Histoire Erotique

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Poupée obéissante

Anthony Duan, supporte mal la solitude à la campagne. D'autant plus que sa jolie voisine Justine, 19 ans, passe ses journées à l'aguicher en maillot de bain. Il décide alors de faire un achat sur internet qui va changer sa vie.

Proposée le 15/03/2023 par descollages

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman


C’était en juillet dernier, un soleil de plomb brûlait les champs de blé devenus très secs. Pendant que Sylvain et Françoise Melbron travaillaient aux champs comme des forcenés, leur fille unique restait dans la petite cour à parfaire son bronzage. Sa peau était déjà bien mate, mais elle aimait sentir cette chaleur la caresser durant des heures.

Poupée obéissante Dans son petit maillot deux pièces ultra-court, la petite blonde dévoilait ses attributs aguicheurs le plus innocemment du monde. Son voisin, Anthony, un homme de 32 ans n’en perdait jamais une miette lorsqu’il passait avec son tracteur le long du chemin mitoyen. Elle le savait pertinemment, et s’arrangeait pour l’exciter au maximum, en imaginant sa jolie bite se gonfler sous sa cotte de travail.

– Mon pauvre ! se dit-elle, et en plus tu n'as même pas de femme à baiser le soir. J’espère que le petit spectacle te rend complètement fou !

Les journées se passaient ainsi, sans que rien ne change vraiment. Les récoltes n'allaient pas tarder, il n’y avait pas de temps pour s’occuper de la bagatelle. La corvée avant tout, en plus, pour gagner une misère.

Comme souvent au début du mois, Anthony s’achetait une revue porno, afin de se changer un peu les idées. Il en avait une belle collection dans son grenier, et de temps en temps, il éclaboussait de son jus tiède certaines pages en grand format, en hurlant : « Petite chienne prends-ça ! ». Ce plaisir solitaire commençait sérieusement à lui peser.

Mais, cette fois un article en particulier l’interpella à la page 16 de la revue « Hooters ». Le sujet traité évoquait en détail l’usage de poupées en silicone très réalistes. Pour ce paysan introverti et condamné au célibat, l’idée germa progressivement au fil des jours.

En surfant sur internet les prix allaient du simple au triple. Son but ultime était de trouver l’une d’elle à l’effigie de sa petite voisine aguicheuse. Durant un mois environ, les recherches n'aboutirent à rien. La plupart étaient des bimbos, à la poitrine exagérée, sans compter la grosseur des lèvres frisant la caricature.

Enfin, un soir, il tomba sur un site marchand proposant la reproduction d’un modèle d’après photo... Anthony allait-il enfin toucher au but ? Le paiement exorbitant pouvait être mensualisé, ce qui arrangeait grandement le pauvre homme presque fauché. Son projet hantait la plupart de ses nuits, il s’imaginait déjà utiliser cette chose dans des postures les plus fantaisistes.

Cette année la récolte de blé fut exceptionnellement très rentable. Le prix du quintal avait crevé le plafond en raison des fortes pluies dans certaines régions. L’occasion était trop belle, tant pis pour l’achat d’une nouvelle remorque.

Une semaine plus tard, à l’heure de midi, un fourgon blanc fit demi-tour devant chez lui dans un nuage de poussière. Un jeune coursier en salopette bleue, coiffé d’une casquette, débarqua tenant le colis volumineux sous le bras.

– Je suis bien chez Monsieur Anthony Buan ? vérifia-t-il machinalement.

– C’est bien moi !

– Une petite signature ici, s’il vous plaît ! dit-il, tendant un boîtier électronique.

À peine le camion reparti, Anthony se précipita dans la salle de séjour, le cœur battant. Les mains toutes tremblantes, il caressa le carton tant attendu, avant de saisir son couteau de poche pour découper soigneusement les bords de l’emballage cartonné.

Une petite notice de montage glissa par terre. Il ne fallut qu’une dizaine de minutes pour assembler la jeune fille en silicone, mesurant un mètre soixante-quinze de hauteur. La reproduction était vraiment très fidèle, ce qui troubla au début le paysan écarquillant les yeux. C’était la première fois qu’il pouvait tenir une « femme » entre ses mains.

– Tu vas voir ce soir, ce que tu vas prendre petite salope ! rugit-il entre ses dents, déçu de ne pas pouvoir essayer son cadeau tout de suite.

Avant de partir au travail, il mit un vieux drap sur la poupée assise, et flanqua la porte. Monté à nouveau sur le tracteur rouge, Anthony jeta un regard dans la cour voisine. Personne. Quel dommage, enfin bon, maintenant qu’il avait ce qu’il voulait à la maison...

Les Melbron revinrent en milieu d’après-midi à l’heure du café. Leur petite protégée était allongée sur le ventre, le cul fendu par un string rose fluo indécent.

Françoise, sa mère fit un clin d’œil à son mari Sylvain.

– J’en connais un qui doit bander comme un âne à côté, tu ne crois pas ? dit-elle en admirant sa fille étendue sur la chaise longue.

– Eh Justine ma chérie, fais gaffe avec le voisin il pourrait venir un jour s’occuper sérieusement de toi, tu sais ! ricana son père.

– M’en fou ! En plus il est moche ! répondit-elle en marmonnant.

– Ne dit pas ça, il a des terres qui m’intéressent ce gros con, un mariage arrangé et hop tu serais riche comme une bourgeoise ! lança-t-il, l’air de ne plaisanter qu’à moitié.

