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Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (4)

Notre jeune ami Mahdi devenu accro e la Terma ne peut plus se passer de zob surtout qu'il a expérimenté les grosses bites noires. Alors il va rassasier son cul malgré qu'il sait que cela va éclater la colère de son mentor ammi Ali qui risque de se venger.

Proposée le 9/03/2024 par DALIDA

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


J’ai écarté mes jambes et cuisses pour lui offrir totalement mes fesses, mon anus et mon cul et j’ai soulevé un peu ma croupe pour donner une totale liberté à son zob pour me pénétrer et jouir de moi complètement. Et il en profita, son zob jouait totalement dans mon cul jusqu’au fond. A chaque enfoncement, comme il était tellement long, je pensais qu’il allait sortir dans mon ventre par devant. Je restais à moitié soulevé et je gémissais de jouissances malgré le sperme qui remplissait encore mes entrailles. Enfin il arriva à son second plaisir et déversa de nouvelles bordées de spermes dans mon cul et sur mes fesses.

Puis il s’allongea à coté de moi. Mon autre amant avait disparu de la chambre pour laisser son ami jouir totalement de ma Terma et la satisfaire comme demandé. Je me suis levé et je suis allé à la salle de bain pour me vider sur le bider et me laver. Ensuite, quant je suis revenu, mon africain était toujours allongé, dos sur le lit et le zob debout, pratiquement vertical. Je l’ai touché et j’ai compris qu’il bandait toujours, qu’il était dur et gonflé. Alors je l’ai bien saisi pour le sucer en long et en large ainsi que ses couilles qui semblaient encore toutes pleines. Et rapidement, j’ai compris qu’il était prêt pour une troisième niquée. Alors, je me suis assis dessus jambes et cuisses écartées de part et d’autres de son corps. Je me suis pointé l’anus sur son zob que j’ai guidé de la main pour l’enfoncer de nouveau dans mon cul et je me suis assis totalement pour que le zob me pénètre entièrement et profondément jusqu’aux couilles. Puis, comme habitude j’ai repris la danse de la Terma et de la croupe sur le zob, à droite et à gauche puis et vers le haut et vers le bas. Mes gémissements devinrent vite des cris de plaisir puis des hurlements de jouissances. On n’était pas au ciné, donc je me donnais à fond et je hurlais autant.

J’insistais surtout quant je dois enfoncer le zob totalement car ce sont ces contacts violents et de pénétration qui me donnaient des jouissances fortes dans la terma et des ondes de plaisir sur tout le corps. Je suis resté ainsi à m’amuser avec son zob pendant un long moment sans qu’il dise un mot et sans prendre l’initiative. Mais à un moment donné, peut être parce que le plaisir commençait à l’envahir lui aussi, il prit mes hanches pleinement dans ses larges mains et commença à m’aider dans ma danse en soulevant légèrement parfois son bassin et en me donnant des coups de reins brusques et violents qui se répercutaient sur son zob à l’intérieur de mes entrailles et me donnaient des chocs de jouissances qui me faisaient hurler de plaisir. Ensuite, il prit totalement l’initiative et ses coups de reins en cadence s’accélèrent et devinrent de plus en plus violents de désirs et de passion. Cela mit du feu et du plaisir continu dans mes entrailles et mes hurlements devinrent de longues plaintes de jouissances permanentes, en continue jusqu’à ce qu’il arriva à son nouveau top et il se bloqua enfin sur ma croupe.

Et soudain par jets brulants et abondants, une nouvelle vague puissante et abondante de sperme fut projetée dans mes entrailles jusqu’à déborder sur mes fesses, sur ma croupe et le long de mes cuisses. Il se souda à ma croupe, se soulagea complètement en hurlant comme moi et enfin il se calma et retomba sur le lit. J’ai réussi à garder encore son gros zob dans mon cul pendant un bon moment puis je me suis levé pour courir me vider et me laver. Enfin, il se leva lui aussi et me suivit dans la salle de bain pour se nettoyer et se laver. Quelques instants plus tard, lorsque on a rejoint la chambre, son copain avait posé sur la table de nuit un casse croute, quelque pains pleins de viande hachée et une bouteille de jus. Ainsi, nus tous les trois, on a mangé en silence, avec quelques rires et regards complices, puis il me demanda si ma Terma était enfin rassasiée pour la journée et j’ai répondu positivement. Mais l’africain a demandé de faire expérience de face à face dont lui a parlé son ami. J’ai demandé s’il avait encore la force et il montra son zob qui était encore assez debout. Il le branla un moment de la main et quant je l’ai touché de nouveau il était assez gonflé, un pieu de chair dur comme fer. Alors, je me suis allongé sur le dos et j’ai levé haut mes cuisses et mes jambes.

