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Ma femme dans le bus populaire vers le marché (2) :

Dans le bus vers le marché, au milieu de la cohue des hommes, ma femme s'est laissée frotter le cul par un jeune. Lors de notre retour du marché, elle est allé plus loin. Coincée dans un angle mort, elle va être baisée et sodomisée à vif tout en branlant et faisant éjaculer un autre homme.

Proposée le 31/10/2022 par DALIDA

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme


Nous étions tous les trois aux trois quarts du bus, et très serrés car l’endroit était entièrement rempli de voyageurs. Soudain, ma femme, ses mains relevées sur la barre supérieure, recommença à avancer petit à petit, vers l’arrière du bus. Le gars la suivait, entièrement collé à son derrière mais moi, j’ai été gêné et je n’ai pas pu les suivre. Arrivée au fond du bus, elle se faufila dans le étroit coin derrière les derniers sièges du bus. C’était un coin assez sombre, caché entre les dos des derniers sièges du bus et les pieds des clients assis sur le banc collé à la vitre arrière du bus. Elle réussit à s’y faufiler, aidée par la gentillesse des voyageurs du fond qui pensaient qu’elle voulait aller au coin pour fuir la ligne centrale trop serrée. Le gars, profitant de l’avancée de ma femme, avançait aussi, toujours collé à son cul, les gens ont du penser que c’était son mari qui suivait son épouse. Elle s’arrêta juste pour se coller la face à la dernière vitre à droite du bus. Le couple était maintenant assez bien caché du reste du bus sauf pour les deux clients assis sur la banquette arrière.

J’étais assez loin mais j’ai profité de leur avancée pour progresser moi aussi. Et quant ils se sont installés dans le coin, derrière les derniers sièges, j’avais réussi à presque atteindre le coté de ces sièges. J’étais debout, me tenant d’une main sur la barre supérieure et j’avais donc une vue assez bonne sur ce que faisait le couple. Le gars collait toujours à ma femme, tenant son zeb bien encré entre les fesses de sa proie, donc caché par le hijab. Mais ma femme, après un moment d’immobilisme, avait abandonné la barre supérieure et sa main est allée, derrière elle, empoigner, comme tout à l’heure, le zeb du gars. Ces gestes me permirent de mieux voir, même une partie du zeb que ma femme branlait lentement. Pendant que ma femme le branlait un peu, le gars collé à elle avait avancé ses mains sur le devant et enfoncé le hijab sur la chatte de sa proie. Et ma femme ajouta sa main à celle du gars pour mieux enfoncer le hijab dans sa chatte. Elle devait certainement couler déjà de désir, tellement sa chatte sollicitée la démangeait. Et ils se sont frottés un bon moment, lui le zeb sur la croupe et leurs deux mains sur la chatte.

En face, assis sur la banquette arrière du bus, dans ce coin presque sombre, un homme, d’âge moyen et barbu, avait ce tableau, presque au toucher de ses genoux, qu’il avait écartés ainsi que ses cuisses et jambes, pour laisser la place aux deux mains qui s’agitaient dans le bas ventre de ma femme. Et sur son visage, je voyais en même temps une sorte de surprise mais aussi un semblant de sourire. Mais il restait immobile, écartant toujours, genoux, cuisses et jambes, offrant ainsi son bas ventre complètement libre. Et à mon étonnement, malgré les mains sur le hijab de la femme, je voyais fort bien l’homme et surtout la bosse de sa braguette qui s’enflait et grossissait à vue d’œil, on voyait donc qu’il bandait à fond. Il semblait ne pas avoir de slip car le profil bien rond et visible de la tête de son zeb se profilait sut la toile du pantalon. Un vrai chapiteau, qui s’agitait, c’étai tellement érotique que je recommençais aussi à bander dans mon slip. Et c’est à ce moment que le gars, qui collait derrière ma femme, enleva sa main de la chatte et le ramena à l’arrière pour tenir son zeb et le frotter sur la croupe de ma femme. Lui aussi devait bander mais sur le cul de ma femme.

