Histoire Erotique

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Charlotte, Nanny Steele

Quand un avion n’atterrit pas comme prévu à Manaus, Cal doit trouver une solution pour sauver un contrat à trois millions de dollars, tout en essayant de savoir pourquoi Charlotte, la baby-sitter de Max a une attitude étrange à son égard.

Proposée le 12/04/2023 par Stan23JR

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


C comme Charlotte (Nanny Steele)
26 septembre 2020 (Avenue du Pavillon Sully, Le Pecq)

Max avait fait sa rentrée il y a quelques semaines en moyenne section, une rentrée quelque peu particulière avec toutes les précautions liées au Covid.

Cal rentré d’un voyage d'affaire à Doha et comme l’accord de leur divorce le permet, il passa un coup de fil tôt le jeudi matin pour demander à son ex Manon, si cela ne la dérangeait pas s’il passait récupérer Max à l'école en fin de journée pour lui faire la surprise.

Elle était ravie de son initiative, Max avait demandé toute la semaine quand papa rentrait, il en profitait pour lui demander si cela la dérangerait s’il le prenait jusqu’au dimanche soir.

Comme cela, elle pourrait passer du temps avec Alex (lui avait un avantage sur lui, il voyageait peu, ayant son cabinet de dentiste à Levallois-Perret).

Manon lui répondit qu’elle voyait bien son petit jeu, mais son argument avait quand même fait mouche, ils n’avaient pas prévu de sortie particulière, elle ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’il le récupère pour le restant de la semaine, il faudrait juste qu’il lui fasse un FaceTime tous les soirs afin qu’elle puisse lui dire bonne nuit.

Ils échangèrent quelques banalités avant de raccrocher, lui se rendit au parking afin de récupérer sa voiture.

Avec son nouveau poste, il avait fait deux folies, enfin une plus que l’autre, le deuxième étant plutôt une conséquence indirecte du confinement.

Il s’était d’abord offert une Aston Martin Vanquish V12 avec 570 chevaux (la même encore que James Bond) et ensuite, il s’était acheté une nouvelle maison sur les hauteurs de Paris à Le Pecq, non loin de Levallois- Perret ou s’était installé Manon avec Alex ; c’était mieux pour Max et il n’était qu’à vingt minutes en voiture du bureau.

Le choix de la maison ne fut pas facile et les négociations serrées avec l’agence immobilière (vous la découvrirez dans l’épisode F).

Il avait enchaîné les visites, très souvent par Visio au début, puis avec la diminution des restrictions sanitaires, ceux en présentiel, mais il avait eu un vrai coup de cœur pour cette maison, il s’imaginait déjà dedans dès la première visite.

Elle était située sur les hauteurs, la maison étant situé sur l’avenue du Pavillon Sully.

Il fallait beaucoup monter, mais il ne le regretta pas, car la vue était magnifique, depuis le jardin, on voyait la Seine à l’Est, le château de Monte-Cristo au sud ainsi que les courts du centre ce Tennis du Pecq.

Les fenêtres du premier étage de la partie ouest donnaient une vue imprenable sur la forêt domaniale de Saint - Germain - en - Laye.

La maison faisait deux cents mètres carrés de surface répartie sur deux étages avec quatre chambres à l’étage et deux salles de bains (une pour chaque étage), au rez-de-chaussée se trouvait la cuisine, la salle à manger donnant sur le jardinet sur le côté de la maison ainsi que la salle de cinéma qu’il avait fait installer avec un accès direct sur un immense salon.

À l’extérieur, il bénéficiait de huit cents ares de terrains où il avait fait construire un carport pour abriter le bar et son salon d’été.

Mais une de ces autres folies avait été la construction d’une cabane par des professionnels pour Max, il l’avait laissé à son petit bonhomme le choix de la forme et de la décoration, et très franchement, il ne le regrettait pas quand il voyait son petit Max et ses ami(es) se réfugiait à l’intérieur pour leurs jeux.

Il en avait eu l’idée en voyant un reportage sur le basketteur Stephen Curry et sur ses filles.

Mais un des autres atouts charme de la maison était son sous-sol où se trouvait la cave à vin, le garage, mais surtout la piscine couverte et chauffée sans compter le spa qu’il avait fait installer en plus.

