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Chapitre 2 - Quand ma collaboratrice devient une vraie nymphomane

Caroline, après m’avoir montré ses talents de suceuse, a bien envie d’aller plus loin avec moi. Dès le lendemain elle revient à la charge encore plus sexy que la veille.

Proposée le 7/05/2024 par Mercury

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Ce matin je me réveille en pensant à ce qui venait de se passer la veille. Caroline, ma collaboratrice, après un jeu de séduction m’avait attiré au bureau tard. Jouant à la secrétaire dévouée elle m’avait montré tous ses talents de suceuse. Jamais je n’avais été sucé de cette façon. C’était la première fois que je lâchais ma semence dans une bouche aussi accueillante ! Mais maintenant qu’est-ce que je vais faire ? Comment va être notre relation ? Avec l’excitation se mélange une pointe d’inquiétude. Mais Putain qu’elle était bonne cette pipe !!!!

C’est songeur que je prends le chemin du bureau. Bien décidé de ne rien changé à mes habitudes, ni de rien montrer. Je me gare et me dirige d’un pas décidé vers le bureau. J’entre dans les locaux. Je passe devant le bureau de Caroline qui est déjà devant son écran.
Moi « Bonjour Caroline, tu vas bien ? »
Elle « Bonjour Marc. Oui et toi ? Tu as passé une bonne soirée ? »
Moi « Très bonne merci. Pour toi aussi ?»
Elle « Ma soirée ? Bien remplie et très agréable. »

Je ne m’éternise pas et passe saluer les membres de mon équipe qui sont arrivés. Après quelques minutes de discussion sur les sujets du moment, je me dirige vers mon bureau.
Comme tous les matins j’installe mon ordinateur portable, le démarre et ouvre ma messagerie. Rien d’urgent à l’horizon. J’ai le temps de me faire couler un bon café.

C’est alors que je vois Caroline franchir le pas de ma porte avec une tasse de café dans chaque main. Elle est montée sur des talons pour affiner ses jambes. Ses jambes sont recouvertes de bas noirs. Elle porte une jupe de tailleur noire qui lui arrive à mi-cuisse et un chemiser de couleur gris un peu épais. Je note que les boutons sont largement ouverts. Enfin ses cheveux sont tirés en arrière et attachés en queue de cheval sage. Elle est terriblement sexy et un brin aguicheuse.

Elle « Je t’ai fait couler un café. »
Moi « Merci. Tu commences à me connaitre. J’allais y aller. »

Elle ferme la porte derrière elle d’un coup de talon et s’approche lentement en me regardant droit dans les yeux. Son regard traduit son envie de jouer avec moi à des jeux d’adultes.
Elle se place en face de moi de l’autre côté du bureau. Elle plonge son regard dans le mien et se penche exagérément pour déposer ma tasse. Je ne peux m’empêcher de regarder son décolleté. J’ai une vue plongeante sur ses seins qui sont mis en valeur par un soutien-gorge en dentelle rouge. Je vois ses grosses mamelles enfermées dans cette cage. Je sens comme une envie monter en moi.

Elle s’assied sur un fauteuil en face de moi après avoir pris soin de le reculer suffisamment pour que je vois ses jambes croisées. Sa jupe est légèrement remontée laissant deviner qu’elle ne porte pas de collants mais bien des bas. Dans ces conditions, il est difficile de se concentrer.

Elle « J’espère que tu ne regrettes pas de t’être arrêté hier soir. En tout cas tu as eu l’air d’apprécier que je m’occupe de toi. Pour être franche avec toi, je savais que tu viendrais. J’ai aimé te sucer, j’aime bien ta bite. »

Le ton de la discussion est donné. Je suis un peu décontenancé.

Moi « Je ne regrette pas de m’être arrêté. Tu es très forte de tes mains et de ta bouche. Mais je ne sais pas si on a bien fait.»

Tout en décroisant doucement ses jambes, elle me répond « Je ne regrette absolument pas ! Je dois t’avouer que quand je suis rentrée chez moi, j’étais très excitée. C’est mon mari qui a été content. On a baisé une partie de la nuit, mais c’est à ta bite que je pensais.»

Elle dépose alors sa tasse sur le bureau qui nous sépare et pose sa main droite sur son genoux droit. Tout en se caressant le dessus du genou, elle écarte doucement ses cuisses. Sa main glisse alors lentement vers l’intérieur de sa cuisse. Je ne rate rien du spectacle. Je vois apparaitre un peu de chair au-dessus de ses bas, puis un bout de tissu rouge. Sa culotte commence à apparaitre. Elle plonge son regard dans le mien tout en se caressant langoureusement l’intérieur de la cuisse. Elle entre ouvre et referme ses cuisses langoureusement pour faire durer la torture.

