Histoire Erotique

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UNE PETITE ANNONCE PARTICULIERE

Postée par : Crisduvent FEMME/HOMME/INCONNU/INSOLITE C'est le titre d'une petite annonce qui m'a interpellée et voici le texte que j'y lis! Je suis une femme d'une quarantaine d'année, je souhaite rencontrer un homme que je ne connaitrais pas dans un lieu insolite. Messieurs proposez moi la suite

Proposée le 13/09/2022 par Rackham

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman


Je prends donc mon clavier et je m'empresse de pondre un synopsis.
Il me faut bien entendu aller vérifier sur place à l'heure que je lui donne si réellement l'endroit est insolite, discret et néanmoins pas fréquenté.
Toute vérification faite, je lui envoi le scénario que je lui ai concocté, en rêvant secrètement qu'il lui plaise.

Un jour puis deux jours se passe, toujours pas de réponse à mon mail, je me dis doué comme je suis en informatique j'ai foiré l'envoi de mon message via le site de petites annonces puisque c'est par son biais que nous devions entrer en contact.
Ou bien avait-elle reçu tellement de propositions qu'il lui a fallu du temps pour les lires et faire son choix, je n'avais pas bon espoir.

Le quatrième jour, je ne pensais déjà plus à ce mail envoyé absorbé par une masse de travail qui était tombé d'un coup, et là dans ma boîte une réponse, "Crisduvent" m'avait répondu, j'hésitais à l'ouvrir, étais-ce une bonne nouvelle ou une missive qui m'annonçait ne pas être le lauréat.
Miracle, mon histoire lui a plu, elle veut appliquer mon scénario A LA LETTRE comme elle me l'écrit en ajoutant que nous n'échangerons aucune photos, pas de prénoms et ne nous embrasserons pas sur la bouche, formuler comme tels cette dernière exigence fait un peu petite fille mais je tiens à accéder à toutes ses demandes. Seule une brève description physique accompagne se message.
Je m'affaire à lui répondre que j'étais ravi d'avoir eu sa préférence et que je respecterai à la lettre la trame de notre rencontre ainsi que ses derniers souhaits.
Elle me demande également de fixer un jour, je lui propose donc deux dates, pas trop proches mais pas trop éloignées non plus afin qu'elle puisse choisir celle qui lui conviendra le mieux. Dans l'heure je reçois sa réponse pour le jeudi suivant vers 22hr30, à cette heure, il ne fait pas totalement noir mais suffisamment pour que la pénombre nous serve un tant soit peu de manteau.

Que ses cinq jours furent longs.

Enfin vient le jour attendu, n'y tenant plus je me rends à l'endroit de rendez-vous une bonne demi-heure avant le moment fixé, lors de ma reconnaissance des lieux, j'avais trouvé un petit recoin sombre depuis lequel, de par sa configuration, me permettais de voir les deux chemins d'accès, le tout sans être vu.
La nuit commençait à tomber, éclairé faiblement par la lune qui n'en était qu'à son premier quartier et qui de plus jouait à cache-cache avec les nuages. La température de cette nuit d'été est parfaite, la journée n'a pas été trop chaude, il doit encore, malgré l'heure faire un peu plus de 20°.
Je montais "l'allée verte" en pavés qui menait à un premier virage, ensuite je poursuivais sur la pente un peu moins forte vers le pont-levis car mon lieu de rendez-vous était sur une citadelle du 15ièmesiècle. Je le franchi et me dirige vers l'endroit que j'ai proposé à "Crisduvent" pour nous retrouver afin de vérifier que la zone est bien libre. Je suis dans une sorte de porche à double lourdes portes qui devait empêcher les assaillants de rentrer ou à tout le moins fortement ralentir leur progression, actuellement elles sont "bloquées" en position ouvertes.
C'est une plateforme herbagée entourée d'un muret en pierre d'un bon mètre de haut, pour l'atteindre il faut, après avoir emprunté le pont-levis, tourné à gauche dans le porche et je franchis une autre porte de bois qui ne s'ouvre que très difficilement, je contrôle que je peux la manipuler car, je compte bien à tout le moins la fermer partiellement derrière nous. Cette précaution vérifiée, je rejoins ma cachette, il me reste vingt minutes à attendre, mais pourquoi suis-je venu si tôt, je me mets la pression inutilement, quelques minutes avant aurai été amplement suffisantes, oui et si elle avait décidé d'être un tout petit peu à l'avance, une part de notre contrat ne serai pas respecter.
Une légère fraicheur s'installe car se versant n'est plus au soleil depuis midi, de plus dans cette tour carrée débouche un souterrain qui viens du rempart du côté de l'ennemi et servais de chemin de rondes et d'écoute pour entendre si l'ennemi ne creusait pas des tunnels afin de faire sauter les murailles.

