Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #6

Karine supposait qu'elle ne pourrait pas faire pire avec Valentin, mais invitée à un soirée avec des amis de son chéri, elle tomba des nues lorsqu'elle appris qu'ils avaient vu ses photos et vidéos sur le Net...

Proposée le 21/08/2021 par goelan

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Les jours filèrent encore et ma vie amoureuse chassa peu à peu ce trajet des plus provocants. Un vendredi soir nous étions invités chez des amis de Valentin. Je ne les connaissais pas du tout et j'avais peur de faire mauvaise impression. Mais il me rassura.
C'était la première fois que nous sortions en couple hors de notre train train quotidien. En fait je n'avais pas de vrais amis. Des camarades de classe, au sport aussi, de la famille aussi, mais pas de vrais amis ou amies à qui me confier ou pleurer dans les jupons lorsque cela n'allait pas. 

Par contre, Valentin avait un carnet d'adresse assez fourni, beaucoup n'étaient que des relations de son travail mais aussi des fans de ses photos, vidéos et autres dérives sexuelles. Ceux-là je n'avais guère envie de les côtoyer. Il avait aussi un vrai ami gay, mais comme il était son ami, il m'avait juré n'avoir rien fait avec lui. Je voyais d'un mauvais oeil toutes personnes qui s'intéressaient de trop à la plastique de MON chéri. 
Niveau relation, cela allait mieux après cet épisode derrière les bambous. J'avais classé l'affaire et nous étions repartis sur de nouvelles bases.

Question sexe, il me faisait autant crier mais dans mon studio je tentais quand même de baisser le ton, en effet, j'avais la méchante manie de m'exprimer assez fortement. Dans son appart, nous avons essayé toutes les pièces, du lit au canapé, de la cuisine à la salle de bain et même une fois directement contre le mur d'entrée à peine la porte refermée derrière nous. En parlant de derrière, il m'enculait régulièrement. Je ne disais pas non mais il fallait une bonne préparation, même si comparé à la première fois, mon cul s'habituait à sa bite et l'accueillait plus facilement. Comme quoi, comme il disait, rien ne vaut un bon petit entraînement régulier.

Je ne voulais pas qu'une trop grande routine s'installe. Je sais qu'à terme c'est ce qui se passe dans les couples, mais j'acceptais donc ces idées un peu loufoque sauf si cela impliquait des inconnus dans les bois ! 

J'avais aussi accepté de poser pour son profil dans l'appli, mais sans jamais le visage ! Nos photos rencontrèrent un grand succès. Toujours très bien travaillées et postées à très peu de cadence. Je pris même la pose en robe à sa place, de dos et dans les mêmes tons, nous rîmes car personne n'en fit la différence ! 

Le vendredi soir arriva, j'étais stressée, et dans ma naïveté j'avais juste, mais juste oublié de lui demander un truc. Avait-il déjà eu des relations sexuelles ponctuelles ou régulières avec l'un des membres de ce couple, sinon les deux ? Si je lui avais demandé, la soirée se serait sûrement passée autrement... Même si encore une fois, pour sa défense, il n'avait rien prémédité et beaucoup de choses étaient de ma faute.

Ce couple, Roxane et Grégoire, habitaient dans la banlieue de Parie, à 50 minutes en TER, plus le reste de la route, nous en avions pour 1h15 de route. Juste pour voir des gens, le retour semblait assez rude... Pour cette raison, nous étions partis assez tôt afin d'arriver vers 18h00 chez eux.

Pour l'occasion, je portais une robe noire à bretelles fine et un petit gilet au cas où, le bas de la robe était fendue sur le côté jusqu'à mi-cuisse, des ballerines de la même couleur, souples et confortables.

Roxane et Grégoire semblaient être très sympas, le mec riait pour un rien et la fille était toute simple. C'était une grande brune un peu en chair, gros seins, grosses fesses et tout ce qui va avec. Elle avec de longs cheveux tombant dans son dos attachés avec un nœud à fleurs. Elle était habillée avec une jolie robe à motifs floraux qui se tendait sous ses formes avantageuses.

Ils étaient un peu plus vieux que nous. L'homme lui était tout simplement en jean, t-shirt et baskets, il avait une bonne carrure et devait être adepte de la gonflette. Cela me rappela mon rêve avec le contrôleur et je cachais un sourire.
Il nous prévint tout de suite qu'il nous accompagnerait en voiture si la soirée devait durer donc pas d'inquiétude pour notre TER de retour, en plus c'était 2 fois moins long. 
Nous prîmes l'apéro dans leur salon, ils possédaient une belle et grande maison dans un lotissement. En banlieue de Paris, ils pouvaient se permettre cela.

