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TROIS SOIRÉES AU CLUB ÉCHANTISTE (2 de 3) - La soirée des hommes… entreprenants

Notre première soirée en club échangiste nous a laissé un peu sur notre appétit. Comme nous sommes pressés de conclure, les échanges avec d'autres couples sont plus délicats. Nous y retournons seuls cette fois alors que les sommes seuls sont beaucoup plus entreprenants...

Proposée le 15/03/2024 par Nath et Mitch

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman


Après notre première soirée en club, nous avons organisé une nouvelle soirée avec Sophie et Louis.

Après un bon souper, nous nous sommes retrouvés dans un petit complexe hôtelier de la Rive-Sud de Montréal, tout juste de l’autre côté du pont Champlain. J’y avais réservé une suite. Comme c’était peu dispendieux, je m’attendais à ce que ce soit un « hôtel de passe » comme on dit, mais c’était fraichement rénové et surtout très propre. Nous avons baisé ensemble tous les quatre durant près de huit heures. Et nous avons littéralement tout fait.

Je me sentais très proche de Sophie que j’ai fait jouir toute la nuit, en alternance avec ma petite salope. Bref, c’est juste une parenthèse pour vous mentionner qu’ils sont devenus nos « fuck friends » réguliers et que nous avons remis ça au moins une trentaine de fois durant les trois années qui ont suivi. Des fois dans cet hôtel, des fois chez eux, des fois chez nous, des fois en voyage.

XXX

Après notre première visite à l'orage avec eux, sur le chemin du retour, Nathalie et moi avons décidé de pousser un peu plus loin nos limites et de retourner seuls au club échangiste, dans un autre genre de soirée, pour voir si le résultat ne serait pas plus satisfaisant que la première fois. Nous avons choisi un vendredi soir, soirée où les hommes seuls sont admis…

Notre seconde soirée en club échangiste…

Pour l’occasion, j’ai pris une journée de congé au travail. Comme c’est maintenant la norme lorsque je ne travaille pas, j’ai droit au doux réveil de Nathalie. J’ouvre les yeux sous les caresses d’une masturbation douce et lente.

J’aperçois ma petite merveille du monde, les cheveux un peu en broussaille installée à califourchon sur mes jambes qui me fixe avec un grand sourire :
- Bonjour mon vieux matou… tu as bien dormi ?
- Merveilleusement bien mon amour et toi ?
- Bien, mais je me suis éveillée souvent, tout excitée en pensant à la soirée qui vient. J’en suis d’ailleurs déjà toute trempée.
- Qu’est-ce que je peux faire pour apaiser toute cette excitation qui te tourmente mon amour?
- Hummmmmm, je me sens comme une grosse chienne ce matin et je veux que tu me démontes le cul comme TA GROSSE CHIENNE… c’est dans tes cordes ?
- Menottes ou Hitachi (dans notre langage, en levrette ou en missionnaire) ?
- MENOTTES.
- Alors menottes ce sera !

Je la pousse doucement et récupère une paire de menottes en cuir. Pendant ce temps, elle se positionne immédiatement au bord du lit, le cul retroussé dans les airs, appuyée sur ses coudes. Je passe devant son visage et lui fixe une menotte à chaque poignet. Je me baisse, l’embrasse tendrement et retourne derrière son petit cul.
Je me baisse et fais couler un peu de bave dans sa raie que j’étends ensuite sur son anus.

A chaque fois que mon doigt glisse sur son œillet, je le vois (son œillet) se tendre et se détendre. Bref, je pousse ma langue pour entamer ma feuille de rose sur son petit trou et rapidement elle émet de petits gémissements de satisfaction. Tout en progressant dans ma manœuvre, je pénètre sa chatte avec deux doigts et lui prodigue une vigoureuse masturbation sur son point G. Elle se met à gémir plus fortement et sa cyprine coule abondamment. Je cesse mon léchage et imprègne mes doigts de cyprine et en insère un premier dans son fondement.

Je la masturbe lentement et j'enfile un second, puis un troisième doigt pour bien distendre son sphincter alors qu’elle couine sans cesse. Lorsque je la sens bien prête, je lui assène une bonne tape sur une fesse, ce qui la fait sursauter et je me relève.
Je prends ma queue, pointe mon gland sur son troufignon et pousse d’un coup jusqu’au fond.

