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Le réveil d'un autiste- 24. Les stagiaires.

Les autistes ont des fois des capacités que le commun des mortels ne pourra jamais égaler. Celle là était inconnue de la médecine. Narcisse peut pratiquement baiser à la chaine un nombre de filles que même Rocco Siffredi n'atteindra jamais.

Proposée le 3/05/2023 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


Un gîte renommé.

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Les stagiaires : Gérard, Virginie et Kenza.

Les stagiaires de Narcisse.

- Vas-y, bourre moi. Puisque c'est ce que tu veux !

Elle se redresse au milieu de nous comme excitée à la vue du gigantesque engin qui va lui forcer son trou du cul. Narcisse se met à genoux, passe son bras sur le ventre de Kenza et l’attire à lui. Elle se laisse faire et s’installe, sentant le défonce-cul entre ses fesses. Les mains de Narcisse se placent de part et d’autre et écarte doucement les globes charnus pour que l’œillet brun et fripé devienne le point de mire en accès libre et l’objet de ses convoitises.

Suite ;
L’anus ainsi dégagé est prêt à subir les assauts mais elle ne veut pas subir et prend doucement le chibre pour le diriger vers le centre de son cul. Je dirais qu’elle craint un peu qu’il l’éventre et ne veut pas lui laisser l’initiative, préférant s’empaler d’elle-même sur ce rostre tout en douceur. Kenza fait face à moi, les deux jambes largement écartées, sa vulve pulpeuse exposée devant moi qui me branle en la regardant se faire enculer par Narcisse, très excitée par le jeune qui ne va pas tarder à se déchaîner entre ses fesses.
Il la pénètre inexorablement. Kenza pousse, elle aussi, ils poussent tous les deux pour la réussite de cet enculage. Elle s’ouvre, il entre… Elle est consentante, éprouvant un délicieux sentiment de plaisir à être forcée par un tel calibre. Elle est en train de subir le pire des supplices, celui du pal, et a l’air d’y prendre un certain plaisir.
Le supplice peut aussi être un délice. Elle se fait empaler sans rechigner et a l’air de trouver cela bon et agréable… Il pousse toujours et en bonne élève, elle l’aide de toutes ses forces, ne sachant pas où il en est dans son enculage. Moi je vois non sans une certaine crainte que ce sexe monumental est loin d’être totalement entrer dans son fondement. Il s’arrête et lui demande : ¬
Ça va ? Je ne te fais pas trop mal ? ¬Je peux continuer ? -Outch… Non, oui, mais va doucement, laisse-moi m’habituer un peu.

Narcisse ne bouge plus, laissant le temps au sphincter de Kenza de se détendre. Comme par enchantement, son cul se dilate enfin. D’un petit coup de reins, elle lui fait comprendre qu’il peut continuer à la pénétrer. Doucement, il reprend sa sodomie, pousse sans à-coup et sans aucun arrêt, et surtout sans aucune brutalité. Inexorablement, sans forcer plus que de raison sur la rondelle, son braquemard avance, dilate, perfore le cul offert. Ses mains crochetées sur les hanches de Kenza, facilitant ainsi la pénétration par une traction inexorable.
Il pousse toujours, enfiché qu’il est dans son anus. Comment un petit cul comme le sien peut-il absorber un tel morceau ? Et ce n’est toujours pas fini, il en reste encore quelques centimètres en dehors. Comme Kenza commence à geindre, douleur ? Plaisir ? Il s’enquière de son avis : ¬
-Ça va toujours ? ¬Tu veux que j’arrête ?
-Non, bien sûr… Mais tu es tellement énorme que je me demande si mon cul va pouvoir tout absorber ce que tu me proposes… ¬ J’espère que tu vas me faire du bien.
-Ne te fais pas de soucis, dans ce trou, il n’y a pas de limite. ¬c’est bientôt fini.

