Histoire Erotique

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Une relation particulière 2 : De la soumission à la liberté

Cécile, recueillie par Philippe, est devenue soumise aux désirs de cet homme. Selon les désirs de l’homme, elle poursuit son apprentissage. (Lire le chapitre précédent).

Proposée le 8/09/2016 par CecileS

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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Une main, une main d’homme se saisit de mon sein, le serra fortement, en pinça le téton. Puis elle descendit sur mon flanc, glissa sur ma hanche. On me palpa les fesses, un doigt se faufila dans la raie,s’attarda sur ma rosette. Une autre main, l’autre main du même homme, frôla mon ventre palpitant,emprisonna mon pubis. Un doigt conquérant s’introduisit dans mon con.
- Elle mouille déjà. Elle est bonne. Dit une voix grave.

C’était la première fois que Philippe m’offrait à d’autres hommes. Il l’avait fait une fois le premier jour avec celui qui m’avait livré ma nouvelle garde-robe mais depuis je n’avais été que sa propriété exclusive.
Trois mois avaient passé depuis ce jour. Trois mois pendant lesquels j’avais découvert un plaisir sexuel intense. Cette découverte avait débuté le premier jour et recommença chaque semaine, ou presque.
Mais Philippe ne me baisait pas systématiquement avec cette force, cette sensuelle violence qui faisait de moi une chienne, qui me faisait hurler en silence. Parfois, il m’accompagnait le soir dans ma chambre et il me prenait tendrement, me baisait comme beaucoup d’hommes attentionnés doivent baiser leur femme. Dans ces moments-là, j’avais l’impression de former un couple normal avec Philippe. Pourtant il y avait cette pièce dans le grenier dans laquelle je n’avais pénétré que les yeux bandés. Cette pièce que j’avais découverte sur les vidéos que Philippe me montrait parfois car il filmait et enregistrait toutes mes jouissances.
Un immense grenier aménagé, trois des quatre murs étaient occupés par de larges banquettes. Trois lits côte à côte occupaient une partie du plancher. Le support sur lequel il me liait pour me baiser était au centre de l’espace laissé libre par les lits.
Au fond, trois poteaux avec des anneaux, des cordes, des chaines, une armoire ancienne contenaient une collection de cravaches, de menottes, de bracelets de cuir, plus d’autres objets que je découvris par la suite.
Il aimait me faire découvrir ma soumission et le plaisir que j’en retirais. Des gros plans sur mes tétons martyrisés par les pinces, mes lèvres intimes pincées et ouvertes, le plug dans mon petit trou. Et surtout, mon visage, tordu par les affres de la jouissance qu’il m’imposait. Il me disait que j’étais belle et moi, je ne désirais rien de plus qu’il m’entraine à nouveau dans ce grenier.
Pourtant, le nombre d’interdits et de contraintes qu’il m’avait imposées était grand. Et Philippe me testait continuellement.
Je ne devais jamais demander quoi que ce soit. Je devais me plier à toutes ses fantaisies comme de sortir nue sous mes vêtements. Je ne devais jamais me toucher. Philippe me lavait chaque jour à mains nues comme il l’avait fait le premier jour. Je ne devais pas me masturber. Il m’avait assuré que ma chambre était truffée de caméra de vidéo-surveillance et j’en eu la confirmation le jour où j’ai désobéi à cette règle de ne pas me donner du plaisir moi-même.

Quelques semaines après m’avoir recueillie, Philippe ne me baisa pas pendant quelques jours.

En jachère de plaisir, je bravais l’interdit du plaisir solitaire dans l’intimité de ma chambre. Le lendemain,il diffusa une vidéo sur la télé du salon. Je me vis couchée, les jambes à demi pliées et je me masturbais. Malgré la couette qui me couvrait, il était clair que je me donnais du plaisir. Cela devint évident quand je repoussais la couette. Je n’avais nul besoin de regarder pour me remémorer ces instants. Ma main gauche pinçait mon téton droit, ma main droite sur mon pubis offert, mon majeur
allait et venait dans ma fente humide, se lubrifiait au plus profond de mon con et venait titiller mon clitoris. Cela dura quelques minutes avant que mon corps ne tressaute sur le matelas. Je tirais alors la couette sur moi et m’endormis.

