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Fruits mûrs 2 Je continue de fourrer Monique, 75 ans

Monique, une sympathique petite dame de 75 ans, me rend visite en douce pour rattraper le temps perdu. Je la fourre bien volontiers, mais cette relation n'est pas idéale. Sexuellement, Monique se montre à la fois gourmande et coincée. Je continue de baiser Marlène, mon amante régulière. Histoire vraie!

Proposée le 7/02/2021 par langauchat

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Cela faisait déjà quelques mois que mes rencontres avec Monique s’étaient espacées. Cette petite dame énergique et courtaude de 75 ans avait pris l’habitude de s’échapper quelques heures de son cocon familial pour se dévergonder dans ma garçonnière. Plutôt que de noter dans mon agenda: Monique, 15h30, j’aurais tout aussi bien pu inscrire: 15h30, saillie, Monique.

Fruits mûrs 2 Je continue de fourrer Monique, 75 ans La perspective de me frotter nu sur le corps épanoui de Monique m’excitait plusieurs heures à l’avance. Comme un animal impatient, qui sait qu’on va l’emmener en promenade, ma queue savait que la fente désormais lisse de la grand-mère aux gros seins allait bientôt lui souhaiter la bienvenue. Cette bonne humeur m’envahissait. Elle émanait directement de mon envie de blottir ma verge dans l’abricot d’une dame de 75, ce que ma compagne était loin de soupçonner. Le matin même, je refusais de me branler, réservant tout mon sperme aux parois vaginales de Monique. Après la jouissance, le con déplumé de la retraitée encore haletante déborderait de foutre, spectacle obscène et réjouissant.
Je connaissais Monique depuis plusieurs années, dans le cadre d’une activité commune. Elle me raccompagnait en voiture. De plus en plus souvent, elle venait encore boire un verre chez moi. Dans la quiétude suspendue de la soirée qui s’étirait, nos frustrations nous rapprochèrent. Le visage rond de Monique ne me faisait pas rêver, même si ses traits ne manquaient pas d’un certain charme. Je trouvais son nez trop rond. Ses yeux brillaient de douceur et de malice.

En fin de soirée, dans la pénombre de mon appartement qu’elle s’apprêtait à quitter, Monique était debout face à moi. Je me rendais compte à quel point elle était petite. Nous n’étions séparés que par les formes envahissantes de sa poitrine généreuse. Comment se fait-il qu’au lieu de simplement faire la bise à cette gentille grand-mère, je fus attiré par ses lèvres entr’ouvertes et charnues? Bien qu’étant debout, j’avais soudain l’impression de reposer contre ses seins comme sur d’énormes coussins, tandis que spectateur de mon propre délire, je me voyais enlacer la vieille dame, la bouche envahie par une grosse langue intrusive
Lorsqu’elle me quitta, je portai la main à mes lèvres, encore humides. Il était évident qu’après avoir roulé une pelle interminable à Monique, je finirais tôt ou tard par lui enfoncer ma queue. Elle devait se dire la même chose de son côté: ce jeune homme que je viens d’embrasser avec une fougue imprévue sera bientôt mon amant. Mon mari est si âgé, depuis combien d’années ne m’a-t-il plus baisée? Oh, ma pauvre vieille chatte, toi qui n’est plus qu’un nom sur une carte oubliée, dans un pays envahi de broussailles, tu vas bientôt t’écarter sous la poussée d’un jeune membre! Il faut t’y faire. La chasteté, c’est fini. D’ici quelques jours, je ne sais pas encore quand, tu vas recevoir la giclée d’une bonne queue. Oui, tu as bien entendu, une giclée! N’est-ce pas ta fonction, gainer un membre d’homme, le faire vibrer, l’affoler dans ton fourreau velouté? Ah! Me faire piner, me faire grimper, réouvrir cette bouche secrète, et lui faire boire le jus de couilles d’un jeune homme! Me sentir palpiter, enserrer le membre qui viendra pleurer des larmes de foutre, qui viendra se libérer dans un éternuement spasmodique, incontrôlable et visqueux!