Pour détourner son attention, il met sa main sur son clitoris, le caresse tellement bien qu'il arrive à la faire jouir, du cul ou de la chatte.
Je me masturbe devant un tel spectacle, je suis bientôt prêt à éjaculer car ma femme, ne sachant plus que faire, glisse pour m'aider une main sur mes couilles et me les caresse savamment. Je m'approche de la jouissance. Virginie, elle-même prête à jouir, prend ma tête contre ses seins et s’empale sur ma queue tendue à tout rompre, accentue très vite la cadence de ses mouvements, me faisant comprendre qu’elle veut que j’éjacule en elle. Ce qui ne tarde pas à arriver, totalement fascinée par le spectacle de cette bite gigantesque qui a complètement disparu entre les fesses de Kenza.
Virginie me pompe avec vigueur et je sens que je ne pourrai bientôt plus me retenir. J'éjacule soudain de grands jets de sperme qui à coup sûr ont dû arriver directement dans ses ovaires. J’exagère… En réalité, je ne lâche que quelques gouttes…Mais faut bien rêver, non ?
Nous nous détendons enfin, profitant du spectacle. Narcisse ne la ménage pas et plusieurs fois, la chatte de Kenza coule comme une fontaine. Lui n’a toujours pas joui, il décule, tourne la tête vers ma femme et ne lui dit que deux mots :
-A toi !

Je lui ai bien graisser le fion, en prévision de ce qui l’attendait, écartant son trou avec mes doigts afin de faire de la place au défonce-cul. Il l’attire à elle, se rapproche, gland contre anneau fripé. Je la trouve bien obéissante. Après tout, elle n’a pas refusé la sodomie. La main de mon épouse presse la queue tordue. Elle pose l’extrémité du gland sur sa rosette. Je la conseille : ¬
-Quand tu sens que ça force un peu, pousse comme si tu allais à la selle, ça facilitera la chose.
-Je voudrais bien te voir à ma place, me coupe-t-elle, oh mon Dieu ! Sentant la chaleur de la queue pressée contre son anneau.

Mais la lubrification aidant et mes préliminaires, l’obélisque glisse en elle et entre sans coup-férir sous les cris de Virginie.
- Non-pitié?! Je ne peux pas, comment supporter ça?! J’ai trop mal. Ne va pas plus loin, je t’en supplie !
-Mais de quoi tu parles Virginie ? Il est déjà fiché jusqu’aux couilles dans ton fondement ! Je l’informe.

Narcisse la « travaille » comme si ça ne faisait que quelques minutes qu’il les tringlait. Il a une sacrée résistance, digne de sa réputation. De spectateur, je veux participer mais rebande avec peine. J’arrive à occuper avec difficulté sa chatte dont la gaine est rétrécie par le gourdin qui s’active derrière la cloison.
Je la tiens par les cuisses, elle se cambre sur les deux verges, lançant de petits gémissements saccadés chaque fois que son corps redescend en empalant son vagin sur mon vit et son anus sur la bite surdimensionnée de Narcisse. Elle est en pleine jouissance quand je lâche au fond de son vagin tout ce qui me reste dans les burnes et s’exclame :
-Jouis mon jeune étalon, jouis, viens nous rejoindre !

Comme s’il n’attendait que cet ordre, il éjacule une nouvelle fois dans le cul de Virginie qui hurle de plaisir.
-Wouaouh ! Mais t’es pas humain, toi ! Qu’est-ce que j’ai pris !

