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Agnès et Sylvain (1)

Grâce à une séance de massage que je lui ai offert pour son anniversaire, Agnès est passée de l'état de prude à celui de femme très libre voire accroc au sexe. pour mon plus grand plaisir.

Proposée le 7/06/2023 par Sylvain

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Métamorphose de Agnès.

Voilà un an que nous vivons ensemble. Nos rapports sexuels sont devenus des plus routiniers. J'ai rencontré Agnès dans un supermarché. Je l'avais déjà remarquée plusieurs fois en faisant mes courses et elle me plut de suite. Mais comment l'aborder sans risquer de me faire rembarrer ? Elle était très belle, avait des jambes fuselées, sous sa jupe qui s'arrêtait juste au dessus des genoux je devinais un petit fessier qui semblait très appétissant. Sa taille était fine et était surmonté d'un buste parfait garni de petits seins qui ne semblaient pas emprisonnés par un soutif. De visage, elle avait des traits réguliers, mignonne, peut-être méditerranéenne. Bref ! Elle m'a tapé dans l’œil. Pour moi, c'était le coup de foudre.

A chaque fois que je la voyais, je la suivais discrètement, guettant la première occasion de lui adresser la parole. Mais en vain. Un jour je pris mon courage à deux mains, et la croisant exprès, je lui lançais un gentil compliment sur son apparence. Elle me regarda, semblait interloquée puis continua son chemin en haussant les épaules. C'était raté !!!

Non !! Ce n'était pas raté !! Car la fois suivante où nous nous sommes croisés, elle m'a souri pour répondre à mon bonjour. Puis une autre fois, nous avons un peu discuté, une autre fois encore nous avons pris une boisson à la cafétéria. Ensuite, nous nous donnions rendez-vous soit pour un resto, soit pour un cinéma, soit tout simplement pour nous voir.

Elle habitait chez ses parents où je la ramenais jusqu'à la porte après chaque sortie. Elle n'avait pas de petit ami car elle trouvait les garçons trop agressifs à son égard. De plus, elle avait remarqué mon petit manège de suiveur et avait trouvé touchant ma timidité.

Vint le soir du premier baiser. Qui fut suivi d'autres soirs. Et la présentation aux parents. Et pour finir l'emménagement dans mon petit appartement. Avant qu'elle ne vienne habiter avec moi, je ne l'avais jamais touchée, à part une fois ou deux où j'ai posé ma main sur un sein uniquement recouvert d'un chemisier ou la fois où j'ai caressé son dos nu sous son polo. Nous n'avions donc jamais fait l'amour. C'était cette réserve qui lui avait plu, à elle et à ses parents.

Aujourd'hui Agnès est fébrile. Je l'aide à remplir sa valise avec quelques habits, chaussures, bibelots, peigne, sèche-cheveux et sa brosse à dent. Je suis sur qu'elle angoisse de notre nouvelle relation. Effectivement, à peine rentrés chez '' nous '', nous nous sommes embrassé fougueusement et retrouvés sur le lit. Mais avant que je puisse la déshabiller, elle se leva pour fermer les rideaux opaques. Puis elle m'a rejoint sur le lit dans une demi pénombre, et s'est laissée dévêtir tout en me déshabillant. Novices en cette situation, nous tâtonnions, n'ayant pour tout repère que les frasques racontés par nos amis ;.

Comme je l'ai dit pour commencer, nos ébats étaient routiniers. Agnès, avec sa pudeur, ne cherchaient pas trop à participer. Le train-train coutumier était de mise. Jusqu'au jour où ,,,,,,,,,,


Le mois prochain, il y a l'anniversaire de ma chérie. Que vais-je pouvoir lui offrir ? Un bouquet, oui, je sais qu'elle aime les fleurs. Mais c'est tellement banal, il me faut autre chose. Je me creusais la tête. Ça-y-est ! Un massage. Oui ! C'est ça, un massage. Je compulsais donc les pages jaunes, relevais les adresses des instituts dans notre ville, puis allais les visiter un après l'autre : » Bonjour, avez-vous un prospectus de votre institut ? Sera-t-il possible d'avoir un bon que , naturellement, je payerais d'avance ? C'est pour l'anniversaire de ma femme, et ce sera elle qui prendra rendez-vous « . J'en profitais pour évaluer la propreté et le sérieux des locaux. Sur la dizaine visitée, seul un retint mon attention. J'y retournais donc le lendemain pour les formalités.

Le jour de son anniversaire, un parfum de fleurs réveilla Agnès. ( Pour la nuit, j'avais caché le bouquet dans le coin sur le balcon car moi, j'étais déjà parti au bureau ). Elle trouva donc le bouquet ainsi qu'une enveloppe libellée : ''Bon anniversaire ma Chérie '' . Le soir, elle me remercia tendrement. Nos ébats furent moins routiniers qu'à l'ordinaire. Puis une semaine passa.

- » Je vais prendre rendez-vous pour le massage. Ce n'est pas loin, je peux y aller à pied, ou alors je prendrais le tram. « . Le jour du R.V. arriva.