Elle « J’ai très envie de sentir ta bite grossir dans ma main. J’ai…» « Toc, Toc, Toc». On frappe à la porte. Ces trois coups secs mettent fin à ce jeu de séduction. Je dois reprendre en main la situation
moi: « oui, entre». La vie d’entreprise reprend. Caroline laisse la place à mon collaborateur et regagne son bureau.

La matinée se passe entre appels téléphoniques et taches diverses. De Caroline je ne reçois qu’un message me rappelant qu’en début d’après-midi nous devons faire un point sur un dossier. Je lui demande de passer à mon bureau à 15h00.

15h00 tapante, Caroline entre dans mon bureau avec un dossier sous le bras. Nous commençons à discuter du projet, mais je sens que tout peut rapidement déraper, basculer. Mais nous restons sages. Les échanges sont professionnels et nous arrivons à rester concentrés. Au milieu du débat, Caroline souhaite me montrer des exemples sur mon écran. Elle se lève de sa chaise pour faire le tour du bureau et se positionner sur ma droite.
Je me décale légèrement sur ma gauche pour lui laisser un accès à mon clavier. Elle se colle contre moi. Je sens sa hanche contre mon bras droit. Elle se penche légèrement en avant pour taper sur mon clavier. Je sens son odeur, son parfum me remplit les narines. Je sens la chaleur de son corps contre mon épaule et mon bras. Je ne suis plus concentré sur le sujet de la réunion, mais sur le corps de cette femme, là tout contre moi. J’ai une envie soudaine de la basculer sur le bureau, de passer derrière elle et de la prendre sauvagement en levrette.

Au lieu de cela, je recule légèrement mon fauteuil de bureau. Je laisse ma main droite tomber de l’accoudoir et venir se poser à l’intérieur de sa cheville gauche. Elle sursaute un peu mais ne dit rien. Sur l’écran s’affichent les exemples. Elle commence à les commenter en gardant tout son sérieux. Mon cerveau n’est plus tout à fait connecté à ce qu’elle dit. Je caresse doucement sa jambe. Ma main remonte lentement le long de son mollet jusqu’à son genou, puis redescend gentiment vers la cheville.

Après 3 – 4 aller-retours, je tente une remontée. Quand ma main arrive à l’intérieur de son genou, elle écarte doucement ses jambes pour encourager mon exploration. Je marque une pause dans ma progression pour relancer la discussion technique. Puis je reprends les caresses lentes, langoureuses. Ma main glisse vers le haut, toujours plus haut. Mes doigts effleurent son bas avant d’arriver sur la jarretière. Je marque une nouvelle pause dans ma progression.

Mes doigts entrent maintenant en contact avec sa peau chaude et douce. Comme pour m’encourager elle écarte encore un peu plus ses jambes. Le flot de ses explications ralenti et sa respiration s’accélère.

Ma main glisse doucement vers le haut. De l’intérieur de ses cuisses se dégage une douce chaleur. Mon index va entrer en contact avec le tissu de sa culotte. Enfin c’est ce à quoi je m’attendais. Mais au lieu du tissu, entre aperçu ce matin je sens les lèvres humides de son sexe. Elle ne porte pas de culotte !!!!

Moi : « Quelle surprise ! Non seulement tu ne portes pas de culotte, mais en plus tu sembles apprécier mes caresses ! »
Elle, dans un murmure : « Tu as mal vu ce matin, ce n’était pas une culotte mais un string. Si tu préfères je peux aller le remettre ? Mais ce serait dommage.»
Moi « Non, c’est bien ainsi »

Avec deux doigts je caresse les lèvres de sa chatte d’avant en arrière et d’arrière en avant. Caroline se cambre en écartant ses cuisses un peu plus. J’augmente la pression de mes doigts. Ses lèvres s’écartent doucement et mon majeur glisse dans ce sexe offert. Elle est trempée. Je vais chercher son clitoris et je m’attarde dessus. Elle gémit. J’appuie tout doucement sur son bouton d’amour en bougeant lentement pendant quelques secondes. Puis j’abandonne son clitoris pour glisser jusqu’à l’entrée de son vagin. Je commence à le caresser en douceur en faisant des cercles sur la périphérie. Je…« Dring, dring… »
La sonnerie du téléphone nous sort de notre bulle. C’est un client qui appelle.
Moi « Je suis désolé mais je dois prendre l’appel. Je te propose de reprendre le dossier ce soir quand tout le monde sera parti du bureau. »
Elle : « Ca va être difficile d’attendre jusqu’à ce soir je suis trempée et j’ai envie que tu me baises. »
Moi « Sois patiente, ce soir… ».

