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Dérive sexuelle en puissance d'une jeune étudiante #5

Karine n'est pas au bout de ses surprises. Mais où va s'arrêter ses découvertes sur le sexe ? Est-ce de la faute à son chéri Valentin ou alors à ses propres envies ? Dès que l'excitation la gagne elle n'est plus capable de résister...

Proposée le 30/05/2021 par goelan

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman


Le reste de la journée fut assez silencieuse, on se tenait la main mais pas plus. 

Une fois de retour chez lui, je me demandais comment notre relation allait évoluer. En fait c'était toujours pareil ! J'aurai pu me mettre des claques. Dès que mon ventre me brulait, j'étais incapable de réfléchir, mais ensuite, je n'arrêtais pas de cogiter encore et encore.

Sans se concerter, nous nous installâmes dans son canapé XXL rempli de coussins moelleux. Il sortit un grand plaid à fourrure et on se blottit ensemble devant Netflix.

- Tu m'en veux encore ? Murmura-t-il du bout des lèvres

- Je n'ai jamais fait cela avant et... Oui je t'en veux. Boudais-je

- Tu sais, je t'ai filmé...

- Quoi ? Sursautais-je ? C'est pas vrai tu es un vrai pervers !

- Et tu me dois 6 gages

- Va te faire enculer, m'exclamais-je en le frappant de mes petits points

- Tu m'en donnes l'autorisation ?

- Alors là, je te coupe les couilles si tu fais ça ! Tu es A MOI, A MOI, A MOI ! 

Je continuais à le taper et lui éclatait de rire en me serrant contre lui. Je finis par me calmer épuisée, par contre lui allait avoir des bleus car certains de mes coups avaient dû lui faire mal.

- Je vais porter plainte pour coups et blessures, plaisanta-t-il

- Oui, c'est ça et moi pour proxénétisme tiens

- Tu as oublié de te faire payer !

- Mais tu es vraiment un sale con, je boude !

- Encore ?

- Oui

- Tu veux pas te voir ? 

- De quoi tu parles ?

- Sur la fin, je t'ai filmé, une vraie furie

Je le fixais des yeux mauvais et les points fermés, il sortit son téléphone et lança la vidéo. Tout de suite mes gémissements emplissent la pièce.

- Fermes ça ! Enfin, Valentin... je n'ai pas vraiment aimé... Ce mec là, c'était un inconnu !

Je tentais d'attraper son smartphone mais il me le mit hors de portée tout en me montrant l'écran

Il avait d'abord filmé notre coït, mon corps qui rebondissait à chaque fois que son bassin claquait contre mes fesses puis l'écran me montra la bite de l'inconnue en main et ma tête qui le pompait furieusement, le léchait, ma langue qui l'astiquait tout en le branlant en même temps. Le tout accompagné de gémissements et d'allaitements. 

- Dis moi maintenant que je t'ai forcé !

- Mais tu es un monstre ! Sale pervers ! J'avais le visage rouge de honte

Il avait ramené son téléphone vers moi et, omnibulé je me voyais comme une spectatrice. Cette fille à l'écran ce n'était pas moi, pas possible, elle était en feu, je ne l'avais pas fait, ce n'était pas vrai !

- Tu avais prévu tout ça

- La séance photo oui, mais tu m'as tellement excitée que je ne pouvais pas me retenir

- Et tu connaissais les lieux ?

- De réputation, je savais qu'il y avait un coin tranquille derrière, il sert aussi pour les ados se becqueter ou pour certains deal le soir

- De la drogue ?

- Plutôt du sexe...

- Et donc tu savais qu'il pouvait y avoir des voyeurs

- Le soir oui, en journée je ne le pensais pas

- Donc tout cela n'était pas prémédité, dis-le moi franchement...

- Non ! Je te le jure... Je ne sais même pas qui c'était.

- Pourquoi m'as-tu demandé de le branler alors?