Au début, ils ne furent pas inquisiteur envers ma personne, quelques questions ici et là, sur moi, mes études, comment on s'était rencontré, etc. Sur ce sujet, nous nous étions mis d'accord, juste une discussion sur le Net qui a dérivé sur la photo pour lui et le dessin pour moi et de fils en aiguille, on s'était vu, etc.

L'apéro était déjà bien arrosé. A table, le menu fut simple mais bon, là ce fut le tour du vin qui coula à flot, sauf Grégoire qui ne buvait pas d'alcool. Tout à coup Roxane lança une phrase qui me fit l'effet d'une bombe

- Alors c'est vous que l'on peut apercevoir sur les photos de Valentin ?

Ma main tenant ma fourchette pleine s'arrêta devant ma bouche ouverte. Je devins rouge comme une écrevisse et un froid inattendu dévala mon dos. Je tournais ma tête lentement vers mon chéri qui avait l'air aussi surpris que moi.

- Désolé, fit Roxanne, je ne pensais pas casser l'ambiance, vu que vous les avez postées, je ne pensais pas que cela te gênerait me fit-elle avec un grand sourire. Heureusement que j'avais déjà bien bu car sinon je ne sais pas comment j'aurai réagi, pour le moment l'info arrivait à mon cerveau et semblait y rester bloquée.

- Je... Heu... Répondis-je reposant ma fourchette.

- Ne vous inquiétez pas, nous aussi on en poste, Valentin ne vous l'a pas dit ?
Nouveau coup d'oeil, il semblait mal à l'aise et surpris par la tournure des choses.

- Je n'ai pas pensé à lui en parler, répondit-il laconiquement

- En tout cas, tu as un sacré clito ! Renchèrit Grégoire en me fixant dans les yeux. Je n'en ai jamais vu des comme ça, et pourtant j'en ai vu dans ma vie.

Là, je passais directement au rouge cramoisi et mes jambes tremblaient sous la table. J'avais l'impression qu'il pouvait me voir nu sous mes habits. La tête me tournait et j'attendais de l'aide de mon chéri... Qui ne vint pas, enfin si mais pas comme je l'entendais.

- Mais Roxane à une sacré paire de seins, tu verrais ses auréoles !

Elle se mit à rire de sa main sur sa poitrine, la secouant généreusement.

- Tu n'étais pas le dernier à me liker et à me commenter, ça fait un petit moment d'ailleurs que tu n'es pas venu nous visiter, je comprends mieux pourquoi maintenant.
Dans quel sens devais-je prendre cette remarque ? Venir les visiter ? Sur l'appli ou ... Je préférais ne pas y penser.

La pilule étant difficile à avaler, je pris mon verre de vin et le bu presque d'un trait. La tête me tourna encore plus mais je fis comme si de rien n'était.

- Belle descente ! Clama Grégoire, encore un verre ?

- Non, non, ça ira, répondis-je un peu moins rouge mais la voix moins sûre aussi.

- Allez, faut terminer la bouteille ! 

Et il resservit tout le monde, sauf lui.

- Je t'envie, me dit Roxanne

- Ah bon répondis-je mal à l'aise. 

Les événements prenaient une tournure pas vraiment prévue.

- Tu as de la chance d'avoir une si petite poitrine, si tu savais les problèmes que j'ai avec mes gros seins.

Elle ponctua sa phrase en les prenant à pleine mains, les faisant encore plus ressortir.
Combien de fois j'ai dû rougir durant la soirée, je ne saurai compter. Mais cela amusa mes hôtes mais aussi Valentin, quel pervers. 

Le pourri il ne venait pas m'aider du tout, hein ! Le saligo avait insisté pour poster des photos de moi nus mais sans ma tête, de mon intimité et de nous deux ensemble. Et bien le résultat était là maintenant, ce couple à l'air si sympathique, était plutôt porté sur la chose et n'avait pas hésité à me détailler de la tête aux pieds avant notre venue.

- Karine, au contraire, elle voudrait en avoir des plus gros !

- Mais, arrêtes, dis-je en le frappant sur l'épaule.

- Vous êtes si mignons tous les deux, s'amusa Roxanne. Mais pour te répondre Karine, personne n'est jamais content de ce qu'il a. Moi je suis trop grosse mais aucun régime n'a su enlever cette graisse et mes formes !

- Moi je t'aime comme ça chérie, rétorqua faussement outré son compagnon

- Oui, bon toi tu es à part, tu aimerais même une vache si tu n'avais pas le choix !

- N'importe quoi, mais comprenez qu'il faut avoir de quoi toucher pour s'amuser, sinon on s'ennuierait vite !

- Valentin m'aime comme je suis, rétorquais-je sans le vouloir, sûrement à cause de l'alcool.