La journée du dimanche se passa comme tant d’autres, triste à mourir, malgré le beau temps. À 20 h 00, le soleil était encore haut, mais la température baissa. C’était l’heure de la soupe. Toute la petite famille installée dans la longère regardait le présentateur tiré à quatre épingles. Les infos défilèrent inlassablement relatant cette fois la guerre en Ukraine.

Au moment d’aller se coucher, Justine appela sa mère pour décider du linge à laver. Ses petites culottes sales traînaient un peu partout dans la chambre, au milieu d’un bordel indescriptible. Comme c'étaient les vacances, elle avait leur droit de se relâcher un peu.

– Maman donne-moi la panière s’il te plaît.

En triant le linge, un objet insolite finit par tomber malencontreusement au milieu des t-shirts remplis de sueur. Une sorte de cylindre en bois, on eut dit un manche d’outil d’environ cinq centimètres de diamètre.

– Qu’est-ce que c’est que ce truc ? demanda sa mère, un peu surprise sur le coup.

– Mais, je, rien voyons, j’ai trouvé ça hier dans la grange de papa. s’empressa-t-elle de répondre, commençant vraiment à rougir.

– Hum, ne me dit pas que, ma chérie, j’ai été jeune avant toi tu sais, je ne dirais rien à ton père promis. Cache-moi vite ce machin sous ton lit tu veux ?

– Merci Maman, t’es trop cool !

En repartant en bas, Françoise s’imaginait cette chose coulisser dans la fente humide de sa fille. L’idée l’excita, mais elle chassa tout de suite cette image de son esprit, trop occuper à maintenir la maison en état.

Aux environs de 23 h 00 la campagne semblait bien endormie. Ce n'était pas le cas de tout le monde.

Chez Anthony, la lumière de la chambre restait allumée. Justine pouvait voir les aller et venue par la discrète petite trappe vitrée nichée dans la mansarde. Elle adorait le mater, parfois il se baladait complètement à poil, se croyant à l’abri des regards.

Ce soir-là, quelque chose de nouveau l’intrigua. Elle vit la silhouette d’une femme vraiment jolie assise sur un vieux fauteuil. Son voisin en pyjama commençait sérieusement à la caresser sans qu’elle bougea pour autant.

– Il a une copine ? première nouvelle. se demanda-t-elle, en tournant une boucle de ses cheveux avec son index. J’aurais dû la voir, c’est étrange.

En plissant à nouveau les yeux pour saisir les détails de la scène, elle vit ce gros cochon, pantalon baissé, introduisant sa bite dans la bouche de la jolie blonde impassible. Il remuait ses hanches avec des va-et-vient très suggestifs.

– Oh la salope, elle est carrément en train de le sucer !

On peut dire qu’il ne ménageait pas ses efforts. Sa queue allait jusqu’à la base de son sexe désormais. Animé par une fièvre extraordinaire, il pilonnait la bouche entrouverte, à la limite du supportable, pour une femme normale.

– Eh bien il l’a trouvé où cette jolie blonde ? se demanda-t-elle, sentant que sa toison commençait à mouiller, hypnotisée par la scène lubrique. Je n’ai jamais vu une suceuse pareille, comment fait-elle pour fourrer son truc aussi profondément ?

Après cinq bonnes minutes de plaisir, Anthony remballa son sexe dans son pyjama, affichant un air satisfait. Puis, il emmena sa nouvelle compagne dans son lit en la portant comme une jeune mariée.

Le lendemain matin, réveillée par le chant du coq, Justine s’étira longuement l’esprit un peu embrumé. Avait-elle rêvé la nuit dernière ? Elle voulait en savoir plus sur cette étrangère.

Avant de se lever, elle commença à caresser sa petite chatte blonde un peu moite. Ses rêves de la nuit avaient été quelque peu torrides. Elle, encore vierge, s’était imaginée à la place de la voisine, soumise, prenant à pleine bouche cette énorme queue.

En se penchant sous son lit, elle attrapa le manche en bois lisse d’une quinzaine de centimètres de longueur. À s’y méprendre, on eut dit la taille du sexe aperçu hier à travers les rideaux d’en face.

– C’est comment de prendre cette chose au fond la gorge ? se demanda-t-elle, en léchant le bout de son gode de fortune.

Sa langue apprivoisait langoureusement ce faux pénis en châtaigner massif. Elle suça la moitié manquant de s’étouffer. L’exercice allait demander de la pratique, mais son caractère volontaire n’avait jamais peur des épreuves, surtout s'il s’agissait d’un défi tel que celui-là.

– Justine ton petit déjeuner est prêt ! lança d’en bas, une voix féminine.

– Merde, pour une fois que je commençais un peu à m’amuser. ronchonna-t-elle, faisant rouler l’objet du désir à sa place initiale.

Ses parents avaient déjà terminé de boire leur café. Son père quitta la salle à manger en bleu de travail, suivi de sa mère qui en fit de même. Une fois de plus, elle allait devoir déjeuner toute seule devant les clips à la télé.

Prise dans ses pensées, elle savoura la première gorgée de chocolat au lait fumant dans un grand bol rempli à ras bord. Deux toasts attendaient sagement dans le grille-pain.

– Et si j’allais rendre visite à ma nouvelle voisine. Seule dans cette maison vide, elle risque de s’ennuyer toute la journée. se dit-elle, en beurrant sa tartine encore tiède.

