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Moi et les filles (Chapitre 16)

C'est bientôt les vacances de printemps, Gisèle après avoir gouter à mon sexe en redemande. Je rêve ou la prof remplaçante me fait de rentre dedans ? Et que dois m'avouer mon père...

Proposée le 16/08/2023 par Seblebeau

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Chapitre 16
Moi et Gisèle

Les jours passent et nous nous rapprochons doucement des vacances de printemps. Je dois les passer à Paris avec ma mère. Vivien est aussi contant de me revoir. J’ai prévenu Mathilde, elle est ravie de ma venue et elle doit m’annoncer quelque chose qu’elle ne préfère pas me dire au téléphone. Plus que quelques jours avant de descendre retrouver ma chambre d’ado. Et passer du bon temps avec mes amis d’enfance.

Ce n’est pas que ma vie Lilloise ne me plait pas, bien au contraire. Mais faire un break dans tous se tourbillon me fera du bien même si depuis quelques semaines, s’est plus calme. J’espère juste qu’à Paris, qu’ils n’ont rien prévue comme fête et autre. Je veux juste passer du temps avec eux et cela me suffira grandement.

Il est vrai que depuis ma fête d’anniversaire, mon père n’est pas beaucoup parti faire ses voyages d’affaire. Il se sent fatigué et préfère donc rester à la maison. Il nous emmène quand même au restaurant. Comme promis, on est allé m’inscrire au permis, j’ai déjà pris quelque cours de code je m’aperçois que ce n’est pas si facile que ça. Rachel s’est rapprochée un peu de ses filles et elles ont fait pas mal de shopping ensemble. Les filles ont de nouvelles tenues très sexy. Je suis même étonné qu’elles ont acheté cela ensemble avec leur mère. Il est vrai qu’elle est très ouverte d’esprit.

Par-contre, je n’ai pas eu beaucoup d’occasion de passer du temps seul avec Manon et Jade. Sandrine est passé une fois ou deux mais n’a pas pu rester dormir. Par conséquent, j’ai été un peu sevré de relation intime depuis quelque temps, cela change des semaines précédentes. Je m’en plein pas. Un peu de repos ne fait pas de mal. Je peux me consacrer un peu plus à mes études et faire remonter ma moyenne avant la fin du trimestre et de l’année.

D’ailleurs, j’attends devant le bahut Gisèle et Charles. Je grelotte un peu en les attendant. je pense que je suis arrivé trop avance. C’est Gisèle qui me sort de mes réflexions en me faisant la bise.
- Tu as l’aire pensif ce matin ? Me demande-t-elle
- Je pensais aux vacances qui approchent et aux quinze jours que je vais passer à Paris.
- Cela va être long sans te voir. D’ailleurs tu ne voudrais pas me suivre, je t’offrirais bien un petit cadeau souvenir pour que tu penses à moi.

Elle me prend la main et m’attire vers la partie des bâtiments qui sont inoccupés apparemment depuis quelques années aux vues dans l’état où ils se trouvent. Elle sort une clé et ouvre une porte. Cela devait être une ancienne infirmerie, il y a quelque bureaux et chaises dans coin, dans un autre des armoires à pharmacie avec une grosse croix verte dessus. Elle referme derrière nous et m’entraine derrière un paravent où se trouve un petit lit. Elle m’attire vers elle, sans rien me demander baisse complètement mon pantalon, sort ma queue et direct se met à la sucer.
- Tu y vas direct.
- On n’a pas beaucoup de temps avant le début des cours, on a juste le temps que pour un petit coup vite fait. Dit Gisèle en me lâchant la bite quelque instant.

D’une main, elle commence à me branler et de l’autre je la vois enlever son string qu’elle jette sur son sac à main. Il ne faut pas longtemps pour que mon sexe soit complètement en érection. Elle me lâche, se met à quatre pattes en travers du lit et me demande de la pénétrer. Ce que je m’empresse de faire. Elle est encore toute serrée et j’ai du mal à avancer dans se fourreau. Mais plus je fais des aller-retours, plus sa chatte se détend et devient humide. La sensation de chaleur me réchauffe rapidement.