Narcisse sort sa verge du cloaque et débande enfin. Je ne peux me retenir et saisis son pénis qui a retrouvé une taille plus « normale », enfin pour lui. Je me demande si je vais réussir à le faire rebander mais à ma grande surprise, je sens déjà revivre entre mes doigts sa lance à foutre. C’est agréable mais incompréhensible de sentir déjà comment elle durcit dans mes mains et c’est incroyable de la voir redevenir ce sabre courbe et épais de corsaire.
Je n'ai rarement vu et encore moins saisis de queues aussi longues et grosses. Je commence à flipper. Le gourdin de Narcisse est maintenant à sa taille maximum, sa queue dressée me nargue.
Je me mets sur les genoux, la tête enfouie entre mes bras, mes deux salopes raclent ce qui sort de leur chatte et de leur cul pour m’en tartiner l’oignon. Je sens des doigts me taquiner l’anus, s’y introduire, je ne sais pas à qui ils sont. Quand ils se retirent, un bout de bois brûlant prend leur place et appuie avec insistance sur mon anneau fripé qui résiste quelques secondes avant de céder. Curieusement, le début se déroule plus facilement que je le redoutais. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait. Mais une fois à l’intérieur, il se regorge de sang, mon sphincter étrangle sa verge au niveau du frein. Il attend que mon trou se dilate de plus en plus. Je suis quand même inquiet. Je me retourne et par-dessus mon épaule, jette un regard apeuré. Je crains qu’il me fasse mal. Il reprend la pénétration et ça devient atroce. Mes précédents partenaires ne m’avaient pas habitué à recevoir un tel calibre dans mon arrière-train. Malheureusement maintenant je suis piégé comme un poisson au bout d’un hameçon. Le moindre mouvement brusque de sa part m'est douloureux.
-Ça va ? J’entends à peine sa question et hoche la tête, ne voulant pas passer pour une petite nature douillette devant les filles. Narcisse entre alors d’un coup sec, mon cul est rempli par son énorme bite, je pousse un cri plus fort que Virginie et me mets à pleurer comme un enfant.
-Outch ! Oh putain ! Oh putain! C’est pas humain ça !

Mais il ne tient plus aucun compte de mes récriminations, il me lime donnant de furieux coups de reins, faisant claquer son bas-ventre sur mes fesses. Virginie et Kenza se sont positionnées à genoux de chaque côté de moi, lui faisant face, ont pris chacune l’une de ses mains pour la mettre entre leurs cuisses. Je me fais enculer grave pendant qu’elles se font fister par ce garçon pas croyable. Sa réputation n’est vraiment pas usurpée.
La douleur s’est atténuée, il impose son rythme et je crie mon plaisir et ma jouissance. Pour corser la chose, Kenza décide de le faire jouir en lui mettant un doigt dans le cul. Il faut croire que ça a de l'effet car quelques minutes plus tard, je reçois sur mon dos des giclées d'un sperme épais et odorant. Il grogne tel un fauve et les deux femelles viennent à la curée, léchant mon dos de leur langue râpeuse pour ne rien laisser perdre de sa crème. Sans aucun complexe, je m’extrais de cette mêlée pour prendre en bouche son engin, faisant fi de savoir qu’il vient de ramoner trois culs à la suite.

Comme si rien ne s’était passé, il se relève, débande en quelques secondes et nous ordonne :
-Vous pouvez regagner la piscine. Moi, j’ai encore du taff ce soir, j’espère que je ne vous ai pas déçus, au revoir… Et il quitte la pièce…
-C’était quoi ça ? Je m’exclame. Il nous a tronchés comme pas possible, ça ne lui fait ni chaud, ni froid, et maintenant il va retourner autour de la piscine pour choisir de nouvelles proies. Une vraie machine le mec, mais avec un sacré outil, hein les filles ?
-Tu peux le dire Gérard, mais à ne pas travailler tous les jours sans alésage préalable, j’en ai le cul encore tout endolori, et vous les filles ?

Nous nous regardons et éclatons de rire, ça doit être sa méthode à lui pour ce que nous avons appris pendant le stage informatique soit gravé dans nos mémoires, et notre cul…

A suivre : Hervé, Tatiana et leur neveu.

Ps : Sa réputation faite, de nombreux couples ne pouvant avoir d’enfants ont trouvé une solution somme toute pas désagréable, ne coutant quasiment rien, pour que la femme se retrouve enceinte. Dans les années qui suivirent, un taux en forte augmentation de naissances gémellaires et même de quelque cas de triplés a été remarqué dans les maternités de la région, et des alentours…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Lecossais13
Excellent note 10. Et lui, quand va-t-il se faire enculer et avoir un orgasme prostatique ? Je sais que ça lui ferait beaucoup de bien.
Posté le 3/05/2023

l'égyptien
Ramsès a eu plus de cent enfants, record à battre...
Posté le 3/05/2023


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