- Oui mais Valentin a toujours eu des goûts très personnels.

- Qu'entends-tu par cela ? Demandais-je à la fois curieuse et hargneuse qu'on s'en prenne à MON homme !

- Je ne pense pas que tu sois au secret vu ses photos, et j'avoue que vous allez super bien ensemble, vous avez tous les deux un petit côté androgyne très sexy.

Je rougis encore une nouvelle fois. Mais que ne savaient-ils pas de nous ou de Valentin ? Sans m'en rendre compte, je venais de vider le verre de vin suivant. Je ne pouvais pas du tout suivre ce genre de conversation dans mon état normal. Mais là je n'aurai pas dû abuser, je me sentais légèrement à l'Ouest. Mon voisin n'était pas beaucoup mieux et je le vit ronger son bout de pain pour faire passer le vin.

Le dessert arriva faisant une pause dans ces palabres gênantes, enfin pour moi.

Une bonne tarte aux pommes et noix, et très goûteuse en plus. 

- C'est bien ton petit derrière qu'on voit se faire sodomiser sur l'appli ? Lança Grégoire innocemment. Ce n'est pas trop dur à faire passer ... enfin vue sa taille ?

Je recrachais le morceau que j'étais en train de manger, je pris mon verre, bu de travers et m'étouffais, j'étais sur le point de faire un scandale et de partir, si mes jambes arriveraient à me porter. La tête me tournait et de nouveau cramoisi, je simulais toujours la toux pour ne pas répondre. 

Valentin me tapa le dos, s'inquiétant de ma santé.

Roxanne fit le tour de la table et repoussant la main de Valentin se mit à me masser les épaules pour me décontracter. Ses doigts étaient magiques et je me laissais aller contre le dossier de la chaise tout en soufflant doucement. J'étais rouge de honte et l'alcool me donnait le tournis. Il fallait que nous quittions ces gens au plus vite...

- Enfin Grégoire, ce n'est pas une façon de parler à Karine, tu vois bien que cela la met mal à l'aise.

Le Grégoire haussa les épaules et fit un clin d'œil à Valentin. Lui avait fait des choses bien pires, alors il n'était pas du tout choqué plutôt intéressé par la suite des évènements, l'alcool n'aidait pas non plus à se rendre compte de ce qui se passait vraiment. 

Roxane repoussa les bretelles de ma robe sur mes épaules, puis un peu plus sur mes bras. Elle me massait avec dextérité et je me sentais bien et je me détendais doucement sans le silence de la pièce.

Ses doigts glissèrent sur mon cou et puis sur ma nuque, je fermais les yeux, et plus personne ne parlait.  Elle me poussa doucement vers l'avant me décollant de ma chaise. La gravité fit son boulot et ma robe glissa toute seule s'accrochant à mes tétons déjà pointus. Roxanne me massait toujours et ses mains s'aventuraient maintenant par devant vers le haut de mon buste.

Ma respiration devint plus lourde....

- Tu lui fais quoi ? Murmura Valentin à côté de moi.

- Laisses mon choux, répondit doucement Roxanne, elle est assez grande pour dire stop.

Stop à quoi ? Je ne comprenais pas. Je sentais un parfum capiteux venir à mon nez, c'était celui de Roxanne dans mon dos. Ses doigts étaient doux et me faisaient du bien. Je ronronnais presque.

Grégoire me regardait avec des yeux brillants, et pourquoi plus personne ne parlait ? 
Roxanne me repoussa doucement sur le dossier capitonné de la chaise, je sentais sa chaleur dans mon dos, sa tête au-dessus de la mienne et ses mains qui descendaient.
Du bout de ses phalanges elle repoussa le tissu de ma robe. Celui-ci résista sur mes gros tétons pointus puis passa par-dessus laissant ma micro-poitrine visible.

- Arrêtes ! Murmura Valentin en posant sa main sur le poignet de Roxanne. Sa voix n'était pas du tout assurée mais au moins il avait la conscience d'intervenir.

- Profites, répondit Roxanne. Si elle sort avec toi, elle doit aussi apprendre comment tu vis.

Lorsque ses doigts capturèrent mes tétons, je poussais un petit cri à la fois de surprise et de plaisir. 

- Je... Il ne faut pas ! Articulais-je difficilement la voix pâteuse. 

- Au contraire...

- Ah bon ? Répondis-je bêtement.

Je soufflais lorsqu'elle me massa ouvertement mes seins jouant avec mes pointes bien dures.

- Roxanne ! Plaida encore Valentin mais sans bouger d'un poil. "Elle ne veut pas..."

- Tu en es vraiment sûr ? Lui rétorqua-t-elle en glissant une de ses mains plus bas, se penchant à moitié sur moi. Je sentais ses gros seins sans mon cou et sur mon épaules. Ils étaient doux et chauds, très gros surtout.

