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Les Aventures de Madame P. (2)

Cécile reçoit Bruno, pendant que son mari attend dans la voiture. Ils ont décidé de pratiquer le jeu du téléphone… « — Elle te plaît ? — Oui. — Tu aimerais qu’il me prenne ? — Oui, a-t-il susurré d’une voix que je connaissais. (Il bandait sûrement comme un âne.) — Tu veux que je le contacte ? »

Proposée le 25/08/2022 par cécile_agile

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Le type s’appelait Bruno, il n’était pas très grand, mais était très bien proportionné. Il avait un visage agréable et il souriait constamment, comme s’il était un peu gêné de se retrouver ici. Sur le site où on l’avait contacté quelques jours plus tôt, il nous avait expliqué avoir de l’expérience, mais à présent que je l’avais en face de moi, j’étais prête à parier le contraire. Il n’était pas spécialement timide, mais il avait une sorte de réserve que je trouvais touchante.

Le soir de notre premier échange sur le site, je me souviens que Stéphane était par-dessus mon épaule (j’ai pris l’habitude de faire mes repérages seule parmi les nombreuses fiches des hommes qui se proposent pour les jeux sexuels dont nous sommes friands).

— Tiens, il est pas mal lui ! s’est-il exclamé.

— Eh, me suis-je amusée, ce n’est pas toi qui vas passer à la casserole… pas cette fois…
Il m’a jeté un regard pétillant et m’a demandé de faire défiler les photos que le gars avait mises à disposition des membres. Sur l’une d’elles, on voyait son sexe en gros plan : un pénis imposant, coiffé d’un gland bien proportionné, le tout surplombant une belle paire de couilles. À part les poils qu’il avait en trop grand nombre à mon goût, c’était parfait.

— Il te plaît ? m’a demandé Stéphane.

— Plutôt, oui. Et toi ? ai-je demandé, taquine. Est-ce qu’il te plaît ? (Il s’est contenté d’opiner.) Je t’ai posé une question, ai-je repris plus fermement. Est-ce que tu aimes son sexe ?

— Oui, a-t-il murmuré.

Je l’ai regardé en penchant ma tête de côté, puis j’ai essayé de savoir si son chibre était déjà dur. Cette phase du repérage l’excitait au plus haut point.

— Viens ici, ai-je dit. (Il s’est approché.) Mets-toi à genoux… Non, plutôt, va me chercher un verre de blanc dans le frigo ! Il faut que je discute avec lui, je ne sais pas combien de temps ça va me prendre.

Stéphane est parti faire ce que je lui ai demandé. À son retour, j’étais debout.

— Enlève-moi ma culotte, ai-je fait en prenant le verre qu’il me tendait.

Il a fait délicatement glisser le tissu le long de mes cuisses nues (je n’avais qu’un tee-shirt). Je me suis rassise.

— Bien, agenouille-toi, maintenant.

Il a fait ce que je lui ai demandé et sa tête est presque au même niveau que la mienne, si bien que l’on regardait tous les deux l’écran avec le même angle. Je suis revenue sur la photo de sa bite en gros plan et je lui ai demandé :

— Elle te plaît ?

— Oui.

— Tu aimerais qu’il me prenne ?

— Oui, a-t-il susurré d’une voix que je connaissais. (Il bandait sûrement comme un âne.)

— Tu veux que je le contacte ? Passe sous le bureau ! (J’ai ordonné quasiment, tout en avançant mes fesses au bord de la chaise.) Maintenant sors ta langue et lèche-moi. Bien à fond !

Stéphane s’exécute et le temps semble soudain s’étirer. Je regarde cette magnifique verge sur l’écran pendant que mon mari me fait un cunnilingus délicieux. J’aperçois ses cheveux entre mes cuisses et cette vision m’excite au plus haut point.

— Je vais sans doute le contacter dans ce cas… puisque son sexe te plaît… (les coups de langue s’intensifient.) Avoue qu’il te plaît aussi… Oh !… (Je sens un orgasme lointain escalader mon ventre.) Tu sais ce qu’il va me faire ? Ce que je vais lui demander ? (Les coups de langue redoublent). Tu voudrais être là pour voir ? (Il secoue la tête sans lâcher mon con de sa bouche.) Ah, tu veux qu’on fasse le jeu du téléphone ? Et puis ensuite, que… Oh ! (L’orgasme montait doucement.) Tu sais ce que je pourrais exiger des choses de toi… après tout, pourquoi pas : c’est ton envie, ton désir, je pourrais très bien te demander de participer… Oh ! oui ! c’est bon ! Pas pour me prendre avec lui, non… plutôt pour m’aider à l’exciter convenablement… penses-y : tu pourrais très bien toi aussi… Oh ! putain ! oh ! oh ! (Stéphane s’acharne sur mon clitoris et je sens l’orgasme prêt à exploser dans mon ventre. Je lui attrape les cheveux) Tu pourrais très bien te rendre utile… il se pourrait qu’un beau jour j’exige que tu fasses quelque chose pour moi… sans quoi je pourrais refuser qu’il me pénètre… Tu comprends ? (Il acquiesce entre mes cuisses.) Ce jour-là tu devras… tu devras le… Oh ! Oooooooh ! Oooooooooooh ! Vas-y ! Plus fort ! Oui, ouiiiiii ! Je vais jouir ! Ouiiiiiiiiii !


