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Les douze degrés du nirvâna 3

Suite du premier degré, “Tu aimeras ton prochain comme toi-même “. Après la mise en bouche, le maître auquel j’ai loué mon esclave passe au plat principal, puis au dessert. V. adore ce service pimenté par les punitions et humiliations que Gustav lui fait subir. La scène s’achève en apothéose pour tous les deux, esclave comme maître.

Proposée le 28/03/2021 par Chab

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


1. Tu aimeras ton prochain comme toi-même 2

A table

La table est rectangulaire en bois massif. Le maître de séant est assis à un bout et moi à sa gauche. Suivant ses indications, tu as dressé la table avec une belle porcelaine de Limoges cerclée d’or, trois verres en cristal chacun et des couverts en argent. Nous dégustons un vin blanc de Bourgogne sans rien dire, juste en t’observant. Tu es incroyablement bandante.

Il t’a fait revêtir une tenue de soubrette en satin noir bordée de dentelle blanche qui laisse tes seins et tes fesses à l’air. Une queue de renard les orne, rattachée à un plug en acier qu’il a enfoncé lui-même dans ton cul. Des petites pinces au bout desquelles flotte une clochette titillent le bout de tes seins. Deux pinces identiques sont fixées à ton sexe. Cinq stries rouges bien dessinées au fouet épais, façon nerf de bœuf, marquent ton cul, et trois autres ton ventre. Tu n‘as pas évité la punition lors de la première séquence, ayant été un peu maladroite lorsqu’il s’est agi d’ouvrir sa braguette avec tes dents. Une musique orientale lancinante accompagne la scène.

Tu finis de t’agiter dans la cuisine ouverte. Il a commandé un filet de bœuf saignant sauce béarnaise accompagné juste d’un fenouil braisé. Et des profiteroles glacées pour le dessert. Le tintement des clochettes se rapproche alors que tu apportes les deux assiettes. Tu le sers en premier, puis moi, à la suite de quoi tu vas docilement t’agenouiller à sa gauche, les bras dans le dos, attendant un ordre. Il contemple l’assiette.
- Nicht schlecht, juge-t-il. Das Fleisch hat eine schöne Farbe, die Sauce auch, aber ist ein bisschen flüssig. Das Gemüse könnte brauner sein. Wo ist der Rotwein? Mit Fleisch trinkt man Rotwein! (Pas mal. La viande a une jolie couleur, la sauce aussi, mais elle est un peu liquide. Les légumes pourraient avoir davantage de couleur. Où est le vin rouge ? Avec de la viande, on boit du vin rouge !)
Il saisit tes cheveux, te couche sur ses cuisses et t’administre une fessée robuste jusqu’à ce que ton cul soit bien rouge cramoisi. De la même couleur que le Margaux 2012 que tu as oublié d’apporter à table. Tu cries, bien entendu, ce qui l’excite et l’incite à frapper encore plus fort. Tu sens son sexe qui recommence à gonfler dans son pantalon en cuir. Juste à la hauteur de ton sexe. Il introduit deux doigts dans ta chatte.

- Haha ! Total nass. Du bist eine echte Lustsklavin, Hure, nicht wahr ? (Haha! Fin trempe. Tu es une vraie esclave par plaisir, pas vrai, putain ?)
- Ja, Meister, réponds-tu en reprenant ton souffle. (Oui, Maître)
- Ja, was ? Un nouveau coup, donné à pleines forces, secoue tout ton corps. (Oui, quoi ?)
- Ja, Meister, ich bin eine Hure und eine echte Lustskalvin, halètes-tu. (Oui, Maître, je suis une putain et et une vraie escalve par plaisir)
- Sooo ist das gut gesagt, confirme-t-il en caressant doucement tes fesses, admirant son œuvre au rouge. Nun der Rotwein ! (Voilà qui est bien dit. Maintenant, le vin rouge.)