Pour ne pas rater cette première entrevue, il fallait trouver le bon créneau horaire, sans que son lourdaud de voisin ne vienne l’intercepter. 11 h 00 semblait l’heure idéale. Justine avait trouvé l’idée d’avoir du courrier arrivé par erreur dans sa boîte aux lettres. L’argument était un peu mince, mais il fallait tenter le coup.

La matinée parût interminable. Après deux longues heures, Justine se changea pour enfiler une jolie robe d’été rouge à pois blancs. Le petit décolleté plongeant aurait fait craquer n’importe qui à des kilomètres à la ronde. Ses petits seins étaient fermes et appétissants dans son soutien-gorge, comme deux jolis fruits mûrs à déguster sans modération.

Voilà notre petite blonde dans la cour d’à côté frappant à la porte. Au bout d’une minute, pas de réponse. Elle frappa une deuxième fois plus bruyamment, toujours rien. Anthony l’avait peut-être tellement épuisé, qu’elle dormait sûrement encore. Justine se risqua malgré tout à ouvrir la lourde porte en bois même pas fermée à clé.

– Mademoiselle, c’est moi Justine, la fille des voisins d’en face, euh j’ai reçu une enveloppe par erreur, je peux rentrer ? interrogea-t-elle du bout des lèvres, inquiète du silence pesant.

Elle dut attendre une bonne minute avant de se décider à monter à l’étage. L’escalier craquait légèrement sous ses pas, la dormeuse allait certainement réagir d’un instant l’autre. Rien. Le calme absolu. Un peu en panique, Justine décida de frapper à la porte de la chambre, puis ouvrit légèrement. Et là, à sa grande surprise, elle vit ce corps immobile caché sous les draps.

Ne voyant aucun mouvement, la jeune fille prit l’initiative de saisir le coin du drap pour le soulever délicatement.

– Oh putain ! une poupée ! s’écria-t-elle, en plus on dirait ma sœur jumelle. Petit salaud ! Alors comme ça tu prends ce truc pour te soulager en pensant à moi.

Toute contente de sa découverte, Justine dévala les escaliers, et referma la porte de la maison. Encore stupéfaite par cette trouvaille, elle crût bon d’en parler à sa mère en aparté, dans sa chambre à l’heure de midi.

– Tu sais le voisin, Anthony Buan, il est vraiment bizarre.

– Ah bon pourquoi, il a un caractère d’ours, à part ça je m’en fiche un peu.

– Et bien, j’ai appris un truc sur lui, attends approche que je te le dise à l’oreille.

Françoise écarquilla les yeux en gloussant comme une petite poule de basse-cour, pendant que sa fille lui rapportait l’aventure de ce matin.

– Je savais qu’il avait un côté vicieux, mais à ce point. Et tu l’as vu faire quoi avec hier soir tu me dis ?

Une fois les confidences terminées, elles s’installèrent joyeusement à table sans piper mot à Sylvain qui lisait son journal Paysan Breton, en buvant sa soupe bruyamment. Un bon morceau de lard avec des pommes de terre, et le voilà déjà presque parti au bout d’une demi- heure.

Il devait se rendre au plus vite chez les Grossard, pour les aider à la moisson, qui allaient se prolonger très tard dans la nuit.

– Allez les filles, je vous laisse. Ne comptez pas sur moi pour le souper. dit-il, en ajustant sa casquette sale.

Justine regarda longuement sa mère, à cet instant précis, elle pensait sûrement à la même chose. La voie était enfin libre pour rendre une petite visite à leur voisin, cet après-midi occupé à bricoler sur la charpente de sa grange.

Une bouteille de vin, à moitié pleine restée sur la table, attendait d’être vidée dans les plus brefs délais. Françoise servit un verre pour trinquer avec sa fille.

– Hum, tu vois ma chérie, dans la vie, c'est des instants comme ça que j’apprécie le plus. J’aime profondément ton père, mais il y a un moment où j’ai envie de me faire dorloter par quelqu’un d’autre, tu vois de qui je veux parler ? lança-t-elle après avoir vidé son verre d’un seul trait.

– Maman, qu’est-ce qui te prend d’un seul coup, je ne t’ai jamais vu comme ça ?

– Ne discute pas, et bois un coup avec moi, j’ai bien l’intention de m’éclater avec ce petit vicieux. On trime ici comme des malades, j’ai besoin de temps à autre d’une petite compensation moi.

– Comme tu voudras. répondit Justine, toute excitée de voir sa mère prendre des initiatives pour une fois.

La bouteille terminée, nos demoiselles semblaient beaucoup plus joyeuses. Pliées en deux, elles riaient aux éclats sans la moindre raison particulière. En été l’alcool monte vite à la tête, les désirs les plus fous commencèrent sérieusement à tourbillonner dans leur cœur.

– Va me chercher la gnôle de ton père, il la planque à côté de la bouteille de gaz sous l’évier. ordonna gentiment Françoise.

La couleur ambrée de la liqueur maison n’avait rien d’attrayant. Mais les circonstances voulurent que cet alcool fort fut sorti aujourd’hui pour se détendre, et penser un peu à autre chose que les cours du blé.

Elles reposèrent à l’unisson les petits verres épais sur le bord de la table en bois massif. Une chaleur comparable aux flammes de l’enfer brûla instantanément leur gosier. Mais, les effets notoires qui suivirent venaient d’allumer un incendie lubrique désormais difficile à éteindre.

– Allons voir ce gros cochon, je sens qu’on va bien s’amuser ! dit Françoise.