Elle me massait maintenant le ventre sous le devant de ma robe et son autre main fit passer les bretelles une à une par-dessus mes bras.

Grégoire n'en loupait pas une miette. Il me voyait les yeux mi-clos, le visage rouge, la respiration difficile, entre les bonnes mains de sa femme. Il devait bander et cette idée me fit chaud dans le ventre. 

- Valentin, sort ton engin et prend lui sa main.

Il la regarda longuement puis moi, j'étais aux abonnés absents, pris dans un étau de chair chaude et réconfortante.  Son parfum était entêtant et captivant. Elle prit mon verre et me le tendit, je bu quelques gorgées sans m'en rendre compte.

Valentin me pris ma main, je me tournais vers lui et souriait en voyant sa grosse bite tendue. Il se leva, et je commençais à le branler doucement sans aucune honte à part quelques petits rires.

- Grégoire, l'autre main s'il te plait. 

L'autre n'attendait que cela et se mit sur mon autre profil. Il sortit son sexe tendu aussi, bien moins impressionnant que celui de Valentin, mais très sympa tout de même.
Il me prit ma main libre et la posa sur son sexe sortit droit comme un "i". Je plissais les yeux et le fixais comme un ovni, qu'est-ce que je tenais dans la main? Je me mis à le branler doucement, cela me faisait penser à ce voyeur qui en avait profité au fond du parc. Grégoire aussi était un voyeur ?

Je branlais donc ces deux messieurs pendant que Roxane me caressait du cou au nombril. 

- Elle l'a déjà fait à plusieurs ? Murmura Roxanne à Valentin.

Il secoua la tête, à priori il n'avait pas l'intention de raconter l'épisode du voyeur.

- Si, répondis-je à sa place, d'une voix peu assurée. Une fois, un voyeur nous a vu, il est venu et je l'ai sucé. Je me suis mise à rire à ce souvenir.

Roxanne lança un œil interrogateur à Valentin qui affirma de la tête.

- C'est tout ?

- Oui, soufflais-je bruyamment.

Je sentis une pression sur ma joue, Grégoire venait de pousser son sexe vers mon visage.

Je fis un "ô" avec ma bouche et il en profita pour pousser son gland entre mes lèvres.
Le tenant toujours de la main, je me laissais faire et il se mit à faire aller et venir sa bite dans ma bouche. Je le taquinait avec ma langue, fermant les yeux et ce fut moi qui le pompais ensuite.

Roxane me lâcha et j'eu froid dans le dos, sa chair était si moelleuse et chaude.
Sans effort, elle repoussa sa chaise, qui était en face de moi et souleva le coin de la table sans un bruit pour la reposer un peu plus loin. 

Elle se posa alors à genoux en face de moi.

Valentin me tira de son côté et me présenta sa bite. Je me mis à la sucer puis celle de Grégoire, les deux queues se trouvèrent côte à côte et ma langue passait d'un gland à l'autre. 

Elle me caressa les mollets et remonta doucement vers mes genoux et mes cuisses. Elle repoussa le tissu de ma robe fendue pour mieux me caresser. 

J'étais toute chose, mon ventre me brûlait et dans mon état normal, je me serai déjà enfuie les jambes à mon cou. Mais complètement bourrée comme je l'étais, merci nos chers hôtes, je m'abandonnais dans cette plaisance sexuelle qui m'avait déjà joué des tours dans le parc.

Roxanne était de plus en plus entreprenante. Elle m'écarta les jambes doucement me tirant vers l'avant du siège. Moi de mon côté je pompais bite à droite, bite à gauche. Les deux hommes me caressaient les cheveux, le visage, la nuque et même mes tétons super sensibles. Entre deux fellations je respirais fortement et laissais échapper un petit gémissement lorsqu'ils me pinçaient les seins.

Roxanne remonta encore plus haut et passant sous ma robe attrapa ma petite culotte en satin noire et commença à la tirer vers elle. Une bonne poignée de secondes plus tard, elle la faisait passer par mes pieds. Elle m'écarta les jambes de manière obscène et avait vu directe sur mon intimité dont mon clitoris super gonflé.

Grégoire se pencha et me suça un sein, il me caressa aussi le ventre. A moitié affalée sur mon siège, les jambes bien écartées, la bouche et les mains actives, j'aurai refusé de croire qu'un jour je me retrouverai dans cette posture.

Je me tendis d'un coup et gémit lorsqu'une langue vint me sucer le clitoris. Roxane, penchée entre mes cuisses, m'aspirait le bouton tout en me le titillant du bout de sa langue.

Elle le lécha le sexe pendant un petit moment et je n'arrêtais pas de gémir et me tortiller en même temps, je n'arrivais même plus à sucer les deux autres.