Elle sursaute encore et me lâche :
- VIEUX COCHON, tu n’es qu’un sale pervers.
- Arrête de chialer grosse chienne, c’est ce que tu veux. Tends-moi tes bras.

Elle me tend ses bras après avoir approché deux oreillers devant sa tête et je fixe les menottes derrière son dos.
- Vas-y maintenant, vieux salaud?! Montre-moi ce dont tu es capable.

Je la redresse en tirant sur l’attache des menottes que je tiens à deux mains et j’entreprends mes va-et-vient à fond de train. Je la défonce littéralement, j’y vais avec toute ma puissance. J’y vais à fond, sans relâche, et j’attends qu’elle entame une masturbation afin qu’elle prenne son orgasme. Rien ne se passe.

Elle ne fait que hurler son plaisir et me crier des insanités :
- Vas-y vieux pervers, défonce-moi fort.
- …
- Vieux cochon, défonce-moi comme si tu étais en colère après-moi.
- …
- Imagine que je te cocufie ce soir en douce avec deux jeunes pervers. Pense que je pourrais être leur vide-couilles…
- …
- Imagine que tu me surprends prise en sandwich par deux inconnus et que j’en suce un troisième.
- Il n’en faut pas plus pour que je lui tape violemment la fesse avec ma main droite tout en continuant à la défoncer avec violence maintenant.
- Imagine que je t’envoie promener lorsque tu me surprends et que tu me demandes de tout arrêter. Imagine, ta petite merveille qui te cocufie…

Carrément sous le choc, j’augmente encore ma poussée et j’y vais maintenant avec ces images qui tournent en boucle dans ma tête. Je suis pétrifié par ses propos, je veux lui déchirer le cul, la défoncer si loin que ma queue lui sorte par la bouche.

Je suis hors de contrôle jusqu’au moment où elle se met à hurler :
- Je viens, je viens, Arghhhhh, je viens, sale cochon, oui, oui, ma chatte coule comme un robinet et je ne me touche même pas… Vas-y VIEUX COCU !
- …
- ARGHHHHHHHHHHHHHH, OUIIIIIIIIIIIII, JE VAIS JOUIR DU CUL MOI AUSSI, OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII! hurle-t-elle avant de s’effondrer la tête la première dans ses oreillers, tremblant de tout son être.
- Elle me tape fort sur les cuisses pour que je la détache. Pendant qu’elle est prise de spasmes incontrôlables, je lui dis tout doucement :
- Tu imagines que si ce que tu me dis se produit réellement tu ne remets plus jamais les pieds dans cette maison.
- NOOOOOOONNNNNNN, mon amour, détend-toi, je n’ai même jamais pensé à cela. Je voulais juste provoquer ta colère pour subir ce que tu avais fait subir à Gloria l’autre jour.
- Comment ça ?
- Bien, j’ai éprouvé à ce moment-là un épisode de jalousie très intense, surtout parce qu’elle avait joui du cul et que moi ça ne m’était jamais arrivé.
- Et ?
- Et ? Bien maintenant « CHECK », j’ai eu mon premier orgasme anal et ne t’inquiète pas pour ce soir, si tu veux on peut tout annuler, ma journée est déjà plus que parfaite !
Sur ce, nous nous embrassons langoureusement durant un long moment avant d’aller prendre une douche ensemble.

XXX

C’est avec une certaine fébrilité que nous nous préparons en vue de cette soirée. Nathalie hésite sur ses vêtements et à ma suggestion, elle met son petit crop top noir en soie à fines bretelles, sans soutien-gorge. Au bas elle met une courte jupe plissée blanche recouvrant un shorty noir, des bas autofixants noirs et des stilettos de 10 cm. Elle est resplendissante.

Moi pour ce soir, je porterai un chemisier beige en lin et des pantalons de toile noirs.

Comme nous convenons que nous n’y allons pas pour faire la fête et danser puisque nous ne savons pas dans quel genre de soirée nous nous embarquons, nous ne quittons la maison que vers 19h00 vers Montréal. Après 1 h 30 de route, nous nous présentons dans un chic petit restaurant de la rue Saint-Denis pour un excellent repas que nous allongeons jusqu’à environ 22 h. Nous n’avons consommé qu’une demi-bouteille de vin blanc à deux durant le souper afin de conserver toute notre lucidité.

XXX

À 22h45, nous arrivons tout près du club échangiste et après avoir fait le tour du carré quelques fois, nous trouvons enfin un endroit pour stationner. Nous y pénétrons rapidement alors qu’il fait un froid glacial, nous sommes en février.