Tu te redresses et vas chercher la bouteille de Margaux. Lorsque tu te penches pour le servir, il introduit à nouveau deux doigts dans ta chatte. « Immer noch nass. Jetzt wirst du für uns tanzen. Bauchtanz. Auf dem Tisch.» (Toujours mouillée. Maintenant tu vas danser pour nous. Une danse du ventre. Sur la table.) Il déchire violemment ta tenue de soubrette et t’indique du doigt une ceinture en soie ornée de dizaines de petites pièces de monnaie qu’il avait préparée sur la table du salon. Tu la noues rapidement autour de la taille, grimpe sur la table, et, lui faisant face, te laisse entraîner par la musique orientale toujours plus rythmée. Les pièces de monnaie et les clochettes attachées à tes seins et à ton sexe accompagnent le son envoûtant. Il déguste sa viande en te regardant avidement. On sent le loup prêt à bondir sur sa proie. Et tu es parfaite dans ton rôle de jeune biche désirant ardemment la saillie du mâle.

Il déguste son dernier morceau de viande alors que la musique s’arrête. « Zuviel Salz, juge-t-il. Unter dem Tisch. Blasen, ordonne-t-il.» (Trop salé. Sous la table. Sucer.) Tu sautes de la table, te précipites à ses pieds en veillant à ne pas te cogner la tête, ouvre sa braguette et commence à le pomper avec vigueur et appétit. La musique, la danse, toute l’ambiance t’a tourné la tête. Tu es comme en transe, tu as oublié toutes tes réticences, tu vis sans limite ton rôle de femelle dont l’unique ambition est de satisfaire son Maître. Poussant un profond soupir de satisfaction, le vieil homme s’adosse à la chaise de cuir noir et écarte ses cuisses pour faciliter ton accès à ses couilles. Tu les suces l’une après l’autre en le branlant avec ta main droite. Tu ne penses à rien, tu es toute concentrée sur ton travail, tu veux être parfaite – et tu l’es. Son sexe gonfle, il n’est pas loin de l’apothéose. Anticipant ses désirs, tu le reprends dans ta bouche afin de pouvoir y récolter son sperme que tu espères abondant. Tu n’as pas soupé, toi !

Mais il t’arrête au dernier moment, repousse ton visage sans douceur et recule sa chaise de quelques centimètres. « Zuerst, Dessert, ordonne-t-il, le sexe bandant toujours à l’air. » (D’abord, le dessert) Un peu surprise – et frustrée -, tu sors à genoux de dessous la table en contemplant ce magnifique membre dressé, dur, gonflé de sang et de sperme. Tu aimerais le sentir en toi, exciter toutes les terminaisons nerveuses de ton sexe, puis gicler au fond de ta chatte pendant que tu pousserais un hurlement orgasmique. Mais il veut ses profiteroles et tu n’as d’autre choix que d’obéir.

Alors tu te précipites vers le frigo. Tu espères qu’il aura rapidement avalé son dessert pour qu’enfin il te baise. Un besoin irrépressible de sentir une bite dans ton sexe, n’importe quelle bite pour autant qu’elle soit bien dure, s’est emparé de tout ton corps, de toute ton âme. Tu mouilles tellement que du liquide vaginal s’écoule le long de tes cuisses. Tu m’as oublié. Tu ne reviens du frigo qu’avec une assiette de dessert et découvre que ton Maître a changé de place. Il est vautré sur un profond canapé en cuir jaune. Il a enlevé son pantalon et maintient sa bandaison en se caressant de la main droite. « Hier, Hure ! hurle-t-il » (Ici, putain !)

