Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Moi et les filles (Chapitre 11)

C'est le début du weekend de mon 19ème anniversaire. Après un repas bien sage, les filles taquinent mon sexe mais qui va y gouter ce soir ? j'espère cette nuit dormir avec l'une d'entre elle...

Proposée le 28/04/2023 par Seblebeau

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Chapitre 11
Moi et ma soirée de mon 19ème anniversaire

Je passe la tête par la porte de ma chambre, je vois que c’est Sandrine qui s’approche à grands pas. Elle me lance :
- Tu pensais que c’était qui ?
- Je croyais que c’était Rachel qui revenait.
- Ok et c’est elle qui te met dans cet état-là, petit pervers ?
Me dit-elle en tirant sur la serviette et découvrant ainsi ma bite à demi-molle.
- Tu n’as pas honte tu te tapes déjà les 2 filles, tu voudrais aussi te taper la mère ?
- Non ce n’est pas ça elle est entrée dans ma chambre alors que je sortais de la salle de bain…
- Et en plus tu es exhibitionniste, de mieux en mieux. Me dit-elle un brun joueur…
- Fou toi de ma gueule, je n’ai pas le temps de me venger mais je m’occuperais de toi ce soir !!!

Je tourne les talons et commence à m’habiller pour rejoindre le reste de la famille. Je finis par prendre l’étui à bijoux que Rachel m’a remis. Sandrine m’aide à la mettre à mon poigné. Elle me regard de la tête aux pieds et me dit :
- Tu sais que tu fais très gendre idéal.
- Moque-toi
- Non Je ne rigole pas, mon père va te trouver super dans cette tenue. Me dit-elle le plus sérieusement du monde.
- Aller ils vont nous attendre

En arrivant en bas des escaliers, j’ai l’impression que tout le monde nous regarde. Il est vrai que Sandrine et moi, nous formons un beau couple de jeune premier. Je reçois des cadeaux des parents de Sandrine, une montre et des places de concerts. Puis c’est au tour des filles de m’offrir leur cadeau. Des DVD pour Manon et des superbes livres de photos sur le sport.

Nous voilà partie pour un très chic restaurant qui fait aussi boîte de nuit. Après le repas, nous voilà tous sur le dancefloor. Sandrine se montre particulièrement collante et me glisse dans l’oreille :
- Tu sais, tu me ferais presque regretter ma préférence pour les filles. Mais il n’y a qu’une queue comme la tienne et elle appartient à Jade…
- Heureusement qu’elle est prêteuse, non ?
- Heureusement pour nous ! Poursuivie Sandrine en m’hurlant dans l’oreille afin de passer au-dessus de la musique.
- D’ailleurs en fait pas trop non plus, ton petit jeu pour me coller pourrait l’agacer.
Après encore quelque pas de dance, je décide de rejoindre notre table. Nos parents sont occupés de parler avec un autre couple et ils ont l’aire de bien se connaitre. Mon père à même l’aire de flirter avec la femme. Je suis vite rejoint par Jade.
- C’est trop long, j’ai trop envie de toi. Me dit-elle et me caressant discrètement la bosse de mon pantalon.
- Fait attention on pourrait nous voir !
- Je m’en fous. Me dit Jade apparemment un peu éméché par le champagne
Nous sommes interrompus par l’annonce du DJ :
- C’est une soirée particulière pour Antoine car il a 19 ans et il est officiellement en couple avec Sandrine. Un tonnerre d’applaudissement pour lui et sa copine !!!

Je vois arriver Sandrine et Manon toutes satisfaites de leur petite connerie. Elles savent que je n’aime pas ce genre de chose. Être au centre des attentions me met mal à l’aise. Elles apportent avec elle une nouvelle bouteille de champagne, nos parents nous ont rejoints et nous trinquons tous ensemble.

La soirée se passe trop vite et il est l’heure de rentrer. Les parents de Sandrine sont repartis depuis un bon moment déjà. Nous rentrons tous les six dans la voiture de mon père. Le chemin me parait bien long jusqu’à la maison. Je n’arrête pas de me faire tripoter par les filles, elles ont même réussi à ouvrir mon pantalon et à glisser à tour de rôle leur main dans mon caleçon.

Je ne suis pas resté en inactif, car moi aussi j’ai visité les chattes de ces demoiselles. Toutes les trois était détrempé. Mais, je fus surpris de ne pas trouver de petite culotte sous la jupe de Sandrine. Lorsque que je lui ai glissé un doigt le long de sa fente, elle me donna son string avec un petit sourire malicieux.