Devant il y a un homme à qui la caissière réclame un montant pour son abonnement annuel plus un droit d’entrée de 100$, ce qui est assez dispendieux puisque Nathalie et moi ne payons que 40$ au total pour les deux. Bien sûr, après avoir montré notre carte de membre.

Après être passés par le vestiaire, nous franchissons l’espace qui nous sépare entre l’entrée et le couloir pour monter à l'étage et déjà Nathalie fait tourner toutes les têtes avec ses mamelons qui pointent outrageusement à travers son petit crop-top en soie. Elle affiche une allure laissant croire aux pires perversions ce soir.

Dans l’alcôve à gauche, nous apercevons une femme accroupie et suçant alternativement deux queues. Sans nous attarder, nous empruntons l’escalier jusqu’à l’étage et en pénétrant dans la grande salle, nous sommes un peu stupéfaits. À première vue, il y a au moins trois fois plus d’hommes que de femmes, sinon davantage.

Sur les lits doubles rassemblés au centre de la pièce, il y a une jeune fille nue, début trentaine tout au plus. Elle est à quatre pattes devant deux hommes et les suce alternativement. Devant, les voyeurs ont à peu près tous leur chibre entre leurs mains et se masturbent. Nathalie me jette un regard tétanisé. Elle se tourne légèrement vers sa gauche et un homme qui se masturbe lui fait un timide sourire. De glace, elle ne bronche pas.

Elle jette un regard tout autour de la salle et voit un lit double le long du mur. Elle me tire par la main vers ce lit. Rapidement, elle se déshabille et monte sur le lit. Je me déshabille également et monte la rejoindre. Elle me masturbe vigoureusement avant de me prendre en bouche. Rapidement, j’affiche une belle érection. Durant la manœuvre, j’ai remarqué que des voyeurs se pressaient autour de notre lit et avaient leur queue à la main.

Nathalie se redresse et s’approche au-dessus de moi pour amener sa chatte à portée de ma bouche. Elle ne prête aucune attention à ce qu’il se passe autour de nous.

Elle se penche vers moi et me dit :
- Suce-moi, j’en ai tellement envie…

Elle monte sur ma bouche, je passe mes bras sous ses cuisses et approche ma bouche de sa chatte. Je commence lentement et elle coule beaucoup. Elle se caresse la pointe des seins tout en maintenant son regard vers moi. Rapidement, je me mets à lui dévorer littéralement la chatte. Son clitoris est complètement sorti et sa cyprine coule à flots. J’entreprends de sucer son gros clito et rapidement elle est dévastée par un orgasme foudroyant.

Elle se baisse ensuite vers moi et entreprend un long baiser. Elle me chuchote:
- Ça m’excite terriblement de baiser avec ta grosse queue devant tous ces voyeurs.

Pendant que tu me suçais et que je caressais mes seins, il y avait une dame vêtue d’un tailleur chic, comme si elle sortait du travail qui me fixait du regard et je la fixais également, nous nous sommes fait quelques sourires complices.
- Qu’est-ce que tu veux faire maintenant ?
- Je veux chevaucher ta grosse queue, mon amour.

Nathalie se met en position, insère ma queue jusqu’au fond, fait quelques longs va-et-vient et se baisse vers moi pour m’embrasser.

Elle s’arrête soudainement et se redresse un peu pour me dire:
- Je crois qu’il y a un gars qui me mange le cul et crois-moi, il sait ce qu’il fait?!
- Alors, laisse-toi aller mon amour et prends du plaisir.

Le gars sait tellement y faire que Nathalie ne cesse de gémir assez fort. Plus elle gémit et plus le gars s’applique. Au bout d’un assez long moment, cinq minutes, peut-être plus, le gars s’arrête, vient vers nous et fixe Nathalie qui lui dit :
- Merci, c’était divinement bon. Pour te remercier, tu as envie de me prendre en double pénétration avec mon mari ?

Elle me fixe d’un regard interrogateur et je lui fais signe que oui de la tête. Elle me sourit et regarde le gars pour attendre sa réponse :
- Oh oui, laissez-moi aller récupérer un condom.
- ?Moi, je suis prêt à la prendre maintenant?, a dit un homme qui tenait sa queue et un préservatif dans ses mains.
- Non, ça va aller, lui di-je.
- Ah OK, répond-il avec un regard un peu triste.

