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Mademoiselle M., nouvelle recrue

Mademoiselle M., ma nouvelle recrue à mi-temps, aime le sexe et me le fait savoir. Elle m’entraine dans deux plans cul qui me confirment que j’ai engagé la bonne personne : tout d’abord dans mon bureau, ensuite avec son autre employeur. Son attirance particulière pour ses supérieurs la conduit à s’offrir à nous pour une performance plutôt rare.

Proposée le 9/12/2020 par Vik_smooth

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


La semaine passée, j’ai engagé Mademoiselle M. pour un emploi à mi-temps. Elle a déjà un mi-temps chez un autre employeur. J’ai longuement hésité entre elle et une autre candidate, mais un pressentiment positif m’a conduit à la choisir. Jeune, assez mignonne, elle a montré lors de l’entretien d’embauche une personnalité pétillante et extravertie qui m’a fait penser qu’elle devait être une bombe au lit.
Il n’a pas fallu attendre très longtemps avant qu’elle ne me confirme un appétit sexuel assez développé.

Il est 17h30 et la journée de travail se termine. Tous mes collaborateurs sont partis et Mademoiselle M. me demande de la recevoir, ce que j’accepte bien entendu. Je l’invite à s’asseoir dans un des fauteuils situés en face de mon bureau.

Elle s’assied et croise les jambes, ce qui fait remonter sa mini-jupe et me donne une vue plus qu’agréable sur ses cuisses plutôt dodues.
Elle aborde un problème qu’elle a rencontré durant la journée, mais elle remarque rapidement que je suis plus concentré sur sa plastique que sur ses propos. Alors, elle se lève, face à moi, sans réajuster sa mini-jupe qui s’arrête juste au-dessous de son sexe, et elle se retourne.

« Puisque vous paraissez observateur, pouvez-vous me confirmer que j’ai une tache sur ma jupe, à cet endroit ? » me dit-elle en pointant son doigt sur sa fesse.

Evidemment, il n’y a rien, mais elle ne me laisse pas le temps de lui répondre.

« Pouvez-vous frotter pour qu’elle disparaisse ? »

J’imagine donc la tache, je me lève et je frotte délicatement sa fesse. La mini-jupe bien remontée dévoile le bas de ses fesses couvertes de bas collants noirs. Impossible de dire si elle porte un string ou pas dans cet état. Pendant que je frotte sa tache, elle remonte délicatement sa jupe pour que je palpe directement ses fesses.

Après un délicat massage, elle se retourne vers moi. Sa mini-jupe maintenant bien relevée ne couvre plus son sexe. Elle ne porte pas de string sous ses bas collants et son pubis est intégralement épilé. Pendant qu’elle était retournée, elle avait déboutonné son chemisier blanc. Je passe devant mon bureau et j’ai le choix entre sa chatte sous ses bas et ses seins cachés par un soutien-gorge en dentelle. Je me concentre sur son sexe, caressant ses lèvres et pénétrant doucement mes doigts dans son vagin déjà bien humide. Pendant ce temps, elle enlève son chemisier et dégrafe son soutien-gorge.

« Pouvez-vous vous occuper de mes boobs, Monsieur le Directeur ? » me demande-t-elle poliment.

Je ne me fais pas prier et j’attaque ses jeunes seins fermes, l’un avec la langue, l’autre avec la main, alors qu’elle ouvre mon pantalon. Elle commence à gémir sous mes caresses. La main qui s’occupe de son clitoris est trempée. Je la porte à sa bouche pour qu’elle la lèche.

« Vous êtes un pervers, Monsieur le Directeur. Puis-je vous sucer la bite ? », dit-elle en s’agenouillant face à moi.

Je sens mon sexe bien tendu et bien dur : elle le prend et l’engloutit progressivement dans sa bouche. Alors je prends sa tête entre mes mains et je la tire doucement vers moi pour qu’elle ait mon sexe entier en bouche.

« Et toi, tu es une belle petite salope».

Elle se recule pour se libérer la bouche : « je le prends comme un compliment, Monsieur le Directeur », me répond-elle avant de se remettre à me sucer énergiquement.