Il avait dépensé une fortune pour cette maison, mais sa nouvelle situation et sa volonté de donner le meilleur cadre possible afin que Max puisse s’épanouir était ce qui comptait le plus, rien d’autres n’avaient d’importance.

Justement en parlant de Max, il ne faudrait pas trop tarder non plus ; en arrivant, il demanderait à Chantal qui s’occupait de l’entretien de la maison en son absence de faire quelques courses supplémentaires pour Max en plus de celle qu’elle avait déjà faite pour lui.

Il allait depuis l’application de la banque, lui alimentait le compte qu’il lui mettait à disposition pour les courses, les produits d’entretien et autres produits pour la maison.

Après avoir prévenu Chantal, il alla prendre une douche puis s’enferma dans son bureau qui donnait sur la cabane du petit, comme cela tout en travaillant, il aurait toujours l’œil sur son petit garçon.

Il fit quelques Visios avec ces adjoints et adjointes pour connaître l’avancement des dossiers (depuis Doha, il avait été plus compliqué de faire des réunions), à 15 h 30 il alla prendre la voiture pour aller chercher Max.

Ce dernier lui sauta dans les bras quand il le vit, il était enchanté de passer ces prochains jours avec papa, Cal lui rappela quand même qu’ils allaient faire un FaceTime avec Maman et Alex tous les soirs.

Il en profita pour l’emmener au parc et pour lui offrir une glace, il faisait encore très bon en ce début d’automne, le petit avait choisi Fraise/Vanille, mais toutes les deux minutes, il voulait gouter au Chocolat/Pistache de papa.

Le soir, après le repas préparait par Chantal, il lui brossa les dents, le doucha puis lui raconta une nouvelle aventure de la Pad Patrouille (Cal lui avait offert toute la collection), ensuite vint le moment du FaceTime avec Manon et Alex.

Ils lui souhaitèrent de bien s’amuser, mais surtout d’être sage durant ces trois jours avec papa, après il l’embrassa, lui souhaita bonne nuit et éteignit la lumière.

Il échangea des nouvelles avec Manon sur leurs familles respectives, il apprit notamment que Papy André s’était mis avec une femme qui avait 22 ans de moins que lui, mais aussi sur son ex Belle - sœur Pauline (épisode P) qui quittait Eurostar où elle était contrôleuse pour prendre un poste avec plus de responsabilité au siège.

Ils se dirent ensuite au revoir, il termina la soirée en se mettent une série en route sur Netflix dans la salle de Cinéma.

Il ne se passa rien de particulier le vendredi, mais les choses changèrent le samedi matin avec l’appel de Javier (son adjoint pour l’Amérique du Sud) durant le petit déjeuner ; ces adjoints et adjointes savaient qu’il ne fallait pas le déranger quand il avait Max, si Javier l’appelait, c’est que c’était urgent.

Et effectivement ça l’était : la société brésilienne Amazocopteros qui organisait des voyages en hélicoptères au-dessus de l’Amazonie n’avait pas reçu la première partie de la commande de pièce qu’ils avaient fait il y a de cela 1 mois et demi et menaçait d’annuler le contrat qui les liés, on parle tout de même d’un contrat de 3 millions de dollars.

Bon pas de panique, voyons les choses posément : la sortie avec Salma, son mari Clément et leurs deux enfants à Disneyland avec Max était prévu dimanche, c’est probablement la sortie du Muséum d’Histoire Naturelle qui serait remis à plus tard.

Bon les dinos attendront, Max fut un peu déçu, mais il comprenait heureusement bien à son âge ce genre de situation, même s’il faisait son possible pour éviter ce genre de désagrément, mais le petit bonhomme fut enchanté de passer du temps avec sa baby-sitter habituelle : Charlotte.

L’étudiante en science du langage était employée par Manon notamment quand elle et Alex devait se rendre à des galas ou des rendez-vous tard chez des amis, elle le lui avait recommandé pour ce genre de situation notamment pour éviter de perturber le petit.

Il lui passa un coup de fil et mis à part quelques révisions pour ces prochains partiels, elle n’avait pas grand-chose de prévu un samedi et heureusement pas d’autres gardes ce jour-là, le temps de se préparer et elle serait là dans 30 minutes.