– Maman, je vois le sol qui bouge hi hi hi ! ricana Justine, complètement ivre se tenant au coup de sa mère en commençant à l’embrasser. Je t’aime ma maman d’amour, ouh ! attention, je vais finir par tomber moah...

Les voilà rendues dans la cour d’à côté, titubantes, se tenant par la taille.

– Ya quelqu’un là-dedans ? cria Françoise, regardant son voisin monté sur une échelle sous la grange.

– Ouais pourquoi ? Tu vois pas que je. Anthony stoppa net, et descendit de son perchoir les yeux remplis d’étonnement. Que faisait ses deux-là chancelantes en plein après-midi, devant chez lui. Inutile de réfléchir plus longtemps, le message semblait être plutôt explicite, pour ce campagnard loin d’être idiot.

– T’aurais pas une perceuse pour Sylvain, il en aurait besoin pour réparer une grosse poutre. lança Françoise, un brin rieuse.

– Bien sûr que oui, j’ai tout le matériel si tu vois ce que je veux dire, mais rentrons à l’intérieur, on sera plus tranquille, tu ne crois pas ? répondit-il, en se caressant grossièrement l’entrejambe.

Dans la maison, c’était un peu le foutoir, Anthony voulut ranger un peu à la hâte, pour donner bonne impression. Puis, il grimpa quatre à quatre là-haut pour faire le lit de la chambre, et cacher du même coup l’objet de ses secrets.

Tu as toujours tes films cochons sous ta télé dis-moi ? demanda Françoise, en farfouillant une petite armoire marron, comme si elle connaissait les lieux depuis longtemps.

Le cerveau un peu embrumé, Justine ne tarda pas à se poser quelques questions. On dirait que maman à l’habitude de venir ici ? En plus, Elle lui parle comme à un ami de longue date, vraiment étrange.

– Tu te fous de moi, depuis le temps tu devrais savoir ? tu n’as qu’à mettre le dernier qu’on a vu ensemble l’autre après-midi, « Partouze à Ibiza », il a dû rester dans le lecteur DVD. Je vais passer un coup de fil à mes potes chasseurs, ils sont dispos aujourd’hui. Ça les changera de jouer au tiercé.

Les confirmations de la jeune fille se révélaient de plus en plus justes. Sa mère qui lui faisait la morale à longueur de journée sur la fidélité dans un couple, s’avérait d’un seul coup, une salope confirmée. Et dire que papa se tracassait pour elle à longueur de temps, pensant qu’elle s’ennuyait à mourir, dans ce trou paumé.

Brusquement, Anthony redescendit en coupant son téléphone à clapet, affichant un large sourire. Comme convenu, ses meilleurs potes de beuveries habituels, ne tarderaient à pas se pointer.

– Tiens, ferme les volets à moitié, on se sentira plus à l’aise ! proposa-t-il, en matant sous toutes les coutures, Justine complètement figée. Installez vous dans le salon, je vais dehors voir ce que foute les autres.

Sans tarder, deux voitures arrivèrent dans la cour, puis se garèrent sous le hangar. Trois mecs plutôt bien bâtis, se saluèrent en balançant des blagues salaces tout en claquant brutalement les portières.

– Il paraît que la petite est là cette fois, putain, elle est bonne, je l’ai déjà vu à la supérette l’autre jour, on va bien se marrer les gars ! lança le plus petit de la bande, un brun râblé au regard vicieux.

Dès qu’ils furent rentrés, ils s’écroulèrent dans les vieux fauteuils éventrés, entourant la mère et la fille déjà plongées dans leur film pour public averti. L’un d’entre eux, se croyant chez lui, était parti chercher des bières dans le frigo. Les capsules voltigèrent sur le sol.

– Françoise t’as pas honte de montrer des films pareils à ta fille ! dit le plus ancien du groupe.

Elle lui répondit par un petit sourire complice, en se caressant légèrement le pubis.

Après avoir vidé le pack de bière, ils étaient chauds pour la suite. Une seule règle devait être respectée.

– Vous ne touchez pas à la petite ok ?! ordonna Anthony. On garde le meilleur pour la fin. Françoise va montrer à sa fille comment il lui arrive souvent de prendre du bon temps ici.

C’était le signal, les mâles en rut se désapèrent rapidement. Françoise la chatte en feu se sentit comme une proie offerte. Sa robe glissa sous leurs doigts habitués à la peloter. Désormais, rien ne pouvait les arrêter.

Elle aimait ces mains sales et rugueuses sur ses gros seins, leurs manières rustres et leur langage graveleux.

Très vite elle commença à sucer deux bites à la fois, un autre s’occupait de lécher sa chatte goulûment. La langue avalait déjà la mouille épaisse dégoulinante comme un dessert salé. Le son du film excita au maximum les trois mecs. Une brune miaulait comme une pute, se faisait empaler par deux blacks en même temps. L’image était saisissante. Justine n’en perdait pas une miette.

La gamine de 19 ans, impressionnée, n’en revenait d'une telle débauche. Quelle humiliation !

Puis elle fixa sa maman occupée à enfourner les queues gonflées, avec une magnifique aisance. Au bout d’un moment, après quelques gémissements très prononcés, elle reçut une jolie récompense dans sa bouche. Les deux amis jouir pratiquement au même moment.

– Allez avale salope ! Prends tout ! Oh putain de chienne, c’est bon hein dis-moi !