C'est Agnès qui relate la séance. Une petite secrétaire l’accueillit.
- » Bonjour madame. Je vous conduis à la cabine. Voilà, déshabillez-vous puis vous irez vous allonger à plat-ventre sur la table de massage. Oui, vous enlèverez aussi votre slip. Je vous donnerais une serviette à mettre sur le fessier. « .
Je me suis donc allongée, entièrement nue, avec juste mes fesses recouvertes. Et j'ai attendu environ cinq minutes. Une porte s'est ouverte et un jeune homme est rentré.
- » Bonjour madame. Je suis Ludo et c'est moi qui vais vous masser. « …..
Oh h !! Un homme !! Et moi qui pensais que ce serait une femme !! Je me suis sentie toute gênée d'être là, entièrement nue, couchée sur cette table. Et comme s'il lisait mes pensées, il ajouta : - » Ne vous en faite pas, j'ai l'habitude, Ici, c'est comme chez le médecin.. Je vais commencer par prendre de l'huile tiède, vous en mettre sur le corps et débuter le massage . Voilà, détendez-vous... ; ».
Il a donc commencé par le cou, puis les épaules, ensuite un bras et la main, puis en changeant de coté, l'autre bras avec la main. Ensuite ce fut le tour du dos jusqu'à la serviette. Puis il est remonté jusqu’au cou. Il est redescendu jusqu'à la taille , rebelote pour les bras, le cou , le dos … Puis encore rebelote..

Je sentais cette huile tiède sur ma peau. La douceur de ses mains me délassait tout le corps, j'avais déjà oublié que c'était un homme qui me massait. J'étais bien ! Je crois même que je me suis assoupie. Je somnolais d'aise. Combien de temps ??

Ce fut lorsqu'il retira la serviette que je sortis de ma torpeur. Je pris conscience d'être totalement nue sous les mains de cet homme. Mais c'était si bon..
Je sentais l'huile qui coulait sur mes fesses, dans la raie qui les séparait jusqu'à mon petit trou, sur les cuisses, les mollets et la plante des pieds. Puis revint le contact de ses mains sur les fesses, sur mes cuisses, sur mes pieds où il se mis à masser mes doigts de pied, Partant de là, il remonta sur les fesses, le dos, le cou, pour redescendre aussitôt sur mon cul, avec au passage un doigt qui titillait mon petit trou, ….. Ses mains me malaxaient la peau, trituraient ma chaire dans des mouvements alternatifs de montée et descente qui me rendait folle ( de bien-être ).

Puis tout d'un coup, il me demanda de me retourner. - » Bon, on a fait le coté pile, on va attaquer le coté face ; ». Je me suis sentie vachement gênée d'être ainsi complètement nue, d'offrir à son regard mes seins et ma foufoune. Surtout qu'il m'a fait écarter légèrement les cuisses. Mais qu'importe, j'avais hâte de ressentir l'huile et ses mains sur mon corps, mon corps et mon sexe les réclamaient et de retrouver le bien-être d'avant.

Comme pour le coté pile, il commença par le cou, puis vinrent les épaules, puis les bras et les mains, puis le torse avec les seins qu'il manipulait adroitement ( à me rendre folle ) en tournicotant mes tétons, les martyrisant, il arriva au pubis, qu'il dédaigna pour l'instant car il remontait jusqu'au cou en faisant une halte chez les seins, pour ensuite redescendre par le même chemin. Ce manège dura un bout de temps. Mon corps, exacerbé qui essayait de prévoir le chemin qu'il allait parcourir, me faisait déjà des picotements d'impatience..

Ce fut lorsqu' attaqua mes jambes que mon corps que je ne contrôlais plus, essaya de happer le sexe de son tortionnaire. Ma main ne réussit qu'à le frôler, le sentir raide sous son pantalon. - » Non, madame, c'est pour vous délasser que je m'occupe de vous. « .

Avec le massage des jambes, il opéra comme pour le coté pile, c'est-à-dire montée, descente, remontée, redescente de ses mains. Mais toujours en snobant ma chatte qui elle, réclamait pourtant sa part et faisait plus que commencer à s'humidifier. Je me suis dit qu'il gardait le meilleur pour la fin et j'avais hâte d'y arriver.

Je ne m'étais pas trompée. Il attaqua enfin mon minou : tout d'abord il passa sa main sous mon dos, puis me leva assez haut pour ensuite glisser la serviette pliée en huit sous mes fesses. Je me sentais impudique, nue, les cuisses écartées et le sexe tendu vers le plafond, mais j'étais bien et attendais avec impatience l'huile tiède et les mains expertes. Je ne contrôlais plus rien. Mon bassin se mit à gondoler, mes tétons durs souhaitaient le retour des caresses. Tout mon être vibrait au rythme des attouchements.

Mon tortionnaire commença à écarter les lèvres de ma chatte, puis de titiller mon bouton intime. Après les avoir bien huilés, il débuta son massage.

Il prit , l'une après l'autre, les lèvres, les massait entre son pouce et l'index, caressait mon petit bouton, revenait aux lèvres, repartait sur mon bouton. Et ainsi de suite. Déjà au comble de l’excitation, cette alternance sur ma chatte s’amplifie lorsqu'il me massait l'intérieur de mon vagin. Et re-lèvre, re-clitoris, re-vagin, re-lèvres, …

Avec un fort gémissement je jouissais et j'ai eu un premier orgasme violent. Imperturbable, il continuait de me torturer. J'en ai eu un deuxième.

Encore quelques caresses pour calmer mon corps, l'apaiser, et il me dit : «  voilà, c'est fini. Comment vous sentez-vous ?

« . Faisant fi de ma nudité, je me suis levée, impudique, et l'ai embrassé en me collant fortement à lui pour lui dire merci. Avant de sortir de la pièce, il me montra la douche et une serviette pour me déshuiler.

Inutile de vous dire que durant la nuit qui suivit, le corps de Agnès se rattrapa de toutes les frustrations du jour. Fini les rideaux opaques, fini les lumières éteintes, fini la pudeur.
- » Dis, mon chéri, tu crois que je peux y retourner avant mon prochain anniversaire ?? ».

Depuis ce jour, ma petite Chérie s'est bien délurée. (lire ''Notre petit militaire'' et '' Notre ami privilégié '' )

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