Puis elle se relève, enlève sa mini-jupe par le haut et baisse ses bas collants. Elle se retourne, se penche de manière à ce que le haut de son corps soit contre mon bureau et elle écarte les jambes.

« Si je suis ta salope, baise-moi fort ».

Je commence par une belle fessée : « Je t’interdis de me tutoyer. N’oublie pas que tu parles à ton chef », lui dis-je en la pénétrant brutalement.

Elle se crispe sur le bureau et pousse un cri, saisie du double coup vif que je viens de lui asséner. Pourtant, sa chatte est bien dilatée et je rentre comme dans du beurre. Je me mets à la pilonner avec force, en accélérant le rythme au fur et à mesure que ses cris s’intensifient.
Ses fesses sont tellement bien exposées et bien écartées que j’ai une vue plongeante sur son anus. Je commence à le titiller avec un doigt, que j’introduis ensuite avec facilité. Un deuxième, donc, avec aisance aussi. Elle gémit de plaisir.

« Baise-moi le cul, putain », crie-t-elle.

Une deuxième fessée, plus forte que la première, pour la punir du tutoiement et de la grossièreté. Je me retire de sa chatte et je porte ma bite à son cul, la pénétrant aussi brutalement que dans sa chatte. Sans effort, ma bite s’enfonce jusqu’à la garde et j’entame un va-et-vient intense.

« Pas comme ça, je veux que vous jouiez avec ma chatte en même temps ».

Elle se retourne, se couche sur le dos sur mon bureau, écarte les jambes et les replie de manière à avoir les genoux sur les seins. Je la sodomise avec force et ma main se consacre à son clitoris et à sa chatte. Elle recommence à crier au rythme des glissements profonds de mon sexe dans son cul. J’intensifie la stimulation de son clitoris, tout dur et bien visible : je n’en ai jamais vu de si gros. Il fait un demi-centimètre de diamètre et il ressort bien de ses lèvres. Je m’attache à m’occuper du mieux que je peux de ce petit gland qui doit être très sensible. J’accélère la caresse en même temps que mes mouvements, et tout à coup Mademoiselle M. pousse un cri continu qui s’accompagne de trois beaux jets qui sortent de sa chatte. Dans la position dans laquelle elle est, tout le liquide retombe sur son pubis, ses cuisses et son ventre. Elle est trempée et ça dégouline sur mon bureau. Elle tend ses jambes tremblantes, me forçant à me retirer. Je continue à monter en me masturbant, de plus en plus excité face à cette petite salope qui vient de jouir.

Son orgasme apaisé, elle se relève de la table, s’agenouille devant moi, ouvre la bouche face à ma bite et attend mon éjaculation en léchant mon gland du bout de la langue. Je ne mets pas une minute avant d’exploser sur son visage, déversant de beaux jets dans sa bouche et sur ses joues. Elle avale, pompe ma bite pour nettoyer le sperme et avale une nouvelle fois ce qu’elle récolte.

Détendu, je lui tends la boite de Kleenex qui traine sur mon bureau. Elle s’essuie le visage, se relève et reprend ses vêtements. Elle ne remet que sa mini-jupe et son chemiser qu’elle ne reboutonne pas complètement, rangeant son soutif et ses bas dans son sac à main.

« Monsieur le Directeur, j’ai un service à vous demander. A cette heure tardive, il m’est compliqué de rejoindre mon appartement par les transports en commun. Serait-ce abuser de votre gentillesse de vous demander de me ramener chez moi ? »

C’est demandé si poliment… Et en plus, ce n’est pas un grand détour pour moi. Pendant que je me prépare à repartir, Mademoiselle M. chipote sur son portable.

Assise dans ma voiture, sa mini-jupe se relève de nouveau et ma main se pose sur ses belles cuisses charnues, remontant délicatement vers son sexe et son clitoris toujours aussi dur et gros. Elle écarte les jambes pour me laisser jouer avec son petit abricot. Elle en veut donc encore…Heureusement que je conduis une voiture automatique, car ça me permet de faire frétiller Mademoiselle M. une fois de plus.