Il les a mis sur ses épaules et se positionna entre mes cuisses. Cette fois aussi, on avait placé un oreiller sous ma croupe pour la soulever, et ainsi mon anus était bien juste face à son zob. Il me donna sur l’anus quelques longs baisers sonores avec sa langue et il me lécha le cul largement tout en pénétrant un peu sa langue. Puis il attrapa son zob à la main et le pointa sur mon anus légèrement ouvert et palpitant . Alors, comme mon cul suait de désir, il me pénétra facilement, malgré sa grosseur et il se prolongea au fin fond de mes entrailles. Malgré les multiples sodomies précédentes, le lent enfoncement en moi déclencha encore dans ma Terma de nouvelles vibrations de jouissances. Puis il commença une série de vas et viens lentement, doucement et très jouissifs. Son plaisir de voir face à lui son gros et long zob pénétrer et coulisser dans mon anus largement écarté devait amplifier son désir. Face à moi, il devait me voir comme une femme qu’il baisait et dont il jouissait de son corps. J’y avait pensé, alors pour l’aider dans ses fantasmes, je l’ai invité à me caresser les seins et à en sucer les bouts car ils étaient enflés comme ceux d’une fille. Il avait l’habitude de le faire pour les femmes qu’il baisait, alors il plongea et se pencha sur moi et ses mains enveloppèrent mes seins de caresses, de massages passionnés et ses lèvres prirent possession de leurs bouts gonflés.

Cela me donna un surplus de plaisir et de jouissances. On avait donc du plaisir commun et son corps qui me couvrait et son zob qui emplissait mes entrailles me donnait la sensation agréable de lui appartenir, de lui offrir tout mon corps, pas seulement mon cul, comme une femme. Ce sentiment, c’était la première fois que je le ressentais avec le grand corps de cet africain qui me dominait, me prenait à fond. Même sa respiration rauque et saccadée, tout près de mon visage était comme une preuve de virilité mâle et de domination et je vibrais d’excitation. Ainsi, il me niqua vigoureusement pendant plus de dix minutes. Parfois, pour bien s’enfoncer en moi avec son gros zob, il me soulevait aussi la croupe avec ses grosses mains pour me coller à fond et presque avec violence à son corps, encore un acte de possession de mon corps et j’en jouissais aussi. Dans ces moments, mon corps, coupé en deux était à son abandon et et quant il plongeait et enfonçait son zob, c’était presque à la verticale vers le bas, car il était pratiquement à demi debout. J’étais à lui complètement et cela amplifiait mes fantasmes sexuelles et je m’ouvrais encore à lui si je le pouvais.

Enfin, après une éternité de vas et viens merveilleusement vigoureux et jouissifs, ses couilles arrivèrent à leur plaisir et son zob déversa son sperme par plus de quatre rasades dans ma Terma. Nous hurlions ensemble sans tenir compte de la présence de l’autre ami et ne considérant que notre plaisir et nos jouissances. Il resta dans mon cul et son zob frémissait encore à l’intérieur et libérait ses surplus de sperme qui augmentaient mes sensations agréables de plaisir. Enfin il me relâcha et je retombait sur le lit et lui restait debout, prostré, groggy, presque étourdi. J’ai remarqué encore une fois son zob qui s’était détaché de mon cul et qui pendait légèrement à cause de sa longueur, mais il était toujours debout et se balançait de droite à gauche de manière insolente, excitante, aguichante, presque obscène. J’étais encore sous le charme des sensations de la sodomie et ces mouvements envoyèrent dans mon corps et sur ma Terma des ondes de désir nouvelles qui me donnèrent encore envie de niquer. Et si j’avais la possibilité, je resterais cette nuit dans cet appartement pour jouir encore et encore de ces deux zob et surtout de l’africain. Son corps et son zob étaient de vrais sorciers de l’excitation sexuelle, du plaisir érotique et des jouissances affolantes à la vue et au toucher.

Hélas, il devait être tard maintenant et je dois rejoindre le campement et ammi Ali qui a encore ses deux sodomies habituelles à me faire dans la Terma, cette nuit, quoique elle a été rassasiée avec tous ces hommes d’abord dans le ciné et puis, ici dans l’appartement. Pour la semaine prochaine, je vais programmer plus tôt la même chose d’abord au ciné pour des sodomies publiques puis dans l’appartement avec mes deux taureaux ou même plus si possible, et ma Terma et mes fantasmes en jouissent déjà. Rapidement on s’est nettoyé très succinctement parceque j’étais pressé, puis je les ai quitté avec promesses pour rejoindre mon campement.