A cet instant aussi, ma femme, pendant que sa main continuait à se frotter la chatte, son autre main toucha la bosse de la braguette de l’homme assis devant elle, c’était à prévoir, puis elle empoigna le profil de son zeb gonflé. Le gars, déjà éméché depuis un moment élargit son sourire et sa main s’agita vers sa braguette. Et rapidement il sortit son zeb qui bondit haut levé pointant la verticale. Un long zeb très brun et apparemment assez gros que la main avide de ma femme empoigna en vitesse. Et elle commença à le branler doucement. Le gars écarta encore mieux ses cuisses, offrant non seulement son zeb mais aussi ses grosses couilles qu’il dégagea de sa braguette. Ma femme était aux anges, non seulement elle se branlait la chatte à travers le hijab par devant, elle branlait le zeb du gars assis devant elle et elle se laissait frotter le cul à travers son hijab, par le zeb de l’autre gars, et tout cela devant moi. Elle ne savait pas que je la voyais mais elle savait, depuis longtemps, que je lui avais toujours donné la permission de prendre ce genre de plaisir sexuel avec des inconnus mais sans aller trop loin.

Elle m’a toujours raconté ses multiples aventures dans les cohues des marchés et grands magasins et dans les chaines de cinémas, et elle me donnait les détails et en ajoutait suivant ses fantasmes et ses désirs. Elle semblait y trouver du plaisir et de l’excitation sexuelle, mais elle n’avait jamais eu des cas concrets, du moins à ma connaissance. Quant elle me racontais, je m’excitais et bandais facilement et je la baisais et sodomisais longuement, parfois deux fois la même soirée. C’était cela qui m’avait poussé à lui donner cette liberté de se frotter aux zebs des inconnus et de me raconter. La dernière fois, on a fait une expérience dans un bus mais elle a hésité et rapidement abandonné quant son dragueur lui a donner son zeb à branler et nous sommes descendu avant notre but. Aujourd’hui, c’est sa seconde expérience et nous avons décidé qu’elle fasse ce qu’il lui plait et que je serait totalement loin d’elle et même de sa vue. Elle vient de réussir à avoir un zeb contre sa croupe et un autre à branler. J’espérais qu’elle aille plus loin.

Elle ne m’avait pas vu et ainsi mon excitation grandissait de plus en plus à me faire mal au bas ventre. Je voyais nettement mieux ce que faisait ma femme avec le zeb gonflé du gars devant elle. C’était un gros zeb assez brun d’homme mûr et poilu et qui était nettement plus gros et plus long que le mien, ce qui devait exciter encore plus ma femme. Elle se frottait le bas ventre avec sa main et son mouvement cadencé était net, bien visible en partie pour moi mais caché aux autres. Le gars, devant elle, se tendait dans sa place, suivant la branle que lui faisait ma femme, aidé par le bus qui ne s’étant arrêté qu’une fois et reparti en vitesses sans déplacements importants des passagers à notre niveau. Et au bout d’une dizaine ou plus de vas et viens avec la main de ma femme, son zeb arriva à son top, car je voyais qu’il ressentait sa masturbation plus nettement et qu’il s’agitait beaucoup, j’étais sûr qu’il allait bientôt éjaculer, ce sera normalement une première pour ma femme. La chair de la main chaude de ma femme qui branlait la chair de son zeb semble agir plus fortement que les frottements du jeune qui frottait le cul de ma femme à travers son hijab.