Philippe resta silencieux quand l’écran redevint noir. J’étais totalement effrayée de mon audace.

Philippe m’avait demandé mon obéissance totale et j’avais cru pouvoir me soustraire à son emprise.
Des milliers de question tournaient dans ma tête.

Qu’allait-il faire ?
Me rejeter dans la rue, me priver à jamais du plaisir qu’il me donnait…

- Cécile, tu te rends compte que tu as désobéi à mes ordres ? Me demanda-t-il de sa voix douce et calme.
- Oui, Philippe et je vous demande de me pardonner.
- Et tu penses que je vais te pardonner ?
- Je ne sais pas. Je l’espère. Mais je suis prête à subir toutes les punitions que vous voudrez bien m’infliger.
- Effectivement, tu mérites d’être punie et je verrais ensuite si je peux te pardonner. Je veux que tu comprennes que tu ne pourras avoir du plaisir seulement quand je le déciderais, comme je le déciderais, et avec qui bon me semblera.

La punition fût assez terrible et longue. D’abord il me fit porter, jour et nuit, une ceinture de chasteté,qui m’empêchait de recommencer, si j’en avais eu envie. Et qui m’obligeait à lui demander à chaque fois que je voulais satisfaire mes besoins naturels. Il me priva de sexe pendant plus de deux semaines mais me faisait porter des boules de geisha qui m’excitaient. Je vécu dans un état d’excitation sexuelle permanente sans pouvoir me satisfaire. La fin de ma punition arriva enfin. Philippe enleva la ceinture qui interdisait l’accès à ma chatte et à mon cul. Il me posa des pinces à tétons munies de poids, remplit mon con avec les boules de geishas et m’emmena en promenade à pied dans les rues
de la ville. J’étais nue sous un large manteau. La froideur de ce mois de janvier, me saisit, faisait durcir mes seins, glaçait l’intérieur de mes cuisses humides de la mouille qui s’échappait de mon con.

La balade dura tout un après-midi. En rentrant, j’étais glacée à l’extérieur mais bouillante de désir à l’intérieur. Il me conduisit dans ma chambre, remplaça les boules de geisha par un oeuf vibrant à télécommande et m’ordonna de m’allonger sur mon lit.
Pendant une éternité, il me tortura de la plus perverse des façons. Il mettait le sextoy en marche et aussitôt les vibrations faisaient monter mon désir. Puis il arrêtait pour de longues minutes. Il contrôla mon plaisir pendant plus d’une heure, m’amenant chaque fois au bord de l’orgasme sans me permettre de franchir le pas. J’étais libre de mes mouvements, j’aurais pu me délivrer d’un simple
frôlement sur mon clitoris, mais au prix d’un effort intense je refrénais cette pulsion. Pour ne pas lui désobéir une nouvelle fois. J’aurais aimé être attachée, porter encore cette maudite ceinture de chasteté mais je devais me contraindre.
Je perdis connaissance plusieurs fois. Philippe me laissait le temps de reprendre conscience avant de poursuivre sa punition. La délivrance arriva enfin, sans que je me touche. Je gardais mes mains éloignées de mon corps, les ongles agrippés sur le bord du matelas. Malgré son habileté, Philippe ne parvint plus à contrôler mon plaisir. Je sombrais dans une sorte de coma extatique, je m’entendis hurler de plaisir et ce hurlement disait « Merci ».

J’avais compris la leçon et le pardon de Philippe pour mon erreur me donna l’occasion d’admirer une fois de plus son talent à me procurer des moments de plaisir intense.

