillaient ma bouche, me faisaient perdre ma respiration, je résistais au besoin de me dégager tant le peu qu'elle me donnait, je voulais le garder.


    — J'aime les garçons dociles, surtout ceux qui ont gardé leur innocence.


    Ses yeux attendaient une réponse, je poussai un bruit de bouche en continuant à lui sucer les doigts.


    — Si tu le désires cette nuit demande à Jaques de te conduire ici même, nous reprendrons alors notre conversation.


    Katharina me libéra la bouche de ses doigts pour me pousser gentiment de l'autre main, je retombai sur le banc sans trop savoir ce qu'il venait de se passer. Avant de me quitter, elle se retourna en esquissant un sourire ravageur.


    — Eric rappelle toi que les lois de la tribu s'appliquent aussi pour moi, ne va pas t'imaginer des folies.

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