18h30, mon dernier collaborateur me salut en partant du bureau. C’est l’heure pour moi de me préparer pour l’analyse en profondeur du « dossier Caroline ». Rien qu’à l’idée je commence à bander. Pas de sentiment que du sexe, voilà ce que je veux !

Je décroche mon téléphone et appelle Caroline : « Caroline, tu devrais te préparer pour l’analyse du dossier. Je t’attends dans mon bureau. »
Elle « j’arrive dans 5 minutes. »

Quelques minutes plus tard elle passe la porte du bureau qu’elle ferme derrière elle.

Elle « J’ai fermé la porte d’entrée pour que nous ne soyons pas dérangés. »
Moi « Tu as bien fait. Nous serons plus tranquilles. »
En me levant et en lui faisant signe d’approcher « Tu devrais faire le tour du bureau et t’approcher pour que l’on reprenne où nous en étions ».

Obéissante, mais d’un pas de féline elle fait le tour du bureau et arrive en face de moi. Je la prends par un bras pour la placer entre le bureau et moi. J’approche mon visage du sien et commence à l’embrasser d’un baiser humide. Nos langues entrent en contact et dansent.
Je pose mes deux mais sur l’extérieur de ses cuisses. Je remonte mes mains sous sa jupe. Je viens lui caresser les fesses. Une fesse dans chaque main. Je lui malaxe son gros cul. Elle se laisse faire en secrétaire docile qu’elle est.

Elle me repousse alors doucement. Nos langues se séparent. Sans rien dire et sans me quitter des yeux, elle commence à déboutonner son chemisier. Un bouton, deux boutons, en faisant en sorte que le chemisier ne s’ouvre pas. Le dernier bouton est enlevé. Elle écarte alors doucement sa chemise. La Salope a enlevé sous soutien-gorge !

La voilà seins à l’air. Ses grosses mamelles me narguent. Alors qu’elle fait glisser son chemiser j’en profite pour lécher son téton droit tout en malaxant son sein gauche. Ma langue tourne autour de son téton qui pointe immédiatement. Je le mordille, le tète. Elle gémit doucement. Je lui pince le téton gauche et lui mordille le droit. Je sens alors ses mains s’afférer sur ma ceinture. La perspective de retrouver sa bouche accueillante me fait bander encore plus fort.

Mais pour l’instant je savoure ses seins que je mange goulument. Tout en mordillant ses seins à tour de rôle je retourne caresser ses fesses d’une main. Je passe sous sa jupe pour bien sentir le grain de sa peau. D’une main j’écarte ses fesses et y glisse mes doigts. J’effleure son anus pour aller vers son sexe. La zone est humide.

Je sens mon pantalon glisser sur mes chevilles. A travers mon boxer, d’une main experte elle caresse mes couilles alors que de l’autre elle effleure ma verge bien tendue. Je marque une pause pour savourer cet instant où elle glisse sa main dans mon boxer pour empoigner ma bite qui n’attendait que cela.

Moi « Je veux que tu me suce comme hier soir. » je me recule et appuie sur ces épaules pour qu’elle s’agenouille. Elle s’exécute sans un mot ; s’agenouille devant moi et fait glisser mon caleçon. Elle commence alors à me lécher en partant des couilles jusqu’au gland. Elle me lance un regard de chienne en chaleur, une vraie cochonne.
Sa langue monte de nouveau le long de ma verge mais cette fois c’est sa bouche qui vient engloutir mon gland. Mais que c’est bon ! C’est une suceuse hors pair !

Ses lèvres glissent le long de ma verge pendant que sa main me caresse les couilles. Je n’ai jamais bandé aussi fort ! Mais je ne veux pas en rester là. Après plusieurs minutes, j’interrompt sa séquence gourmandise pour qu’elle se relève. Je la pousse pour qu’elle s’assied sur le bord du bureau. Elle se retrouve seins nus assise sur le bord les jambes légèrement écartées. Je m’avance vers elle la prends par la nuque pour un baiser mouillé. J’abandonne sa bouche pour m’attaquer à ses seins. Je lèche ses tétons et les mordille de nouveau. Mais ce n’est qu’une étape.