J’ai compris qu’aujourd’hui serait un jour spécial, différent des cent précédents, quand Philippe m’ordonna de rester dans ma chambre dès notre déjeuner terminé et de n’en sortir sous aucun prétexte. J’entendis plusieurs fois la sonnette en fin d’après-midi. Philippe vint me rejoindre, me lava et me fit les deux lavements coutumiers avant de me conduire à l’étage dans l’antichambre du grenier seulement vêtue d’escarpins à très hauts talons. Au lieu d’utiliser le bandeau de velours, il
couvrit ma tête d’une cagoule blanche, plaquée sur mon cou par une partie en tricot élastique, serrée sur ma tête par un lacet, et qui découvrait le bas du visage. Mes cheveux coiffés en queue de cheval sortaient par un trou sur l’arrière du crâne. J’étais complètement aveugle. Il me poussa ensuite dans le grenier aménagé.
J’entendis un murmure. Plusieurs voix différentes.

Philippe me fit faire quelques pas. Des mains me touchèrent. Un murmure incompréhensible. Il me poussa à nouveau vers de nouveaux attouchements. Trois fois, des mains se posèrent sur moi, allant usqu’à fouiller mon intimité. Parfois douces, parfois rudes, ces palpations faisaient monter mon désir.

Une main, une main d’homme se saisit de mon sein, le serra fortement, en pinça le téton. Puis elle descendit sur mon flanc, glissa sur ma hanche. On me palpa les fesses, un doigt se faufila dans la raie,s’attarda sur ma rosette. Une autre main, l’autre main du même homme, frôla mon ventre palpitant, emprisonna mon pubis. Un doigt conquérant s’introduisit dans mon con.
- Elle mouille déjà. Elle est bonne. Dit une voix grave.

Les attouchements s’arrêtèrent. On me lia les mains dans le dos. Je restais debout à attendre. Des murmures, une discussion à voix basse dont je ne compris pas la teneur mais qui semblait vouloir décider de mon sort.

Le contact rêche de sangles sur mes épaules, sur mon torse, sur mes cuisses. Je suis soulevée de terre. Mes chevilles sont enserrées par des bracelets de cuir, mes jambes sont ouvertes. Je ne peux plus les refermer. Mes jambes sont repliées vers mon dos, bloquées dans cette position, je sens le contact froid de la barre de force sur mes reins. Je bascule en avant, ouverte, offerte aux mâles conviés par Philippe au festin de mon corps.
Une bouche se pose sur l’intérieur de mes cuisses. La douceur des lèvres, la fraicheur d’une langue sur ma fente, on me suce. Philippe ne m’a jamais sucée, n’a jamais utilisé sa bouche pour me faire jouir. Peu d’hommes m’ont sucée d’ailleurs. Quand on baise une fille contre un lit, un sandwich ou un demi de bière, on veut qu’elle vous suce la bite. Et on ne va pas mettre sa langue dans sa chatte de putain. On veut simplement sa bouche comme substitut à son con ou à son cul…

La langue s’introduit dans mon con, la bouche boit ma mouille. Elle force maintenant mon petit trou, le lubrifie en prévision d’une sodomie, probablement. Une main saisit mes cheveux, je bascule encore plus,. Mes lèvres entrent en contact avec la peau douce d’un gland décalotté. J’ouvre la bouche, un chibre en prends possession et s’enfonce, s’enfonce encore, encore plus loin. Je m’étrangle. La salive coule à la commissure de mes lèvres. Je tente de me libérer mais je suis fermement maintenue. J’essaie de respirer par le nez, de maitriser les haut-le-coeur qui me tordent l’estomac.
Le dard qui me remplissait la gorge se retire enfin. Je reprends mon souffle. Je bascule en avant une nouvelle fois et la bite s’introduit dans ma bouche, m’étouffe. On me suce encore, avec habileté, j’aime ça. Je mouille. J’apprends à maitriser ma gorge pour supporter la « gorge profonde » qu’on m’impose. Je suis excitée à mourir mais malgré le cunnilingus habile qui me fait vibrer de tout mon corps je ne jouis pas de la langue qui me suce. Je constate avec stupeur que je ne peux pas avoir de plaisir sans le consentement de Philippe. On arrête de me sucer.