L’autre gars monte sur le lit derrière Nathalie et pointe son gland recouvert sur l’œillet de ma petite salope.
- Ça va, madame, vous êtes prête ?
- Oui, sans problème vous pouvez y aller doucement jusqu’au fond.

Le gars s’enfonce et Nathalie me fixe du regard. Rapidement, il commence ses va-et-vient et Nathalie se baisse pour me rouler une pelle torride. Elle est très excitée et se met à gémir rapidement. Le gars y va à fond de train et soudainement, il se met à gémir alors que Nathalie me fixe d’un regard tétanisé tandis que le gars jouit.

Je lui chuchote :
- Un sprinter ma belle !
- Ah, ah, tu n’es même pas drôle.
- Je suis désolé, ma chérie, vraiment.

Nathalie se redresse perpendiculairement sur mon pieu et me tend ses mains. Je les attrape et elle s’incline un peu vers l’arrière tout en entamant une ondulation lente, lui permettant de masturber son gros clito sur mon pubis. Elle me chevauche lentement telle une déesse et je la vois sourire à quelqu’un que j’imagine être la blonde de tout à l’heure.

Elle accentue rapidement ses mouvements d’ondulation puis laisse mes mains pour s’appuyer sur mon torse. Ses mouvements sont de plus en plus rapides et sa chevauchée endiablée a un effet assez dévastateur sur mon pénis qui n’a plus qu’une seule idée en tête : se vider dans sa chatte.

- Retiens-toi ! me dit-elle. Je vais jouir, mon orgasme arrive. Attends-moi, mon amour?! Retiens-toi… Ouah?! Argh?! Ouah?! Argh?! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII?! hurle-t-elle de toutes ses forces.
- Je viens aussi, ouiiii, arghhhhhhhh, au moment de lui envoyer toute la sauce.

Elle s’effondre sur moi, tremblant de tout son être alors qu’elle est foudroyée par un orgasme d’une intensité inouie.

Elle me roule une longue pelle langoureuse jusqu’à ce qu’une dame nous demande :
- Est-ce que vous avez terminé ?
- Oui, excusez-nous madame, nous vous laissons le lit.

Nous récupérons nos vêtements sous le lit et nous nous habillons rapidement. Nathalie ne met que son shorty et son crop-top et dépose sa jupe dans son sac. Elle a toujours ses stilettos qu’elle avait gardés durant nos échanges sexuels.

XXX

Nous nous faufilons lentement vers les lits au centre de la pièce alors qu’il n’y a toujours que la jeune fille qui s’amuse avec les mêmes deux hommes.

Tout près, dans un coin, nous apercevons la blonde magnifique avec qui Nathalie a échangé quelques sourires. Elle discute avec un homme plus âgé qu’elle, un peu bedonnant. Devant elle, il y a un jeune homme qui se masturbe en la fixant du regard, mais cette dernière ne s’en occupe pas.

Nathalie me tire doucement vers la dame. Nous nous arrêtons à côté d’elle, je me positionne derrière Nathalie, passe mes mains sous ses bras pour aller caresser doucement sa poitrine sous son top. Ma femme se dandine et passe sa main derrière elle pour caresser mon pénis. Le gars qui se masturbait devant la fille tourne son regard vers Nathalie qui demeure de glace.

Nathalie m’entraîne lentement de côté pour nous rapprocher de la blonde qui a la chemise complètement détachée, mais toujours insérée à l’intérieur de sa jupe. Elle laisse entrevoir une petite poitrine bien gonflée qui a l’air fabuleuse.

Nathalie se tourne vers la dame qui lui fait un sourire et lui dit :
- Je crois que vous avez un sérieux admirateur devant vous…
- Ah, ah, ça doit faire 15 minutes qu’il se branle en me fixant. Je ne m’en occupe pas tout simplement.
- Il est tenace, lui dis-je en me tournant vers elle. Par contre, on ne peut pas lui enlever le fait qu’il a beaucoup de goût.
- Je ne comprends pas, me dit la dame.
- Mon mari veut tout simplement dire que vous êtes très belle madame.
- Ah, désolé, me dit-elle en me faisant un sourire. Quand même, votre femme l’est tout autant et elle dégage un charisme incroyable.
- Je vous en remercie, madame, je suis Nath et mon mari Mitch.
- Enchantée?! Mon nom est Johanne et voici Jean, mon collègue et ami.