Le temps de passer un petit coup de fil à Javier pour le prévenir qu’il prenait le dossier en charge dans 45 minutes, il alla se préparer : un petit polo blanc Ralph Lauren (il aurait sûrement des appels Visio a passé donc on allait éviter le vieux t-shirt de Week-end), un pantalon d’alpaga blanc et une paire de Giuseppe Zanotti également blanche.

Il passa ensuite passer un peu de temps avec Max dans sa chambre avant que n’arrive sa baby-sitter.

Charlotte c’est une blonde assez grande pour une jeune femme (1,78 m), il lui semblait qu’elle lui avait dit faire du volley-ball.

Elle avait de beaux yeux couleurs bleu cristallin, c’était assez envoûtant tant que son interlocuteur n’a pas les yeux plongés dans son décolleté (un bon 95C a vu d’œil), même le côté pile paraissait prometteur, une bonne paire de fesse, le tout sur une très bonne longueur de jambe.

Mais elle savait chercher et trouver l’attention et surtout celle des hommes, la première fois qu’il s’était rencontré, elle avait revêtu un jean avec un croc top par-dessus, il lui avait été difficile de ne pas jeter des coups d’œil dans son décolleté si bien mis en valeur, elle paraissait l’avoir remarquée puisque ces tenues sont de plus en plus audacieuses, les jupes de plus en plus courtes et les shorts de plus en plus serrés.

Bien tiens la voilà qui sonne, il porta Max sur ces épaules jusqu’à la porte qu’il ouvra sur une Charlotte très intéressante : croc top en dentelle noire qui laissait deviner le soutien-gorge en dessous, le nombril était bien visible, en bas, elle avait opté pour une minijupe de couleur blanche, la jupe s’arrêtait environ sept centimètres au-dessus du haut de sa cuisse (il ne faudrait pas qu’elle se penche devant lui, il risquait de trop en voir).

Après que Max et lui l’accueillit, il lui expliqua qu’il aurait besoin d’elle probablement jusqu’en fin d’après - midi, il lui ferait le virement sur son compte en fin de journée.

Il lui expliqua que comme d’habitude toute la maison était accessible sauf bien sûr son bureau et qu’ils pouvaient assurément utiliser la piscine si elle avait pris ce qu’il fallait.

Après ces explications, il se tourna pour aller vers son bureau, mais se ravisa, il devait lui dire qu’il leur était aussi possible de sortir au parc, mais après s’être tournait, il eut la surprise de voir par transparence, son string sous sa jupe, cela lui donna un bon renflement dans le pantalon et se dit donc qu’il avait encore pas mal de boulot et c’est en s’éloignant qu’il dit pour le parc, il était sûr d’avoir entr’aperçu un sourire au coin de ces lèvres.

Une fois arrivé dans son bureau, il appela Javier (le pauvre avait dû rester réveiller une partie de la nuit, il était à peu près trois heures du matin à Buenos Aires) il dit à son adjoint d’aller se coucher et qu’il récupérait le dossier.

Le panneau numérique installé en haut de la porte de l’entrée de son bureau et qui affichait l’heure partout dans le monde lui indiquait qu’il était bien trois heures du matin à Manaus, au cœur de la forêt amazonienne où est situé le siège de la société Amazocopteros, il avait un peu de temps avant de devoir les appeler pour s’expliquer.

Il appela en premier Ivan, le responsable de production à Paris, puis Grégoire, le responsable d’expédition et mue par une inspiration, il contacta Mariella, la directrice des services juridiques, celle - ci ne répondait pas sur son pro donc avant d’utiliser le perso, il appela son bureau ou son adjoint Joseph l’informa qu’elle était en séminaire du côté de Marrakech.

Il ne fallait pas le prendre pour un lapin de six semaines non plus, elle était plutôt en train de s’envoyer en l’air avec deux gars qui ensemble faisaient son âge à elle, il l’exigea de Joseph de savoir où elle était descendue sur Marrakech et joignit l’hôtel où on lui apprit que Madame Van Baarle ne voulait être dérangé sous aucun prétexte.