Un contact sur ma chatte, quelque chose entre en moi, c’est gros, c’est long, c’est froid, c’est rigide.
Un gode. Deux mains me saisissent les hanches, des ongles se plantent dans mes flancs. Des ongles longs, des ongles de…

Le gode s’enfonce dans mon antre, jusqu’à la garde, jusqu’à ce que le support de cuir du gode ceinture s’appuie sur mes lèvres intimes. J’ai la confirmation de ce que j’avais pressenti avant. Je suis baisée par une femme. C’est elle qui m’a sucée pendant qu’un homme me baisait la bouche. Jamais une femme ne m’a sucée, ni baisé d’ailleurs, mais j’aime ça, j’aime cette douceur perverse, cette délicate dépravation. Je ne ressens plus la bite qui s’enfile dans ma bouche, qui glisse dans ma gorge. Je suis concentré sur les caresses que me fait cette fille, sur son doigt qui m’encule, qui assouplit ma rosette et que j’imagine parfaitement manucuré.
Malgré l’emprise de mon désir qui ne parvient pas à exploser, j’entends des bruits, des soupirs de femme, des râlements d’homme. Un autre couple baise à proximité.
Des flots de semence envahissent ma bouche, l’homme qui me baise la bouche se vide dans ma gorge en soufflant :
- Avale, salope, avale tout.

Je lui obéis. Son jus est gras, acre, salé. Mais j’aime engloutir cette preuve si évidente du plaisir que je donne à un mâle.

Je retrouve le contact du sol, libérée des sangles qui me sciaient les épaules. On me fait m’agenouiller, on m’agrippe par les cheveux, on me tire en avant. Je m’incline jusqu’à ce que ma bouche rencontre une chatte. Je n’ai nul besoin de recevoir l’ordre de lécher cette moule, aussi juteuse que doit être la mienne. Mais je n’ai jamais fait cela, jamais touché la moindre fille, jamais donné du plaisir à une femelle. Ma bouche n’a fait que pomper des queues. Je ne peux pas, ne dois pas me dérober, si Philippe laisse faire cela, c’est qu’il me demande de le faire implicitement.
Alors je lèche, ma langue parcourt la fente qui m’est offerte. Je l’étire au maximum hors de ma bouche pour la faire pénétrer dans un con ruisselant. Je goute une mouille à la saveur de musc.

J’aspire des petites lèvres, un clitoris dardé. La fille gémit, frémit et se cambre. Je suis fière de lui donner des sensations.
On me repousse pour mieux m’attirer encore. Une autre chatte à sucer, une chatte dégoulinante de sperme. J’avale ce cocktail avec délice. L’autre fille manifeste son plaisir et se tortille sous mes lèvres.

Je la fais jouir rapidement, adressant en pensée un remerciement à son baiseur précédent de l’avoir si bien chauffée. On pousse mon visage entre deux globes chauds et fermes. Ce n’est plus une chatte que je dois lécher, mais un oeillet. Une queue glisse sur mon menton, le cul sous mon visage tressaute en cadence, à la même cadence que le chibre la perfore. La fille n’en peut plus des assauts de son baiseur et de ma langue qui s’introduit dans sa rosette palpitante. Elle jouit en criant.

Des bras puissants me font grimper sur le lit, je suis en levrette, les bras toujours bloqués dans mon dos, le visage posé sur un ventre, les lèvres sur une chatte que je lèche. Un dard se faufile entre mes fesses que des mains tiennent ouvertes. Un gland sur ma rosette, une poussée, je suis sodomisée. Un chibre coulisse dans mon cul. Je lèche, je suce, j’aspire le nectar qui s’échappe de ce con. L’homme derrière moi, souffle, grogne, éructe en me défonçant par d’amples et puissants coups de reins. La
fille jouit de ma bouche. L’homme jouit dans mon cul. Ils sont remplacés par un autre couple. Une autre chatte à sucer, un autre chibre qui me perfore. Il est plus résistant que le précédent, plus attentionné aussi car il prend la peine de passer une de ses mains sous mon ventre, de me branler le clitoris, de malaxer ma poitrine. Je suis en feu. Philippe se penche vers moi, m’enlace le torse. Je reconnais le parfum de son eau de toilette. Il me dit de sa voix que je reconnaitrais entre milles, sans
arrêter de me défoncer le cul :
- Tu dois jouir, Cécile. Je te l’ordonne.