Je sens qu’elle a passé une de ses mains entre ses cuisses pour se caresser le clito et de temps en temps elle me masse les couilles. Je lui ai attrapé ses anches généreuses pour lui imprimer un rythme assez rapide pour que cela ne dure pas très longtemps. Dans cette pièce à moitié vide, on entend que le bruit obscène de nos deux corps qui s’entrechoque l’un contre l’autre. Je sens rapidement le corps de ma partenaire se raidir et elle pousse de long soupir. Sa chatte aussi se resserre et dégouline d’envie. Il ne me faut pas longtemps aussi pour la prévenir que j’aller jouir. Elle se retourne pour venir me sucer vigoureusement la queue. Elle avale sans en laisser une trace de sperme. Puis elle me remonte le caleçon et me dit :
- On devrait faire ça plus souvent ! Aller direction le cours de math, on va être en retard.
- Ok, désolé je n’ai pas pris le temps de mettre une capote.
- Pas grave plus besoin, on se connait maintenant et de tout façon je prends la pilule. Et ta queue est encore meilleur comme ça. Me répond Gisèle avec un grand sourire.

Elle redescend sa robe le long de ses jambes et moi je fini de me rhabiller correctement. Puis on se dirige vers la porte, je me rends compte qu’elle n’a pas remis son string et qu’elle va donc se promener la foufoune à l’aire dans les couloirs. Sur le chemin, nous sommes rejoints par Charles. Il nous salut et m’informe que ce soir Manon va le présenter à mon père et à Rachel. Nous allons en cours tous les trois. Comme à notre habitude, nous allons nous assoir au fond de l’amphi.

Ce n’est pas le prof habituel qui rentre dans la salle mais son assistante, elle demande rapidement de nous assoir et nous indique que le prof titulaire sera absent pour une durée indéterminée. Elle allait le remplacer pendant toute cette période. C’est une belle jeune femme à l’aire strict avec ses lunettes et son chignon. Mais elle a un corps élancer avec quelques formes généreuses qu’elle essaie de dissimuler sous des vêtements amples. Ce n’est pas la première fois qu’elle nous fait cours.

Gisèle s’est assise à côté de moi, heureusement pour elle l’avant de la ranger de bureaux est fermé. Car elle a pratiquement totalement remonté sa robe. Elle en profite pour me prendre la main et la poser sur son intimité. J’ai tout le loisir de jouer avec ses lèvres, de faire glisser mes doigts le long de sa fente, de titiller son clitoris ou encore de la doigter légèrement. Je la regarde de temps en temps, et je la vois de plus en plus rougir. Elle est même obligée de se mordre les lèvres pour ne pas pousser de petit soupir. Sa vulve est maintenant tout ouverte et dégoulinante de mouille.

Elle aussi n’est pas en reste et me masse aussi le sexe à travers mon jean tout doucement et ainsi me laisser en érection tout le long du cours. Nous arrêtons notre petit jeu avant la fin du cours afin de faire redescendre la pression. Charles à coté de nous n’a pas manqué une miette de notre petit jeu. La sonnerie nous indique la fin du cours. Étant dans le fond de la salle, notre petit trio se dirige le dernier vers la sortie.
Arrivé près de l’estrade où se tient notre prof de math, celle-ci nous pose la question :
- Alors ce cours vous a plu ? dit-elle avec un grand sourire.
- Il y a certaines notions qui restent un peu abstraite pour moi. Lui répondis-je avec un grand sourire
- Mon bureau vous est grand ouvert, vous pouvez passer quand vous voulez monsieur Antoine et vos amis aussi. Dit-elle en désignant Charles
- Merci. Lui dis-je gentiment
- D’ailleurs vous n’avait qu’a passé dans l’après-midi je n’ai pas de cours à donner.
- Désolé mais nous avons travaux pratique cette après-midi, mais une prochaine fois je passerais afin que vous m’expliquiez toutes ses équations… Lui dis-je en partant

La conversation coup court car Gisèle me pousse vers la sortie et me dirige aux pas de charge vers le local de ce matin. La jeune femme avait-elle remarquée notre petit jeu à tous les deux. Je ne vois plus Charles qui doit être resté parlé avec notre prof. Une fois enfermé à l’intérieur de l’ancienne infirmerie, Gisèle se remet à quatre pattes en travers du lit et remonte sa jupe. Me montrant ainsi sa pêche bien juteuse, puis me dit
- Regarde dans quel état tu m’as mise !
- C’est toi qui m’as cherché !
- Ce coup-ci on a tout notre temps. Je veux que tu me baise par tous les trous ! Dit-elle en se déshabillant