Je me repasse le scénario en tête, tout devrais bien se passer.

Je sursaute absorber par mes pensées je n'avais pas entendu, … des pas, … on vient, … mais des voix aussi, ce ne peux être elle, c'est une couple, ils se tiennent par la main arrivant depuis le dessus de l'allée verte et se dirige vers le bas, ils ralentissent en passant dans la zone noir entre les deux grandes portes ou je me trouve, l'homme fait pivoter la femme vers lui, l'enlace et l'embrasse fougueusement. Pourvu qu'ils ne restent pas plantés là, elle pourrait prendre peur et ne pas venir, je n'ose respirer afin de ne pas les alerter.
Tout à coup la femme se libère de l'emprise des bras de l'homme en lui disant "Vient, j'ai peur, c'est trop sombre ici, allons chez moi". Et ils s'en vont presque en courant.

Le bruit de pas des amoureux s'éloigne rapidement et le silence reprend ses droits.
Je reprends mon souffle en guettant, il ne faudrait pas que je dévoile ma présence par mon essoufflement. J'arrive à calmer ma respiration, je surveille les deux chemins d'où "Crisduvent" peut arriver, je dois me contorsionner un peu pour épier celui qui vient du bas de l'allée verte, mais pour l'autre, aucun problème il est pile en face de moi.

Je tends l'oreille, des talons de femme martèlent le sol en venant du bas de l'allée, mon cœur bondi dans ma poitrine. Fausse alerte, elle continue tout droit et ne tourne pas vers moi, j'espère m'être bien expliqué et que "Crisduvent" ne se trompe pas. Au final je me demande si ce petit coin est une si bonne idée, au vu des mouvements que j'ai déjà constatés.

Absorber par mes réflexions et probablement couvert par les bruits de pas de l'autre femme je m'aperçois qu'une deuxième femme a tourné dans l'allée mais celle-ci emprunte le chemin qui monte.
La lune qui jusqu’à présent était restée cachée se dévoile providentiellement et je peux parfaitement détailler la femme qui s'avance vers le pont-levis.
C'est elle, j'en suis sûr, elle ressemble en tout point à la brève description que Crisduvent avait faite d'elle, bien qu'apparemment elle ait minimisé certain détailles. Grande les cheveux roux qui cascade sur ses épaules, je ne vois pas son visage, mais de toute façon cela fait partie du "contrat", car elle porte un large chapeau qui ombre celui-ci. Elle avait opté pour une jupe et un chemisier chamarré qui ne cache rien d'une opulente poitrine Qu'elle s'était bien gardée de vanté dans son autoportrait, qui disait simplement d'elle : "une femme, grande, dans la quarantaine aux long cheveux roux et bien conservée". Elle porte donc une jupe large, en accord avec le haut, qui descend jusqu'au-dessous du genou probablement qu'elle la trouvait plus pratique que la robe prévue, ne chicanons pas, elle était de toute façon ravissante.
Je la regarde s'approcher, il émane d'elle une simplicité pure et spontanée et en même temps une sensualité naturelle.
Elle porte une paire de chaussures à talon tellement haut qu'ils ne doivent pas être des plus confortables sur ce chemin en pavés, elle arrive sur le pont-levis en entame le franchissement, et là, catastrophe, son talon se prend dans l'interstice entre deux planches, je dois réfréner mon envie de bondir pour aller l'aider, pourvu qu'elle ne se soit pas faite mal. Non, tout va bien elle dit quelque chose d'incompréhensible mais reprend sa marche.
Elle passe devant moi prudemment car il fait tellement sombre, mes yeux eux sont largement habitué à la pénombre depuis le temps que j'y suis, je peux admirer le galbe parfait de ses mollets, gainé dans une paire de bas noir avec un fin dessin et quelques strass brillant un peu haut dessus de la cheville, accentué par la hauteur des talons, j'imagine déjà ses cuisses musclées.
Dans son sillage flotte un mélange de lavande de menthe et de vanille c'est "Le Mâle" qui allie puissance et sensualité porté par une femme très sexy, ce parfum lui va à ravir.