C’est quelques mots, cet ordre impérieux, le chibre de mon maitre qui me laboure me font exploser de jouissance. La fille que je suce, jouit en même temps que moi, Philippe la rejoint aussitôt dans l’orgasme.

Philippe se retire de mon cul, me fait quitter la couche et me lie à un des poteaux. Il immobilise mes jambes largement ouvertes en fixant les bracelets de mes chevilles à deux anneaux au sol.
J’attends. De longues minutes. Des discussions, des rires, un léger brouhaha. Philippe me libère de la cagoule qui m’aveuglait. Mes yeux s’accoutument à la luminosité. Trois personnes me regardent, un homme, deux femmes. Ils sont masqués par des cagoules, même Philippe que je reconnais au tatouage de son épaule droite. A ma gauche, un homme est lié au poteau voisin. Il semble jeune, plus jeune que nos dominateurs. Lui aussi est aveuglé par une cagoule, il est très jeune, dix-huit, vingt ans, à peine. Son sexe est emprisonné dans un anneau noir, empêchant toute érection, sa tige rabougrie
pointe vers le sol, ses couilles remontées sont congestionnées. Il est totalement épilé.

Une des femmes vient vers lui. Elle est grasse, des hanches larges, des seins lourds qui tombent. Elle l’embrasse à pleine bouche, pince ses tétons, triture son sexe prisonnier. Elle se détache de lui, puis revient. Elle lui pose des pinces sur ses tétons. Elle enlève l’anneau qui enserrait son sexe, tire sur le prépuce et y pose une pince chargée d’un poids énorme. Sa bite est tirée vers le bas. Elle le libère du
poteau pour le conduire, les poignets liés dans le dos vers les matelas où l’autre femme l’attend, offerte. Elle est plus jeune que l’autre, plus belle aussi. Longiligne. De belles jambes fuselées largement ouvertes. Sa chatte, épilée en un petit triangle de poils bruns et courts, encore bouffie de ses jouissances précédentes, s’ouvre comme une fleur. Une fleur au coeur rose enveloppé des pétales
bruns de ses petites lèvres.

Le jeune homme est conduit vers la femme offerte. La grosse femme le fait s’incliner dans le compas des cuisses. Il lèche la chatte de la femme qui appuie sur son crâne, le dirige de la main. Philippe s’approche, son dard en érection est couvert d’un préservatif.

Je retiens ma respiration.

Il fouille la raie culière du jeune homme et en extrait un plug qu’il tend à la grosse femme. Puis il saisit les hanches anguleuses du jeune homme et s’enfonce en lui. Voir mon maitre, mon sauveur sodomiser un homme me provoque d’abord un haut-le-coeur. Je suis sa chose, sa soumise. Il peut me baiser quand il veut, comme il veut. Le voir enculer un jeune homme fait monter en moi une colère, une fureur jalouse. J’ai envie de crier ma haine de ce bel éphèbe, de son cul serré offert à mon amant. Surtout qu’il se comporte avec lui, comme il le fait avec moi. Sans brutalité aucune, il l’encule
doucement en caressant ses flancs, ses petites fesses rondes. Parfois sa main s’égare sous le ventre plat, tripote son vit contraint par le poids à viser le sol.
L’érotisme de cette relation entre hommes dissipe peu à peu ma jalousie. Le jeune homme gémit à chaque mouvement de bassin de Philippe. Il aime se faire enculer, ce petit salaud. Sa maitresse, la grosse femme, l’offre à Philippe comme il m’a offert à ses invités. Juste retour des choses ! Echange amical entre dépravés.
La grosse femme se fait prendre par l’autre homme, en levrette. Elle embrasse à pleine bouche la fille qui se fait sucer.
Le jeune homme relève la tête, pousse un râle profond avant que la femme ne l’oblige à poursuivre son cunnilingus. La fureur de voir mon homme, mon maitre prendre du plaisir avec ce jeune homme s’est transformée en fierté. Je suis fière de ne pouvoir jouir autrement que par lui alors que ce petit adonis vivieux peut prendre du plaisir avec n’importe qui d’autre que sa maitresse. La fille qu’il suce jouit à son tour en criant, accompagnant les éructations de la grosse en proie à l’orgasme et à celles
de son baiseur qui se vide en elle. Philippe se met alors à défoncer le jeune homme à grands coups de reins jusqu’à ce que lui aussi atteigne l’extase.
Le jeune homme se relève, le bas du visage luisant de mouille. L’extrémité de sa verge est gonflée, le prépuce, obstrué par la pince, est rempli de son sperme. La plus jeune des femmes, celle qu’il a été contraint de sucer, s’approche de lui, s’agenouille, saisit sa verge flasque, pince entre ses doigts le petit bourrelet de peau avant d’enlever la pince. Elle porte alors la queue à sa bouche pour recueillir
la semence qu’elle contient. Elle le reconduit ensuite vers le fond de la pièce, le lie au poteau avant de lui rendre la vue en enlevant la cagoule.
Il me découvre, me dévisage en m’adressant un pâle sourire.
De longues minutes passent, que Philippe et ses invités occupent en bavardant, en se désaltérant. Ils ne semblent pas faire attention à moi, à nous.