Et c’était arrivé. Je le baisais maintenant, régulièrement, consciencieusement.
Je me représentais à l’avance le plaisir que j’aurais à pénétrer Monique. Sans doute avais-je trop d’imagination.
J’entendais sonner. J’ouvrais la porte. L’image de la petite dame toute souriante qui se jetait dans mes bras me décevait toujours un peu. Elle m’embrassait à pleine langue. Son haleine de fumeuse me dérangeait. Toujours enlacé par ses bras potelés, j’embrassais son cou, que je ne trouvais pas assez élancé. Passé une première déception, je trouvais néanmoins du charme à son humeur, à sa jovialité. J’aimais les grands anneaux d’or fin qui ornaient ses oreilles, ses pieds menus. Lorsqu’elle saisissait mon membre pour le branler maladroitement, je regardais ses mains potelées, alourdies par quelques énormes colifichets, gros comme des pommes de terre, qu’elle avait le mauvais goût de prendre pour des bagues.
Je n’y pensais bientôt plus, car ses mains me branlaient. Les yeux fermés, Monique agitait sa tête ronde aux cheveux courts, mon gland décalotté dans la chaleur de sa bouche.
Monique aimait m’embrasser goulûment, elle aimait que je la lèche, elle grimaçait de bonheur dès que mon gland se poussait dans sa vulve, mais elle ne me suçait pas avec enthousiasme. Elle ne le faisait pas avec répugnance, mais plutôt par convention, comme si elle se rappelait d’une paragraphe lu il y a bien longtemps dans un manuel d’éducation sexuelle.
-Il est normal que je pratique la fellation, devait-elle se dire. J’ai un amant, donc je vais prendre son sexe dans ma bouche.
Comme je l’ai observé chez d’autres amantes, son excitation montait en même temps que sa bouche descendait vers mes parties les plus basses. Au fur et à mesure que ses lèvres se pervertissaient sur mes couilles, et à plus forte raison sur ma raie du cul, la respiration de Monique s’accélérait, ses gestes devenaient plus saccadés, plus sauvages, comme si elle s’était abreuvée à une source plus archaïque, d’une sensualité plus brutale.

