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Le réveil d'un autiste- 15. Narcisse

Cette fois-ci, le point de vue de Narcisse. Pour lui, il ne voit pas la vie de la même façon que les autres. Il est en train de vivre de nouvelles expériences, ne se doutant pas que sa façon de se comporter déroge aux commun des mortels, maitrisant toutes les phases, comme à son habitude.

Proposée le 25/04/2023 par mlkjhg39

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Thème: Première fois
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Ce qu’en pense le principal intéressé.

Le réveil d'un autiste- 15. Narcisse Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.


C’est ainsi qu’un garçon autiste qui n’était jusqu’à présent pas intéressé par le sexe est devenu le temps du confinement un étalon exceptionnel, et sûrement réservé à sa famille, bien que… Il a déjà fait une exception à la règle avec la belle pharmacienne…


Narcisse

(Narcisse s’exprime crûment sans emphase. Un autiste a une toute autre appréhension de la vie et des rapports avec les autres personnes)

Je sais que je ne suis pas un garçon comme les autres. Je suis autiste. Pour moi, je ne trouve rien d'anormal à ça, à part que je déteste que l’on me touche, à part mes cousines que je considère comme mes sœurs et ma mère. J'aime le calme et le silence. Je ne sais pas si ça vient de mon handicap mais je suis très fort en informatique. Ça présente ses avantages car ça me permet de travailler depuis la maison.
Je suis dans un service de dépannage informatique et prends la main des ordinateurs des gens dans la difficulté pour les dépanner depuis chez moi.
Bien sûr, mes cousines en profitent et je connais leur mot de passe à toutes pour les seconder quand elles ont des problèmes avec leur ordi. Mon handicap ne m'empêche pas de fantasmer sur les filles comme n'importe quel garçon et j'en profite pour regarder ou visionner des petites vidéos d’elles qu’elles ont sauvegardées sur leur PC. Je les vois seules ou avec leurs petits copains se donner du bon temps. Certaines ont même chargé des vidéos pornos.
J'aime bien regarder moi aussi ces petits films mais je ne sais pas pourquoi, je n'arrive jamais à entrer en érection. Il m’arrive certains matins de me réveiller avec mon sexe durcit. Ça ne dure pas bien longtemps mais je dois dire que par rapport aux petits copains de mes cousines, j'ai entre les cuisses une verge qui n'a rien à voir avec les leurs.

Avec le COVID, nous nous retrouvons tous sous le même toit. Ce n'est pas arrivé depuis longtemps. Je vois bien que mes cousines quand nous nous retrouvons tous dans le jacuzzi sont attirés par mon bas-ventre ou une chose flasque pend ridiculement. Je vois bien leurs efforts pour essayer de me faire bander mais je n'y arrive pas, je ne sais pas comment faire, si ça vient de mon handicap, jusqu'au jour où...
Je me réveille un beau matin, Audrey est dans ma chambre et je sens ses mains sur mon sexe. Sur mon sexe ? Je baisse les yeux et la regarde branler ma bite qui pour une fois est en complète érection. Un sentiment que je n'ai jamais ressenti me chamboule. C'est comme si ses doigts produisaient des étincelles, de vraies décharges électriques qui remontent le long de mes nerfs jusqu'à mon cerveau et court-circuitent des barrages sûrement dus à mon autisme. Depuis ce jour, je peux bander… Il suffit que j'y pense bien fort et en quelques instants ma verge s'allonge de six à sept centimètres supplémentaires.
Maintenant Barbara et Audrey profitent à tour de rôle du seul homme à la maison, ou plutôt de la seule queue disponible… Je ne sais pas pourquoi mais elles sont en extase sur mon chibre qu’elles appellent même sabre, comme notre nom, car il est courbé vers le haut.

Je commence à apprécier de toucher leur poitrine, de malaxer leurs seins au pointe dures, de faire vibrer sous mes doigts ou avec ma langue la petite excroissance de chair de leur sexe ou de crocheter mes doigts à l'intérieur de leur chatte pour les faire gémir de plaisir. Mais ce qu'elles adorent le plus, c'est quand je me sers de mon pénis, que ce soit dans leur bouche, entre leurs mains ou dans leur chatte. Elles me demandent souvent grâce car je pourrais les limer pendant des heures car une autre barrière m’empêche d’éjaculer comme les acteurs que je voie dans les films pornos.
Quand deux des triplées, Rose et Margo, ont découvert le petit manège d’Audrey et de Barbara, elles ont voulu à leur tour leur part du gâteau, ou plutôt la grosse bougie qu’il y a dessus. Je me retrouve donc maintenant à baiser à tour de rôle l'une ou l'autre mais par peur qu'un jour je jouisse dans l'une d'entre elles, Margo me demande aller faire des courses à la pharmacie et d’acheter des capotes, tout seul…

Muni de mon attestation pour pouvoir sortir de la maison, je me rends donc à la pharmacie et ne veux parler qu’à Lou, c'est une des préparatrices en pharmacie et c'est la seule que je ne repousse pas. Quand je lui demande d’acheter des préservatifs et que je lui dis les recommandations de Margo, elle se met à sourire comme si je lui avais demandé quelque chose d'extravagant, pensant à une blague de mes cousines.
Elle me demande de la suivre dans à l'arrière-boutique pour que je lui prouve que la demande de préservatifs de très grande taille n'est pas extravagante. Je ne vois qu'une façon de lui montrer et sors mon sexe me concentrant pour bander.
Elle est plutôt surprise en voyant ma verge mais quand elle voit la taille de mon mandrin en pleine érection, elle est stupéfaite. Elle va chercher dans les réserves et revient avec un modèle XXL de préservatif qu’elle teste aussitôt sur ma bite dressée.