Elle regarde autour d'elle, hésite un instant lorsqu'elle regarde de mon côté, non, impossible qu'elle me voit j'en suis sûr, ses yeux n'ont pu s'habituer à la pénombre, en effet elle tourne sa tête à gauche comme prévu franchi la porte et se dirige vers le muret en pierre et regarde par-dessus la vue y est jolie sur le cours d'eau qui passe une cinquantaine de mètres plus bas. La position surplombe la vieille ville, personne depuis les bâtiments en face ne pourrais nous apercevoir car bien trop en contre-bas par rapport à notre point de vue.

Elle est à nouveau en pleine lumière comme si la lune accentuait sa réflexion et concentrait cette lumière pour sublimer cette beauté.

Je ronge mon frein, il n'est pas l'heure encore, qu'à cela ne tienne, je me régale du spectacle que m'offre cette femme que je ne connais pas et qui s'est mise à tournoyer doucement dans la lumière.
A un moment j'ai cru que j'allais apercevoir son visage car tout en tournant elle lève sa tête en regardant vers la lune, je ne vois que le bout de son nez mutin et ses lèvres, le reste de son visage caché par le large bord du chapeau qu'elle rabat de sa mains, tendue vers notre satellite pour s'abreuver de cette clarté.

Elle fait volte-face en prenant bien soin de regarder à nouveau vers le bas. Elle parcourt ses épaules, ses bras, ses hanches et son ventre d'une délicate caresse de ses mains, cela a le don de m'échauffer les sens.
Tout à coup elle s'arrête, s'appuie dos au muret, jambes légèrement écartées, se penche lentement en avant faisant preuve d'une grande souplesse, qui ne m'étonne qu'à moitié au vu de l'attitude sportive de sa silhouette, pose ses mains sur ses pieds, remonte doucement tellement doucement le long de ses jambes.

Arrivée à hauteur du bas de la robe, j'ai une vision plongeante dans l'échancrure du chemisier et je devine plus que je ne le vois le sillon séparant ses volumineux seins. Cet aperçu a failli me faire rater une partie du spectacle que la belle me présente, car en continuant le mouvement de ses mains, elle l'emporte dans ses doigts le bas de la jupe avec.

Mon cœur cogne dans ma poitrine tellement fort que j'ai peur qu'elle ne l'entende. J'ai envie de bondir hors de ma cachette, mais il faut impérativement que je refreine mes pulsion sous peine de rendre caduque notre "accord".

Sans se douter des sentiments contradictoires qui taraude mon esprit elle continue la progression de ses mains vers le haut, s'arrête et j'aperçois la lisière de ses bas une bande large et noire et là juste au-dessus quelques centimètres de peau d'une blancheur laiteuse et merveilleuse, normale pour une femme rousse.