Elle est maintenant complétement nue sur ce lit. Je m’agenouille par terre, derrière elle et je la tire vers moi pour avoir mon visage au niveau de sa chatte où pointe déjà fièrement son clitoris. J’écarte encore un peu plus ses lèvres de Gisèle gonflées par le désire afin accéder plus facilement à son fruit défendu. Au contact de ma langue, elle pousse un léger soupir de soulagement. Le gout et l’odeur de son intimité m’enivre. Je titille frénétiquement du bout de ma langue son bouton qui se raidi à chaque passage. Je sens son jus couler sur ma langue. Je n’en perds pas une goutte.

Mon sexe se sent à l’étroit dans mon pantalon, je décide moi aussi de me déshabiller. Puis je commence doucement à me masturber de ma main libre. Mon gland est recouvert de mouille et je sens de grosse goutte rouler le long de ma tige bien dur. De mon autre main, j’explore le vagin de ma partenaire qui gémit de plus en plus. Je sens qu’il ne faut pas grand-chose pour qu’elle jouisse. Je me relève et la prend violement. Il n’en faut pas plus pour lui déclencher un puissant orgasme. Tout son corps est parcouru par de violents spasmes, accompagné par de nombreux : « connard ».
J’essaie de bouger mais sa chatte s’est tellement resserrée au point qu’elle expulse ma bite. Gisèle s’écroule sur le matelas vaincu par un seul coup de pine. Elle se retourne pour s’allonger sur le dos, me regarde avec ses yeux embués et me dit :
- Salopard, tu m’as fait jouir comme une sale pute ! Je n’ai pas eu le temps d’apprécié ta queue ! J’en veux encore ! Viens ici me labourer la chatte !

Elle ouvre les cuisses en grand en prenant ses genoux dans ses mains. Je me rapproche et présente mon membre viril devant son minou de nouveau grand ouvert. Cette fois-ci, je me glisse doucement entre ses chaires, de peur de lui déclencher trop rapidement un nouvel orgasme. Je me penche un peu plus pour l’embrasser tout en commençant un lent va et vient. Elle place ses jambes autour de ma taille pour me ceinturer me montrant que je dois la pénétrer un peu plus. Avec ses ongles, elle commence à me labourer le dos.

Je me force à garder ce rythme, lent avec de longs mouvements doux. Je l’embrasse tout aussi tendrement. Seul un petit ronronnement sort de sa gorge tel une petite chatte en chaleur. Après quelques minutes, je sens doucement l’extase monter en moi, nous sommes tous les deux au bord de la jouissance. Tout aussi doucement que possible, je me dégage de son étreinte. Je viens m’allonger en travers du lit les jambes posées au sol en lui indiquant ce que je veux d’elle. Elle se lève, me tourne le dos et vient empaler son vagin sur ma queue.

Après quelques va et vient, elle se relève et d’une main prend mon pieux pour le présenter devant l’entrée de service. Elle commence tout doucement à descendre. Une fois mon gland entièrement dans son anus, Gisèle commence doucement à faire des allers-retours. La sensation est formidable, dans ce petit trou bien serré. Elle descend à chaque mouvement, plus je m’enfonce dans son cul, plus ses cris se font entendre. Une fois entièrement aux creux de ses reins, elle ne bouge pratiquement plus. Je sens qu’elle me caresse les boules et elle se titille la foufoune.

Une fois habitué à la taille de mon engin, elle recommence à bouger son cul en cadence. Ses cries sont de plus en présent et elle n’hésite pas à dire que mon sexe lui fait du bien. Je sens que je vais bientôt jouir. Je lui attrape ses anches afin de lui donner le bon rythme et un peu plus d’amplitude. Je ne tarde pas à éjaculer au fond de ses entrailles. Elle ne s’arrête pas et continue sa chevauché fantastique mais ne tarde pas non plus à être terrassé par un nouvel orgasme.