Nous arrivons chez elle. Sur le parking de l’immeuble, une voiture est stationnée, phares allumés. Lorsque nous nous garons, les phares s’éteignent et un homme en costume en sort.

« Puis-je vous offrir un verre en remerciement ? En même temps, j’aimerais vous présenter quelqu’un ». Elle ne va quand même pas me présenter son compagnon, tout de même !

« Non, ce n’est pas lui. Ne vous inquiétez pas. Il ne rentre pas avant 22 heures du boulot ».

Nous sortons et allons à la rencontre de l’homme sorti de la voiture. Mademoiselle M. fait les présentations : l’homme n’est autre que son autre employeur, qu’elle a invité à boire un verre pour que nous fassions connaissance.

Nous montons au deuxième étage pour rejoindre son appartement. L’homme et moi suivons Mademoiselle M. dans l’escalier : sa mini-jupe relevée nous montre ses cuisses et ses fesses. Mon alter ego professionnel ne semble pas surpris par cette attitude.

Nous entrons dans un appartement de taille modeste mais aéré. L’ameublement et la décoration viennent d’une chaîne de magasin suédois bien connue. C’est frais, jeune et très agréable.

« Que puis-je vous offrir à boire ? », nous demande-t-elle après nous avoir invités à nous asseoir dans le sofa, sa mini-jupe toujours relevée au ras de la chatte et son chemisier à moitié ouvert laissant apparaître sa poitrine.

Nous lui demandons tous deux un whisky et elle s’en sert un également.

« À votre santé. Si vous me le permettez, je vous laisse deux minutes tous les deux : je reviens ». Elle se dirige vers une autre pièce de l’appartement. L’homme et moi en profitons pour discuter.
Mademoiselle M. revient effectivement deux minutes plus tard, uniquement vêtue d’un bas résille qui lui couvre tout le corps, juste ouvert à l’entre-jambes, laissant un bel accès à sa chatte rasée.

« J’adore faire l’amour avec mes chefs. Les précédents en savaient quelque chose et maintenant, vous m’avez baisée tous les deux. Il me reste un fantasme… comme j’ai un mi-temps chez chacun de vous deux, j’aimerais que vous me preniez en même temps».

Joignant le geste à la parole, elle s’assied entre son autre chef et moi, pose une jambe sur la mienne et l’autre sur l’autre homme, les jambes ainsi bien écartées nous donnant un accès libre à sa chatte. Elle cherche à ouvrir les deux braguettes.

Ni une ni deux, nos mains entreprennent de caresser ses seins et son sexe pendant qu’elle branle nos bites bien dures. Constatant qu’elle est déjà bien excitée et bien mouillée, nous nous levons pour qu’elle nous suce.

« Tout ce que je vous ferai ou que vous me ferez, je voudrais que ce soit en même temps et de la même manière », annonce-t-elle en entamant une double pipe.

Elle nous suce tour à tour, passant rapidement d’une bite à l’autre, puis léchant les deux et les enfournant en même temps. Elle semble se délecter du jus des deux bites. L’homme et moi prenons également beaucoup de plaisir : elle est douée.

« Maintenant, prenez-moi dans la chatte tous les deux ».

Absolument pas contrariés du fait que nous recevons des ordres de notre employée, nous nous exécutons. L’homme se couche sur le sofa, Mademoiselle M. se couche sur lui, s’empale sur son sexe et je me mets derrière pour la pénétrer. Ça rentre assez facilement, la belle jeune femme dégouline et elle est bien ouverte.