- L'idée m'avait excitée sur le coup, je ne pensais pas que tu allais dire oui, encore moins de lui faire une felllation, je ne te l'ai pas demander...

- Il me l'a fourré dans la bouche, que voulais tu que je fasse ?

- Le mordre ?

L'idée de m'était pas venue du tout à l'esprit et à me voir aussi délurée me rendait malade

- Ce n'est pas possible, j'ai pas fait ça.

- La preuve...

- Et toi tu l'as laissé faire ? Ta copine se fait violenter par un vicelard et tout ce que tu as fait, c'est me filmer, me branler et me baiser !

- J'avoue... Mais il n'y avait pas l'air d'avoir de risque et tu semblais prendre ton pied...

- Mais tu n'es qu'un sale vicieux...

- Toi aussi...

Nouvelle flopée de coups, il demande grâce et je me blottis contre lui sous le plaid vexée et atterrée par ce que j'avais fait.  

- Je n'étais pas comme cela avant

- Tu es sûre ? Tu as toujours été voyeuse, il n'y avait qu'un pas pour devenir exhib...

- Je ne suis pas normale alors, c'est cela que tu veux me dire ?

- Où est la normalité ? Est-ce de répondre à ses envies ?

- Mais tu n'as pas été jaloux ?

- J'ai failli lui en coller une, j'avoue, mais mon esprit était si embrumé de sexe qu'il a prit le dessus sur la réflexion. Je me demande d'ailleurs après coup, vu le bruit qu'on a fait, s'il n'y avait pas d'autres personnes qui nous ont épié.

- Merde, j'espère que non...

- C'est trop tard maintenant...

- Je n'ai pas envie de rentrer, dis-je en changeant de sujet

- Reste ici alors !

- J'ai déjà loupé le sport de matin, j'ai tout juste penser à les prévenir, et demain j'ai cours.

- Rentrons tout de suite chez toi, je prend mes affaires on on y sera avant le dîner au lieu de rentrer tard dans le noir.

C'est ce que nous fîmes, même si je regrettais déjà la taille des lieux.

De retour dans mon studio tout petit, nous mîmes la tables dehors et dînèrent devant la vue de Paris, puis ensuite un gros dodo. Mes rêves furent confus et je voyais des bites partout à tel point que je me réveillais trempée non seulement de sueur mais aussi entre les jambes. 



Notre vie devint rapidement routinière. Durant les trois semaines suivantes nous passâmes de chez lui à chez moi tentant de nous voir le plus possible. Mais ce week-end là je devais revenir chez moi comme tous les mois. 

Je trouvais une excuse et écoutais mon passage pour n'y rester que le samedi, et pas question de parler de Valentin, en tout cas pas encore. Même si nos sentiments étaient partagés il me fallait plus de temps pour le présenter et il le comprenait. Comme à chaque passage, je dévaliser les lieux, façon de parler. Par contre, pas de bol, le samedi soir j'eu droit à un repas de famille avec quelques questions sur ma vie et, mes études et mon avenir. Ils avaient été déçu que je ne fasse pas médecine, mais c'était mon choix. Est-ce que j'arrivai à tenir ? A joindre les deux bouts ? Oui mais pas grâce à vous, mais ça je le leur disais pas. Bref, Ce dîner n'apporta rien de bien neuf dans ma vie.

A force de persuasion, je portais plus d'habits féminins, robe, jupe beaucoup moins courtes que d'habitude. Valentin en avait un placard entier, même s'il ne s'habillait plus en fille depuis la seule fois où il l'avait fait avec moi. J'avoue qu'en fin de compte oui je me trouvais pas mal et le regard des autres ne me mettait plus mal à l'aise comme avant, au contraire, mon côté exhib, comme il le disait, prenait le pas sur celui de voyeuse.