Elle retombe sur moi et mon sexe sort doucement de son cul. Puis elle bascule sur le côté et vient m’enlacer. Au bout d’un petit moment, elle vient m’embrasser doucement et tendrement. Sentant mon sexe encore bien raide, elle me tripote la queue et en le branlant de temps en temps. Cela fait bien une demi-heure qu’elle me tripote la bite et les couilles doucement. Une vague de chaleur me parcourt le corps. Elle doit le sentir car elle me prend en main et commence à me branler.

Je suis au bord d’exploser quand de nouveau elle s’arrête et se remet à me malaxer les boules. Je crois devenir fou lorsqu’elle répète la même chose pour la seconde fois. Il y a juste une goutte de sperme qui roule le long de mon pénis. Je la supplie de me libérer. Elle se redresse et vient me chevaucher. Elle me torture encore un petit moment en ne bougeant pas. Elle me dit :
- Je me venge de tout à l’heure car tu m’as fait jouir trop vite !
- Allez bouges, s’il te plait !

Elle commence enfin à faire de petits mouvements et en moins de dix secondes, je jouis tous ce que je peux au fond elle. J’ai l’impression que mon jus ne veut pas s’arrêter de sortir, tellement il y en a… J’ai mal aux couilles tellement elle a joué avec. Franchement, baiser comme cela j’en redemande. La pression redescend doucement, elle reprend sa position à côté de moi. Puis pose de nouveau sa main sur mon sexe, comme si elle ne voulait pas lâcher son jouet. Après tous ces efforts, la fatigue me gagne et je m’endors rapidement.

Je me réveille en sursaut, quelle heure est-il ? Pratiquement quatorze heures, merde on va être en retard aux travaux pratique. Je réveille Gisèle. On se rhabille rapidement et direction l’autre bout du campus. On arrive juste à temps, pour les deux heures à venir je suis en binôme avec un de mes camarades de classe. Je vois souvent Gisèle me regarder en se dandinant sur son siège. La fin du cours arrive rapidement, c’était le dernier de la journée. Nous sortons tous rapidement, pressé de rentrer chez nous. Gisèle me rattrape et me glisse discrètement dans la poche son string. Elle ne l’a pas remis tout à l’heure. Puis me souhaite une bonne soirée.

Je rentre enfin chez moi et je me précipite sous la douche pour me détendre. Je suis fatigué mais ce soir, Charles vient diner. Mon père a mis les petits plats dans les grands. Il est accueilli comme un prince. Manon et Charles jouent au petit couple parfais. Lui un petit peu timide, au début, se détend rapidement. Elle rigole, plus que de raison, à toutes ses blagues. Puis vient la question de comment, ils se sont rencontrés. Manon explique tout simplement qu’ils se sont rencontrés à ma fête d’anniversaire comme Charles est dans ma classe. Elle oubli de mentionner une grande partie de la soirée.
Pendant ce temps, Jade est plongée dans un mutisme plus qu’étrange voir même inquiétant. Je me pose d’ailleurs plein de question. Est-ce qu’elle a su ce que j’avais fait cette après-midi avec Gisèle et cela l’a dérangée. Pourtant jusqu’à là, elle m’avait bien partagé avec les filles qu’elle connaissait. Ou s’était autre chose ? J’ai même l’impression qu’elle me fuit du regard.

La soirée se termine et Charles dit longuement au revoir à Manon. Pendant ce temps mon père me demande de venir avec lui dans son bureau. Oups ce n’est pas bon signe de se faire convoquer comme cela.
- Écoute, il y a quelque temps je t’ai déjà mentionné. Le fait que je devais te parler de Jade et toi. Rachel en a déjà parlé avec elle. Me dit mon père en cherchant ses mots.

Oula, avait-il découvert que Jade et moi nous couchons ensemble. Que nous avions des sentiments l’un pour l’autre. Il était peut-être temps de leur avouer que je l’aime et que l’on entretient une relation amoureuse tous les deux. Voilà pourquoi, elle était si taciturne pendant tout le repas. Après un temps d’arrêt, il se racla la gorge et continu son propos.
- Bien que vous ayez pratiquement le même âge à 3 mois près, Jade est ta…

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