Soudain elle continue l'ascension, mais lâche le tissus qui retombe me privant du spectacle de ses jambes fuselées gainées de noir, mais ce n'est que partie remise, bientôt je les parcourrais de mes mains, je ferais crisser le nylon et je poserai ma joue sur sa peau si fine.
Elle arrive à hauteur de sa poitrine et elle ouvre un bouton puis deux afin d'agrandir le décolleter en écartant bien le tissu qui dégage bien la vision sur un soutien-gorge que je devine dans l'ombre du couvre-chef à balconnets. En abaissant encore plus sa tête, elle ôte complètement l'ombrage fait par la coiffe, la clarté venant du ciel plonge dans le décolleter ainsi dégagé, submerge de lumière le buste d'une blancheur virginale triomphant et impertinent semblant me narguer comme encadré de part et d'autre par la coulée cuivrée de la chevelure.
C'est la pire torture psychologique, selon notre pacte il me sera impossible d'embrasser ses merveilles. Oh, atroce douleur!

Brusquement la belle se dérobe à mon regard en se retournant face au parapet, … c'est le signal.

Et oui! Elle avait stipulé dans le "contrat" souhaité jouer un peu dans le registre de l'exhibitionnisme, risqué car si quelqu'un était descendu ou monté de l'allée verte, je ne savais la prévenir et l'importun serait tombé nez-à-nez avec une femme dépoitraillée certes fort ravissante et d'où il se trouverait, c'est-à-dire à peine deux mètre devant moi, dans une zone complètement noire et elle ne s'en serait pas aperçue.
Heureusement il n'en fût rien.

Le signal signifiait que je pouvais sortir de ma cachette et que nous pouvions entamer la deuxième partie de notre scénario.
Je suis dans un état d'excitation assez indescriptible, cette belle inconnue m'a échauffé les sangs et mes sens sont en émois.

J'attends encore quelques secondes avant de sortir de mon recoin, je traverse le chemin, franchi la porte empruntée quelques minutes auparavant par la belle inconnue aux cheveux de feu.
Je repousse doucement la lourde porte derrière moi, elle grince un peu, qu'à cela ne tienne, cela apporte un peu de suspense, d'excitation.
Comme je l'ai "testée", elle se ferme complètement, mais rien pour la bloquer.

Je me dirige vers cette grande femme, elle me l'avait dit, 1m75 encore amplifié par la hauteur des 12 cm de talons, c'est exactement ce qui faut pour flirter … avec mon mètre nonante.
Je m'approche doucement, je ne prends pas trop garde au bruit afin qu'elle puisse estimer la distance à laquelle je me trouve d'elle et ainsi faire monter en elle se désir de l'approche.
Je fausse un peu le jeu en ralentissant au fur et à la mesure que la distance entre elle et moi s'amenuise, elle tourne légèrement la tête pour mieux percevoir les sons, mais mes bruits de déplacement sont quelque peu atténué par les bruits de la ville en contre-bas.

Je suis à quelques centimètres derrière elle, à quelques centimètres de son corps, il faut que je refrène l'envie qui me taraude de l'enlacer, j'approche ma bouche de sa nuque dégagée, seul quelques mèches cascade sur son dos, la majeur partie de sa toison coule sur son buste. Mon souffle chaud vient caresser sa nuque, je respire son parfum, il lui va à ravir. La tension de nos corps est palpable, l'électricité est dans l'air, je voudrais l'entourée de mes bras, la serrer fort contre moi, mais il me faut patienter encore un peu.
Je dépose doucement mes mains sur ses épaules, elle a un sursaut, mes lèvres viennent rejoindre sa nuque pour un baiser tendre presque imperceptible, elle frissonne.