Nathalie fait face à la belle blonde alors que le masturbateur semble s’impatienter. Il tape sur l’épaule de Nathalie et lui dit :
- Je vous signale que j’étais là avant vous, madame !

Un peu étonnée, Nathalie fait un 180 degrés vers le jeune homme qui se masturbe toujours, me faisant signe au passage qu’elle maîtrise et lui demande :
- Êtes-vous en train de me dire que je vais voler votre morceau de viande ? EST-CE BIEN CELA ?
- Bien, c’est un peu vulgaire ce que vous dites. Mais, comme j’ai dû payer 100$ en droits d’entrée, je m’attends bien à tremper mon pinceau.
- Quelle subtilité jeune homme. Mais laissez-moi vous dire qu’avec le pinceau que vous avez, vous n’êtes pas outillé pour peindre un gros tableau.
- C’est très insultant ce que vous me dites, mais venant d’une salope comme vous, je ne suis pas étonné.

C’est à ce moment, que « venue de nulle part », Johanne s’approche dans le dos de Nathalie, glisse ses mains vers l’avant sous son crop-top, remonte jusqu’à ses seins pour les caresser doucement, passe sa tête par-dessus son épaule droite et dit :
- Comme vous ne semblez pas le comprendre, monsieur, DÉ-GA-GEZ !

Elle retire ensuite ses mains alors que Nathalie se retourne pour lui faire face Johanne lui dit :
- Je m’excuse, Nath. Vous êtes tellement magnétique que j’ai eu du mal à résister à l’envie de vous caresser. Je n’ai jamais touché une femme auparavant.
- Ne vous excusez surtout pas, dit Nathalie, vous avez un look tout à fait délicieux vous aussi, vous êtes belle comme le blé avec votre chevelure. Et, j’ai envie d’être la première femme à caresser vos lèvres de ma bouche.

Johanne s’approche alors timidement de Nathalie qui entoure sa tête de ses bras pour l’attirer vers ses lèvres. Timidement, Johanne se laisse aller doucement vers ce doux baiser que lui procure ma belle. Baiser qui devient de plus en plus torride entre les deux dames.

Nathalie se recule un peu, glisse ses mains à l’intérieur du chemisier de Johanne et en fait ressortir une magnifique poitrine bien ronde (bonnet B), avec de larges auréoles rosées, surmontées de petits tétons magnifiques.

Nathalie me regarde et me dit :
- Wow, tu as vu mon chéri ? Elle est magnifique cette jeune femme; on la mangerait tout rond !
- Effectivement, elle est un véritable appel au sexe si je peux m’exprimer ainsi.
- Merci, vous me gênez, nous dit-elle avec un timide sourire.
- Vous êtes libertine depuis longtemps ? lui demande Nathalie.
- Oh non, je suis divorcée depuis cinq ans et c’est mon collègue qui a décidé de me faire découvrir cet endroit, pour me décoincer un peu, répond-elle. Mais, je vous rassure. Il n’y a rien entre nous?; il ne veut surtout pas trahir sa femme, qui sait qu’on est ici ce soir.
- Bien, alors avec un petit peu d’ouverture d’esprit, je peux discrètement vous faire sortir de votre zone de confort. Êtes-vous d’accord ?
- Je ne sais pas trop… mais allez-y, votre mari et vous m’inspirez confiance d’autant plus que je vous ai vue prendre beaucoup de plaisir tantôt et je vous ai même un peu jalousée…

Nathalie me fait un sourire complice, se penche et prend le Hitachi sans fil dans son sac.

Elle me regarde et me demande :
- Mon amour, tu veux te placer derrière Johanne. Je sais que c’est toi l’expert de la jouissance féminine, mais je souhaite que tu me permettes d’assouvir ce désir soudain avec cette femme magnifique.
- Aucun souci?! Mon amour, ce sera un plaisir pour moi d’être ton assistant.

Je passe derrière Johanne et je défais lentement la fermeture éclair de sa jupe que je laisse glisser au sol pendant que Nathalie lui roule de nouveau une pelle. Mais cette fois-ci, ma femme lui dévore littéralement la bouche dans un ballet de langues des plus langoureux.

Je soulève ses jambes une à une pour faire glisser sa jupe et je descends ensuite sa petite culotte de dentelle blanche vers le sol et lui enlève comme sa jupe. Je me relève et fais ensuite glisser son veston et son chemisier. Elle est maintenant complètement nue sauf pour ses bas autofixants de couleur peau et ses escarpins noirs.

