Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Mon mari...

Femme belle et intelligente, Sonia est soumise à un mari de bonne famille. Exigeant d'elle des relations qu'aucun mari digne de ce nom ne devrait demandées. Mais la femme a des ressources cachées et la vengeance n'est jamais loin...

Proposée le 26/04/2018 par LaMainDansLACulotte

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Mon mari m'avait toujours pris pour une conne, et toujours pris comme un con. J'étais son trophée. Nous nous étions rencontrés en classe préparatoire dans une grande école de Paris. À la fin de la première année, il m'avait mis enceinte. Moi, amoureuse et lui refusant tout avortement par idéologie, nous décidâmes de garder le bébé. Ce n'est que des années plus tard que je compris qu'il mettait des préservatifs troués pour m'engrosser et ainsi me tenir à sa merci, enfermée à la maison pour m'occuper des gosses. J'ai grandi dans un milieu populaire mais honnête. Je ne voyais pas le mal tout de suite. Plutôt jolie, pas trop grande, avec une jolie poitrine, des fesses bien faites, des hanches et une cambrure que les hommes appréciaient, je savais que je plaisais.

Après un mariage rapide, mon mari continua ses études. Je devins le mouton noir de sa famille. Il en profita pour me cacher. Alors que lui, pendant quatre longues années, couchait à droite et à gauche, soi-disant chez ses amis de l'école, je restais seule à la maison, goûtant des plaisirs solitaires. Je m'occupais de nos trois enfants. Oubliant que j'étais, comme lui, acceptée dans une grande classe préparatoire, mon mari me traitait comme une imbécile. Sexuellement inapte, je me soumettais au devoir conjugal de mauvaise grâce. Son petit sexe aux testicules pendants me faisait à peine mouiller.
Il aimait me mettre à genoux, le visage au niveau de son entrejambe. La main tremblante, il sortait son sexe et me le fourrait dans la bouche. Je devais, les mains croisées dans le dos, subir son va-et-vient lancinant.
- Tu aimes ça salope.. Suce... Vas-y lèche-moi les couilles... C'est bien... Tu es une bonne épouse.. C'est comme ça qu'il faut se tenir... À genoux et la bouche ouverte.

Si par malheur, je donnais des signes de faiblesse alors d'une main, il m'agrippait les cheveux et de l'autre m'envoyait une gifle. La joue en feu, je continuais à le sucer. Il appréciait que je crache sur son pénis pour que ma salive forme des fils obscènes entre son gland et mes lèvres. De plus en plus excité, il se penche sur moi, nos visages tout proches, et me crache dessus. Sa salive descend de mon front vers mes yeux pour s'accrocher sur mes lèvres. D'un coup de langue, je rabats dans ma bouche le crachat infâme et l'avale. Ce jeu sadique dure le temps de son bon vouloir. Quand il décide que c'est fini, il me dit de me mettre debout et de me retourner. Alors il soulève ma jupe, baisse ma culotte et me prend par-derrière. Son petit bout de chair, tout dur et trempé de salive, me pénètre sans difficulté. Mon vagin dilaté par trois accouchements le sent à peine. Alors qu'il me besogne péniblement, je respire son souffle chaud , ses mains pressant douloureusement mes seins. Rapidement, son souffle s'accélère et son corps se met à trembler. Alors dans un dernier grognement, le porc décharge son foutre et inonde ma chatte. Autant son sexe est petit et ses bourses molles pendent ridiculement, autant sa semence est abondante. Le coït terminé mon mari s'en va sans un mot, me laissant les cuisses luisantes de foutre et la culotte trempée de son éjaculation. Je retire mon slip et essuie les souillures puis file à salle de bain pour me venger . En cachette,après notre rapport, j'essore ma culotte trempée au-dessus de son verre à dents pour extraire les sucs intimes de ce viol conjugal. Préparer ce cocktail m'émoustille, mon vagin se mouille et je ne peux m'empêcher de cambrer les reins pour que mes fesses s'écartent et que mon anus pointe son œil avide et gourmand. Souvent, je prends sa brosse à dents et m'enfonce les poils durs dans le cul. Sentir mon anneau se refermer sur le fin manche et penser que le soir, au coucher, il la mettra dans sa bouche me fait monter au ciel.
Laissant l’objet en place entre mes fesses, je crache dans le verre pour rallonger la sauce. Seule dans la grande demeure -nos enfants sont tous à l’école-je me promène nue. Je sais que mon bourreau dort profondément sur notre couche, encore habillé et chaussé.

A la cuisine, je verse le contenu trouble du verre dans la bouteille de lait que mon mari garde à l’écart pour son café au lait matinal. Combien de fois a-t-il bu son propre sperme?

La chatte en feu, je joue avec le manche en effectuant deux-trois va et viens rapides puis le sort, le renifle et l'enfonce dans mon vagin. Je remonte à la salle d’eau en écartant les fesses à deux mains, exhibant à la maison mon trou du cul dans un accès de rage mêlé de désir.

De retour dans la salle d’eau, je remets tout en place - la brosse dans son verre propre, la culotte sale, rincée à l’eau claire, dans le panier à linge. Toujours nu, je rentre dans la chambre et regarde le monstre assoupi. Je m’approche du lit, attrape un des montants surmonté de sa boule de décoration et commence à la lécher comme si c’était le gland d’un géant. Les yeux rivés sur mon mari, mes mains écartent mes fesses tellement fort que je sens mon anus s’ouvrir et ses effluves sauvages envahir la chambre. N’y tenant plus, je monte sur le lit, saisi la rambarde à deux mains et me branle sur le gland géant. Mes lèvres trempées, mon clitoris rouge et gonflé vont et viennent sur le métal luisant. Je pousse pour faire rentrer le godemiché, mais abandonne devant sa taille. Ma danse lubrique continue jusqu’à l’orgasme. Je tremble de tout mon corps en silence et déverse sur la barre du lit tout mon jus. Il n’a rien vu, rien entendu, étendu là ,comme un porc assoupi. Je me place au-dessus de lui et laisse couler sur son oreiller, à deux doigts de son visage, un long filet de bave que j’aurais préféré lui cracher à la face.
Je laisse le lit couvert de mes sécrétions et file prendre une douche afin de laver mon corps des souillures de cette après-midi de cauchemar.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Normandguerin
Très bonne histoire je vais lire ka 2emes parti
Posté le 30/12/2020

LaMainDansLACulotte
Merci pour votre appréciation. La suite arrive bientôt. Dans l'attente de vous plaire à nouveau.
Posté le 3/05/2018

Anonyme
Fantastique
Posté le 26/04/2018


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Baisée par le mari de ma copine et ami de mon mari
Mon mari est gay
Mon mari...(3)
Mon mari...(2)
l'ami de mon mari 1