- Emmenons-là au salon dit-elle en se relevant.

Ils me mirent debout et ma robe glissa à terre me mettant complètement nue. Je tenais toujours les deux bites en mains et ils me guidèrent ainsi vers le canapé. Ils me placèrent au milieu.

Roxane se replaça devant moi et me tendit une capote ouverte.

- Tiens, enfile là sur la queue de Grégoire

- Hein, pourquoi ? Répondis-je bêtement en regardant le bout de plastique.

- Parce qu'il va te baiser, me répondit-elle en me massant l'intimité du bout des doigts.

- Mais... J'aime Valentin...  Répondis-je en fixant mon amoureux, c'est lui que j'ai envie

- Le sexe et l'amour ce n'est pas pareil

- Ah bon ?

- Depuis qu'il t'a vu en photo toute nue il n'a envie que d'une chose, te faire jouir

- Ah dans ce cas, répondis-je en gloussant. J'avais comme un étau dans mon crâne, l'alcool m'abrutissait les sens.

Tant bien que mal j'enfilais le préservatif sur la bite de Grégoire en riant

- Et maintenant, dis-je ?

- Il va te faire crier

Elle se releva et Grégoire prit place à genoux entre mes jambes.

- Elle est vraiment belle et fine, lança Roxanne à Valentin

- Je sais, répondit-il excité, la queue droite comme un "i"

- Cela ne te fais rien que ... ?

- Cela m'excite de la voir ainsi, ensuite on verra.

Pendant ce temps Grégoire avait pris mon clito entre son index et son majeur et il frottait la pointe turgescente avec son pouce. Mon intimité était trempée et je gémissais déjà de plaisir.

Il fit glisser son gland plus bas à plusieurs reprises, puis je le sentis glisser en moi d'une seule poussée. J'ouvris la bouche en grand et fixais mon entre-jambe. Je ne voyais plus son sexe, mais où était-il ? Il se retira doucement m'arrachant un soupir, ah oui il est là et... Mais il me baise !

Le temps que l'information arrive à une partie de mon cerveau encore lucide, il avait relevé mes hanches et donnait des coups de bassin en moi. Le choc vida la réflexion en cours et  je sentis sa bite me donner du plaisir.

- Regarde-là comment elle part au quart de tour, elle est vraiment hyper sensible.

- Lorsqu'elle commence à jouir, elle ne se rend plus compte de rien.

- Occupons-nous de toi, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu celle-ci!

Elle se pencha et commença à butiner la bite de Valentin juste devant mes yeux, une pointe de jalousie me traversa.

- Tu ne... ahhh, n'a pas le droit...Rhhaaa, il est à moi !

Il fallait que je comprenne ce qui se passait là, mais j'haletais tellement sous les coups de bite en moi que j'avais du mal à me concentrer. Si Roxanne se permettait de sucer mon homme alors qui me faisait jouir ?

Je glissais ma main entre mes jambes et je sentis entre mes doigts le sexe gluant de mouille de Grégoire se planter à grands coups en moi. Je me faisais baiser par Grégoire ? Merde alors. Lorsqu'il commença à me sucer mes tétons et à les tirer, je gémis plus fort. Pendant ce temps Roxane se déshabillait. Elle était en chair mais pas obèse, son soutien gorge  E  fut jeté à terre, laissant voir ses seins étaient vraiment énormes !

Elle s'affala à côté de moi.

- Viens me baiser Valentin, viens !

Je n'eu pas l'occasion d'assister à la scène, Grégoire planta sa bouche sur la mienne et chercha ma langue. Je fermais les yeux et bataillais avec cette intruse pour tenter de reprendre mon souffle.

Lorsqu'il me relâcha la bouche, je pu enfin voir mon chéri, sa queue plastifiée, pourfendre l'intimité de Roxanne. Mon coeur rata un battement de jalousie, comment osait-il faire cela devant moi ?

Cette pensée fut coupée lorsque Grégoire se retira et me mit en levrette, il se plaça derrière moi et se planta à nouveau dans mon vagin. Il me tint par les hanches et se mit à me besogner avec cadence.

- Qu'est-ce qu'elle crie, remarqua-t-il à l'adresse de Valentin sous mes gémissements et cris de plaisir. 

Roxanne se pencha vers moi et relevant ma tête elle appuya ses lèvres sur les miennes pour m'embrasser. Il y eu des Youhou derrière moi et l'autre me baisa encore plus fort.

- Elle a déjà fait l'amour à une femme, demanda-t-elle ensuite à mon chéri la voix entourée de plaisir

- Pas à ma connaissance, répondit-il en sueur

Pour ma part je venais de partir en vrille et j'eu un orgasme digne de ce nom. Valentin y allait aussi à fond faisant gémir Roxanne mais à des décibels moindre.