J’ai trouvé ammi Ali qui m’attendait avec impatience. Il était fâché car il ne savait pas où j’étais et son ami Said mon autre amant n’en savait rien non plus. J’avais fui en ville sans les informer ce matin et cela excita leurs soupçons et leur colère. Ammi Ali insista pour savoir, surtout que son ami Said avait que ma Terma aimait niquer en public, au ciné. Il avait deviné juste que j’étais parti en ville et certainement au ciné porno comme je l’avais fait avec lui la dernière fois. Il avait vu que ma Terma était affamée, insatiable et que j’avais été niqué par d’autres devant lui et dans les WC. Il était aussi fâché car je ne l’avais pas averti pour partir avec lui, en complice. Alors, pour se venger, il souffla à ammi Ali que j’étais certainement parti en ville pour chercher des zobs à me niquer et ammi Ali l’a cru tout de suite et m’a engueulé comme si c’était vrai. Mais Said était un diable car il souffla à ammi Ali de vérifier ma Terma qui avait peut être encore des traces de sperme et ammi Ali a accepté.

Alors il m’a amené à l’intérieur de notre baraque et m’a déshabillé de force pour voir ma Terma. Je l’avais nettoyée après les sodomies de l’africain mais sommairement car j’étais pressé. Et quant ammi Ali vérifia ma Terma avec ses doigts, entre mes fesses et même à l’intérieur de mon cul, il trouva une bonne quantité de sperme séché dans le sillon de mes fesses et beaucoup d’humidité à l’intérieur même dans mon cul, reste de sperme de mes amants de la journée.Alors il entra en colère et commença à me battre avec sa ceinture. Il était fort, trop fort pour moi et ses coups allait surtout sur mes fesses et ma croupe dénudées et sur mes cuisses. Said qui était dehors entendit mes cris et pénétra la baraque et parvint à arrêter ammi Ali. Je me suis effondré sur le lit, nu sous la ceinture et Said réussit à convaincre ammi Ali de me laisser tranquille, de peur de me blesser. Puis il proposa de m’amener chez lui jusqu’à ce que ammi Ali se calme. Ainsi, j’ai vite remis mon pantalon et je suis parti avec Said dans sa baraque pour cette nuit.

A l’intérieur de sa baraque, j’ai du enlever mon pantalon à cause des brulures des coups de ceinture sur mes fesses. Et Said me coucha, ventre sur le lit, puis il apaisa mes douleurs sur mes fesses, ma croupe et mes cuisses avec de l’eau et un peu d’huile et une légère pommade. Puis il me couvrit légèrement et sortit. Je restais couché ventre sur le lit. Mon tee shirt me gênait et j’ai du l’enlever, ainsi j’étais complètement nu sous le drap de Said. Après une demi heure, les douleurs furent apaisées et je me suis endormi. C’est Said qui me secoua pour me réveiller, il était avec ammi Ali qui s’était calmé, mais j’ai refusé d’aller dans sa baraque pour cette nuit car j’avais peur qu’il recommence à me battre. Said le convainquit de me laisser cette nuit dans sa baraque et ammi Ali s’en alla. Il était fâché car pour ce soir, ses deux sodomies dans ma Terma et celle de l’aube sont perdues.

Ensuite Said m’apporta ma part de repas de la baraque de ammi Ali et ajouta un peu de la sienne et nous avons mangé ensemble. Puis on est allé au lit et Said me demanda si j’avais encore mal. Je n’avais plus mal et mon sommeil de tout à l’heure m’a réchauffé le corps, surtout la Terma qui reprenait ses envies, ses désirs. Alors, j’ai accepté avec joie de le laisser me niquer à la place de ammi Ali. Agenouillé sur le lit et la croupe bien dressée et les jambes et cuisses écartées, j’offrais mon cul affamé au zob de Said. Il se pointa derrière moi et plongea sa bite dans mon anus et l’enfonça dans mon cul jusqu’aux couilles. Ce fut un délice après les coups que j’avais reçu. Et il démarra, comme à son habitude une série de vas et viens. D’abord lentes, il se souciait de mes douleurs, puis comme je lui ai crié d’aller plus fort, il accéléra et ses coups de reins devinrent vigoureux et même violents. Pendant un quart d’heure ou plus, nous avons baisé en hurlant notre plaisir et nos jouissances. J’étais sur que ammi Ali entendait nos cris et nos hurlements de jouissances, surtout les miennes. Et il doit rager car ce fut une mauvaise surprise pour lui, il n’était pas au courant que je pouvais donnais aussi ma Terma à son ami Said et à ce moment il entendait nos cris de plaisir et de jouissances.