Tu t’agenouilles devant lui et lui tends l’assiette. « Nein, nicht so. Stehen ! » (Non, pas comme ça, debout!) Tu te relèves instantanément. Il arrache les pinces qui enserraient toujours les grandes lèvres de ta chatte, saisit tes deux fesses avec ses grosses mains velues et t’installe sur son sexe. Tu pousses un grand cri venu des tréfonds de tes entrailles lorsque, finalement, sa bite s’enfonce d’un coup jusqu’au fond de ton vagin. Tu tiens toujours l’assiette de profiteroles dans ta main droite alors que, naturellement, ton bassin entame une danse rapide autour de son sexe. Il a sa tête entre tes seins. Il enlève les pinces de tes tétons avec ses dents, puis les lèche et les suce goulument. « Ruhig, Kleine, ordonne-t-il soudainement » (Tranquille, petite !) Surprise, tu t’immobilises. Son sexe au fond de toi te procure un sentiment de bien-être extraordinaire. L’homme n’est pas beau. Si tu le voyais dans la rue ou à la piscine, tu ne pourrais jamais t’imaginer baiser avec lui. Tu contemples son visage ridé, sa bouche aux lèvres épaisses, ses yeux bleus d’allemand qui te dévorent et tu te sens bien. Tu as envie de l’embrasser mais n’oses pas prendre cette initiative. L’homme a de l’empathie. Il comprend ce que tu ressens.

« Du darfst mich küssen, aber mit einer Profiterole im Mund ». (Tu as le droit de m’embrasser, mais avec une profiterole dans la bouche). Ce fantasme t’aurait paru bizarre en d’autres circonstances. Mais là, tu saisis immédiatement son intention, preuve supplémentaire que vous êtes parfaitement sur la même longueur d’onde. Tu saisis donc une profiterole avec ta bouche, puis une autre, et le nourris en appuyant chaque fois ton baiser de manière à ce que ta langue pénètre sa bouche et caresse la sienne. Tu es toujours fichée en lui, la queue de renard sortant de ton cul, tous tes orifices occupés, titillés, excités. Ton bassin a repris un mouvement de rotation lent qui fait lentement monter le plaisir en toi.

La dernière bouchée partagée, tu poses l’assiette sur le divan et saisit son épaisse chevelure blanche à deux mains. Votre danse nuptiale prend de l’ampleur et de l’intensité, rythmée par ses ahanements et ton souffle toujours plus rapide. Ta jouissance est soudaine, violente, elle jaillit sans prévenir, d’un coup, comme un bouchon de champagne qui saute sans qu’on l’attende. Tu t’effondres sur ton Maître, comblée, satisfaite. Compréhensif, il te laisse t’abandonner, caresse doucement ton dos et tes fesses en léchant ton épaule et ta joue. Son sexe devient mou, même s’il n’a pas joui, lui. Vous restez ainsi un long moment jusqu’à ce qu’il reprenne son rôle de mâle dominant.

« Sehr schön, confie-t-il en te donnant un bisou sur la bouche. Können wir nun weitermachen ? » (Très joil. Pouvons-nous poursuivre maintenant?)
« Ja, Meister, confirmes-tu d’une voix faiblarde, éprouvée. » Il te dégage. (Oui, Maître)
« Du musst bis dort krabbeln , ordonne-t-il en désignant une sorte de table à l’autre bout de la pièce.» (Tu dois ramper jusque là-bas). Tu reconnais l’engin, car tu l’as essayé dans quelques clubs où nous sommes allés ensemble. On pourrait appeler ce meuble un baisoir : les genoux sur un plateau, le corps sur un autre plateau plus élevé recouvert de cuir, tu n’as d’autre choix que de présenter ton cul bien tendu à quiconque voudra te prendre. Par le cul ou par le con. Après avoir rampé sur le parquet de chêne clair, tu t’installes et attends ton sort, parfaitement sereine, prête à subir tout ce que les instincts du vieux pervers dicteront.

Pour commencer, il fixe des attelles à tes chevilles, à tes cuisses, à tes poignets et autour de tes lombaires. Tu es attachée à ce meuble, incapable d’esquisser le moindre mouvement. Totalement livrée. Ton esprit se réveille, et tu te demandes s’il va te baiser tout de suite ou te torturer d’abord ; s’il va te sodomiser ou baiser ta chatte, s’il va jouir en toi ou ailleurs. Ces pensées t’inquiètent, t’angoissent un peu, mais font aussi renaître ton désir. Du reste, il le vérifie en glissant un doigt dans ton sexe. « Schon wieder feucht. Gute Hure. » (De nouveau humide. Brave putain !) De l’autre main, il retire le plug anal brusquement et le fiche dans ta bouche. Le goût n’est pas très bon, mais tu ne te rebelles pas et tu veilles à conserver le bout de métal entre tes lèvres tout en essayant d’y trouver une saveur agréable.