Et rapidement, mon pronostic se réalisa. Le gars arriva à son plaisir et dans trois secousses violentes bien visibles, il éjacula en partie dans la main de ma femme qu’elle retira, mais trop tard, et surtout sur le sol et vers la vitre devant elle. J’étais bien placé pour bien voir ce qui se passait, et le désir de mon zeb s’est encore amplifié. Donc, ma femme avait lâché le zeb qui pulsait, mais sa main remonta vers le dessous de son voile. J’étais certain qu’elle devait lécher et sucer le sperme que sa main avait recueilli. Elle aimait souvent sucer, lécher et même avaler mon sperme dans nos ébats. Ce fut l’occasion pour elle de sucer et avaler le sperme d’un autre zeb. Mais ce qui m’a surpris ensuite, c’est que le gars a sorti un grand mouchoir de sa veste et l’a tendu à ma femme. Elle a essuyé au mieux le zeb du gars, le caressant en même temps mais elle n’a pas essuyé sa main à elle. Puis elle lui a rendu son mouchoir pollué. Le gars restait bien tendu à sa place, le zeb encore assez gonflé pour pointer vers le haut, prêt à d’autres branles ou mieux.

C’est presque à ce moment que l’autre, le jeune dut ressentir les prémisses du plaisir car il s’est légèrement reculé de la croupe de ma femme et il a saisi son zeb pour se branler fébrilement. La aussi, j’ai bien vu son petit zeb, blanc, laiteux, presque en entier pendant qu’il se branlait vite. Et rapidement, il a aussi réussi à éjaculer. Malgré qu’il ait couvert son zeb avec la main pour éjaculer dedans, une partie de son sperme s’est projetée sur la croupe de ma femme, sur le hijab, dans le profil du sillon de ses fesses et tout autour. Ma femme a du le ressentir et lui a donné un coup d’épaule. A ce moment il a ajouté son autre main pour recueillir son sperme et essayer de s’essuyer avec, mais le mal était déjà fait sur le derrière de ma femme. Avec cet incident derrière elle, j’étais sûr que ma femme devait être fâchée et allait se retourne et m’apercevoir. Alors, j’ai essayé de m’éloigner mais je n’ai pu que tourner la tête de l’autre coté, derrière le dos d’un voisin. Et après un moment, j’ai jeté un coup d’œil pour voir la suite des évènements. Le jeune s’était reculé et même éloigné, laissant un autre homme, plus âgé semble t’il, qui s’est immédiatement collé au cul de ma femme. Je l’ai vu sourire de l’aubaine et il avait déjà sorti son zeb, sans gêne, alors qu’il n’était pas encore collé à la croupe. Je pense qu’il avait jugé cette femme comme facile, donc à ne pas se gêner pour la draguer et la baiser en public, si possible.

Moi-même et l’homme devant moi, nous avions nettement vu aussi son zeb déjà gonflé pointé vers l’avant, vers la croupe de ma femme. Il était aussi impressionnant, gros, long et très brun, presque la copie de l’autre gars assis devant ma femme et qui avait éjaculé. La tête de son zeb était, cependant, plus large, plus monstrueuse, circonscrite. Et il tenait son zeb à la main, pour l’enfoncer, tout e suite, devant nous, contre le hijab de la croupe de ma femme et il se colla à elle. Mais elle tourna la tête vers lui et lui murmure quelque chose. Alors, brusquement elle bougea pour changer de position. Elle se mit en face de son nouveau dragueur, dos contre la vitre, à coté du gars qu’elle venait de branler et qui restait immobile, les cuisses écartées et le zeb en l’air. Discrètement, je me suis déplacé pour ne plus être dans la ligne de mire de ma femme mais assez proche pour continuer à les observer, elle et son nouveau dragueur. Ils étaient maintenant face à face et le gars avait son gros et long zeb à la main. Que va-t-elle faire, le bus continuait sa route avec quelques secousses, les gens faisaient, certainement semblant de ne pas savoir ce que le couple faisait, sauf moi et le gars devant moi. Ils étaient quant même dans ce coin légèrement caché et obscur du bus. Ce qu’ils faisaient était derrière le dos des derniers sièges. Elle saisit le zeb du gars et l’attira vers elle. Le gars suit le mouvement et se colla au mieux contre elle.