Maintenant que le premier contact entre nos corps est établi, je m'approche, je me colle à elle, elle ne peut pas ignorer mon état d'excitation et d'ailleurs elle insiste pour le sentir encore plus par la courbure qu'elle impose à son dos pour que ses fesses entre en contact très intime, séparer qu'ils sont par nos vêtements, avec mon sexe en érection. Mes mains descende le long de ses bras, j'enlace ses doigts avec les miens et replie ses bras pour poser nos mains sur son ventre plat, nous défaisons les boutons de son chemisier, nos doigts se coordonnent à merveille comme-ci ils ne venaient que d'une seul et même main.

Je mangeais sa nuque de baisers et cela avait l'air de lui plaire, elle ondulait contre moi comme si elle essayait de me déshabiller sans les mains.
Je remontais mes mains, elle les accompagnât des siennes, vers son opulente poitrine et qui n'avais nullement besoin du soutien-gorge à balconnet tellement elle était ferme. Je soupesais les seins et nous les massons avec douceur, elle dirigeait discrètement nos mouvement d'abord en formant comme une coupelle et ensuite en remontant vers les mamelons. Sa respiration s'accélère, son souffle devient pour cours, la palpation provoque en elle de petits gémissements : "Hummmmmmmmmmmm" que cette musique qui arrive à mes oreille est divine à entendre.

Nos doigts frôle les tétons qui sont déjà bien ériger alors qu'ils n'ont encore reçu aucune caresse, nous les emprisonnons entre mon pouce et son index et leur imposons un mouvement tournant qui arrache de petits cri étouffé à mon amante : "Aaaahh, ouuuuch", je relâche la pression de peur de lui faire mal, dans un gémissement elle me souffle : "Noooon cooontinuuuuuee", son bassin est animé d'une houle qui si elle s'amplifie fera chavirer le frêle esquif qu'est mon sexe qui navigue entre nos deux corps.

Cette femme est d'une réceptivité au niveau mammaire jamais vue, j'insiste donc, ses mains ont quitté les miennes et je suis donc seul aux commandes, je m'exécute et continue à triturer les bouts qui sont devenu tellement gros et long que j'en suis impressionné.

Elle prend une de mes mains et porte mes doigts à sa bouche, les humidifies et la repositionne au même endroit, je fais de même avec l'autre.
"Vas-y serre les fort, pinces les, tort les" m'invective-t-elle, je m'exécute en serrant les tétons tout en pétrissant chaque sein comme une pâte à pain, elle n'en peut plus, se mord les lèvres pour ne pas crier, son corps se presse plus fort encore contre le mien et est secoué de tremblements, ses jambes semblent défaillir et je la soutien pour ne pas que la jouissance qui l'emporte ne la fasse choir. Sa respiration est haletante et je ne suis pas dans un plus bel état, suis au bord de ma propre jouissance par cette sarabande effrénée que sa croupe à prodiguer à ma verge toujours emprisonné.

Jamais je n'avais connu une femme capable de jouir uniquement par la caresse de ses seins, j'en tire un plaisir incommensurable et en même temps une tellement grande frustration de ne pouvoir les embrasser, puisque notre accord stipule que nous ne devons pas voir nos visages respectifs.

Sa respiration se calme un peu, je dépose quelques délicats baisers dans sa nuque.
Les battements de mon cœur que je sentais pulser dans mon sexe reviennent à un rythme à peine raisonnable.

Nous sommes toujours comme soudé l'un à l'autre, mes mains ont quitté son buste pour son ventre et la maintenir encore plus près de moi comme-ci je voulais l'empêcher de partir, hors il n'était pas encore question de se séparer la trame était à peine entamée.

Nous tentons de reprendre nos esprit, elle du plaisir qui l'a secouée et moi de m'être retenu d'exploser.
Ses mains passent furtivement entre nous pour masser mon érection au travers du tissu de mon pantalon, elle libère le prisonnier qui pulse contre ma braguette, sa tête déjà au-dessus de l'élastique du boxer, il fait de légers mouvements de balancier tellement la pression et l'excitation sont intense, le sang pulse dans ma tige, la sortir lui fait le plus grand bien.
Elle entame un délicieux ballet de bas en haut en tournoyant autour de mon vit juste en l'effleurant d'une main et de l'autre soupèse mes bourses et les caresses.
Etonnement cette caresse si douce tend à faire diminuer la pression accumulée.

