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Fruits mûrs 1 Comment j'ai fourré Monique, 75 ans

Contre tout attente, je deviens l'amant d'une gentille grand-mère aux gros seins, Monique, qui ne pensait pas vivre une histoire de cul à l'âge de 75 ans. Monique venait me voir quelques heures dans l'après-midi, juste pour se faire baiser. Tout est réel, dans les moindres détails

Proposée le 3/02/2021 par langauchat

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


A quatre heures précises de l’après-midi, une petite dame ronde aux cheveux gris très courts sonnait à ma porte.
Rien dans l’allure de cette grand-mère joviale n’aurait pu dévoiler la nature de cette visite, à savoir l’envie de jouir de nos corps.

A soixante-dix ans passés, Monique ne comprenait pas ce qui lui arrivait: mariée à un monsieur encore plus âgé qu’elle, et après des années d’abstinence, elle se retrouvait comme une jouvencelle à mentir sur son emploi du temps, à se cacher comme le personnage d’un vaudeville pour consacrer quelques heures de l’après-midi à se faire fourrer par une homme de quarante ans à peine.
De mon côté, cette visite ne faisait qu’allonger la série des femmes très mûres que j’avais baisées.
Personne, parmi mes voisins, n’aurait pu soupçonner que cette dame, dès qu’elle aurait passé ma porte, dégraferait son soutien-gorge, ferait glisser sa culotte, et s’offrirait sur mon lit pliant pour se faire enfiler. Elle avait plutôt l’air d’une vieille tante venue me montrer ses photos de vacances, après m’avoir offert un pot de confiture fait maison.
Non, les voisins n'auraient pas pu imaginer que c’est la dame elle-même qui serait le dessert, lorsqu’à plat ventre entre ses cuisses potelées, je me délecterais de ses liqueurs vaginales si longtemps contenues.