Grégoire ne voulait pas se vider aussi rapidement, sentant le moment fatidique venir il se retira à temps pour faire descendre la pression. Affalée dans le canapé, le cul en l'air, je soufflais les yeux mi-clos regardant comme avec un filtre mon bien aimé enfiler ma voisine. Petit moment de lucidité, qu'est-ce que nous foutions ici au lieu d'être ensemble seuls dans notre lit.

Roxane se dégagea de Valentin et vint me trouver. Elle me caressa le dos, puis la nuque, je sentais ses gros seins contre ma peau. Elle passa sur mes petites fesses et glissa directement deux doigts en moi. Je gémis lorsqu'elle commença à les faire aller dans un léger clapotis. Les deux garçons nous regardaient en se massant la queue doucement.
Roxane passa derrière moi et à quatre pattes aussi, elle se mit à m'embrasser le postérieur puis me lécher le sexe. Je fermais les yeux, serrais les poings et poussais de nouveaux petits cris de plaisir.

Grégoire passa derrière sa femme et en profita pour la pénétrer.

Valentin me caressait et se plaçant sur le côté, il releva ma tête et me proposa sa bite à sucer sans le préservatif.

Roxane me lapait à grands coups  et inspectait de ses doigts chaque centimètre de ma peau et surtout de mon intimité. Elle m'aspira le bouton, le titilla, le frotta, le tira et le branla à la suite. J'étais si sensible de là que j'ai dû arrêter de sucer mon homme pour laisser échapper un énorme cri de plaisir. Je ne sais pas comment elle s'y prenait mais jamais Valentin n'avait réussi à me donner du plaisir avec sa bouche comme ça.
Elle s'attaqua ensuite à ma vulve, y glissant à nouveau ses doigts puis lécha ensuite mon anus. 

Grégoire d'où il était n'en perdait pas une miette, il baisait sa femme doucement pour ne pas jouir et ne plus pouvoir profiter de la soirée. Entre le gabarit de Roxane et moi, c'était le jour et la nuit, même s'il aimait les femmes fortes, cela ne le dérangeait pas du tout de s'essayer à autre chose et justement cet autre chose c'était moi.

Il s'était branlé devant mes photos et en avait parlé à sa lubrique de moitié. Après quelques conversations avec Valentin, l'invitation était tombée et leur petit plan pour finir en partie fine avait fonctionné. L'alcool bien étudié, fort et doux à la fois, trompeur surtout, m'avait complètement mis KO. Mais je n'étais plus aussi saoul, le plaisir et les sensations édulcoraient les vapeurs éthyliques. Je jouissais de ce qu'on me faisait subir, comme dans le parc, ensuite par contre, oui je me poserais 1001 questions et en voudrait au monde entier. Mais pour le moment, je suçais avidement Valentin tout en me faisant lécher et doigter.

Je sentis un doigt boudiné forcer mon petit trou, comme il en avait vu d'autres, avec sa salive et ma mouille, elle n'eu aucun mal à le faire rentrer. J'entendis une remarque de Grégoire assez grasse, je ne doutais pas de la suite des évènements, surtout avec sa remarque à table.

Il ne fallu pas longtemps non plus pour que je jouisse à nouveau, j'avais l'impression d'être une bête de foire.

- Tu peux y aller Grégoire, elle est prête, annonça Roxanne la bouche pleine de ma cyprine et ses doigts luisants sortant de mes deux orifices.

Celui-ci ne se fit pas prier, avec un peu de précipitation qui me fit crisser des dents, il pointa son gland sur mon œillet préparé et y poussa sa bite qu'il tenait en main. Elle se plia en deux puis comme par magie sa queue fut avalée par mon cul d'une bonne portion, puis il poussa en me tenant par les hanches pour faire rentrer le reste.

- Ahhhhh, fis-je ! 

- On voit bien que tu la ramone souvent, remarqua Roxanne, elle a tout gobé d'un coup !

Valentin se pencha pour voir le mandrin qui me sodomisait.

- Cela fait un drôle d'effet de voir quelqu'un d'autre passer par là

- Jaloux ?

- Oui un peu

- Mais tu aimes partager

- Seulement si elle dit oui, ajout a-t-il en me caressant la tête.

Grégoire m'encula avec un plaisir intense, il me limait le cul en me caressant les hanches et les fesses. Loin d'être de la taille de Valentin, il me donnait néanmoins du plaisir et je me mis à frétiller du bassin pour l'emmener vers lui.

- Mazette, s'écria Roxanne, mais c'est qu'elle en redemande !Tu as trouvé la perle rare.