Et c’est alors que j’ai vu ce que je pensais impossible de la part de ma femme ou de n’importe quelle femme en hijab et en public. La main de ma femme, qui empoignait le zeb, s’agitait au niveau de son bas ventre. J’ai pensé qu’elle avait poussé le zeb contre le hijab de son bas ventre vers sa chatte. Je me suis légèrement penché sur le côté du cou de l’homme devant moi pour mieux voir et j’au vu l’impossible se réaliser devant moi. De son autre main, elle avait soulevé le bas de son hijab pour offrir sa chatte à nu, directement à l’homme. Mais heureusement le hijab cachait maintenant à ma vue, sa main et le zeb. Soudain, l’homme a avancé un peu et donné un coup de rein assez marqué contre le ventre de ma femme qui poussa un long mais discret gémissement. Je savais que le zeb de l’homme venait de pénétrer la chatte de ma& femme. Puis un bref moment de calme et ensuite, l’homme a commencé une série de petits vas et viens de sereins contre la femme. Son zeb labourait maintenant le fond des entrailles de ma femme et lui donnait autant de plaisir qu’elle désirait depuis le début.

Puis, ma femme a placé ses bras autour du cou du gars, quant à lui, il a entouté la taille de la femme avec ses longs bras. Ses mains massaient les fesses de ma femme sans gêne et poussait la croupe contre lui pour aider son zeb à mieux s’enfoncer dans la chatte. Et sous le couvert du hijab, ils baisaient sans tenir compte de l’endroit. C’est vrai que leurs bas ventre, et lers actes étaient assez cochés et dans un coin loin discret du bus. Je savais qu’elle allait se faire frotter le cul dans la foule et même branler et faire éjaculer quelques bites, mais pas à se faire baiser en public. J’ai pensé intervenir car c’est arrivé beaucoup trop loin et on risquait le scandale public. Mais personne ne bougeait, n’intervenait et ne disait mot parmi les gens qui nous entouraient. Même le gars, devant elle et qu’elle avait branlé restait silencieux, il avait toujours son zeb en l’air et il semblait se branler doucement, les yeux fixés sur les bas ventres devant lui et qui remuaient de plaisir. Moi, par contre, par-dessus l’épaule du gars devant moi, je ne perdais rien de la scène. Leurs visages étaient côte à côté, celui de ma femme collé au cou de l’homme, elle semblait même lui donner un long baiser silencieux. Elle était en pleine euphorie de jouissances. Les deux corps bougeaient au rythme des vas et viens, ils baisaient presque en silence et bougeaient ensemble comme un seul corps collé fortement contre la vitre du bus, dans ce coin des plaisirs.

J’ai continué à les observer, je voyais le hijab soulevé à la taille et qui couvrait le gros zeb et les cuisses de ma femme. Cela a duré un bon moment durant lequel, j’ai remarqué que par deux ou trois fois, ma femme avait légèrement sursauté et collé son corps et sa tête plus fortement contre ceux de l’homme. Je savais que ça ne pouvait être que des orgasmes qui ont secoué ma femme et sa chattes de ses chocs de jouissances et de ses mouilles sous le hijab cachotier. L’homme, par contre, n’a jamais arrêté ses mouvements de vas et viens dans la chatte de la femme. Et ce n’est qu’après cinq minutes environ que son top arriva. Il se colla encore mieux contre ma femme et la bloqua contre la vitre du bus. Puis, il fut secoué par plusieurs coups de reins violents contre sa proie. Je savais qu’il était en train d’éjaculer dans la chatte de ma femme et cela et cela au moins par trois fois, avec puissances et de longs halètements de satisfaction de l’homme, accompagnés par des gémissements de ma femme. Ils restèrent collés un moment, immobiles et en silence. Quant leurs corps se calmèrent, je savais que le zeb et les couilles de l’homme s’étaient complètement vidés dans les entrailles de ma femme et que la chatte était remplie à ras bord du sperme chaud et visqueux de l’homme. Mais ils restaient encore collés un moment, et semblaient jouir encore de leur étreinte. De temps à autre, ils ont un léger mouvement ensemble, peut-être encore des ondes de choc de jouissances venant de leurs sexes enfoncés l’un dans l’autre.

