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Les Aventures de Madame P. (3)

Suite de mes ébats avec Bruno — avec l'écoute toujours aussi attentive de mon mari… «Bruno doit quand même forcer un peu pour entrer en moi. J’avais peut-être sous-estimé la grosseur de son pénis. Il musarde avec précaution à l’entrée de ma vulve, le temps que la dilatation soit complète, puis… »

Proposée le 13/09/2022 par cécile_agile

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Bruno doit quand même forcer un peu pour entrer en moi. J’avais peut-être sous-estimé la grosseur de son pénis. Il musarde avec précaution à l’entrée de ma vulve, le temps que la dilatation soit complète, puis il s’enfonce progressivement, gagnant de précieux centimètres à chaque mouvement de bassin. J’ai l’impression que son machin n’en finit pas de rentrer.
Mince, il mesure combien?? je pense. Et j’ajoute pour mon mari :
— Dis donc?! Elle est sacrément grosse?!
— Attends de l’avoir dans le cul?! me répond-il, un peu amusé.
Tiens?! Je ne le croyais pas si cru et ambitieux. Je ne suis pas sûre que son engin ne me déchire pas, et il est possible que je refuse qu’il pratique sur moi une sodomie, mais le fait qu’il se montre entreprenant n’est vraiment pas pour me déplaire.
Il accélère ses mouvements de bassin. Je lui demande dans un murmure contenu :
— Tu es complètement rentré??
— Presque…
Je n’en reviens pas… Puis il donne un violent coup de reins, et cette fois j’ai l’impression que mon vagin se comprime. La peau de son sexe frotte sur chaque centimètre carré de l’intérieur de ma chatte, je me sens étrillée, forcée. C’est tellement bon.
— Oh?!… oh?!… putain?!… oui?!… c’est bon?!…
— Tu aimes ça, hein?? Tu l’aimes, ma queue??
— Oh, mais oui, elle est tellement dure?!… Oh?!
J’oublie complètement Stéphane un instant, me concentrant sur mon plaisir. Bruno en profite pour me soulever légèrement le bassin (il est costaud et adroit), ce qui lui permet de rentrer encore plus loin en moi.
— Ah, mais putain?!… C’est trop bon?!… Vas-y, maintenant, défonce-moi?!…
Il s’exécute aussitôt et ses coups de boutoir redoublent d’intensité. Le lit commence imperceptiblement à grincer et je ne retiens plus mes cris. Je prends vraiment mon pied. Que c’est bon de savoir baisée?! souillée?! dominée?! Que c’est bon de sentir que ça tape «?bien au fond?»…
— Oui, putain… Bien au fond?!… Comme ça?!… Oui?!…
Il se met à ahaner, son souffle s’accélère, et j’ai l’impression que son sexe durcit un peu plus. Est-ce qu’il a déjà envie de jouir??
— Ça va?? je demande. Tu veux changer de position??
Il sort immédiatement et exige que je me mette en levrette. J’en profite pour boire une gorgée d’eau. (Je sais que Stéphane entend le bruit du verre contre la table de nuit.) J’approche la bouche du combiné et je susurre à Stéphane :
— Chéri, sa bite est tellement bonne, tellement grosse, c’est vraiment bon…
Et comme je sais que ça va terriblement l’exciter et l’humilier, j’ajoute :
— Tu avais raison, tu ne peux pas me donner autant de plaisir… il n’y a pas que la taille, mais ça compte quand même…
Bruno a capté des bribes de mon monologue, mais il ne fait aucun commentaire. Il respecte le jeu dans lequel il est invité à participer et a compris que la présence téléphonique de Stéphane est importante, qu’elle conditionne tout le reste.
Je me mets à quatre pattes, les hanches largement offertes, les jambes écartées, dans cette position d’abandon, soumise et avide de me faire dompter, sans plus rien voir de mon amant. Je sens qu’il applique ses mains contre mes fesses, puis je sens son gland posé patiemment à l’entrée de mon con.
— Tu es prête?? me demande-t-il.
Je ne réponds rien. Je murmure un assentiment, persuadée que mon sexe détrempé se passe de tout commentaire. Ses mains affermissent leur prise, il me pétrit la peau presque nerveusement, comme s’il avait besoin de prendre appui quelque part avant de s’élancer, puis il me pénètre très violemment. Je ne peux réprimer un cri où la jouissance le dispute à la douleur. Bruno entreprend des va-et-vient très amples, laissant presque la pointe de son pénis ressortir avant de plonger de nouveau en moi avec force. C’est une sensation merveilleuse. Je me sens littéralement empalée, j’ai l’impression que le fond de ma grotte est envahi par un corps étranger et disproportionné, un objet si gros qu’il en devient incongru. Je commence à perdre un peu la notion du temps, tandis que Bruno augmente la cadence : ses saccades sont de plus en plus violentes et rapprochées. Son souffle s’accélère?; son sexe semble grandir un peu plus (si c’est encore possible?!)?; une voix me susurre qu’il va bientôt exploser.
— Ah, c’est bon, ahane-t-il, je sens que je vais venir?! Où est-ce que tu veux que…
Je tourne la tête (côté téléphone) de façon à ce qu’ils m’entendent tous les deux :
— Je veux que tu me remplisses la chatte, d’accord??
Bruno ne répond rien. Mes propos l’ont visiblement excité et encouragé à redoubler d’ardeur. Derrière moi, j’entends monter un grondement sourd, tandis que je sens une vague sensation monter en moi. Je sais que je ne vais pas jouir, mais la proximité de son orgasme développe des stimulus différents. Son râle s’échappe imperceptiblement… il me pilonne littéralement… je me rends vaguement compte que je suis à moitié en train de crier, entre halètement et plaisir… je ne pense plus à Stéphan à cet instant… Puis la voix émue de Bruno résonne derrière moi :
— Je vais jouir, là… je vais… Oh… Putain?!…
Et ma chatte de sentir le sperme chaud se répandre en moi, s’insinuer comme une mousson délicieuse, inonder ma caverne, tandis que le va-et-vient s’espace et se raréfie, avant de s’interrompre. Il a son dard palpitant planté loin en moi et déverse les ultimes gouttes de sa semence en m’agrippant la peau des fesses. Ses ongles me font presque mal, mais je préfère serrer les dents, ne pas gâcher le moment. Nous restons ainsi en suspens quelques secondes, puis il s’effondre sur mon dos, telle une marionnette dont on aurait coupé les fils. Nous demeurons un peu emboîtés de la sorte, puis il se retire. Je porte instinctivement ma main à l’entrée de mon con pour éviter que le foutre ne se déverse vers l’extérieur, aspiré par son pénis. Il roule sur le côté du lit, et tente de reprendre son souffle?; des gouttes de sueur perlent sur son torse.
— Est-ce que je peux utiliser la salle de bain?? me demande-t-il poliment après quelques minutes.
— Je t’en prie.