Il insista et réussit à la joindre dans sa chambre d’hôtel : c’est une Mariella passablement énervée qui lui répondit mais il la coupa bien vite, lui rappelant ses devoirs envers le groupe et que si ça ne lui plaisait pas, il pouvait aller plus haut en référer à Béa.

Ne se sachant pas en position de force face à lui, surtout que chacun savait qu’il était le bras droit officieux de Béa, elle se montra plus encline à trouver des solutions.

Elle allait contacter ses contacts sur place pour en savoir plus, il lui confirma un Teams avec l’ensemble des intervenants du groupe pour 13 h 30 avant un autre de son côté avec les dirigeants d’Amazocopteros à 15 h.

Il en profita pour aller passer un peu de temps avec Max et Charlotte en attendant, il arriva sur le pas de la chambre et les observa jouer ensemble, Charlotte assez étonnamment avait du mal à le regarder dans les yeux, c’était surprenant sachant qu’elle était toujours assez franche et directe, il faudrait qu’il lui demande si tout aller bien pour elle.

La matinée et le début d’après-midi avançant, il déjeuna rapidement avec Max et Charlotte avant de s’enfermer dans son bureau d’où il pouvait surveiller la chambre de Max grâce à la caméra qu’il avait installée.

Vers 13 h 15, Charlotte lui apporta un café et lui expliqua qu’elle emmenait Max au parc afin de le laisser travailler tranquillement, il la remercia et lui demanda si elle allait bien, elle lui dit que oui en baissant trop vite les yeux puis les remonta et le fixa en sortant.

Tiens, c’était curieux, il allait devoir la cuisiner un peu sans être intrusif non plus, mais pour l’heure la réunion, allez commencer.

Ivan lui apprit que la marchandise était bien sortie de leurs ateliers à Buenos Aires et qu’il avait était pris en charge par les équipes de Grégoire à l’expédition, ce dernier confirma le départ de l’avion transportant la marchandise de l’aéroport d’Ezeiza à 14 h (19 heures GMT), il aurait dû arriver en fin d’après - midi à Manaus.

C’est finalement Mariella qui leur apporta la réponse à la question, il aurait été dérouté par l’armée paraguayenne quand l’avion a transité au-dessus de la frontière du Paraguay pour un signalement pour une affaire de drogue.

L’avion était toujours à Asuncion pour le moment, ces services faisaient le nécessaire pour débloquer la situation au plus vite ; il ne fallait pas négliger un signalement malveillant soit d’un concurrent de Spittrain ou de l’Amazocopteros éventuellement.

Ce qu’il rapporta ensuite lors de la réunion avec les représentants de leurs clients : Reinildo le PDG, Estrela la directrice financière et José le directeur du droit.

Quand il souleva la question du faux signalement à l’armée paraguayenne, Reinildo conclus tout de suite que c’était encore un coup tordu de son cousin Joazinho qui dirigeait une société concurrente.

Il promit de les tenir au courant tout au long de la journée de l’avancement du dossier et qu’il suivrait le vol de l’avion jusqu’à son arrivée à Manaus.

Ce n’est qu’en fin de journée après le repas de Max que l’avion se posa à Manaus avec une journée de retard sur l’horaire prévu, les avocats de Mariella avaient bien travaillé, il la remercia et lui souhaita avec un clin d’œil de bien s’amuser à Marrakech, elle rougit jusqu’aux oreilles, mais ne dit rien de plus avant de fermer sa page Teams.

Il lui restait un peu de temps pour jouer avec Max avant de le coucher, celui - ci était ravie, car il avait retrouvé certains de ces camarades d’école au parc, il proposa à Charlotte de rester dîner avant de repartir, elle hésita puis accepta sa proposition.

Après avoir mis Max au lit, il se mit aux fourneaux, Charlotte eut l’air surprise, elle devait s’attendre à ce qu’il passe une commande, mais il aimait bien cuisiner, cela le détendait ; il prépara du riz à l’autocuiseur avec un sauté de porc sauce brune, le tout accompagné d’une feuille de chêne qu’il assaisonna avec une sauce fait maison.