D'ailleurs à ce niveau là, lors du retour de chez mes parents, j'étais dans un TER à deux étages et il y avait quasiment personne dedans. Je filais aux toilettes durant le trajet et en remontant vers mon siège j'entendis des bruits que je reconnus aussitôt. Un couple, se croyant seul dans le wagon, s'adonnait à plus que ce que le raisonnable. Deux ados, pas plus de 16 ou 17 ans, y allaient sans retenue. La fille s'était installée sur son compagnon et sautait sur lui sans vergogne en gémissant de plaisir très discrètement. 
Etrangement je me retrouvais dans mon rôle de voyeuse à demi caché par l'escalier montant à l'étage du train. Je sortais mon téléphone et les filmais, cela exciterait sûrement Valentin. Bon on ne voyait pas grand chose, que les mouvements, mais c'était assez explicite. Le problème c'est que moi aussi j'étais excitée maintenant.

Je dû faire du bruit car la nana sursauta et avertit son copain, lui comme tous les hommes nia et continua à la faire sauter sur lui. Elle n'était pas rassurée pour autant et regardait partout mais ne voyant personne, elle se raccrocha à lui. Je leur laissais le temps de terminer leur petite affaire et repris ma place le plus silencieusement possible.
Deux arrêts suivants, ils prirent leur sac et passèrent devant moi, la fille fut surprise de me trouver là et je l'entendis dire dans l'escalier

- Tu vois qu'il y avait quelqu'un...

Le reste de leur conversation disparue dans le bruit du train et je me retrouvais seule et frustrée de n'avoir pu jouir.

J'envoyais le tout à Valentin qui me répondit que je ne m'ennuyais pas, il me taquinait, bien sûr mais cela l'excitait aussi visiblement.

Je n'étais pas assez folle pour me branler sur mon siège, mais mon clito me dérangeait de plus en plus et j'avais encore 30 minutes de trajet. Je retournais aux toilettes et appela mon chéri en chat vidéo, il avait une belle vue sur mon entre-jambe largement ouverte et je me branlais devant lui  me mordant la lèvre inférieure et gémissant de plaisir.

Lui-même sortit sa queue et se branla à l'autre bout de la caméra. Ce fut assez cocasse jusqu'au moment où l'on frappa à la porte des toilettes, c'était le contrôleur, pour les billets. Je paniquais et tentais de prendre la meilleure allure possible. J'ouvris quelques minutes plus tard et il poinçonna mon billet fronçant les sourcils.

Je filais à l'anglaise pour retrouver mon fauteuil honteuse et la peur au ventre qu'il m'ai entendu.

Un petit moment plus tard, le contrôleur repassa à l'étage pour vérifier qu'il n'y avait personne d'autre et me sourit en passant devant moi. Puis d'un coup il s'arrêta, hésita puis se retourna. 

Il était impressionnant dans son uniforme mais aussi par sa carrure, d'un âge moyen et il devait en avoir vu des choses durant sa carrière.

- Vous êtes seule mademoiselle ? Me demanda-t-il avec un fort accent du Sud

- Oui, enfin maintenant, il y avait un jeune couple tout à l'heure, mais ils sont partis. 

- Ah Ok, euh... J'aurai deux mots à leur dire si je les revois. Et pour vous, tout va bien ?
- Oui, oui, les sièges sont un peu durs mais j'ai l'habitude.

Que voulait-il dire par "si je les revois" ? Les avait-il vu ou entendu aussi ? Je me sentis mal à l'aise comme si j'étais coupable de ce qu'ils avaient fait. J'en avais été témoin et je n'avais rien dit.

- Ah bon ? vous voyagez souvent ?

- Une fois par mois pour voir ma famille, répondis-je

- Ah oui la famille... C'est important, c'est sûr, et...

Je vis que son regard se portait sur moi et sur mes jambes nues, je regrettais alors de ne pas porter mes tenues habituelles. Se faire belle pour Valentin c'était un fait, mais cela n'avait pas que des avantages. Je commençais à angoisser, que me voulait-il ? J'étais de plus en plus certaine qu'il m'avait entendu gémir dans les toilettes et rien qu'à l'idée, je piquais un fard. Oui j'avoue je n'étais pas discrète que voulez-vous, pourtant j'essaie mais je n'y arrive pas.