Je me redresse derrière elle alors que Nathalie me regarde et je lui fais un clin d’œil.

Nathalie cesse son baiser, s’approche de son oreille et lui chuchote :
- Johanne, j’ai un gros vibrateur dans mes mains. Je vais le mettre en marche et l’approcher de ton clitoris.
- …
- Mon mari va glisser ses mains sous tes bras pour caresser ta poitrine et toi, tu peux glisser tes mains derrière toi et caresser sa grosse queue sous son pantalon. T’inquiète, je suis très partageuse.
- …
- Lorsque j’approcherai le vibrateur sur ton clitoris, je ne l’appuierai que très légèrement pour te laisser le temps de t’acclimater et c’est toi qui doit m’indiquer si tu veux plus de pression par un petit mouvement du bassin vers le bas.
- …
- Crois-moi, ton orgasme risque d’être foudroyant, mais rassure-toi, mon mari te soutiendra avec ses bras. Es-tu prête, ma jolie??
- Oui, juste avec les caresses de ton mari sur le bout de mes seins je suis déjà prête à exploser !

Nathalie lui pousse ses bras vers le dos et rapidement, une de ses mains agrippe mon pénis déjà extrêmement tendu. Elle le serre, le relâche, le caresse vigoureusement.

Nathalie dépose doucement le vibrateur et la belle sursaute en émettant un petit gémissement. Elle se dandine doucement sur le vibrateur alors que je lui caresse maintenant les mamelons avec mes pouces et index de chaque main.

Elle bouge ensuite son bassin pour l’appuyer sur le vibrateur et Nathalie applique plus de pression sur le clitoris. Johanne gémit de plus en plus fort alors que Nathalie passe son bras libre autour de sa tête pour lui rouler une pelle torride, mais la jeune femme a de plus en plus de difficulté à trouver sa respiration.

La dame donne un bon coup de bassin vers le vibrateur et Nathalie l’appuie fermement sur le clitoris de Johanne alors que moi je lui pince le bout des mamelons.

Elle émet un lourd gémissement, se tortille et se met soudainement à hurler :
- Continue, continue, continue, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, en serrant très fort mon pénis derrière son dos.

Nathalie se retire alors que Johanne tremble de tout son être. Je la soutiens avec mes bras pour l’empêcher de s’écrouler. Je l’entraîne doucement vers le coin du lit devant pour lui permettre de s’asseoir et de récupérer un peu.

Nathalie s’accroupit devant elle et lui demande :
- Ça va, ma belle ?
- Oui, oui, je suis sous le choc, je n’ai jamais eu un tel orgasme. J’en tremble encore. J’ai tellement serré fort la queue de ton mari, j’espère qu’il ne m’en veut pas ?
- Détends-toi ma belle, je suis sûr qu’il a apprécié.
- Je vous remercie tous les deux pour cette courte expérience hors du commun. J’aimerais bien aller plus loin avec vous, mais j’en suis incapable devant tout ce monde.
- Échangeons nos coordonnées et peut-être que si l’occasion se présente et que tu veux aller plus loin dans ton plaisir, envoie-nous un texto et l’on verra.

On se rhabille ensuite rapidement. Les deux femmes échangent leurs numéros de téléphone et Nathalie prend bien soin de lui rappeler nos règles, en mettant l’accent sur la première, qui dit: JAMAIS UN SANS L’AUTRE.

XXX

Sur ce, nous quittons ensemble l’établissement et partons chacun de notre côté : Johanne, avec son collègue dont j’ai oublié le nom, et nous, vers notre lointaine campagne.

En chemin Nathalie me demande :
- Ton bilan ?
- Bah, moyen, je crois, nous aurions pu épargner un paquet de fric et avoir autant de plaisir à la maison.
- Moi aussi, c’est ce que je crois et Johanne ?
- Elle semble délicieuse, mais tu sais, on a déjà plein d’amis autour de nous avec qui l’on prend des pieds d’enfer.
- Oui, je dois te donner raison encore une fois, mais avoue : JE LUI AI QUAND MÊME BIEN FAIT PRENDRE SON PIED À LA P’TITE BLONDASSE !

XXX

Pour notre prochaine expérience en club, nous irons dans une soirée "Publique Disgrâce".
Par contre, comme depuis le début nos histoires se succèdent dans le temps telles que vécues, nous allons vous présenter trois histoires successives sur nos expériences en "sauna libertin"...

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