« Tut mir leid, Sklavin. Aber um wieder horny zu werden muss ich dich nun foltern. Sowieso verdienst du eine Strafe. Das Essen war zu salzig, du hast den Rotwein vergessen und dein Freund konnte kein Nachtisch essen.» (Désolé, esclave, mais pour re-bander, je dois te torturer. De toute manière, tu mérites une punition. Le repas était trop salé, tu as oublié le vin rouge et ton copain n’a pas eu son dessert.) Tu frémis. Va-t-il reprendre le nerf de boeuf? Ou bien va-t-il utiliser le martinet en cuir ? Ou bien la canne souple en bois fin ? Ou encore le câble du téléphone ?

Mais tu ne t’attendais pas à cette sensation-là, Une douleur brûlante et voluptueuse qui s’écoule le long de la raie de ton cul en se figeant. Puis le long de tes flancs, de tes omoplates, jusqu’aux épaules, et encore dans l’autre sens. Maniant deux bougies, une rouge et une noire, il emballe tout ton corps dans la cire brûlante, dessinant des motifs abstraits rappelant « Carmen », la passion latine, le rouge et le noir. Il admire son œuvre, rajoute une touche de noir au creux de ton dos, un peu de rouge exactement sur ton anus, puis contemple à nouveau. Enfin satisfait, il enfonce les deux bougies allumées, une dans ton cul, l’autre dans ton con. La cire chaude dégouline le long de tes cuisses. Paradoxalement, tu frissonnes, tous tes sens sont de nouveau en alerte alors qu’il vient se planter devant toi.

Son sexe est toujours plutôt mou, mais tu observes quelques signes de fébrilité. Il se masturbe sur ton visage, enveloppe son sexe dans tes cheveux, le frotte contre tes joues. L’effet est là. Lorsque sa bite est à moitié dressée, elle vient remplacer le plug dans ta bouche. Il s’enfonce tout au fond de ta gorge et ne bouge pas. Tu râles, tu t’étouffes à moitié, mais que peux-tu faire ? Il se retire après de longues secondes, puis répète l’opération plusieurs fois jusqu’à ce qu’il soit dur comme une barre d’acier. Il vient alors se placer derrière toi et enlève les deux bougies. Tu sens son gland qui frotte alternativement ton anus et ta chatte, comme s’il hésitait sur la voie à violer.

Il agrippe les flancs de tes fesses avec ses deux mains comme un aigle attrape un lièvre et enfonce d’un coup, brutalement, sa bite dans ton sexe dégoulinant. Tu rugis de plaisir. Il ressort immédiatement. Son sexe, dûment lubrifié par ta mouille, se présente à l’entrée de ton anus. Celui-ci est bien dilaté. Le plug a produit l’effet voulu. Une bouffée d’anxiété monte en toi : « Va-t-il me sodomiser en douceur ou violemment ? te demandes-tu en ton for intérieur.» Ton esprit espère qu’il opérera progressivement. Mais de l’autre côté, des picotements dans ton cul appellent une pénétration brutale. C’est l’option qu’il choisit. En une fraction de seconde, son membre est fiché entièrement dans ton anus. Tu hurles. Une sensation violente, mélange de plaisir et de douleur, explose dans tout ton corps. Il ressort son sexe, l’enfonce à nouveau brutalement, puis entame un rythme régulier. Tu ne ressens plus que du plaisir. Tu gémis alors qu’il te sodomise, attachée, livrée, abandonnée, violée. Tu adores ! Et tu adores encore plus lorsque son rythme s’accélère, tu sens merveilleusement bien son gland gonfler, se dilater, puis expulser sa semence dans ton cul. Vous rugissez à l’unisson de deux orgasmes violents, deux explosions nucléaires simultanées.

Il s’effondre sur ton dos. Tu t’évanouis.

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