Après tout, nous n'avions pas besoin de nous cacher. Le physique passe-partout de Monique, notre grande différence d'âge, son allure plus joviale que véritablement érotique constituaient le meilleur des camouflages. Si seulement Monique avait bien voulu rester plus silencieuse, lorsque ma grosse bite la fouillait!
Un quart d’heure avant l’arrivée de Monique, je ne me sentais pas encore prêt pour l’accueillir, car je ne m’étais pas encore rasé les couilles. Je devais me retenir de branler ma queue déjà bien dure, lorsque je passais délicatement le rasoir sur mes boules pleines de mousse. J’imaginais par avance le spectacle de la gentille dame, dont le bas du visage disparaîtrait entre mes jambes. Ma queue lui barrerait le front comme un trait, et ses yeux se lèveraient vers moi tandis qu’elle se délecterait de se sentir investie dans un rôle de cochonne, de bouffeuse de couilles.
Les baisers de Monique étaient trop fougueux. Elle avait une façon de fourrer sa grosse langue dans ma bouche qui d’abord m’excitait, mais ne tardait pas à m’irriter. Tant que sa langue se lovait contre la mienne, je goûtais avec plaisir ce moment de sensualité avec la vieille dame. Malheureusement, elle avait un façon de m’aspirer, de m’avaler qui devenait presque brutale, comme l’expression d’une possessivité que l’avenir devait confirmer.
La première fois que nous nous étions embrassés, je m’étais délecté du contact de ses seins volumineux contre ma poitrine. Je ne pouvais m’empêcher de me voir tout nu en train de caracoler sur cette dame aux gros nichons. Habitué aux formes sveltes de mon amante Marlène, une quinquagénaire rousse et fluette, au corps presque androgyne, je me réjouissais de me vider les couilles en pétrissant les melons généreux de Monique.
Monique se faisait des complexes à cause de ce qui précisément m’excitait le plus: elle trouvait ses seins trop gros.
Lorsqu’il m’arrive de me branler en pensant à elle, c’est encore cette scène qui m’excite le plus: cette transition entre Monique habillée, dans son rôle de ménagère, d’épouse, de grand-mère, de femme active, et Monique à poil, heureuse de se faire piner par un jeune: Monique ayant déjà fait glisser sa robe à terre, l’ayant pliée sur une chaise, et déboutonnant sa chemise.
Monique en soutien-gorge! Quel tableau! Quel subtil mélange entre son regard un peu gêné, ses restes d’inhibitions, et le débordement mammaire qui gonflait son soutien-gorge. J’étais encore en slip, ma queue déjà tendue, lorsque ses avant-bras se décidèrent à se replier de son dos, avec que ses mains potelées se mettent à dégrafer le soutien-gorge. Oh! Gros seins de Monique! Vous explosèrent littéralement dans la pièce. Je baissai mon slip, et ma queue jaillit, elle aussi. J’entendais un voisin qui jardinais à quelque mètres de mon appartement. J’avais tiré les rideaux, maintenant la fenêtre ouverte. La lumière éclatante du jour était ainsi tamisée, soulignant l’incongruité de la scène qui allait se dérouler dans cette chambre, à savoir un jeune homme frétillant à l’idée de fourrer une septuagénaire bien en chair.
Monique n’avait plus baisé depuis très longtemps. Elle avait ouvert de grands yeux étonnés et reconnaissants dès que mon gland s'était introduit dans sa vulve encombrée de poils gris.
Heureux de lui faire plaisir, je m'étais gentiment mis à plat ventre entre ses cuisses ouvertes et grasses pour lécher sa fente broussailleuse. Le résultat avait dépassé mes espérances: Monique hurlait de plaisir, comme si une sirène d'alarme avait annoncé à tout le quartier: " Avis à la population. Je suis une grosse mémère de 75 ans, et je suis en train de me faire bouffer la chatte par un petit jeune. Formidable! Cela me fait un bien fou!"
Je lui ordonnai de se contenir. Elle se mordit la main, tandis que je me remis à la tâche, agitant la langue un peu au hasard au milieu de ce fouillis de poils rêches et disgracieux.
Je lui proposai de lui raser la moule.
- Mais...j'ai peur que tu me fasses mal...
- Ne t'inquiète pas. Je l'ai déjà fait sur plusieurs femmes. Une fois rasées, elles m'ont toujours dit qu'elles sentaient mieux les caresses de ma langue.
- Un jour, j'ai du me faire raser à cet endroit, et je peux te dire que ça pique comme le diable lorsque les poils repoussent.
- Eh bien, tu viendras régulièrement pour que je te rase.
Je disposai une serviette sous ses grosses fesses. Je badigeonnerai de mousse la motte de Monique, y compris quelques poils autour de son anus. Elle se mit de nouveau à ululer de plaisir.
J'avais du mal à me concentrer. Les mouvements lents et précautionneux du rasoir arrachaient des sons de gorge à la vieille dame, ravie d'être ainsi l'objet de toute l'attention d'un jeune homme, concentré sur sa moule. Peut-être se représentait-elle par avance tout la jouissance qu'elle tirerait de mes futures léchouilles.
Une fois rincée, la moule de Monique, dégagée, me donnait vraiment envie de la lécher.