Je la regarde droit dans les jeux et me met à genoux. Je relève lentement sa jupe souple. Je découvre alors sa chatte rasée de prêt. J’écarte doucement ses cuisses et je plonge mon visage. Je commence à lécher cette moule trempée. Je goute à sa mouille. Du bout de la langue je force un passage entre ses lèvres qui ne résistent pas longtemps. Ma langue s’enfonce doucement dans son intimité. Je glisse de haut en bas et de bas en haut ; de son clitoris à son anus, de sa rondelle à son bouton d’amour. Je prends mon temps. J’entends sa respiration devenir plus bruyante.
Je remonte sur son clito et m’y attarde. J’alterne de petits coups de langue rapides avec des coup plus lents mais très appuyés. Je plaque alors ma bouche pour aller cherche son bouton d’amour avec mes dents. Je l’aspire, je le mordille. Ses gémissements se font plus bruyants. Je reprends la folle danse de la langue sur son clito avant de redescendre à l’entrée de son vagin. Ma langue s’y enfonce avec force.

Son clito m’appelle de nouveau. J’y retourne à petits coups de langue appuyés. Tout en la léchant avec gourmandise j’enfonce un puis deux doigts dans sa chatte brulante. Elle lâche alors un petit cri de plaisir. Mes doigts s’activent en elle pendant que je mordille son clito.
C’est alors qu’elle m’attrape par la nuque et plaque mon visage sur sa chatte en criant « Oui, lèche-moi, bouffe-moi la chatte. Je suis à toi. Oui… bouffe-moi le clitooooo. » Elle pousse alors un cri de jouissance et se fige quelques secondes. Je continue de donner de petits coups de langue et de la baiser avec mes doigts. Elle est prise de petits tremblements. Je ralenti, puis m’arrête. Je lève la tête, elle est allongée sur le dos sur mon bureau qui a subi un ouragan. Elle reprend ses esprits.

J’ai envie de la prendre sauvagement. Ma bite va exploser. Je me relève.

Moi « Tourne toi. Montre-moi ton cul. »

Elle s’exécute sans un mot se redresse du haut de ses talons me tourne le dos. Elle se penche en avant. De ses mains elle remonte sa jupe sur ses hanches et écarte ses fesses. Quel spectacle !! Je vois sa rosette. Mais ce n’est pas la destination du jour.

Elle " Voila mon cul. Il est à toi."

Je m’approche la bite à la main. Je présente mon gland entre ses fesses. Je passe sur son anus et descend vers sa grotte d’amour. J’appuie doucement. Sans forcer mon gland disparait dans cette grotte chaude et humide. Je glisse en elle centimètre par centimètre. Je savoure l’instant.

Elle « Oh oui, je la sens bien ta grosse bite. Baise-moi, vas-y baise-moi, défonce-moi.»

Il n’en fallait pas plus pour que la bête sorte. Je l’attrape alors par les anches et je commence à la baiser avec de grand coups de reins. Elle s’agrippe alors au bureau totalement cambrée et offerte comme une chienne en chaleur. Je me déchaine à grand coups et à ce rythme là je sens la jouissance monter. Ces cris abattent mes derniers remparts et je décharge tout en elle un dernier coup dans la jouissance, un moment de paralysie, puis je reprends des mouvements lents. Je m’arrête.

Alors que je me retire elle se retourne en me regardant avec son regard de gourmande me dit « Je vais nettoyer tout ça maintenant. »
Elle s’accroupie et entreprend de nettoyer mon sexe consciencieusement avec sa langue.

Moi « C’est incroyable ce que tu suces bien ! Ta bouche est un délice et ta chatte très accueillante. »
Elle « Tu es invité à revenir visiter les deux quand tu en as envie. Vue l’heure on n’a pas le temps de remettre ça ce soir. Mais je ferai en sorte d’être accueillante dès demain.»

Moi « Demain ce sera plus difficile, je te rappelle que nous sommes en clientèle toute la journée. »
Elle « Ce n’est pas un problème, nous avons un peu de route et j’aime aussi baiser en voiture. »

Moi « Mais tu es une vraie gourmande ! »
Elle « oui une cochonne même. Tu vas le découvrir petit à petit si tu n’es pas sage. »

Tout en parlant elle récupère ses habits et sort du bureau. Sur le pas de la porte elle me lance « J’aime quand tu n’es pas sage, j’aime ta gosse bite. » et sort de la pièce.
La journée de demain risque d’être difficile !

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