J’invite Bruno à s’asseoir dans le canapé, et je lui propose quelque chose à boire : il accepte une bière. Lorsque je reviens de la cuisine, je vois qu’il me regarde avec gourmandise.

Je suis franco-serbe, et physiquement, cela se remarque. Je suis une brune piquante assez grande (1m78), avec de longues jambes fuselées et un postérieur rebondi et très galbé qu’on qualifie souvent de « cul de black ». C’est un vrai compliment dénué d’arrière-pensées. J’ai un visage très équilibré et en général, les hommes se retournent sur mon passage. Seul bémol : j’ai des petits seins. C’est un peu mon drame, car je trouve que le haut de mon corps n’est pas bien proportionné, mais tous les amants que j’ai connus m’ont toujours assuré que ce détail ne les dérangeait pas et qu’il me trouvait splendide. Après tout, la beauté, c’est dans l’œil de l’autre !

Nous discutons de choses futiles (surtout pas de détails personnels), le temps de détendre un peu l’atmosphère et de ne pas être trop brutaux.

En arrivant, il m’a poliment tendu les résultats des tests de dépistage que j’ai exigés. Sur le site, je laisse toujours le choix : avec préservatif ; ou sans… mais avec un examen sérologique complet de moins de cinq jours ! Et comme en général, les hommes préfèrent baiser sans capuchon… (Stéphane préfère ça, lui aussi. En fait, il adore ça !)

Bruno scrute la pièce.

— Ton mari n’est pas là ?

— Non. Ça fait partie du jeu. Il préfère participer à distance.

— Ah, OK.

Je sens qu’il est à la fois étonné et soulagé à l’idée de m’avoir pour lui tout seul.

Je siffle un verre de blanc, et je l’effet de l’alcool est immédiat : je commence à être émoustillée. Je m’approche de Bruno et je l’embrasse comme ça, sans le prévenir, alors qu’il est en plein milieu d’une phrase.

J’ai toujours eu besoin de sentir les lèvres d’un homme pour être excitée. C’est comme ça. J’ai besoin de ce contact, besoin de deviner sa langue.

Bruno est vite entreprenant et commence à me caresser la cuisse. Je porte une simple robe noire très échancrée et sa main frôle à présent la région de mon sexe. La température est montée d’un seul coup et nous avons très chaud. Je me lève, lui prends la main et le fais passer dans la chambre. Je sens qu’il est déçu, qu’il aimerait commencer sur le canapé, mais je n’y tiens pas. Une prochaine fois peut-être. Là, j’ai envie du confort de mon matelas. Et puis il y a un autre détail : Stéphane a réalisé une véritable isolation phonique de la pièce. Résultat, je peux crier autant que je veux : les voisins ne m’entendent pas.
Je le déshabille rapidement et entièrement. Son sexe n’est pas complètement bandé. Il va falloir que je m’en occupe. Mais avant cela je dois régler un détail.

— Allonge-toi, dis-je à Bruno.

Je prends mon téléphone pour appeler Stéphane. Il décroche à la première sonnerie.

— Ça va ? me demande-t-il.

— Tout va bien, je réponds.

Je vois que Bruno me jette un regard interrogateur. Je lui explique :

— C’est mon mari.

Il opine d’un mouvement de tête. Je pose le téléphone sur la table de nuit, tout en ayant activé le haut-parleur.

— Tu m’entends, chéri ? je lui demande.

— Très bien, fait la voix dans l’appareil.

Puis s’adressant à Bruno :

— Bonjour.

Ce dernier me regarde et répond un peu amusé :

— Heu… bonjour.

Sur ce, j’approche ma bouche de son sexe pour le sucer goulûment. Entre deux mouvements de tête, je commente mes gestes pour Stéphane (car je sais qu’il n’en perd pas une miette) :

— Il faut qu’on redresse ton dard. Je le veux aussi dur que dans les vidéos que tu as postées sur le site !