Françoise apprécia la liqueur blanchâtre qui coulait maintenant le long de son menton. A vrai dire, elle suçait rarement Sylvain, il n'aimait pas ce genre de pratique. Voir sa femme le sucer la faisait passer pour une dévergondée, trop vulgaire selon lui. Ici, elle pouvait épancher sa soif de foutre à volonté, sans pour autant faire un examen de conscience.

Maintenant que les deux autres avaient dégorgé leur poireau, ils continuèrent de regarder la télé comme si de rien était, en reprenant leur place dans leur fauteuil, jambes écartées la bite à l’air.

– Maintenant, j'ai bien envie de baiser ton cul ! proposa le lécheur impatient.

La maman de Justine se mit en position, la croupe bien en hauteur. Elle sentit l’autre lui cracher entre les fesses. Puis un doigt expert vint pénétrer le petit trou tressaillant de plaisir.

– Justine, regarde comment ta maman va se faire défoncer ! lança-t-il, complètement excité. C’est la reine des cochonnes tu ne le savais pas ? Souvent il faut s’y mettre à plusieurs pour la rassasier.

La petite blonde n’en revenait pas. Comment cette chose énorme, pouvait s’introduire aussi facilement dans le petit orifice serré. Elle avait dû s’entraîner au moins des centaines de fois.

– Maman tu n’as pas honte ! protesta-t-elle vivement, en masquant son regard avec ses mains. Et dire que je te croyais prude, arrête je t’en supplie, si les gens savait ça ! pleurnicha-t-elle.

– Tu vas voir quand ça va être à ton tour ma puce ! répondit-sa mère entre deux gémissements.

– Mais.

– Il n’y a pas de "mais" on va d’abord commencer par les préliminaire ma petite chérie, tu veux bien ? proposa le plus jeune, les yeux brillants. Au fait, tu as le droit de refuser, nous ne voulons pas d’ennuis tu sais.

– Oui mais, que des caresses alors ! répondit-elle, un peu comateuse, encore sous le choc.

Une cascade de rires se fit entendre. La naïveté à cet âge ! Enfin, les autres savaient très bien être patients dans certaines circonstances, cette qualité s’avérait toujours payante avec la gente féminine.

Le corps parfait de la petite blonde, sentit des mains tendres parcourir sa peau sensible. Finalement, c’était très agréable. Un peu surprise par la délicatesse de ces lourdauds, elle s’abandonna vite en fermant les paupières. Eh bien, ils savaient s’y prendre. Son corps tout entier fut séduit par ses doigts qui savaient exactement où se placer.

Puis au bout d’un moment, ses tétons furent sucés lentement. Leurs langues dures et souples firent le contour des mamelons de la façon la plus exquise. Oh mon Dieu ! Quel délice ! Cette petite nouveauté enchanta peu à peu Justine toute émerveillée.

– Hum les mecs, vous êtes vraiment très doués ! J’aurais jamais cru. répondit Justine, en se caressant la chatte avec deux doigts.

Les bouches encouragées par cette petite révélation prirent cela comme le plus beau des compliments. Aussi, ils redoublèrent leurs sucions, comme deux bébés tétant avidement le lait de leur maman.

En parlant de maman, pendant ce temps Françoise se faisait désormais pilonner le cul avec une jolie brutalité. Profitant de cette violence consentie, elle se branlait la fente avec ses deux plus longs doigts. Après quelques minutes, elle ne put s’empêcher de goûter avidement sa mouille délicieuse.

– On ne t’a pas trop manqué depuis la semaine dernière ? demanda son partenaire, le souffle un peu plus lourd.

– Tu sais bien que si mon amour ! répondit-elle, en agitant ses fesses. Continue de baiser mon cul, je ne vais pas tarder, oh mon Dieu ! Cette fois je veux que tu me remplisses d’accord ?

Au même moment, l’ancien bûcheron ne tint plus. Sa verge cracha à merveille la semence chaude et poisseuse. La décharge le fit hurler comme un cerf en rut. Exténué par l’effort accompli, il s’écroula aussitôt sur le dos sa partenaire en lui agrippant les seins lourds à pleines mains.

– T’es toujours aussi bonne toi ! marmonna-t-il, savourant chaque seconde de plaisir. Et dire que ma femme trouve ça dégueulasse, heureusement que je t’ai connu toi au moins.

Au même moment, Justine sentit deux langues au niveau de ses lèvres sèches qui commencèrent à lui déposer des baisers très appuyés. La bouche entrouverte, elle ne tarda pas à jouer avec chacune des langues en faisant des tourbillons délicieux. Ce dernier obstacle enfin tombé, fit comprendre à ses deux assaillants, que la partie allait enfin pouvoir débuter. Sans le savoir, la gamine venait de succomber à leurs avances pour l’éternité.

L’homme à la chevelure un peu grisonnante entreprit de lui glisser quelques mots abominables à l’oreille.

– À partir de maintenant tu seras notre petite pute, tu vas tellement aimer ça que tu nous supplieras de prendre nos bites matin et soir. A toi de choisir où tu veux qu’on te les mette, tes désirs sont des ordres ma puce. murmura-t-il, accompagnant les doigts humides de la petite blonde occupés à faire des va-et-vient.

Puis après s’être absenté une longue minute, Anthony revint discrètement avec sa poupée en silicone. Sur l’instant, personne n’y prêta attention, trop absorber à se lécher mutuellement.

– Je vous présente Brenda, ma nouvelle copine. lança-t-il, en la tenant fièrement devant lui comme un trophée.

Intrigués, chacun leva la tête pour contempler le nouveau jouet de leur ami.