Sa langue restait uniformément souple et large, et s’agitait dans des mouvements réguliers et dévoués. Je me tenais le bout de la bite entre deux doigts, bercé par la berceuse régulière que la langue de Monique prodiguait à ma rondelle.
Ce qui est incroyable, c’est que cette femme équilibrée, capable de faire croire à son mari qu’elle faisait une course, qu’elle visitait une amie, pour se foutre à poil devant un jeune et lui bouffer le cul, cette même femme pouvait se montrer choquée par l’idée même de branlette espagnole.
A genoux au-dessus d’elle, je m’étais avancé, la queue tendue entre ses gros nichons. Je les avais doucement pressés autour de mon membre, et j’avais commencé quelque mouvements de coït. Monique n’avait pas apprécié. Elle n’avait pas levé le cou, ni salué mon gland violacé d’un coup de langue salace lorsqu’il émergeait de la double pression de ses nichons maternels.
Je n’avais pas insisté.
Par politesse, je m’étais fait un devoir de lu ibouffer la rondelle à mon tour. Elle ne s’était pas prêtée au jeu. Restée couchée sur le ventre, et non pas à quatre pattes, jouant peut-être le rôle de la grand-mère qui devient sur le tard une bonne salope qui prend des poses, j’avais écarté deux fesses passives pour dégager la raie de son cul. J’avais tendu la langue vers un anus inexpressif, qui se laissait faire sans enthousiasme. Je n’entendais pas les sons de sirène d’alarme qui pourtant s’échappaient de la gorge de Monique lorsque je léchais sa vulve.
Du coup, je ne m’étais pas obstiné. Je n’allais tout de même pas lécher le cul d’une petite mémère mamelue qui n’apprécie qu’on lui lèche l’anus, un geste pourtant rempli de bonnes intentions. Sa langue, par contre, ne rechignait jamais à me faire rebander par ce moyen, ce qui me permettait, comme je l’ai déjà raconté, de replonger une bite ragaillardie dans la fente de la retraitée.
Si mon témoignage n’était pas véridique, j’aurais raconté quelque chose dans ce genre:
« -Ivre de plaisir, la vieille dame se retourna et me tendit son cul.
- oh, j’ai envie d’essayer la sodomie avec toi…mais fais doucement, s’il te plaît.
Positionné derrière le gros cul de la dame, je m’enfonçai inexorablement dans son anus.
- Ah, c’est bon, hurla Monique, tu me remplis, tu me dilates le derrière… Il faudra que tu le fasses à ma fille, tu nous prendras l’une après l’autre sur le lit de ma chambre à coucher… »
La réalité fut tout autre. Malgré son gros fessier appétissant, sur lequel on aurait pu imaginer le sperme de plusieurs hommes dégouliner au cours d’une partouze, Monique ne fit que se crisper lorsque mon gland se mit péniblement à gagner quelques millimètres dans son oeillet.
J’étais concentré, la bite à la main, patient comme un horloger sur son travail. Ma queue finit par perdre de sa prestance, ayant l’impression de forcer un terrain hostile.
Pour que notre séance de sexe se poursuive dans la bonne humeur, je me retrouvai bientôt les jambes en l’air pour me faire gougnoter la rondelle par la vieille dame, avant de remonter sur elle, et de l’enfiler de manière classique en pelotant ses bonnes grosses mamelles.

Une fois passé le moment du déshabillage, celui qui me faisait saliver en regardant les seins de Monique débordant de son soutien-gorge, je ne m’occupais plus de sa poitrine. J’avais bien essayé de l’émouvoir en la suçant, en la pelotant, en mordillant ses tétons, Monique ne réagissait pas.
Un jour que j’étais monté sur elle, cette mamie dont on ne pouvait désormais plus dire qu’elle était mal baisée prit un jour une initiative louable. Son bras se tendit, sa main potelée se fraya un chemin entre nos corps agités d’un mouvement de tamponnage laborieux, et ses phalanges me caressèrent les boules, comme pour encourager mon travail de labour.
Je l’encourageai si chaleureusement que, depuis, je ne pouvais plus grimper sur Monique sans qu’elle ne me flattât les couilles.
Cela donnait une petite touche d’obscénité supplémentaire au tableau que nous formions pendant ces après-midis: la fenêtre ouverte sur un jardin, maintenue par un rideau tiré qui tamisait la pièce, les bruits légers venant de l’extérieur, la vieille dame aux cuisses relevées, une main caressant les boules du jeune homme qui ondulait du bassin pour l’enfiler, qui s’apprêtait à lui lancer une grosse injection de foutre dans les profondeurs de sa chatte.
Après avoir giclé, je regardais avec distance, comme dans un film dont j’étais l’acteur, la coulée de foutre blanc qui s’échappait de sa fente rasée.
Les formes épanouies de Monique offraient un contraste jouissif avec la silhouette menue et les tout petits seins de mon amante Marlène, qui avait cinquante ans à l’époque. Quel plaisir d’enfiler cette jolie rousse aux longs cheveux bouclés sur le même lit pliant, qui était parfois resté tel que Monique l’avait laissé. L’édredon encore déformé par le gros cul de Monique accueillait le corps de fée de ma petite salope rousse, qui trouvait très excitant de se faire piner là où, le jour précédent, j’avais baisé Monique. Elle savait que le tissu qui recevait ses jolies petites fesses s’était évasé peu de temps auparavant sous la pression d’une croupe généreuse, dans la chaleur de laquelle mon membre s’était activé, avait pleuré son foutre, pour se raidir à nouveau, tout fringant, dans sa vagin à elle, son délicieux vagin de salope.
Je ne vais pas commencer à développer quoi que ce soit sur Marlène, car ce texte ne finirait jamais…
Marlène fantasmait sur les gros seins. Elle aimait caresser celui des putes lorsque nous allions au bordel. Je regrette qu’elle n’ait jamais eu l’occasion de voir ceux de Monique, de nous rejoindre pour une partie à trois. Elle aurait adoré soupeser me voir prendre Monique à quatre pattes, les mains sur sa croupe grasse. Elle aurait soupesé les melons ballotant de la retraitée, elle l’aurait embrassée avec sa petite langue douce, pendant que Monique aurait continuer de se faire fourrer. Je l’aurais ensuite appelée: -Marlène, ma chérie, viens vite, je vais jouir!
Elle se serait empressée de me rejoindre, et se serait fait un plaisir de me donner un baiser enivrant, comme pour goûter mon orgasme dans un baiser fondant, suave, au moment où mon sperme aurait fusé dans le vagin de Monique, une Monique transfigurée par la débauche, une Monique non seulement fourrée par un jeune, mais exhibitionniste, lesbienne, une irrésistible et joyeuse vielle salope.
Mais non, cette scène ne s’est jamais produite. Marlène connaissait l’existence de Monique, elle aimait se sentir bien salope en sachant qu’elle se faisait fourrer par une bite qui venait de réjouir le con d’une vieille dame à gros seins, mais ne connaissant pas Monique personnellement, elle n’était pas encline à me demander des détails croustillants, elles n’était pas tentée, comme ce fut le cas avec d’autres femmes, de se former des images précises.