Je me retrouve seule dans la chambre, et j’en profite pour parler avec Stéphane.
— Ça va, chéri??
— C’est à toi qu’il faut demander ça?! s’amuse-t-il. C’était bon??
— Très bon… Vraiment… Il m’a littéralement remplie…
Après un petit silence, j’ajoute :
— Ça te plaît?? Tu es content??
— Oui, couine-t-il.
— Et tu sais ce que tu feras tout à l’heure, n’est-ce pas?? (Nouveau couinement.) Je ne veux pas que tu te masturbes, d’accord ? Je veux que tu gardes tout pour moi.
— OK.
Bruno sort de la salle de bain. Je ne sais pas ce qu’il a fait, je ne le lui demande pas.
— Tu es prête pour le 2e round?? s’enquit-il.
— Ça dépend, qu’est-ce que tu as en tête??
Il s’approche?; je le sens soudain gonflé d’une assurance nouvelle.
— D’abord, tu vas me sucer un peu. J’ai pris du viagra alors je vais rebander en moins de deux. Puis j’ai envie de t’étriller la rondelle.
Puis comme s’il était allé trop loin, il demande, presque en s’adressant au téléphone :
— Enfin, si c’est d’accord, bien sûr…
Je réalise que la présence de Stéphane à l’autre bout du fil est rassurante, qu’il agit comme un garde-fou et que rien ne pourra m’arriver. Je goûte ce sentiment réconfortant, puis je lance à Bruno :
— Oui… j’ai très envie que tu me fasses jouir par là aussi…
Sur ce, je me mets à genoux, et commence une longue fellation pour lui faire retrouver toute sa virilité. Il reste debout, les mains appliquées sur ses hanches, la tête penchée en arrière, et en un rien de temps, son sexe est effectivement redevenu très dur. Il me guide vers le lit et me positionne à quatre pattes. (J’en profite pour attraper le lubrifiant qui traîne toujours dans le tiroir de ma table de nuit et avec lequel je m’enduis copieusement l’anus.)
— Voilà, dis-je, tu peux y aller… Vas-y doucement…
Je sens son gland turgescent embrasser l’orée de mon cul. Je suis tellement badigeonnée de gel qu’il entre presque sans effort. J’ai un mouvement de recul instinctif sous le coup d’une infime douleur. Il patiente, stoppe sa pénétration quelques instants puis entreprend de très petits va-et-vient… après quelques secondes, je devine qu’il met un peu plus de pression et intensifie sa chorégraphie. À mon grand étonnement, je sens mon rectum absorber son énorme chibre sans broncher. Je n’ai jamais été sodomisée par un pénis aussi volumineux, c’est une certitude?!
Stéphane me tire de mes réflexions :
— Tu y es??
Je ne sais quoi répondre, puis la voix de Bruno (véritable destinataire de la question) résonne :
— Presque, je suis rentré à moitié.
Hein?? Je prends peur : je ne suis pas sûre de pouvoir encaisser le reste. Est-ce que mon anatomie va le permettre?? Est-ce que…
— Très bien, ajoute Stéphane à son intention. Elle n’ose pas te le demander, mais tu peux lui défoncer le cul?!
Quoi?? Mais qu’est-ce qu’il raconte?? Ses propos sont crus, presque violents?; il n’a jamais été question de ça?! Je n’ai jamais demandé à être pénétrée de la sorte?! Et si Bruno se méprenait sur le ton de Stéphane et se mettait en tête de me molester?? De…
Soudain je ressens une déchirure suivie d’une immense irradiation de chaleur.
— Voilà, glapit Bruno. Là, j’y suis?!
— Claque-lui les fesses, tant que tu y es?! Elle aime ça?!