Philippe vient me libérer de mon poteau, me passe un collier de chien et me conduit en laisse sur le lit. J’ai les mains liées dans le dos. La grosse femme fait la même chose avec le jeune homme. Nous sommes maintenant à genou, face à face, enchainés l’un à l’autre par nos colliers.
- Baisez ! Nous dit la grosse femme.
Je jette un regard interrogateur vers Philippe.
- Obéis ! Confirme-t-il.

Nous nous regardons. Le jeune homme capte mon regard et le dirige vers son ventre. Il ne bande pas, sa queue flasque pend sur ses cuisses. Je comprends ce qu’il souhaite. Je m’incline et commence une fellation maladroite. Pour difficile que soit l’exercice, j’arrive à obtenir une érection convenable. Un regard. Nous nous allongeons face à face. Il tente en rampant de s’immiscer entre mes jambes. Il roule sur moi, essaie de me pénétrer, une fois, deux fois, dix fois, sans succès. Baiser sans les mains
n’est pas chose facile. Tous se moquent de nous, nous ne rions pas. Surtout le jeune homme qui a les fesses cravachées par les deux femmes. Nous reprenons notre position initiale. Je le suce à nouveau
pour obtenir une belle rigidité de son membre. J’y parviens.
Nous tentons une levrette. Au prix de quelques contorsions, je sens enfin sa bite à l’orée de mon con.
Une vive poussée lui permet de me pénétrer. Il commence à me défoncer. Je suis chaude, excitée et je sens mon plaisir remonter. Un gémissement s’échappe de mes lèvres aussitôt interrompu par la brulure de la cravache sur mes fesses. Lui aussi doit se prendre des coups de cravache pour retarder son orgasme car de temps en temps, il me pénètre d’un coup sec et la cadence de ses coups de reins diminue.
Nous baisons ainsi longtemps, en silence, retenant notre plaisir. Sa queue dure et tendue coulisse dans mon con inondé. Les cravaches perdent de leur efficacité, ses coups de reins ne ralentissent plus. Son manche palpite dans mon ventre. Je crie, je gémis de plaisir, je ne sens plus rien d’autre que le feu dans mon ventre, que la douleur de mes seins gonflés et la queue qui me défonce de plus en plus vite. Mais je ne peux, je ne veux pas jouir sans l’accord de Philippe. Je lui lance des regards, je
l’implore en silence de me libérer. Il me sourit, de son sourire carnassier. Il me domine, m’interdit cette liberté. Puis, enfin, il me libère d’un hochement de tête quand le jeune homme pousse un râle dans mon dos. Un tremblement, une puissante giclée de sperme suffit à mettre le feu à ma poudrière. Je crie de plaisir, du plaisir de me faire défoncer la chatte. Nos orgasmes retombent, nous tombons sur le côté, nos sexes se séparent. Des applaudissements fusent.