– Putain, mais elle ressemble comme deux gouttes d’eau à Justine ! Comment tu as fais pour dégotter un truc pareil ? Eh les gars, vous avez vu ses gros nibards ! On pourrait peut-être l’essayer ? proposa le plus jeune de la bande.

– J’en attendais pas moins de vous ! répondit Anthony. Mettez-vous en place, je vous voir la prendre à trois en même temps, pendant que je vais m’occuper de ces dames.

Brenda avait le regard d’une garce, deux yeux bleus admiratifs aux sils parfaits. Une bouche pulpeuse entrouverte prête à tout, pour recevoir un sexe de n’importe quel diamètre. Quant à ses seins, ils étaient magnifiquement provocants : une invitation à tout les vices que l’imagination puisse créer. Enfin, au niveau de son pubis, volontairement poilu, une chatte béante avec des lèvres fines, dessinées avantageusement semblait l’endroit idéal pour une pénétration des plus tendre.

Les trois gaillards, impatients, commencèrent à s’agiter autour comme des hystériques.

– Moi, je vais mettre ma queue dans sa bouche, regarder ses petites lèvres de salope ! Hum oui ! dit le dernier, resté debout.

Alors que les autres s’amusaient comme des fous, la mère et la fille n’avaient d’yeux que pour le sexe d’Anthony fièrement dressé entre ses jambes bien poilues. Ce dernier invita les deux femmes à s’approcher de lui sur le canapé.

Pour commencer, Justine assise les cuisses écartées regardait sa mère se faire prendre devant elle. Elle se faisait lentement sodomiser par l’énorme verge aux veines apparentes.

Curieusement, la petite blonde aimait la voir prendre du plaisir dans cette position, sa vision de l’amour venait de changer d’un seul coup. Hypnotisée par les gros seins maternels secoués par des mouvements de balancier, la jeune fille s’avança sans réfléchir, pour commencer à caresser les jolis globes terminés par des tétons dressés.

– Viens mettre ta bouche dessus, comme quand tu étais bébé, tu veux bien ma chérie ?

Prise dans un tourbillon inexplicable, elle obéit sans hésiter. Les mamelons bruns durcirent instantanément sous les coups de langues prodigués par sa fille. Une douce sensation l’envahissait, comme un bonheur enfantin. Oh si seulement il restait du lait se dit-elle, en accentuant ses aspirations devenues bruyantes.

Désormais consciente que les choses franchissaient le point de non-retour, Justine commença à chercher les lèvres de sa mère. Elles étaient si douces et sucrées. Les deux langues amicales ne purent résister très longtemps, et finirent par se rencontrer. La chose parut si naturelle, que ni l’une ni l’autre ne fut choquée outre mesure.

– Continue petite salope, montre à tout le monde comme tu l’aimes ta maman ! s’exclama Anthony, subjugué par l’attitude immorale de la jeune fille.

Les cris étouffés de Françoise étaient comparables à ceux d’une vieille truie en chaleur. Anthony prit la liberté d’augmenter le rythme de ses pénétrations. Son sexe introduit, freiné par ses couilles poilues, fit ressortir les grosses veines violacées. L’anus déformé était agréablement lubrifié. Le mandrin coulissait maintenant avec aisance.

L’orgie atteignit son point culminant. Brenda malmenée dans tous les sens, reçue une chaude récompense dans chacun de ses orifices. C’est son petit trou qui eut la primauté. Les seize centimètres de profondeur furent comblés en quelques secondes, débordant sous la puissante décharge de sperme brûlant.

– C’est tellement bon de jouir dans ton cul petite salope ! lança l’homme brun, en continuant de faire des mouvements de bassin.

– La prochaine fois, je prendrais ta place, sa bouche déborde trop vite on dirait ! protesta le plus vieux, contemplant la cascade de son foutre ruisselant sur la poitrine dressée de la poupée impassible.

– On dirait que j’ai plus de chance, son vagin est vraiment accueillant, que rien ne coule ici les gars ! finit par dire, le plus jeune en extase.

Brenda avait réussi avec succès les tests. Tout le monde était ravi. Une poupée obéissante comme ça peut s’avérer pratique quand une épouse se plaint trop souvent d’avoir des migraines.

À peine eurent-ils fini de libérer leur plaisir, qu’ils se retirèrent l’un après l’autre, le souffle revenant peu à peu à la normale. Encore en sueur, chacun prit ses fringues sans même se soucier de leur ami occupé plus que jamais à sodomiser Françoise.

– Eh Antho ! Merci pour tout mon vieux ! Il faut qu’on y aille, nos bonnes femmes vont commencer à se poser des questions, et puis j’ai l’impression qu’on te dérange. ricana-t-il nerveusement. Quant à vous les deux pétasses, vous ne perdez rien pour attendre, dimanche prochain on passera vous rendre une petite visite, pendant que Sylvain sera au P.M.U. avec les Grossard.

Comme par enchantement, les trois mecs détallèrent en claquant violemment la porte d’entrée. Les voitures s’éloignèrent dans un joyeux vacarme. Puis, la maison devint un peu plus calme.

D’un seul coup, Justine se sentit plus en sécurité. Elle se leva pour venir caresser les fesses d’Anthony, puis posa furieusement sa bouche sur la sienne. Sa langue savait désormais où aller pour l’exciter pendant qu’il baisait sa mère sans relâche.

– J’aime quand tu la rends heureuse comme ça ! murmura-t-elle, en lui mordillant le lobe de l’oreille.