C’est maintenant que j’ai remarqué que les mains de l’homme n’étaient plus autour de la taille de ma femme mais derrière elle, autour de sa croupe et j’étais sûr que cela durait depuis qu’ils étaient entrain de baiser. Il devait avoir encore envie d’elle, car il poussait toujours la croupe de ma femme vers lui pour mieux enfoncer son zeb dans l’agréable humidité de la chatte merveilleusement comblée. C’est en pensant à tout cela que mon zeb a augmenté sa bosse d’un cran et j’au eu peur d’atteindre les jouissances de l’éjaculation. Satisfait de son zeb, l’homme se recula un peu, sortit son gros zeb que je voyais nettement, brillant de jouissances masculines et de mouilles féminines. Ma femme continuait à retenir son hijab, relevé sur son bas ventre et sa chatte. Puis, en un dernier plaisir, l’homme qui tenait toujours son zeb, d’une main, l’enfonça de nouveau, mais lentement, dans la chatte, et à la fin, il donna un violent coup de rein qui fit claquer les deux bas ventres du couple. Ce bruit flasque, entendu par tous au point que mon zeb ne plut se retenir et explosa par au moins deux éjaculations dans mon slip et mon pantalon. Mon sperme remplissait le slip et coulait le long de mes cuisses et cela me gênait énormément mais que pouvais-je faire. Mais je continuais à observer le couple enlacé jusqu’à ce qu’ils décident de se désunir.

Le hijab retomba sur la chatte et ma femme qui donna un baiser à l’homme et lui murmura quelque chose. Je pensais qu’elle le remerciait du plaisir commun. Puis, elle se retourna vers la vitre, offrant cette fois son dos à son baiseur. Le gros zeb que l’homme tenait à la main, était toujours en l’air et bien gonflé. Il pointait horizontalement, maintenant vers la croupe de ma femme. Puis il se frotta longuement dans le sillon que faisait le hijab entre les fesses de ma femme. Le hijab était toujours assez maculé par le sperme du premier jeune homme. L’homme frottait tellement son zeb que, j’ai pensé qu’à ce rythme, il allait finir par provoquer d’autres éjaculations à son zeb encore sensibilisés. A moins que l’homme ne soulève, par derrière, le hijab de ma femme et enfonce son zeb, nu, directement dans l’anus et le cul de ma femme pour la sodomiser. Je restais aux aguets pour voir la suite. Mon zeb, sensibilisé par ses éjaculations se réveillait un peu, de nouveau.

Soudain, l’homme semblait m’avoir écouté, il souleva le hijab de ma femme par derrière et découvrit la merveilleuse croupe ronde et soyeuse qui lui était offerte. Il la caressa d’abord d’une main et moi j’en éprouvais encore du plaisir même sans toucher. Il continuait à caresser les fesses et les hanches d’une main tout en continuant à se branler avec son autre main. Puis il donna quelques tapes, avec son zeb, au milieu de la croupe. Cela a aussi augmenté les sensations de mon zeb dans mon slip mouillé. L’image de ce gros zeb brun que l’homme balançait lourdement en tapant sur la blanche et large croupe de ma femme agissait sur mon zeb comme un aimant. Et j’imaginais l’anus de ma femme qui devait frétiller et palpitait en attente du plaisir de la sodomie. Enfin, l’homme glissa son zeb dans le sillon entre les fesses de ma femme, et s’y frotta plusieurs fois pour le plaisir de le gonfler encore plus. Enfin, et d’un geste conquérant, le zeb pénétra le cul de ma femme, lentement mais avec volonté. Je voyais sa longueur diminuer à mesure qu’il s’enfonçait dans le cul et j’imaginais les sensations de ma femme. Je l’entendais effectivement souffler fort, longuement puis gémir doucement presque en chuchotant. Ensuite, l’homme donna un vigoureux coup de reins et le zeb disparut complètement à ma vue.