- Quelque chose ne va pas ? Me demanda-t-il

- Non, non, tout va très bien, bafouillais-je les joues rouges comme prise en faute
Mais quand allait-il partir ? Je commençais à angoisser, il n'allait quand même pas oser des choses sur moi ! 

- Je n'ai pas voulu entendre, mais tout à l'heure dans les toilettes, il y avait de drôles de bruit, et il y a un règlement vous savez ?

- Ah non, non, c'était un appel vidéo de mon copain... Un truc débile de réseau social.
Il me regarda d'un air peu convaincu, je devins encore plus rouge. J'avais vraiment l'impression qu'il avait tout entendu. Peut-être était-il derrière la porte à épier les bruits avant de toquer ? Je devais chasser cette image de ma tête.

- Vous ne semblez pas très à l'aise, je vous fais peur ?

Il se tenait à un mètre de moi et me fixait de toute sa hauteur. Ben tiens, bien sûr qu'il me faisait peur et il le savait en plus ! J'avais l'impression de revenir en enfance devant ce vieux prof grincheux et autoritaire en CM2. Personne ne l'aimait et il le rendait bien. Pas de chance pour moi, il avait pris sa retraite l'année de ma cinquième, j'en avais bavé avec lui.

- Non, euh, c'est que je...

- Vous savez, ce n'est pas bon d'utiliser son téléphone dans ce genre d'endroit, et surtout ce n'est pas très discret, heureusement qu'il n'y avait personne pour écouter, on aurait pu se faire des idées...

Je ne savais pas quoi répondre, je perdais mes moyens, je m'affolais, j'étais seule dans ce train avec ce malabar devant moi qui avait tout entendu j'en étais certaine maintenant.

- Je euh, je ne m'étais pas rendu compte du volume sonore, glapis-je rapidement

Ce qui n'était pas faux après tout.

- Hum... répondit-il en sortant son calepin.

Il me voulait quoi là ? Me mettre une prune pour branlette dans les toilettes ? Cela faisait cher le plaisir. Et puis ensuite ? C'était ma vie privée non ? La porte était fermée et il ne pouvait pas savoir ce que je faisais.

- J'ai fait quelque chose de mal ? 

Son regard me pénétrait comme un couteau dans du beurre mou. D'ailleurs j'étais aussi molle que du beurre. J'étais sur de hurler si un ballon éclatait près de moi ! 
- Eh mais ne pleurez pas mademoiselle...

En effet une larme coulait sur ma joue. Il se pencha et avec son gros pouce l'essuya. Je tremblais, le contact de sa peau caleuse sur ma joue, sa grosse voix, son ton sévère, sa carrure, j'étais tellement intimidé que j'en perdais tout mes moyens. 

- Je, je... 

Je me mis à pleurer. Je craquais, je savais, j'en étais persuadé qu'il avait entendu, j'étais honteuse, pourtant j'avais fait bien pire dans les bois, mais là, c'était le contrôleur, les forces de l'odre, je mélangeais tout, c'était surtout l'autorité.

- Allons, allons. Faut pas vous mettre dans tous vos états comme ça... Ce n'est pas si grave en fin de compte.

Il s'approcha et me colla à lui doucement m'entourant de ses bras pour me câliner comme un enfant après un bobo, je reculais mais c'était trop tard. J'étais secouée de tremblements, je sentais sa chaleur, son odeur musquée, le tissu rugueux de son uniforme, ses gros bras m'entourant et contre ma joue... la bosse. Il ne me lâchait pas et sa présence me rassurait, je me calmais peu à peu, mais étrangement, ce contact me dérangeait et une chaleur sourde envahi mon bas-ventre... Je savais sur quoi ma joue était posée, je sentais la chaleur qui s'en rependait, cela palpitait, c'était mou et dur ce n'était sûrement pas un accessoire pour son travail, en tout cas officiellement. 