Elle semblait apprécier le moindre contact de ma langue. Je pouvais prendre ses grandes lèvres dans ma bouche, les suçoter comme des quartiers de fruits, elle gémissait. Je pouvais effleurer ses petites lèvres, elle se trémoussait en chantant. Si j'approchais de son clitoris, les notes montaient dans l'aigu.
- Oh, comme c'est bon, comme c'est bon...
Je percevais dans sa voix quelque chose de plaintif, comme un regret, comme si elle me disait:
- Pourquoi ai-je perdu tant d'années à me priver de cette jouissance? Je suis si reconnaissante du plaisir que tu me donnes.
Sa reconnaissance, elle se mit à l'exprimer en prenant ma queue dans sa bouche. Elle ne suçait pas avec beaucoup de fantaisie. Sa bouche allait et venait, c'est tout.
Je pinçai mon gland d'une main, et le relevai pour bien lui faire comprendre ce que je désirais.
- Lèche-moi...là...ce serait bon, dis-je avec une certaine timidité dans le choix des termes, n'osant pas lui demander franchement de me lécher les couilles.
C'est que qu'elle fit cependant, avec application. J'avançais les mains et tâtait ses gros melons tandis qu'elle me gobait les boules.
A ma grande surprise, elle continua de lécher plus bas, toujours plus bas, tandis que je relevais les jambes.
Cette femme inexpérimentée, dont la vie avait été très sage, qui ne se voyait consacrer sa retraite qu'à ses loisirs, ses petits-enfants et son vieux mari, allait-elle me lécher le cul?
Je pensais rêver...oui, Monique me léchait le cul. Pas aussi bien que ne le ferait plus tard Brigitte, élégante et distinguée vieille salope pour laquelle je me branle toujours, mais enfin elle me léchait.
Lorsque je grimpais sur Monique, je ne tardais pas à me lasser un peu des sensations quelconques de son vagin trop dilaté. Fort heureusement, elle prenait des positions excitantes, dans l'intention de se faire prendre plus profondément: elle relevait légèrement ses grosses cuisses, ce qui la faisait un peu ressembler à une grenouille
obscène.
Les avant-bras tendus, j'aimais regarder ma bite, droite comme un trait, plongeant méthodiquement dans cette fente, dans ce corps épanoui, dans le con de cette mamie qui hurlait sa jouissance.
Lorsque ma queue se lassait de ces frottement, et que mon éjaculation semblait vouloir s'éloigner, à force de persévérance dans le pinage, je demandais à Monique de me lécher le cul à nouveau.
Elle comprenait ce que je voulais. Je n'avais heureusement pas besoin de lui dire: "Monique, s'il-te-plaît, j'aurais besoin de ta langue sur ma rondelle, ta chatte ne me suffit plus pour bander".
Elle se mettait gentiment à la tâche. Sa grosse langue balayer mon anus tandis que je me branlais, redevenant dur comme du bois.
Sans doute Monique comprenait elle je ne serais pas le seul bénéficiaire de ces léchouilles anales.
Ma queue redevenue bien raide, je me remettais à enfiler Monique, ravie de ce regain de vigueur.
J'étais ravi de me faire bouffer le cul par Monique. Pour l'encourager à le faire toujours, je lui murmurais, tout en la fourrant:
- Tu sens comme je suis dur, comme c'est bon...c'est normal avec tout ce que tu me fais...
- Je te le ferai autant que tu veux, soufflait Monique entre deux soupirs.
Je la pinais longtemps, je labourais son vagin. Si je n'étais pas sûr de pouvoir conclure, je demandais à Monique de se coucher sur le ventre.
Elle me présentait alors sa large croupe. D'une main, je guidais ma queue encore humide en pataugeant à l'aveuglette à l'entrée de la vulve de Monique, ayant besoin de retrouver mes repères après cette inversion géographique.
Le con de Monique en levrette était délicieux, bien meilleur que le con de Monique couchée sur le ventre. Dans cette position, je butais délicieusement sur un étranglement de son vagin, qui du coup ne me paraissait plus trop relâché, et je ne tardais pas à sentir le point de non-retour, par lequel le bouillonnement de mes couilles se transvaserait dans la croupe de Monique.
Voilà, les amis, quelques premières impressions entièrement véridiques concernant l'une de mes vieilles amantes. Ce n'est encore rien du tout par rapport à ce qui suivra! Je m'arrête ici, en espérant que vous aurez, comme moi, envie de vous branler.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Micfou53
Très bien écrit, très bandant, j'apprécie qu'il n'y ait pas de commentaire désobligeant sur les ravages du temps sur le corps de Monique "qui chante quand on la nique" !
Posté le 4/02/2021

Sorggulp
Voilà une aventure comme je les aime ! tout le monde connait le vieux dicton : C'est dans les vieux pots que l'on fait les meilleures soupes. Votre récit résume parfaitement bien celui-ci d'autant plus qu'il est fort bien écrit. Quel bonheur de pouvoir prendre du plaisir avec une femme qui pourrait être notre grand-mère. Il y'a un côté disgressif qui m'excite beaucoup et je ne doute pas un instant que je ne suis pas le seul à l'être... BRAVO et vivement la suite !
Posté le 4/02/2021


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