Ayant toujours mes mains sur son ventre, de l'une d'entre elle je l'attire en arrière afin de l'écarte du muret et de l'autre je pèse sur une épaule pour la faire se pencher en avant, elle sait exactement où je veux en venir, nos bassin sont toujours verrouillé l'un à l'autre, mais je m'en détache à regrets.
Mes mains glissent le long de ses flancs délicieusement doux, je me penche et je remonte quelque peu le chemisier pour déposer de tendres baisers au creux de ses reins.

Je poursuis le mouvement descendant, ses hanches, ses fesses et là je sens comme une épaisseur qui cours verticalement le long du haut de sa cuisse, diablesse, la coquine a mis un porte-jarretelle, je suis les élastiques du bout des doigts et continue la descente jusqu'au bas de la jupe, j'empoigne le tissus et le remonte jusqu'à ses reins non sans en passant de mes ongles faire crisser le nylon des bas et d'appuyer plus lors du passage sur ses fesses comme pour y imposer ma marque de griffure.
Je me mets à genou derrière, j'admire se postérieur enserrer dans cette culotte noire transparente, les serpents du porte-jarretelle fixé aux bas d'un noir satiné.
Je passe mes mains à deux centimètre de ce corps tout au long de ses jambes qui semblent interminable.

Arriver en bas je remonte dans une caresse lente en touchant à peine les merveilleux fuseaux. Elle écarte le compas de ses deux jambes, je démarre de ses chevilles passe sur le coup de pied puis le creux derrière les malléoles, m'attarde sur les mollets galbés par les talons haut.
J'arrive aux genoux, j'y dépose quelques baisers au creux de chacun et je poursuis l'ascension uniquement avec mes lèvres et ma langue en léchant de temps à autre les cuisses. En haut je me garde bien de rester en contact avec sa peau et lorsque j'arrive à hauteur de son antre, c'est uniquement de mon souffle que je la caresse.

Cette femme à une sensibilité à fleur de peau, depuis que j'ai posé mes mains sur ses pieds sa respiration c'est accélérée, lorsque ce fut le tour de mes baisers et léchages des gémissements tente de franchir la barrière de ses lèvres qu'elle garde bien closent afin d'éviter d'attirer trop l'attention sur notre secrète position. Des "Huuuuummmmmmm" viennent de sa gorge et se bouscule en un son grave.
Je trouve cette musique particulièrement enchanteresse.

Je m'approche sans la toucher et je souffle mon air sur son entrecuisse qui est vierge de poils, elle a l'air de trembler sous la brise sortant de ma bouche, je sens l'odeur du plaisir qui l'a secouer il y a quelques minutes, parfum enivrant qui attise mes sensations, je ne résiste plus et je dépose mes lèvres sur celle de sa grotte d'amour et au travers du tissus transparent je souffle l'air expulser de mes poumons, je me saoul de son odeur en inspirant profondément et j'expulse l'air chaud pour réchauffer son abricot.
Mes mains pétrissent ses fesses comme une pâte, elle y joint les siennes, mais plutôt pour les écarter afin que je puisse mieux atteindre l'objet de mes convoitises.
Je lèche, je lape le fruit ainsi mis à ma portée, dessus, à gauche, à droite, en bas, en haut, j'essaye d'être partout à la fois.





Je glisse ma mains par en dessous et je recherche le petit bouton qui fait grimper l'échelle du plaisir jusqu'au sommet de la jouissance. Par son déhanchement elle guide mes doigts mais la culotte aussi jolie soit-elle est un frein à ma progression.
N'y tenant plus, je la tire vers le bas mais je suis dans l'empêchement de l'enlever par l'écartement des jambes. Qu'à cela ne tienne, ce sera pour plus tard, je fonds sur la grotte d'amour avec mes lèvres et sur le clito déjà bien gonflé avec mon index.