Je me sens obligée de marmonner :
— Doucement, je…
Mais déjà les mains de mon bourreau s’abattent avec force sur ma peau offerte, cependant qu’il continue de me défoncer le rectum avec d’incessants mouvements de pilon. Ce que j’éprouve est indescriptible : la douleur, quoique toujours un peu présente, à laisser place à une sensation inédite, un contentement que je ne pensais pas pouvoir connaître de la sorte… Je commence à crier… je perds la notion du temps… puis un orgasme violent autant qu’imprévu me ravage. Des spasmes aigus chavirent mon bas-ventre, me tordent de plaisir, j’échappe presque à l’étreinte de Bruno.
— Cécile, donne ton téléphone à Bruno pour qu’il se filme…?! ordonne Stéphane.
Je fais comme il me le demande, je saisis mon iPhone, appuie plusieurs fois sur l’écran pour sélectionner l’appareil photo, je lance l’enregistrement vidéo puis je passe le téléphone à Bruno.
Celui-ci me défie :
— Je pense que je vais tout te mettre… là…
Les mouvements de balancier reprennent de plus belle. Je sais qu’il capte tout en gros plan et j’espère qu’il n’en perd pas une miette… Je suis en train de me faire enculer comme une reine… c’est absolument divin… il n’y a plus que de la jouissance pure… le plaisir d’être domptée par un sexe épais… fouineur…
Je ne peux réprimer un cri :
— Ah?! C’est bon?!… C’est…
La cadence s’intensifie. Il est en train de bien s’exciter. Soudain, il pousse un grognement. Il vient de se soulager en moi.
— Putain?! hurle-t-il. Dans ton cul?! Là?!…
Je suis comme anesthésiée. Mon bassin est littéralement saturé de plaisir, repu de ce coït violent et profond. Je ne sais plus bien comment me tenir… quoi dire… ou faire… Je demeure là… en attendant qu’il daigne me laisser retrouver une posture décente…
— Reste comme ça?! me dit-il. Je vais filmer ton cul en me retirant.
Je marmonne un vague assentiment tandis que je sens mon sphincter abandonner sa proie de chair, se contracter laborieusement dans l’espoir de reprendre une ouverture convenable.
— Tu as le cul rempli de foutre, m’informe-t-il. Tu vas dégouliner.
On a l’impression qu’il dit ça juste pour me tenir au courant, pour m’expliquer qu’au premier mouvement de bassin je vais répandre du sperme encore tiède, couler comme une outre que l’on a souillée. Puis il me rend mon téléphone.
— Tiens, avec ça, vous avez de quoi vous amuser?! Tu as le fion complètement dilaté !
Puis, avec une sollicitude retrouvée :
— Ça va?? Je n’ai pas été trop…
— Non, c’était parfait.
Il se dirige de nouveau vers la salle de bain. Lorsque je suis seule, je lance à Stéphane :
— Ça touche à sa fin on dirait…
— Tu penses qu’il a fini??
— Peut-être qu’il voudra remettre ça, mais moi je commence à chauffer… Je vais plutôt lui proposer de faire une pause… Que dirais-tu de venir nous rejoindre?? Tu sais ce qu’il me faut maintenant, n’est-ce pas??
Il a déjà raccroché?; ce petit cocu se précipite vers l’appartement.

À suivre…

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Commentaires de l'histoire :

loup1244
encore mieux touours de plu en plus prenant bien détaillé on s y voit bonne action encore et encre
Posté le 14/09/2022


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