Certes, l’anus de ma femme était assez souple et son cul habitué à mes sodomies quant elle engloutissait facilement mon zeb. Mais avec ce zeb la, bien plus gros que le mien, peut-être plus que le double en longueur et surtout en grosseur, la pénétration a du être un peu douloureuse. C’est pourquoi elle avait gémit un instant. Mais rapidement son cul s’est adapté au gros zeb et le couple s’est immobilisé, en silence. Les mains de l’homme avaient repris les hanches de la femme pour bien fixer son zeb dan le cul pénétré. Il lui donna quelque vas et viens lentement au début et comme elle répondait en haletant de plaisir, il accéléra ses coups de reins. De plus, tout en gardant son zeb bien enfoncé dans le cul, l’homme retira ses mains des hanches de la femme, il se courba un peu sur son dos, puis allongea ses deux mains par devant ma femme, pour aller peloter ses seins à travers le hijab. Il les massait tellement fort que leurs formes et leurs boutons qui gonflaient se profilaient nettement au niveau de la poitrine du hijab. Et ici aussi, ils se faisaient plaisir sans aucune gêne, comme s’ils étaient mari et épouse, seuls visibles au milieu de ce bus. Ils jouirent quelques moments ainsi.

Puis l’homme ôta ses mains de ma femme pour les mettre sur ses hanches et faire osciller légèrement la croupe féminine à droite et à gauche et donner ainsi du plaisir à son zeb enfui dans le cul de sa proie. Soudain, il se bloqua pour donner quatre ou cinq vas et viens accélérés puis il s’immobilisa de nouveau, le corps tendu. Et soudain, il donna encore une fois deux ou trois coups de reins vigoureux en poussant un long gémissement légèrement étouffé puis s’immobilisa de nouveau. Je savais qu’il venait encore d’éjaculer par deux ou trois jets de sperme dans le cul de ma femme. C’est un homme qui a de la ressource plein le zeb et les couilles, un vrai mâle et que ma femme était heureuse de l’avoir eu sur sa route. Il resta ainsi immobile un bon moment, puis il s’est reculé un peu et a enfui son zeb dans son pantalon, sans même s’essuyer. Ma femme s’est encore retournée pour se remettre face à lui et ils se sont embrassés, sans gêne, comme un vieux couple.

Moi, j’en ai assez vu et j’ai pensé à nos bagages. Alors, discrètement et en baissant souvent ma tête au dessous des autres, je suis retourné petit à petit près du chauffeur pour récupérer mes deux cabas. Et dix minutes plus tard, le bus s’est arrêté. Je suis descendu parmi les premiers et ma femme bien après, presque à la fin de la foule parce qu’elle était tout au fond du bus avec ses amants. Le gars qui venait de la baiser et sodomiser était derrière elle, collé toujours pratiquement à son cul, il devait espérer continuer ses plaisirs avec cette femme facile. Mais rapidement, dès qu’elle m’a rejointe et saisi la plus petite des cabas, le gars a comprit qu’elle n’était pas seule, mais avec ce cocu qui tenait l’autre cabas. Il m’a dévisagé un instant se posant certainement plusieurs questions. Il avait abusé de ma compagne par devant et par derrière, presque en public sans que je réagisse. Il hocha la tête et s’éloigna.

Mon pantalon était pollué de mon sperme mais j’étais assez heureux de la liberté de ma femme qui a osé dépasser ses habituelles provocations des inconnus. Ce fut sa première expérience concrète et en ma présence. Elle m’a demandé si j’avais été content de ses prouesses et j’ai répondu qu’était impatient de connaitre la suite. Elle a gloussé de rire sous son voile et on a prit un taxi pour la maison.

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