Ce fut le moment des derniers coups de reins. Ruisselant de sueur, l’étalon fatigué commença à sentir ses cuisses se raidir. Justine en profita pour lui effleurer ses couilles agitées par des mouvements effrénés.

– Putain je viens ! Ouais salope, je vais te remplir ! Oh la vache, c'est toujours aussi bon ! cria-t-il, en s’écroulant sur sa partenaire dans le même état que lui.

– Oh oui ! Anthony, j’aime sentir ta grosse queue décharger dans mon cul ! Oh salaud tu me fais du bien ! soupira-t-elle, fouillant sa chatte avec ses doigts trempés en même temps pour atteindre un terrible orgasme.

Elle sentit le foutre gluant parcourir la raie des fesses. Un pur délice. Puis le liquide séminal vint à mourir dans les poils de sa chatte toute moite. Elle ne tarda pas à goûter la substance blanchâtre de son index poisseux. Sa langue se délecta, comme s’il s’agissait d’un sirop rare et savoureux.

De son côté, Anthony lui lécha amoureusement le cul, comme un acte d’amour, c’était sa façon à lui de la remercier. Durant cette petite toilette intime, le petit trou chargé d’odeurs fortes attisa à nouveau ses pulsions les plus bestiales. Ses couilles, pourtant vides, se gonflèrent à nouveau.

Une fois la besogne terminée, il embrassa sa jeune voisine sur les lèvres, pour partager avec elle ce mélange de saveurs uniques. Justine grimaça légèrement, rebutée par cette odeur peu agréable, mais tellement excitante. A ce moment très précis, elle connût pour la première la saveur mystérieuse du liquide séminal épais de son voisin.

Le maître de maison, qui commençait à rebander, décida de changer de DVD. Maintenant qu’il était en compagnie de ces dames, l’ambiance devait gagner en sensualité. Office Girls #2 : semblait parfait pour l’occasion. Des cochonnes lascives passent leur temps à se brouter la chatte en gros plan : rien de tel pour exciter ses invitées.

Dès les cinq premières minutes, Françoise et sa fille comprirent que notre hôte voulait se conduire un peu plus en gentleman. Ce qui n'était pas pour leurs déplaire. Elles se sentirent davantage en confiance, dans un climat de détente absolue.

À cet instant, Françoise décida de s’allonger, sur toute la longueur du canapé, jambes bien écartées, offrant une merveilleuse vision de sa toison brune encore souillée. Son partenaire vint la rejoindre en souriant, frottant son gland contre son clitoris rougeoyant, avant de l’introduire progressivement dans l’antre du plaisir.

– Viens mon bébé, assieds-toi sur ma bouche. proposa-t-elle, voyant sa fille un peu désemparée sur le côté.

Ils formèrent le triangle de l’amour. Pendant qu'Anthony prenait Françoise en missionnaire, Justine face à lui, dévorée par une langue chaude, pouvait se faire peloter les seins en même temps.

À un moment, Justine sentit les mains de sa maman lui empoigner les fesses, pour la soulever un peu. Elle comprit que son poids l’empêchait de respirer correctement. Une fois la position adoptée, la langue vint explorer entièrement sa chatte dans les moindres détails. C’était doux et très excitant, elle sentit monter une chaleur enflammée parcourir le bas du corps.

Puis, elle en profita pour jeter un coup œil à la télé pour contempler deux lesbiennes sur un grand bureau, s’employant à se lécher dans tous les sens, dans une posture qui frisait l’indécence. Mais, elle revint soudainement poser les yeux sur cette bite majestueuse qui limait en cadence la fente poilue de sa mère.

– Maman, il te baise bien au moins ! dit-elle, faisant un clin d’œil à son partenaire. Suis-je bête, j’oubliais, tu ne peux pas me répondre, t’es trop occupée à lécher ma mouille comme une vraie salope.

– Un peu de respect pour ta mère voyons ! répondit l’autre sournoisement, affairé à peloter gentiment les seins parfaits de la gamine.

– Attends, j’ai encore envie de te téter maman !

Elle se cambra pour plaquer sa bouche sur les larges aréoles terminées par des pointes dressées vers le ciel. Les tétines naturelles, qu’elle avait tant aimé jadis, furent prises entre ses lèvres gourmandes, aussi affamées qu’un nourrisson. Justine s’amusait à tirer sur ces petits embouts en aspirant de toutes ses forces, bien décider à donner du plaisir à sa mère, qui se tortillait de plus en plus.

Cette fois, Françoise commençait sérieusement à trembler. Sa petite vicieuse de fille venait de trouver le moyen de l’exciter plus que jamais. Les aspirations parfois violentes, provoquaient des décharges électriques prodigieuses, envoyant des signaux croissants de jouissance.

Ensuite, Justine décida de s’allonger complètement. Elle avait désormais le nez enfoui dans la chatte poilue de sa mère. Des odeurs maritimes prononcées vinrent assaillirent ses narines bien ouvertes. Ses yeux s’attardèrent précisément sur le petit bourgeon rosé qui palpitait. Sans plus attendre, elle lécha la petite aspérité avec le pointu de sa langue.

Au même instant, Anthony se retira dans la fente toute visqueuse pour approcher son gland rougeoyant près de la bouche déjà très occupée de Justine.

– Comme tu as l’air très douée à ce petit jeu, occupe-toi des deux en même temps petite salope ! lui suggéra prestement Anthony, complètement excité.

La gamine de 19 ans semblait prendre un immense plaisir à lécher les deux parties intimes, avec des débuts très prometteurs. Ce n'était pas sa mère qui allait s’en plaindre. Tétanisée de bonheur, Françoise se sentit partir dans un tourbillon de délices indescriptibles. Elle interrompit sa séance de léchages, dans la fente moite de sa fille, pour échanger quelques mots avec sa petite protégée.

– Continue ainsi ma chérie ! reste surtout là où tu es, tu as trouvé ma petite faiblesse ! lança-t-elle, dans un curieux soupir.

Le trio, devenu immobile, gémissait de plus en plus. Chacun avait trouvé la position idéale, avec une passivité déconcertante.

– Lèche, vas-y oui, pendant que je frotte mon gland sur son clito, elle a toujours adoré ça ! On va tout les deux la faire monter aux rideaux, regarde comme elle bouge !

D’un seul coup, Anthony se libéra accompagné d’un grognement étouffé. Son sperme brûlant gicla dans tout les sens sur la toison brune comme un flot blanchâtre. Le jus translucide intrigua la jeune fille, curieuse de goûter cette semence épaisse. Elle prit l’initiative d’étaler le foutre avec sa langue sur le clitoris cramoisi. Sa maman commença à s’agiter comme une folle.

– Oh oui, c'est bon, je jouis !

Quasiment incontrôlable, Françoise prise de convulsion, empoigna de toutes ses forces les fesses de sa fille avec une fureur démoniaque.

– Justine ma puce ! C’est si bon, tu vas me faire mourir ! Oh c’est trop ! gémit-elle, à bout de souffle.

Satisfaite, la petite blonde continua sa besogne en nettoyant le sperme encore tiède répandu un peu partout dans le buisson poilu. Une fois terminé, elle ne put résister à sucer avidement la queue du mâle qui semblait n’attendre que ça.

– Je vais t’enculer la bouche, tu vas voir ! cria l’autre nerveusement.

La verge un peu molle et gluante passa les lèvres fines et douces, puis termina sa course tout au fond de la gorge tiède. Les lents va-et-vient devinrent plus rapides. La queue coulissait à merveille dans cette bouche pulpeuse et agréable. La petite blonde l’encourageait à continuer, le regardant droit dans les yeux.

Jamais elle n’avait sucé une vraie queue de sa vie. Cette nouvelle découverte n’eût d’autre effet que de faire mouiller sa petite chatte déjà fouillée par la langue de sa mère. Remplie des deux côtés, elle sentit ses cuisses se contracter avec une force inouïe. Comme possédée par un démon, elle lâcha quelques mots entre deux soupirs.

– Maman lèche-moi plus vite, je t’en, supplie ! ordonna-t-elle, accentuant ses mouvements de bassin de bas en haut sur le visage maternel, étouffant presque sa bienfaitrice.

Anthony se retira, il voulait l’entendre hurler cette chienne. Subitement, sa petite voisine ferma les paupières, puis libéra une série de gémissements assourdissants indescriptibles.

– Je viens, oh oui, je viens ! c’est bon putain ! maman, tu vas me faire jouir avec ta langue ! Oh oui viens boire ma mouille !

Françoise se délectait de boire la cyprine de sa propre fille recouvrant ses joues rouges. La vulve encore si jeune et toute serrée n’en finissait pas de ruisseler comme une petite rivière brûlante.

Au bout de deux longues minutes d’extase, épuisée par son activité lubrique, Justine s’écroula enfin sur sa mère. Le nez enfoui dans les poils humides et odorants. Elle était devenu accro à cette odeur si particulière. C’était le parfum du vice, le plus doux qui lui soit donné de sentir.

De son côté, Anthony laissa le duo se reposer un peu, continuant de se caresser la bite avec satisfaction. Il éteignit la télévision où deux lesbiennes s’en donnaient à cœur joie en poussant des cris exagérés. L’horloge indiquait 19 h 00, comme le temps passe vite lorsque l’on baise, c’est étrange.

– Hum, je crois que ça suffit pour aujourd’hui, allez les filles, on se lève. lança-t-il brusquement.

Dans le canapé encore chaud, la mère et la fille se redressèrent péniblement, l’esprit encore un peu dans le coton. Justine ne pu s’empêcher d’embrasser tendrement Anthony. Ses lèvres avaient encore cette odeur iodée, il sortit sa langue pour échanger de longs baisers humides et savoureux. Tout sautillant, elle enfila sa petit robe à pois.

– Merci, tu as été un amour ! lui dit-elle, sur un ton langoureux.

Puis, la petite blonde se retourna vers le canapé, où gisait un corps presque sans vie.

– Maman, viens, on va se prendre une bonne douche toutes les deux, tu es toute poisseuse ! proposa-t-elle, en la tirant énergiquement par le bras.

– T’as raison, ça nous ferait le plus grand bien. marmonna-t-elle, en lui faisant un petit clin d’œil malicieux.

Dix minutes plus tard, Anthony vit ses merveilleuses copines s’éloigner dans la cour, sous le soleil qui descendait un peu. Elles se dandinaient les fesses gracieusement, comme pour le provoquer une dernière fois.

– A plus tard mon lapin ! lança Justine, en se retournant vers lui, soulevant sa jolie robe où sa culotte avait mystérieusement disparue.

Sous le porche de la maison, Anthony lui fit signe de la main, comblé d’avoir pu enfin toucher le corps de cette petite vicieuse, qui apparemment, ne demandait qu’à baiser jour et nuit.

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