Elle soupir, sa respiration s'emballe, ses gémissements m'encouragent à continuer intentionnellement ou pas : "Ooooh Ouuuuiiiii c'est b… trop b… encoooore".
Je complète ma caresse par l'intromission de mon pouce dans son vagin à la recherche de cette zone que l'on appelle le point G et qui combine parfaitement avec la sensation procurée par l'effleurement du clitoris. A cet instant, une seule chose compte pour moi, son plaisir.

Là aussi de par ses mouvements elle dirige mon doigt vers la bonne position tout en poussant toujours de petit couinements : "Hummmm... arrête… encore… c'est d… diviiiin".
Elle ressert ses jambes pour enserrer ma main juste ce qu'il faut pour qu'elle puisse encore coulisser, j'en profite pour lui faire enlever sa culotte, que j'empoche, prise en otage, je lui rendrais contre une autre entrevue.

Je suis remonté un peu avec ma bouche et je lèche goulument la zone entre le vagin et l'anus, elle me dit : "Non pas ça", mais sa main maintien ma tête plaquée contre son entre-jambes et fini par lâcher un "Ouuuii… encoooore… vas-yyyyy lèèèche moi, tu me rends fooolle, plus viiiite…". Je remonte encore un peu et darde ma langue pointue sur son petit œillet qui n'est plus crispé depuis longtemps. Je l'humidifie abondement, elle se tort tout en poussant son corps vers l'arrière de peur que je ne m'échappe, cela ne risque rien, son anus est maintenant luisant de salives et d'une souplesse qui me permet d'y insérer la pointe de ma langue.

Mes doigts vont et viennent doucement mais en exerçant une pression plus forte encore, elle geint, se tort du plaisir ascendant. "Viiiiiens en moiiii, viiiite je veux te … sentir en moiiiiii…". Délicatement j'ôte mes doigts, je tente une dernière pression de ma langue sur sa rosette, elle rentre un peu, elle est détendue par le plaisir qui la taraude.

Je me relève, me colle à elle mon membre bien callé entre ses fesses, je le frotte pour l'enduire de se mélange de salive et de sa propre excitation. Je m'écarte un peu, empoigne mon vit et caresse ses lèvres de haut en bas, les écartent avec mon gland, elle recule pour que je la pénètre, mais je m'y attendais et lui refuse cette entrée en m'écartant, elle râle : "Ooooh… prends moi, stplaîîîîît… b… baise moi, je veux ta queue en moiiiii, baise moi fooort".

Je ne peux rien refuser à une femme d'autant plus lorsque c'est demandé si gentiment, je fais encore un ou deux va et vient de bas en haut et d'un coup je plonge mon sexe tout entier jusqu'au fond du sien, je l'entends prendre une grande respiration et puis plus rien durant quelques secondes le souffle coupé par la soudaineté de l'intromission, ensuite vient un très long :"Ooooohooouuuuuiiiiiiihhhhuuuummmm, comme c'est bon, vas-y baise moi fort.
Je ressorts doucement centimètres par centimètres puis je fais le mouvement inverse, je suis tellement exciter que rien que cette première pénétration a failli me faire éjaculer, alors doucement je vais coulisser mon érection dans le fourreau, il est abondamment lubrifier et je ne ressens quasiment aucun frottement.