Je suis forcément bien serré dans sa chatte, contre la bite de mon alter ego, et les sensations sont fortes. C’est moi qui fait le plus de mouvements car l’autre homme est un peu coincé sous elle. Qu’à cela ne tienne : j’en profite pour faire crier Mademoiselle M.. Par une impulsion virile, je déchire le bas résille dont elle est vêtue. Ça me permet de caresser la peau de ses fesses et de lui donner deux belles fessées. Après tout, nous n’avons quand même pas à recevoir des ordres de cette petite chaudasse…

Comme tout à l’heure, je m’attaque à son petit trou avec mes doigts, peu convaincu toutefois que l’on puisse se diriger vers une double pénétration anale. Je fais donc rentrer un doigt, puis deux, puis un troisième sans effort. C’est déjà pas mal alors qu’on elle a déjà deux bites dans son entre-jambes… Mademoiselle M. crie de plus en plus fort mais je dois ralentir pour ne pas éjaculer tout de suite.

Alors, Mademoiselle M. se retire, ouvre un tiroir de la table de salon et en sort un tube de lubrifiant d’une marque de préservatifs connue. Le tube fait une vingtaine de centimètres de long et 5 centimètres de diamètre.

« Jusqu’il y a un mois, c’est avec ça que je me dilatais l’anus », nous dit-elle.

« Maintenant, je suis passée à quelque chose de plus large. Je pense que les deux bites rentreront, mais je vais quand même mettre du lubrifiant. Deux en même temps, c’est la première fois».

Elle se met du gel sur l’anus et sur les deux bites. C’est à mon tour de me coucher sur le sofa. Mademoiselle M. se couche sur moi, prend mon sexe bien dur et l’enfonce dans son anus. Ses seins fermes se frottent à moi et son joli visage est à deux centimètres du mien. L’autre homme se met derrière et je peux admirer le visage de Mademoiselle M. au moment où il la pénètre. Elle retient son souffle quelques secondes, un peu crispée, le temps que la deuxième bite se fasse un passage.

L’homme y va délicatement, poussant son gland avant de le ressortir et de recommencer en douceur. Après quelques va-et-vient progressifs, il est au fond. Il se retire doucement et rentre de nouveau. Le visage de Mademoiselle M. se détend et elle commence à ressentir du plaisir. Maintenant, c’est moi qui ai du mal à bouger (je ne suis d’ailleurs pas au fond dans cette position) mais ça me permet au moins de ne pas jouir. J’arrive à glisser ma main entre le corps de Mademoiselle M et le mien pour atteindre son clitoris et le titiller.

Difficile de dire combien de temps cette double anale dure, mais l’autre amant de Mademoiselle M. se montre endurant et patient. Le plaisir monte, d’un gémissement Mademoiselle M. passe au cri, puis au hurlement saccadé, et enfin un hurlement continu assourdi car elle mord le coussin du sofa. Ma main, mon ventre et mes cuisses sont inondées d’un liquide chaud. Mademoiselle M. Se relâche sur moi et je sens son corps tout entier qui tremble. Pendant plusieurs secondes, elle ne contrôle plus rien. Mes mains caressent ses fesses, son dos, ses épaules et je sens que l’autre homme en fait de même.

Après être revenue à elle, elle se relève et demande à son autre chef de se coucher sur le sofa, dans l’autre sens, de manière à ce que nos bites puissent se rejoindre.

« Maintenant que vous m’avez fait jouir, essayez de vous synchroniser pour inonder ma bouche de sperme ».

Comme tout à l’heure, elle joue à sucer nos bites avec un plaisir non dissimulé. Mes couilles touchent les couilles de l’autre homme, ce qui est une sensation agréable qui me fait monter.

« Ça vient ! Je vais jouir ! »

Pas de réponse verbale de l’autre homme, mais un râle qui m’indique que je peux lâcher la sauce. Son éjaculation est plus puissante que la mienne – je suis déjà venu il y a moins de deux heures -, mais je ne démérite pas. Mademoiselle M. en prend un maximum dans la bouche et suce nos bites sur lesquelles le sperme qu’elle n’a pu récolter dégouline. Elle nous lèche encore de longues secondes pour ne pas en perdre une goutte.

Je ne sais pas pour quelles raisons les anciens patrons de Mademoiselle M. l’ont laissé partir, mais moi, c’est sûr, je ne la lâcherai pas.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Forrest Gump
Très excitant !
Posté le 10/12/2020


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