- C'est pour cela qu'on s'entend bien.

Roxanne s'approcha de moi et m'embrassa à nouveau, elle prit le sexe de mon homme et le suça juste devant mon nez me le tendant ensuite, on se mit alors à le lécher tout les deux pour son plus grand plaisir.

J'avais mal aux genoux à force d'être comme cela heureusement Grégoire voulu changer de position et je me retrouvais au milieu du canapé sur le dos. Il s'installa entre mes jambes et retrouva le chemin tant convoité.

Les minutes s'écoulèrent dans un mélange d'orgasmes et de gémissements de tous côtés. Ce couple était vraisemblablement adepte de ce genre de soirée et Valentin y avait sûrement déjà goûté aussi.

Grégoire délaissa mon cul pour reprendre son souffle, Roxanne en bonne maîtresse de maison reprit les choses en main et nous proposa de nouvelles boissons, alcoolisées bien entendu. 

Puis elle me fit grimper sur mon chéri assis dans le canapé, dos à lui, je passais au-dessus de lui, me tenant sur Roxane car j'étais loin d'être agile lorsque l'alcool m'habitait, et lentement je me plantais sa grosse bite entre les fesses. Heureusement que Grégoire était passé par là avant, il m'avait bien travaillé de telle sorte que je n'eu pas trop de mal à le faire rentrer. Le dit Grégoire vint se mettre à genoux devant moi et avant que je ne comprenne ce qui m'arrivait, il occupa mon vagin d'un bon coup de rein.
C'était la première fois qu'on me prenait en double. Je regardais Roxanne d'un air affolé car à peine les deux bites entamèrent leurs mouvements en moi que j'ouvris la bouche pour gémir longuement. Elle n'en resta pas là et se mit à me titiller les tétons, m'embrasser goulument et me frotter le clito. S'en était trop, je basculais dans un état second. J'avais l'impression de courir un marathon, mon coeur allait éclater, tout mon corps était sensible et entre les deux pines qui me bourraient, les attouchements de Roxane amplifiaient mes sens.

J'étais la proie et nos hôtes étaient les chasseurs, j'étais tombée dans leur filet sans me débattre et grâce à eux, ou à cause d'eux, je découvrais d'autres facettes du sexe. Avant je n'aurai jamais imaginé ce qui m'arrivait actuellement, j'en aurai été horrifiée, et même si Valentin aurait mis cela sur le tapis, je l'aurai envoyé boulé. Mais maintenant je sautais sur deux queues en même temps et ne cessais d'en vouloir encore plus.

Je devenais une vrai furie, j'attrapais les seins de Roxane et le pétrissait, je me raccrochais à Grégoire pour le sentir encore plus en moi, j'embrassais qui le voulais et commençais à déblatérer des "encore" ou "plus profond", bref, je me lâchais complètement.

Je leur en voudrai peut-être ensuite mais pour le moment, seul le plaisir comptait à mes yeux. 

Ils changèrent de position et Valentin s'allongea, je passais sur lui et Grégoire derrière moi, vous imaginez la suite...

Roxane plaqua mon visage sur ses seins et je me mis à les lécher, les peloter et les caresser. C'était la première fois que je faisais cela mais ainsi je pouvais me rendre compte de la fermeté et de la douceur de gros seins. Oui, elle devait être gênée par eux, mais au moins elle avait de la poitrine elle.

Grégoire ne put se retenir plus longtemps, enfoncé à fond entre mes fesses, il éjacula dans son préservatif affalé à moitié sur moi. Il se retira pour se nettoyer, me laissant enfin seul, façon de parler, seul avec mon chéri. Lui aussi en aurait pour son grade plus tard, qu'il ne me dise pas qu'il n'y avait pas pensé aux conséquences en venant ici.
Valentin suivit Grégoire de peu et je sentis la pression de son sperme inonder le plastique avant que je rende l'âme aussi en jouissant une dernière fois.

Roxane me caressait le visage et me parlait avec des mots doux que je ne retenais pas, je n'avais envie que de 2 choses, prendre une douche et dormir, et aussi aller aux toilettes. J'étais usée, repue, sur les genoux et à bout de force.

Valentin passa son bras autour de moi et m'embrassa dans le cou, il chercha ma bouche, la trouva et nous échangeâmes un long baiser.

J'aurais pu croire que la soirée se serait terminée là. Mais après une nouvelle pose, chacun lové auprès de son chéri, je vis que le queue de Valentin reprenait vigueur, il faut avouer que j'étais nonchalamment en train de jouer avec, plus par automatisme qu'autre chose.

Le second round arriva plus lentement, mais ce fut Roxane qui subit les mêmes assauts que moi précédemment. Prise en duo, elle ne broncha aucunement lorsque le membre hypertrophié de Valentin lui déchira les entrailles. Si moi j'y goutais régulièrement, elle en avait aussi vu d'autres aussi.