Et lui savait ce qu'il faisait, je ne pouvais pas le voir mais je sentais son regard sur mon crâne. Et moi je ne faisais rien pour m'extraire de cet étau. Je pensais à Valentin ou au contraire je ne voulais pas y penser. Je ne savais pas comment il réagirait, soit il serait excité de me voir comme ça, soit il serait jaloux comme un pou.

- Cela va mieux ? Me demanda-t-il d'un voix un peu roque en me relâchant un peu
Mes yeux remontèrent vers lui, j'étais dans son ombre, comme captive d'un sortilège. Et visiblement je n'étais pas la seule à être troublée.

- Oui, répondis-je d'une petite voix

Il me caressa la joue, je frissonnais les yeux encore brillants de larmes et de son autre main il commença à ouvrir sa braguette. J'entendis le zip, je savais ce qu'il faisait, je ne pouvais détacher mes yeux des siens mais je ne voulais pas regarder devant moi, je refusais d'admettre ce qui allait se passer. Mon corps était mou, lassif, je ne tenais sur le siège que par sa main posée sur ma joue. Mon ventre était une fournaise, ma bouche à demi-ouverte laissait échapper une respiration de plus en plus saccadée. Ma poitrine se soulevait de plus en plus vite.

Sa main plongea dans l'échancrure de son pantalon. J'entendais le train rouler, le voyait les lumières du soir glisser sur les vitres à une vitesse folle, je sentais les vibrations du compartiment, et une odeur plus musquée encore tarauda mes narines. 

Il me sourit, pas un air méchant, plutôt entre la gentillesse et l'autorité que lui procurait son rôle. Il sortit son sexe dressé depuis un moment de son pantalon, je ne le regardais pas mais je savais qu'il était là. 

- Ouvre la bouche, murmura-t-il si bas que je ne l'entendis à peine.

Etrangement, j'ouvris la bouche et son sexe glissa entre mes lèvres comme un train en gare. Il me tenait le visage de sa grosse main puis il avança sa pine encore plus loin. Je refermais mes lèvres et il commença à faire bouger son bassin d'avant en arrière. Je sentais son gland glisser sur ma langue, son sexe me remplir puis repartir, une nouvelle larme coula sur ma joue mais pourtant je ne reculais pas et je continuais à soutenir son regard.

- Tu te faisais des choses dans les toilettes, n'est-ce pas  ?

Il n'attendit pas ma réponse et accéléra ses mouvements entre mes lèvres. 

- C'est interdit par le règlement, ajouta-t-il d'une voix hachée, tu comprends que je suis obligée de te punir ? N'est-ce pas ?

Ma tête fit un léger oui de bas en haut. Il me prit le visage à deux mains et poussa sa queue le plus loin possible. Je cru étouffer et le tissu de son pantalon toucha même mon visage. Il se recula et se dégagea de ma bouche, je toussais pour reprendre ma respiration. Sa queue retrouva ma bouche et il se secoua à nouveau d'avant en arrière à grands coups de bassin. 

- Va falloir payer en liquide, ajouta-t-il dans une mauvaise blague.

J'ouvris de grands yeux et voulu le repousser mais il me tint bien la tête et il déchargea au fond de mon gosier. Je fus forcé d'avaler son sperme avant qu'il ne me lâche, je toussais et crachais dès que j'eu la bouche libérée.

- C'est bien tu es une gentille fille, dit-t-il avec un sourire me voyant tousser à qui mieux mieux. Mais je ne suis pas du genre égoïste tu sais...

- Non, arrêtez, j'ai compris glapis-je lorsqu'il me poussa sur la banquette et passa sa main sous ma jupe.

- Des filles comme toi, j'en ai déjà vu, ça fait la sainte nitouche, mais ça demande que ça ! La preuve...