Il en profita pour l’interroger sur ces études et sur sa vie entre deux verres de vin rouge (un Saint-Emilion), les études se passaient bien, elle entamait sa troisième année et côté cœur mis à part quelques flirts, rien d’intéressant, elle était intéressée par les hommes plus âgés, lui dit-elle tout en le regardant droit dans les yeux cette fois-ci.

Il avait assez l’habitude désormais de ce genre de réponse pour ne pas s’emballer, il répondit qu’effectivement qu’il n’y avait pas mieux que l’expérience pour appréhender les choses de la vie ; il savait qu’il ne répondait pas du tout à la question muette, mais si elle voulait aller sur ce terrain, il allait la faire mariner un peu.

Il orienta la conversation vers ces passions à elle, elle lui répondit qu’elle aimait beaucoup les belles œuvres comme lui, qu’elle adorait sa collection et notamment ces nues et plus particulièrement le Nue sur toile de Jouy du peintre japonais Foujita.

Là son sang ne fit qu’un tour : elle ne pouvait pas avoir connaissance de ce tableau, il était encore dans le coffre-fort de son bureau, car il n’avait pas encore décidé de l’endroit où il allait l’accrocher, elle lui avait été apportée par sa galeriste Natacha il y a à peine deux semaines.

- Comment vous pouvez être au courant pour ce tableau, lui asséna- t - il avec un ton légèrement accusateur.
Ce tableau n’est pas sorti de mon coffre depuis que je l’ai reçu !

- Eh bien… commença - t - elle tout en se triturant les doigts l’air coupable

- J’écoute !

- Eh bien, il y a 2 semaines quand j’ai gardé Max, en repartant, j’ai oublié mes notes de cour et je suis revenue les chercher, je suis désolé, j’ai mémorisé le code du portail pour ce genre de cas justement, je suis arrivée mais je n’ai pas vu de lumière à l’entrée donc j’ai fait le tour par le côté et là, j’ai vu de la lumière venant de votre bureau, j’ai voulu m’approcher pour vous prévenir mais…

- Oui !

- Vous étiez…Euhhh… pas seul et vous…

- Oui, qu’étais-je en train de faire ?

- Vous étiez en train de vous faire… sucer par une femme blonde.

- Ah, je vois, et vous avez aimé ce que vous avez vu, mademoiselle ?

Elle bafouillait de plus en plus, elle transpirait et il en était certain, ça commençait aussi à être bien mouillé entre ces jambes donc il allait pousser son avantage.

- Oui Monsieur, j’ai vraiment aimé voir cette, femme vous sucez, répondit-elle franchement sans cacher son état d’excitation.

- Et vous auriez aimé être à sa place à genou en train de me pomper ?

- Oh oui Monsieur !

- Alors que je résume, enchaîna - t - il sur un ton accusateur.
De un, vous avez mémorisé le code du portail, de deux, vous êtes entrée sur la propriété sans mon autorisation et enfin de trois, vous m’avez espionné, tout en comptant sur ces doigts ; vous savez que vous êtes une vilaine fille ? Et vous savez ce que je fais aux vilaines filles ?

- Non-monsieur, alors qu’elle n’arrêtait pas de bouger d’un pied sur l’autre.

- Je les punis ! Assena-t-il, tout en se levant de table pour aller s’asseoir au milieu du canapé d’angle trois places en cuir, levez-vous et venez ici !

Elle se déplaça docilement vers le canapé.

Il lui tendit la main quand elle arriva sa hauteur, et sans savoir ce qui allait arriver, elle le fit, il tira donc sur ce dernier et l’allongea en travers du canapé sur ces jambes ; elle était désormais parallèle à lui.

Il commença avec sa main droite à remonter sa cuisse vers la limite de sa minijupe et remonta ce dernier pour découvrir ces deux globes fermes séparés seulement par la ficelle du string, le modèle Soleil Nocturne de chez Aubade avec sa doublure en dentelle : un ravissement.

Il traça des arabesques sur ces fesses d’abord, puis sans prévenir abattit sa main droite sur sa fesse gauche.

Elle fut prise par surprise et gémit légèrement, mais attendait patiemment la suite tout en le regardant de biais, elle avait un joli sourire et les yeux pétillants.