Je ne me souviens plus trop de la fin, un dernier verre de rhum arrangé m'envoya au pays des songes. S'ils avaient encore profité de moi pendant ce temps-là, je ne m'en souvenais plus. Des brides de souvenirs de trajet en voiture dans la fraîcheur de la nuit et un retour difficile dans l'appartement de Valentin ressurgissent le lendemain. J'avais une de ces gueules de bois et surtout mal partout.

Lorsqu'enfin vers 14h00, j'émergeais réellement, plus que consciente de ce que j'avais fait, je me retournais pour en parler à Valentin, mais le lit était vide.
Je le trouvais dans la cuisine faisant à manger. Il avait aussi les traits tirés avec des cernes sous les yeux.

- Bonjour petit cul, marmonna-t-il en baillant

Je m'affalais sur une chaise en grimaçant , puis je lançais le sujet qui me taraudait l'esprit.

- Je... euh... Je crois avoir beaucoup trop bu hier soir, et nous, on, enfin, ce n'était pas un rêve ce qu'on a fait, hein ?

- Vu comment tu as crié, je pense que tu as dû alerter tous les voisins !

Je devins toute rouge et serrais le verre d'eau que je venais de prendre.

- Alors donc, on l'a bien fait avec eux, tes amis ?

- Oui et tu as adoré, plus que cela même, tu en redemandais alors que tout le monde se rhabillait.

- J'ai pas fait ça ? Quelle honte... Qu'est-ce qui m'a pris, ils l'ont fait exprès de me faire boire, ce n'est pas possible.

- Il doit y avoir de cela, mais si je n'étais pas pour au début, toi au contraire tu n'as pas refusé les caresses de Roxane, ensuite...

Quel pervers, il me mettait tout sur le dos. Je me pris la tête entre les mains tentant douloureusement de revivre la soirée.

- Tu aurais pu me tirer de là tout de même, avant qu'ils en profitent. 

- J'ai demandé à arrêté, je t'assure, tu ne t'en souviens pas ? Mais tu gémissais tellement...

- Non, désolé, mais je te crois, je n'étais plus moi-même, c'est toujours comme ça lorsque mon corps part en couille.

En fait, je ne savais pas si je le croyais. Oui Roxane m'avait caressé et ensuite... Tout était allé si vite.

- Attends, j'ai bien fait l'amour avec Grégoire ? 

Il affirma de la tête prenant place en face de moi à table.

- Et avec une femme ?

Nouveau signe de tête.

- Qu'est-ce que j'ai honte... Et ensuite, tous les deux vous avez...

Nouvelle affirmation. Il avait l'air amusé et cela m'agaçait.

- Et j'ai joui ? Ah oui, je me souviens, j'en ai mal à la gorge. Ils vont penser quoi de moi ? Tiens au fait, vire mes photos de ton appli, je n'ai pas envie de me faire sauter par tous tes amis qui te matent dessus...

- Si tu veux...

Mais il ne le ferait pas, de toutes manières c'était bien trop tard.

- Comment vas- tu vas me trouver maintenant ? Je t'ai trompé avec un autre, je... Je ne suis pas comme ça.

Je pense qu'il me connaissait assez maintenant pour attendre ce genre de réaction de ma part.

- Le sexe et l'amour, ce n'est pas la même chose. Je t'aime et toi aussi tu m'aimes, pourtant on a trouvé du plaisir autrement que nous tout seul.

- Cela combien de temps qu'on est ensemble, on part déjà baiser avec d'autres ? On fera quoi alors dans 6 mois, ou un an ? Moi attachée sur un pilori et un inconnu me fouettant ? Valentin, j'ai peur...

- C'est le contre-coup, c'est normal. Il me prit la main dans la sienne et déposa un baiser dessus. C'est la première fois de cette manière.

- Et la dernière aussi, je ne suis pas ce genre de femme.

- Hum, tu as oublié le voyeur ?

Je me mis à rougir.

- Ce n'est pas pareil.

- Es-tu sûre ?

Je repensais à mon rêve avec le contrôleur, et si cela se serait vraiment passé ? Je n'aurai pas dit non... Enfin mon corps surtout.

- Mais je ne veux pas d'une vie de débauche, je veux vivre avec toi, je ne suis pas normal, les autres ne feraient pas ça...

Heureusement pour lui, je ne lui avais pas demandé de me le jurer, car comme souvent lorsque je m'avançais dans ce genre de choses, j'avais tort.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

gecko45
J'apprécie beaucoup cette série excitante - Merci de la partager
Posté le 23/10/2021


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #5
Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #4
Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #3
Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #2
Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #1