Samia, ma pute arabe PARTIE 2

... La suite de mes aventures avec mon élève Samia, 18 ans, escorte et excellente élève de fac... La plus belle histoire avec la plus belle des putains...

Proposée le 15/11/2022 par professeur-gasperic

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Je restai là, en silence, à regarder son corps. Les yeux fixées sur ses mamelles.
« Vous ne dites rien, Monsieur Gaspéric, dites quelque chose, je vous en prie…. », dit-elle avec une voix honteuse de soumise prise en flagrant délit de puterie.
« Je ne sais pas quoi dire, c’est… »
Avant même que je pus finir ma phrase, elle prit ma main et la porta à son sein droit.
« Vous pouvez toucher si vous le souhaitez… »
J’avais ma main, fermement agrippée à son sein, brillant, ferme, que j’avais envie de mettre en bouche. Je n’arrivais pas à croire que Samia, mon élève, la petite putain qui me faisait bander depuis des mois, était là, à ma merci, prête à s’offrir comme une salope. Je commençai à malaxer son sein doucement, timide, puis de plus en plus fermement, avec une rage étrange, accumulation de frustration, qui montait, avant de brandir le sein gauche aussi. L’excitation grandissait en moi comme un désir balayant toute raison.
« Ils sont… ils sont magnifiques, Samia… », dis-je sans la regarder dans les yeux.
Avant même qu’elle m’y autorise, je portai ses tétons à ma bouche, les mouillant de salive, les tétant, comme si je buvais le lait de ma mère.
« Monsieur Gaspéric…. Vous… » Elle s’interrompit, comme saisie d’un choc face à mon désir soudain, et violent.
« Samia… Samia… » répétais-je en la tétant.
Surprise, elle se tétanisa, figée, se laissant faire. Je ne pouvais pas croire que j’étais en train de téter la petite pute de mon cours, sur laquelle je fantasmais tant. Tout juste 18 ans, et déjà un corps de femme tout fait, qui donne des envies de le fertiliser. Un vrai corps de salope ! J’étais fou.
Ses seins juteux étaient pleins de ma bave. Une fureur s’éprit alors de moi. Je la balançai sur le lit et lui ordonna : « Ecarte tes jambes ». Tétanisée, et excitée, elle s’exécuta comme la prostituée qu’elle était. « Monsieur Gaspéric, mettez un préservatif…. Je vous en prie… Je ne prends pas la pilule… », dit-elle doucement à mon oreille pendant que je lui tenais les poignets, crachant sur ses seins trempés. J’étais trop loin pour réfléchir, et lui enfonça mon sexe dans la vulve sans prendre de précaution. « On se fout de la capote, salope », dis-je. J’étais une autre personne. Je vis dans ses yeux une incompréhension, celle de ne plus me reconnaître.
L’écrasant de tout mon poids, j’avais une rage folle en moi. Une envie de la posséder après des mois de frustration. Mon sexe en elle était au paradis. Je n’avais jamais ressenti une telle étroitesse. Une telle envie de la remplir.
« Monsieur Gaspéric, je vous en prie, non… »
« Parle en arabe, ma pute… Parle en arabe ».
Elle commença à gémir peu à peu en arabe, alors que je lui crachai au visage, et l’obligeai à le faire. Je vis des larmes couler sur ses joues qui m’excitèrent davantage.
« Tu aimes ça, sale pute arabe ? », demandai-je.
« Oui, oui, oui Monsieur Gaspéric », répondait-elle.
J’avais imaginé ce moment tant de fois, la prendre par tant de positions différentes. Mais elle était si belle, si bonne, si putain, avec son voile encore mis, et ses seins ballotant dans tous les seins sous mon poids.
« Je vais gicler, prépare-toi à tout recevoir, sale pute », lui dis-je.
Elle ne répondit rien.
Je sortis mon sexe de sa vulve et arrosai tout son petit visage d’ange., lisant la stupeur dans son regard.
« Enlève ton voile, maintenant, salope », ordonnai-je.

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