En arrivant à destination, je sortis rapidement de la voiture tout en refermant ma braguette. Les filles réajustèrent leur robe. J’espère que mon père et Rachel n’ont rien remarqué à notre petit manège à l’arrière de la berline. Il est déjà quatre heure du matin au moment d’aller se coucher. Mon père se retourne est me dit :
- Je présume que Sandrine ne dormira avec une des filles cette nuit mais dans la chambre d’ami avec toi ? Me dit-il avec un large sourire.
- C’est elle qui voit.

Chacun prend la direction de sa chambre et effectivement Sandrine me suit dans l’escalier. A peine arrivé dans ma chambre. Elle me retourne, m’embrasse et libère ma queue encore à demi-mole des attouchements subies dans la voiture. Puis se baisse et commence à me sucer vigoureusement. La fatigue de la soirée et l’heure tardive sont vite oubliées.

Ses coups de langue font durcir rapidement mon sexe. Au bout de quelque minute de ce traitement, je la relève, je la retourne, je la positionne face au bureau pour qu’elle puisse prendre appui dessus et je remonte sa robe jusqu’au bas de son dos. Après quelque aller-retour de ma tige bien dur le long de sa raie, je présente mon gland bien gonflé devant son petit œillet. J’ai envie de son cul.

Je commence doucement à presser. Je sens que son anus laisse petit à petit passer mon gros morceau de chaire. Elle pousse de légers cris de douleur, tout en le posant une main sur mon ventre pour éviter que j’aille trop vite. Lorsque le bout de ma verge est enfoncé en elle, je commence à faire de petit aller-retour. Je m’enfonce de plus en plus en elle. Elle me demande d’aller doucement. Je ralentie alors la cadence tout en augmentant un peu l’ampleur de mes mouvements.

Quel pied de prendre comme ça debout le cul de Sandrine. Au bout d’un moment de ce traitement, je décide de m’enfoncer totalement en elle d’un coup. Elle pouce un énorme soupir. Elle s’emble apprécier le moment. Avant de commencer à lui pilonner son petit trou bien serré avec ma bite, je me penche sur elle pour lui libérer les seins et l’embrasser dans le cou. Elle gémie comme une petite chatte en chaleur.

Je me redresse et commence un vigoureux va et vient en la tenant par les hanches. Mes couilles viennent heurter sa chatte humide. Je sens une de ses mains entre ses jambes frotter vigoureusement son clitoris. Je tourne la tête et je vois dans le miroir de la chambre ballotter les seins de Sandrine au rythme de mes coups de butoir.

Il ne lui faut pas longtemps pour jouir intensément. J’ai du mal à continuer mes va-et-vient tellement les muscles de son anus me serrent la queue. Mais qu’est-ce que c’est bon. Je sens que tout son corps est parcouru par des spasmes violent. Je ne savais pas que l’on pouvait autant jouir grâce à la sodomie. Je sens que moi aussi, je vais bientôt jouir.

J’essaie de me retenir le plus longtemps possible mais dans un grand râle de soulagement, je lâche la sauce au fin fond de ses entrailles. C’est à mon tour de jouir comme une brute en poussant des cris d’animal en rut. Oh putain que s’est bon… Je n’ai pas envie que cela s’arrête tellement je prends mon pied. J’inonde complètement le cul de la demoiselle qui elle aussi continue à jouir sans arriver à se contrôler.

Après de longues secondes, je me retire doucement du cul de Sandrine. J’admire le spectacle qu’elle m’offre, toujours baisser sur le bureau, les fesses tendues en arrière. Elle a une main qui caresse encore son clitoris afin peut-être de redescendre plus doucement possible du septième ciel. Sa chatte brillante de sa mouille est grande ouverte, laissant apparaitre l’entrée de son vagin. Et son petit trou dilaté reprend doucement sa forme initiale, laissant filer une goutte de sperme le long de son postérieur.

C’est à son tour de reprendre ses esprits, elle se redresse et réajuste sa robe de soirée sur son postérieur, puis remet sa poitrine en place. Elle se retourne pour m’embrasser et me dit :
- Je n’ai plus qu’à serrer les fesses jusqu’à la chambre de Manon pour lui faire une jolie surprise. Me dit Sandrine en me faisant un clin d’œil.

Après quoi je me dirige jusqu’à la douche et enfin je me couche seul à poile dans mon grand lit. Un peu déçut, je pensais dormir avec l’une d’entre elle.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Moi et les filles (Chapitre 18)
Moi et les filles (Chapitre 17)
Moi et les filles (Chapitre 9)
Moi et les filles (Chapitre 16)
Moi et les filles (Chapitre 15)