D'habitude je l'aurais repoussé, mais je ne sais pas pourquoi j'accepte qu'elle me touche. Pour la longueur ça pourrait aller bien que le latex ne recouvre pas la totalité de ma hampe, mais pour ce qui et de la grosseur, elle constate que le diamètre de sa capote étrangle un peu trop ma verge. Elle décide donc de passer commande et me dit de revenir dans quelques jours chercher ce qu'elle aura trouvé.
Nous nous retrouverons donc plus tard à sa pause dans son studio juste derrière la pharmacie. En vendeuse consciencieuse, elle veut tester aussitôt sur moi le Condom. Puis comme je le lui avais demandé la dernière fois à la demande de mes cousines, elle entreprend de me débarrasser de mes poils pubiens. Mais je vois bien qu’elle veut aller plus loin et elle entreprend comme mes cousines avec sa bouche et sa langue de s'occuper de mon sexe. Je ne sais pas pourquoi avec elle je ressens aussitôt des choses que je n'ai pas connues avec mes cousines. Comme pour avec Audrey, une nouvelle connexion vient de s'établir sous mon crâne. Je sens comme un ruisseau déchaîné de montagne après une forte pluie pulser dans ma verge. Je ne peux me retenir et pour la première fois de ma vie une crème blanchâtre sort de mon prépuce et crépit littéralement le visage de Lou d'une énorme quantité de sperme.
Elle s’exclame :
-Tu es un cas Narcisse, tu es monté comme un âne et je n’ai jamais connu quelqu’un qui arrive à produire tant de foutre en une seule fois, j’en suis littéralement couverte.

Ces paroles me font plaisir et je décide de rebander pour lui faire plaisir. Elle prend alors la direction des choses et je la laisse faire. C’est une vraie furie qui gigote dans tous les sens sans pour autant que sa chatte n’abandonne ma verge qu’elle broie avec ses muscles intimes. Il faut que je rentre, je me concentre après de longues minutes de ce rodéo si particulier et à sa demande lui crépit une nouvelle fois son visage de mon foutre.

Quand mes cousines découvrent mes nouvelles facultés, ça devient un défilé incessant et pour réfréner un peu leurs ardeurs, je mets sur mon sexe une de leur gourmette avec leur prénom écrit dessus et celle désignée est la seule à décider de ce qu’elle fera avec moi pour toute la journée.
Il n’y a que Violette qui ne marche pas dans leur combine, mais un jour Rose vient me chercher et nous nous retrouvons les « quadruplés » au grand complet. Elles ont réussi à entrainer Violette dans leur délire et je dois dire que je me demandais pourquoi elle ne participait pas à nos agapes sexuelles. Quand elle voit mes attributs, elle marque comme les autres un moment de stupéfaction mais entrainée par les autres, elle se révèle être une fille qui aime le sexe, et particulièrement le mien. Je ne sais pas ce que je lui ai fait de spécial mais elle se met à jouir si fort que des jets de cyprine monstrueux s’élèvent dans les airs. J’ai déjà vu ça dans des films pornos, mais quand on y assiste pour de vrai, c’est spectaculaire.

Les triplées mettent un jour en scène un plan à quatre ou je suis « la cheville ouvrière », s’il on peut dire. Elles filment même la scène pour faire bicher leurs meilleures copines en floutant ensuite les visages.
Le summum se produit le dernier jour du confinement où mes cinq « sœurs » fêtent comme un pot de départ cet évènement. Comme je suis méticuleux, j’ai tout fait pour être au mieux de ma forme pour cet évènement. Je les prends les unes après les autres, remplis chacune d’elles de mon foutre. Mais je suis déchainé et pour finir, je sodomise les triplées l’une après l’autre. Tout se passe bien pour Rose et Margo, mais Violette doit prendre sur elle pour accepter mon braquemard entre ses fesses. Je suis sur le point de tout arrêter avant qu’enfin elle éprouve à son tour du plaisir et squirte une nouvelle fois. Je crois que ça s’appelle comme ça.

Elles sont toutes reparties. Je suis bien seul maintenant mais j’ai changé, beaucoup changé.
A tout bout de champ, je me mets à bander, repensant à toutes ses fois où je me suis fait branler, sucer, pomper, broyer la bite par des chattes affamées. Je ne pense plus qu’à ça.
Dès qu’elle le peut, je rejoins Lou et la saute des heures entières pour son plus grand plaisir. Mais ça me suffit à peine, je lorgne maintenant vers ma tante que je considère comme ma mère, essayant de la provoquer, de lui montrer qu’un mâle en rut en manque de jument à couvrir sommeille en moi.

A suivre… Tatiana.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
quelle lance!!!
Posté le 18/06/2023

lejonc
Son point de vue change complètement de ceux de ses sœurs.
Posté le 26/04/2023

Billoute
Il va tâcher le papier peint avec de tels jets de sperme.
Posté le 26/04/2023


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