- Ahhhhh, criais-je

A moitié affalé, une jambe sur le sol, l'autre sur la banquette, sa main avait rapidement atteint mon intimité et ses doigts venaient de découvrir ma culotte trempée et il appuyait dessus.

- Je t'ai excité à ce point ?

- Je vous en pris, glapis-je, tentant de le repousser.

Mais j'étais si molle et passive que c'était comme vouloir se battre contre un pilonne en béton avec de la guimauve. Il était brusque et ses doigts glissèrent sous le tissu rencontrant ma chair gluante de cyprine.

- Ahhhh, m'écriais-je à nouveau lorsqu'il entra en moi un de ses doigts gros et épais. Arrêtez, non, pas ça, ahhhhh.

Mais je ne faisais rien pour l'arrêter, au contraire, j'écartais les cuisses. Mon corps me faisait défaut, ma volonté envolé, mon cerveau devenait l'animal sexuel qui prenait possession de moi bien trop souvent malgré moi.

- Merde, tu es vraiment unique toi ! 

Il remonta ma jupe, je mis un bras sur mon visage pour ne plus le voir, une jambe au sol, l'autre pliée sur la banquette, je le laissais se repétre de mon intimité. Il tira sur ma culotte et me l'enleva, je le laissais faire la respiration sifflante. Lorsqu'il plongea deux doigts dans mon vagin me pistonnant et me branla le bouton, je me mis à gémir et à crier de plaisir.

- Eh bien dis donc, c'est encore mieux que dans les toilettes, tu as du coffre petite. Heureusement qu'il n'y a plus personne ici. Et quel attirail que tu as là, j'ai jamais vu ça !
Je jouis d'un coup me tordant sous ses doigts.

- Arrêtez, s'il vous plait, je n'en peux plus.

Sa queue avait reprit de sa vigueur, je le sentais contre ma cuisse. Mais à ce moment une voix dans le micro précisa l'arrivée en gare dans une poignée de minutes.

- Merde, grogna-t-il.

Il regarda sa montre puis me releva en position assise, à genoux entre mes jambes qu'il écarta sans résistance, il chatouilla mon sexe avec son gland et d'un coup glissa en moi.

- Putain t'es une chaude toi ! Ajouta-t-il à mon encontre avec son accent du Sud

Il me baisa là, dans le wagon vide et je poussais des cris et des gémissements m'accrochant à lui pendant que sa queue me poignardait l'intérieur. Je venais de tromper Valentin, je m'en voulais déjà, mais je n'avais pas pu résister, je n'avais pas pu le rembarrer, je n'avais pas pu dire non, car pour le moment je criais des oui et des encore.
Une seconde alerte raisonna... Puis des cris... On me secouait.

J'ouvris les yeux tout à coup, j'avais la gorge sèche, la respiration saccadée, j'étais en sueur et je sentais mon entre-jambe trempé.

Un homme était penché vers moi, un contrôleur, il avait l'air inquiet, je sursautais et me reculais vers le fond de la banquette tentant de comprendre ce qui se passait.

J'avais rêvé tout ça ? En plus ce n'était pas du tout le même contrôleur que celui qui m'avait demandé mes billets après ma sortie des toilettes. Mais quand m'étais-je endormie ?

- Vous allez bien mademoiselle ? Vous sembliez agitée, et le train va arriver en gare, et...

- Je euh, un cauchemar, euh, merci beaucoup, je prends mes affaires, j'y vais...

Je filais comme une folle, les jambes en coton et l'esprit embrouillé.

Ce rêve érotique avait eu l'air si réel ! Ma conscience s'en voulait même d'avoir lâché prise et de m'être laissé aller ainsi à ce contrôleur...

Je n'avais envie que d'une chose là tout de suite, que quelqu'un me baise et apaise ce manque résultant de mes pensées érotiques si proches de la réalité !

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