À ce stade, j’espère que Bruno saura y faire. Je n’ai pas de doute sur les dimensions de son engin, mais j’espère qu’il va tenir un peu la cadence. Je n’aime pas quand les hommes jouissent trop vite. Mais d’autre part, je n’aime pas non plus les ébats qui s’éternisent pendant des heures et qui me laissent le vagin irrité pendant plusieurs jours. Quarante-cinq minutes : c’est la durée qui me semble idéale (préliminaires et petite pause compris).
Je gobe son gland que j’aspire de plus en plus fort et je sens qu’il grossit dans ma bouche. J’adore cette sensation, la perception de la peau bien irriguée qui se tend contre ma langue et mes joues. De ma main je le masturbe doucement. Je ne sais pas s’il veut que lui caresse les couilles ou que je lui introduise un doigt dans l’anus. Dans le doute, je m’abstiens.

Je regarde mon amant d’un soir et fais une petite pause :

— Ça va ? Tu aimes ?

— La vache ! C’est bon ! Tu suces super bien !

Je jette un coup d’œil au téléphone. Je sais que c’est le genre de commentaire qu’adore Stéphane. Ce dernier attend bien sagement dans sa voiture garée en bas de l’immeuble, tel un bon petit mari patient et délicieusement cocu. Et je suis certaine qu’il a en ce moment une érection monumentale.

Je répète à son intention, la tête légèrement tournée vers la table de nuit :

— Ah, je suce bien ?

— Putain, oui ! répète Bruno. J’ai envie de te lécher, me lance-t-il.

Je suis encore sur les genoux et je le laisse s’approcher de ma chatte. Il entreprend de me sucer le clito goulûment en se tordant le cou tout en m’introduisant un doigt. Je suis déjà trempée, je n’en peux plus. Je veux qu’il me prenne sans attendre.

— Tu as envie de t’enfoncer en moi ? (Je me force à articuler pour que Stéphane m’entende bien.) Tu veux me prendre ?

Pour toute réponse, Bruno m’installe sur le dos et m’écarte les cuisses. Il s’allonge contre moi et je sens son sexe bien dur approcher de ma chatte. Je suis littéralement trempée et je sais qu’il va rentrer très facilement. Je le guide avec ma main, constatant que son engin a retrouvé un diamètre assez impressionnant. Je vais déguster.

— Ta bite est belle et bien grosse, dis-je. Maintenant je veux que tu me la mettes… bien au fond… (Encore une phrase pour Stéphane.)

Ah, Stéphane et la taille de son sexe ! Je pourrai écrire un roman, tiens ! Son pénis est largement dans la moyenne — peut-être un tout petit peu plus petit —, mais je n’ai jamais trouvé qu’il était mal loti de ce côté-là. Surtout, il s’en sert très bien et sait me donner du plaisir. Mais en dépit de tout ce que j’ai pu lui dire, toutes nos discussions, il n’a jamais cessé de me dire que je méritais une grosse bite. Une plus grosse que la sienne.

— Tu voudrais me voir prise par une grosse, lui ai-je un jour répondu. Mais c’est ton fantasme, pas le mien ! Moi, ton truc me convient très bien.

— Tu vas me dire que tu n’éprouves pas plus de plaisir avec une grosse queue peut-être ?

— Ah, vous les mecs ! ai-je pesté. C’est plus compliqué que ça… il n’y a pas que la taille… même si ça compte bien sûr…

— Ah, tu vois ! Ose me dire que ce n’est pas agréable pour une femme de sentir son vagin bien rempli ?

— Si, bien sûr, mais…

— Allez, arrête. Le reste c’est du bla-bla. Je sais que tu prends ton pied avec moi… mais je sais que tu peux t’éclater encore plus avec une grosse…voire une énorme…

J’ai cessé de le contredire depuis longtemps. Au reste, ce n’est pas rationnel, cette histoire de taille (même si effectivement, je ressens du plaisir à me faire pénétrer par une verge de bonne taille). Je sais que le simple fait de me voir ou de m’imaginer prise par une grosse bite l’excite au plus haut point. C’est un phénomène assez paradoxal d’humiliation. Il s’agit sans doute d’un reliquat de comportement animal. Il doit reconnaître et apprécier la virilité d’un autre. D’ailleurs, il aime être un peu soumis à l’occasion (même si nos jeux sont basés sur la réciprocité, et qu’il prend plaisir à m’appeler Madame P. ou sa Petite Pute de temps à autre, comme pour me rappeler qu’il reste un homme et que tout ça n’est vraiment qu’un scénario élaboré).

Mais j’y reviendrai.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

loup1244
bravo de bonnes realisations tu sentiments bien décrire encore bravo
Posté le 14/09/2022

Micfou
Bien écrit, bien bandant, j'attends la suite avec impatience?
Posté le 12/09/2022

Lolo67
Suite fort intéressante. Pour un premier rendez-vous, c'est plutôt réussi. J'attends la suite de la soirée avec impatience.
Posté le 25/08/2022


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