Alors en lui souriant avec son éternel demi - sourire, il lui claqua l’autre fesse et enchaîna les claques sur sa peau charnue, après six allers-retours et tandis que sa peau rosissait, il lui rentra directement le majeur dans sa caverne qui était totalement détrempé et se mit à la doigter comme la dernière des traînées.

Elle se mit à gémir de plus en plus et à souffler avec force, preuve que sa puissance n’était pas loin, donc il arrêta son manège et lui dit.

- Debout petite traînée ! Montre-moi que tu peux m’exciter en te déshabillant, puis mets-toi sur le fauteuil et touche-toi !

Elle exécuta son ordre avec empressement.

Elle retira d’abord son croc top en dentelle ensuite vint le tour du soutien-gorge qu’elle abaissa pour lui présenter deux seins bien laiteux, un bon 95C à bien prendre en main, elle les soupesa et passa sa langue sur chacun de ces tétons et tira sur la pointe, ce qui la fit gémir d’autant plus.

Elle passa ses mains dans son dos et dégrafa le vêtement devenu superflu qui tomba au sol puis elle se tourna et tira sur la fermeture éclair de sa jupe qui a son tour tomba au sol, elle enjamba et fit bouger ses fesses en se mettant à twerker et à prendre des positions lascives, elle voulut retirer son string, mais il lui dit de le garder.

Elle se mit alors sur le fauteuil et toujours dos à lui se mit à se doigter la chatte avec le regard tourné légèrement vers lui, elle se donnait du mal la demoiselle pour son bon plaisir, mais elle semblait prendre vite son plaisir, alors il lui dit de lui présenter son côté face et de continuer.

Désormais deux doigts coulissé dans sa chatte et un doigt effleuré de plus en plus son anus, tandis que de son autre main, elle se triturait les seins, la jouissance était proche, il le sentait et c’est à l’instant où elle rentra son doigt entre ses fesses qu’il s’adressa à elle.

- Stop ! Tu arrêtes de te toucher ! À quatre pattes petite chienne et rampe vers moi !

Ce petit jeu de dominant / dominée lui avait donné une trique d’enfer qu’il sortit de sa braguette et tendit ostensiblement vers elle.

Elle se mit à quatre pattes comme il lui avait ordonné et tout en avançant sur le sol, se mit à remuer de l’arrière-train ; quelle chienne vraiment ! Pensa - t - il

Quand elle arriva à sa hauteur, il commença à la biffler avec son membre de chair puis il frotta sa bite sur le bout de ses lèvres qu’elle entrouvrit pour lécher le bout.

- Aller suce-moi ! Et applique-toi sinon je saurai te le faire regretter !

Elle s’employa à le sucer du mieux qu’elle put, elle bava abondamment afin de bien la lustrer sur toute sa longueur, il avait une vue incroyable.

Il y avait là une fille d’à peine vingt ans à genou entre ces cuisses avec rien d’autres qu’un string et une paire d’escarpins en train de lui tailler une pipe.

Mais il en voulait plus, alors il se mit debout et lui attrapa sa queue de cheval pour dicter le rythme, cette fois il y allait franco, il lui baisait littéralement la bouche et plusieurs fois, elle faillit s’étrangler quand il la força à une gorge profonde, mais chaque fois, elle revenait et tentait d’aller le plus loin possible ; quand il sentit son nez sur son pubis, il ne put s’empêcher de prendre un cliché avec son smartphone.

Cela n’eut pas l’air de la déranger, car elle suçait encore plus fort, il ne se sentit presque pas partir, mais au dernier moment, il lui attrapa l’arrière de la tête et poussa le plus loin possible pour expulser tout le sperme qu’il avait au fond de sa gorge.

Elle déglutit plusieurs fois, faillit s’étouffer, mais le bu et le nettoya jusqu’à la dernière goutte.

- Bonne chienne, tu l’as aimé ton os ? Tu as bien mérité une récompense.

Sans lui demander son reste, il la retourna et la posa sur le canapé et se mit à la doigter avec fureur dans les deux trous et en moins de deux minutes, elle se mit à feuler et à gémir.