D'un coup elle ressert ses muscles internes et ma bite est subitement comprimée, je reste enfoncé au plus profond de son antre et entame une danse au cœur de celle-ci.
"Comme tu me remplit bien, vas-y plus fort", sa main droite à filer vers mes bourses qu'elle masse comme si elle voulait en presser le liquide, ensuite elle se dirige vers son clitoris qu'elle caresse avec ferveur, ce qui ne manque pas de faire s'amplifier ses gémissements, nous allons finir par attirer l'attention sur notre position, qu'à cela ne tienne, je m'exécute, je sors entièrement de son vagin et y replonge aussi vite en poussant bien au fond, "Aaaargg, plus fort", je m'extrait à nouveau et j'entame un va et vient endiablé.
Puis d'un coup au moment de reculer, je m'arrête juste à l'entrée de son sexe et fait de petit mouvement rapide d'aller et retour en poussant ma queue vers le bas d'une main pour la frotter sur la face antérieur de son vagin histoire d'appliquer cette pression à ce brave petit G. Ce petit manège à le don d'innervé mon frein et je ne peux le prolonger indéfiniment, son plaisir n'est pas loin

Je pose mon autre main sur sa croupe flatte le galbe de ses fesses, insinue mon pouce entre les deux globes et masse la rosette, je presse doucement, mon pouce sans aucune résistance, elle pousse un "Non pas lààà aaaaaahhhhh", comme elle ressent que son petit œillet n'oppose aucune résistance son soupir se transforme en "Ouiiii c'est boooon". Encourager, je reprends mon va et vient long et fort avec mon sexe complété par celui de mon pouce dans son petit trou.

La belle se masturbe de plus en plus vite et moi je pistonne comme un fou, la pression monte en moi et je m'épanche en elle en long jets chaud dans un râle difficilement contenu par mes lèvres closes "Huuuuuummmmmm, torrriiiiiide, put... qu'c'est boooooon".
La seconde qui suit-elle tremble de tout son corps emportée par le raz-de-marée du plaisir, sa main s'arrête net et elles viennent attraper mes hanches pour me plaquer contre ses fesses au plus profond de sa grotte d'amour.
Un long gémissement tente de franchir la barrière de ses dents serrées : "Ooooouuuuuiiiiiiiii, huuuuuuummmmmm, oooouuuuuuuchhhhhhhh, je jouuuuiiiiiiis, salaaaaaauuuuud comme tu m'as baiiiiiii…". Je sens la pression de ses muscles internes qui veulent extraire les dernières gouttes de ma semence.

Je me retire doucement en maintenant le préservatif, nous sommes des gens responsable et il en va de la sécurité de chacun.
Je la fait se redresser pour pouvoir l'enlacer.
Mais ceci est également le signal, le moment de nous séparer car comme convenu, nous ne devons pas nous attarder.

Je m'écarte d'elle pour me réajuster.
Je dépose quelques baisers dans sa nuque en lui disant : "On prend contact quand tu veux, tu connais mon adresse et j'ai ta petite culotte en otage, je te la rends au prochain rendez-vous".
"Traître, salaud, lâche, s'attaquer à une petite culotte sans défense, tu es bien un homme me dit-elle en riant, je te revaudrais ça". "J'y compte bien, merci pour ce magnifique moment de plaisir partagé passé avec toi belle inconnue", lui dis-je.
"Merci à toi également petit voyeur".

Je dépose encore deux baisers dans sa nuque et je fais demi-tour ouvre la porte et descend l'allée verte épuiser mais heureux du déroulement de cette soirée, du plaisir intense donné et reçu.
Je compte lui proposé d'écrire elle-même le prochain scénario.

Jusqu'au bout il faut respecter la trame et ne pas se retourner ni attendre pour la voir, je dois partir suffisamment loin et elle doit attendre quelques minutes avant de repartir.

Je monte dans ma voiture je démarre, je roule pour rentrer chez moi et puis d'un coup … plus rien, c'est le trou noir, je ne vois rien je suis sur le dos, le sol est mou et doux, … je suis dans mon lit.
Toute cette histoire n'est qu'un rêve au départ d'une petite annonce elle-même bien réelle à laquelle j'ai répondu mais sans succès et qui quelques jour après lui avoir envoyé mon synopsis à disparue du site.

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