En public, Monique ne voulait pas se cantonner dans le rôle de l’amante discrète. Elle aurait voulu se réserver ma compagnie à l’issue d’une manifestation. C’était embarrassant. « Mon amie Catherine sera là…je ne pourrai pas rester en tête-à-tête avec toi », m’étais-je excusé.
Il y avait du monde, nous ne pouvions pas discuter à notre aise. Monique était à deux doigts de me faire une scène de jalousie, alors que le cadre de notre relation avait été clairement établi. De son côté, elle ne voulait d’ailleurs pas faire de peine à son mari, qu’elle aimait beaucoup, mais qui ne pouvait plus la pénétrer.
Monique était vexée.Nous étions dans un lieu public. Elle m’attira néanmoins derrière un paravent, et me donna un de ses baisers-ventouses parfumés à la nicotine, dans lequel je lus la promesse d’une prochaine baise gourmande.
Je me trompais. Nous n’étions pas fâchés, mais nos rendez-vous devenaient difficile à organiser. J’avais d’autres priorités. Pendant des mois, je ne vis plus Monique, je cessai de la recevoir chez moi. La petite dame ne sonnait plus à ma porte, je ne tirais plus mes rideaux avant qu'elle ne libère ses gros nichons de son soutien gorge. Je ne faisais plus couiner le canapé-lit en m'accouplant avec elle.
Il n’était pas dit que ma queue n’éjaculerait plus dans la chatte de Monique. C’est ce que je vous raconterai la prochaine fois…encouragé dans ce récit par vos sympathiques commentaires. A très bientôt....et n'oubliez pas, c'est une promesse: l'histoire de Monique, ce n'est qu'un petit préliminaire rose-bonbon en comparaison du reste.

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Commentaires de l'histoire :

BOMACHIN
Veinard J Ai 22 Ans Et J Adore Defoncer Des Vieilles Salopes Mariées Pour Les pervertir
Posté le 5/10/2022

Micfou53
Oui encore, je voudrais aussi me faire une élégante de 75 ans qui vire salope sur le tard !
Posté le 7/02/2021


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