Il était bien content de savoir que la chambre de Max était la pièce la mieux isolé de la maison (il recevait parfois des clients à la maison et quelques fois le soir), il jeta quand même un coup d’œil dans le visiophone, son petit dormait à poing fermé, il allait pouvoir passer à la suite des réjouissances.

Il se débarrassa de ses derniers vêtements et alla dans son bureau récupérer une capote pendant qu’elle se reposait un peu sur le canapé, il mit le latex autour de sa bite, vint vers elle, l’attrapa par les deux cuisses et la hissa telle un fétu de paille sur lui, la fit glisser un peu et l’empala avec son pieu avant de se mettre à la besogner avec force au milieu du salon.

Et tandis qu’il la baisait, il l’interrogea :

- Alors, elle est comment ma queue de vieux ? Tu l’aimes hein ?

- Ouiiii, Monsieurrr, elle me fait trop de bienn… Oui comme ça, j’aime ce que vous me faites, vous me ramonez bien à fond, vous me ravagez la chatteeee

- Tiens prend ça et ça ! Continua - t - il tout en la faisant monter et descendre de plus en plus vite sur son vit, tu veux autre chose pour te combler peut - être ?

- Oiiii encore, oui, mettez votre doigt dans mon cullll, enculez-moi monsieur, je suis votre chienne, plus vite, s’il vous plaît….

- Avec plaisir mademoiselle.

Il lui fourra son doigt dans son cul, il pouvait le sentir à travers la membrane entre sa chatte et son cul ; puis il la colla à la baie vitrée.

Il avait une magnifique vue sur la ville et en même temps par le reflet, il voyait sa queue qui rentrait et sortait ainsi que son doigt qui l’enculait.

Après plusieurs minutes de ce traitement, il la retourna et commença à lui faire le cul debout contre la baie vitrée tout en lui tirant sur sa queue de cheval.

Elle gueulait comme un goret alors, il tira plus fort sur la queue de cheval, la colla à lui et lui glissa :

- Ferme la sale pute, tu vas réveiller mon fils ! Et pour faire bonne mesure, il lui bâillonna la bouche avec sa main.

Et la bourra encore une fois tout en la doigtant de l’autre main, elle se mit alors à jouir du cul, ses parois se contractant autour de sa queue et de ses doigts.

Mais il n’en avait pas fini avec elle, il la coucha sur le canapé et se plaça au-dessus d’elle.

-Écarte bien tes deux fesses, on va repartir pour un tour, quand j’en aurai fini avec toi, tu marcheras plus droit.

Elle lui obéit et écarta au maximum ses deux fesses, il commença alors à la bourrer en mode marteau-piqueur, il alternait un rythme de dingue à l’intérieur ou bien, il ressortait entièrement et rentrait à chaque fois encore plus fort.

Elle eut encore deux autres orgasmes avant qu’il ne lâche un torrent de sperme sur ses deux globes rebondis, il ne se souvenait pas en avoir déjà lâché une telle quantité.

La nuit fut très longue, ils baisèrent encore dans la piscine, il l’avait notamment encore sodomisé sur le bord de la piscine et elle l’avait chevauché dans le spa.

C’est totalement vidé qu’il la laissa partir aux alentours de quatre heures du matin, elle marchait presque en canard.

Il dut dormir à peu près trois heures et c’est seulement au bout du troisième café serré qu’il eut plus les idées claires, fort heureusement Max quoiqu’un peu fatigué, fut un amour ce matin-là.

Salma et Clément comprirent vite à sa tête que la nuit fut agitée, ils étaient morts de rire, mais elle eut la bonté de s’occuper des petits une bonne partie de la matinée, mais chargea son mari de l’aider à retrouver une meilleure tête et surtout de récolter un maximum de détail.

Il s’amusa quand même bien et passa une excellente journée avec son fils, ce dernier était encore tout excité avec sa peluche Woody et son ballon Mickey quand il le déposa chez Manon.

Il lui expliqua rapidement le déroulement des derniers jours en essayant de ne pas trop en dire sur sa folle nuit avec Charlotte, mais son ex n’était pas dupe et il lui sembla percevoir un clin d’œil que Manon fit à Alex.

Il lui faudrait essayer de creuser cette piste, cette Charlotte semblait plus mystérieuse qu’il n’y paraissait.

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