Tous les invités vont ensemble prendre une douche. Je reste seule avec Philippe qui me débarrasse de mes harnais. Les autres prennent vite congés, redevenus des hommes cravatés, des femmes embijoutées, des couples de bourgeois que l’on pourrait croire bien-pensant si on se fiait à leur apparence, à cette couche de vernis de bienséance qui les recouvre, qui nous recouvre tous.

Philippe m’accompagne alors dans ma chambre. Aurait-il encore envie de moi ?
Je lui fais par de mon désir de prendre une douche. Il me répond qu’il est d’accord et me propose même de m’accompagner. Nous sommes sous le jet de la douche, proches l’un de l’autre, nos peaux savonnées se frôlent, se caressent.

Je crois rêver quand Philippe m’enlace la taille et me colle à lui. Il n’a jamais fait ça. Et il fait une chose encore plus extraordinaire, une chose qu’il n’a jamais faite, une chose qui me laisse pantelante.

Philippe pose ses lèvres sur ma bouche et m’embrasse.

Puis sans prendre la peine de nous sécher, il me porte jusqu’à mon lit et s’y allonge avec moi. Il me dit alors d’une voix douce :
- Cécile. A partir d’aujourd’hui je te rends ta liberté.

Ces quelques mots font jaillir des larmes de mes yeux et ce ne sont pas des larmes de joie. Pourquoi me faire cadeau d’un baiser, d’un vrai baiser d’amour alors qu’il veut me virer. Son sadisme est extrême et je fonds en sanglots.
- Mais Philippe, je suis votre soumise, votre chienne obéissante. Qu’ai-je fait qui vous contrarie au point de me rejeter ? Punissez-moi mais gardez-moi, s’il vous plait.
- Ne pleure pas, Cécile car tu n’as pas compris ce que je voulais dire. Je me suis certainement mal exprimé. Je veux te rendre ta liberté d’agir, d’aller et venir comme bon te semble, de faire ce que tu veux. Mais je veux aussi, si tu le souhaites, te garder auprès de moi.

Cette dernière phrase me rassura.
- Mais vous ne me ferez plus connaitre les jouissances extrêmes que vous m’avez fait
découvrir ?
- Bien sûr que si. Mais quand tu le souhaiteras et aussi toujours si tu es d’accord, nous pourrons aussi refaire des soirées comme celle-ci. Mais tu auras la liberté de me dire non.

Cette fois-ci, c’est bien des larmes de joie qui jaillirent de mes yeux. Et pour inaugurer ma liberté toute fraiche, je roulais sur Philippe, je l’embrassais à pleine bouche en riant aux éclats puis je me lovais dans ces bras pour une nuit d’amour qui fut sans doute la plus exquise que femme n’ait jamais connue dans les bras de son homme.

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Commentaires de l'histoire :

Puss'n boots
Quelle formidable histoire, d'un érotisme et d'une rare finesse. Bravo.
Posté le 1/01/2023

Anonyme
J'aime beaucoup cette fin en fanfare, qui va permettre une relation plus respectueuse et normale entre adultes que la soumission initiale. Certes, elle venait en quelque sorte en remerciement, mais l'asservissement était bien là. Désormais, la liberté est renouvelée pour chaque occasion et acte de la vie.
Posté le 22/03/2022

Henic
Le scénario de cette histoire en 2 épisodes relève presque du conte de fées, même s'il se déroule dans un milieu où les fées sont plus souvent sorcières que Clochette... Mais après une intrigue bien menée et excitante de bout en bout, la chute en est belle. Merci à CécileS.
Posté le 18/07/2021

Sisyphe49
Une merveilleuse histoire, profondément chargée d'érotisme et d'amour ! Merci de tout coeur et très belle Année, pleine de plaisirsss de toutes sortes !
Posté le 5/01/2019

Sisyphe
Une histoire chargée d'émotions et jouissive au possible ! Bravo, et je vous souhaite une très belle inspiration pour l'année à venir. Sans compter d'intenses jouissances !
Posté le 27/12/2018

Cindy
Magnifique histoire d'amour j'espère pour vous qu'elle est vraiment réelle car la fin avec ce fameux baisers ça m'a fais rêvé.
Posté le 2/11/2016

niny
J'adore
Posté le 20/10/2016


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