Enfin, Said arriva à son top et éjacula par trois fois dans mes entrailles. Puis il s’écroula à coté de moi sur le lit. Je suis resté un moment agenouillé, le cul en l’air puis je suis allé au coin toilette pour me nettoyer. Ensuite je me suis recouché, toujours à plat ventre sur le lit. Soudain, on entendit des coups sur la porte de la baraque et Said mit rapidement son pantalon avant d’aller ouvrir. C’était ammi Ali qui se pointait et exigeait que je retourne dans sa baraque. Il avait certainement un besoin urgent de ma Terma et ce qu’il avait entendu l’avait rendu encore jaloux et affamé de sexe. Ammi Ali dominait depuis toujours Said et ne tolérait pas de refus et Said accepta tout de suite de me céder à ammi Ali. De toutes façons la sodomie qu’il venait d’avoir dans ma Terma lui suffisait largement et il ne voulait pas perdre l’amitié de son ami Ali. Ce dernier entra dans la baraque, me prit d’autorité par le bras pour me relever. J’étais nu sur le lit, et il prit juste le drap de Said pour me couvrir et il m’entraina de force dehors. Said ne dit pas un mot et ferma sa porte quant nous sommes sortis.

Nous sommes entré dans notre baraque de ammi Ali et il me jeta sur le lit et exigea que je prenne position tout de suite. Alors, je me suis encore agenouillé et redressé ma croupe pour lui offrir mon cul. Il se déshabilla en vitesse et, nu, il se plaça derrière moi. J’ai vu que son zob était déjà debout, tendu et gonflé, presque vertical. Et il reprit possession de ma croupe et plongea son zob dans mon cul où il y avait encore un peu de sperme de Said. Le zob s’enfonça jusqu’aux couilles qui claquèrents sur mes fesses et il démarra tout de suite ses vas et viens, forts, puissants et accélérés. Un moment il s’arrêta une seconde et se baissa pour donner quelques tendre et passionnés baisers à ma croupe et à mes fesses qu’il a failli perdre, puis il reprit les vas et viens de son zob dans mes entrailles. Je l’entendais dire « pardon mes chéries » (asam7ouli ya 7babati) pendant qu’il donnait des baisers à mes fesses. Puis comme je tournais la tête vers lui, il me dit « ce n’est pas à toi que je dis pardon mais à cette chère Terma » (s’ma7i rani talbou li Terma al3aziza ! mach leik anta) .

Evidemmant, pour lui et son zob, ma Terma comptait plus que moi. Et il continua à me niquer vigoureusement jusqu’à obtenir son top. Il s’accrocha à mes hanches et déversa ses trois rafales de sperme dans mon cul. Puis il me tapa les fesses et exigea que j’aille me laver correctement. J’avais compris qu’il avait ressenti une partie du sperme de Said dans mon cul mais il a préféré continuer à me niquer. Après mon nettoyage et mon retour au lit, il se colla à mon dos et son zob se frottait encore une fois à mes fesses. Rapidement il m’a réchauffé la Terma qui recommençait à me démanger et je dandinait de la croupe contre son zob. C’est un signal qu’il comprenait bien et il lança un gros rire « hadhihi Terma li 3alamat’ha » (cette Terma que j’ai éduquée) et son zob devenait dur et long à fond le log de mes fesses. Il me mit le dos sur le lit et voulait me niquer face à face comme à son habitude.

Il agenouilla entre mes cuisses. J’ai relevé mes jambes et cuisses en les écartant au maximum et retenu mon zob et couilles contre mon ventre, et je lui ai offert mon anus bien en face de son zob. Il prit son zob et le guida vers mon anus et il me pénétra le cul en vitesse et en force et s’aplatit contre moi. Son zob s’enfonça jusqu’aux fondements de mes entrailles et commença sa seconde sodomie habituelle, violente, accélérée et avec hurlements. Moi aussi, j’étais entrainé dans le plaisir et les jouissances de ma Terma et je le suivais dans ses gémissements et ses hurlements. Si notre ami Said nous écoutait, il devait avoir regretté ma Terma et de l’avoir laissé entre les mains et le zob de son ami Ali.

Ammi Ali me niqua pendant un quart d’heure et finit par éjaculer aussi trois fois dans mes entrailles. Puis il se tourna de l’autre coté du lit et s’endormit sans un mot et sans se laver. J’étais las et fatigué et j’ai décidé de m’endormir ainsi, moi aussi, avec son jus dans ma Terma. Je savais qu’il allait se réveiller vers l’aube pour me niquer encore avant de me pousser à aller préparer le petit déjeuner. La routine reprenait son cour mais le weekend prochain, avec ou sans leur accord, de lui et de Said, je descendrais seul en ville pour retrouver les zob de mon ami l’africain et l’autre et peut être de leurs copains noirs aux gros zob et grosses couilles pleines.

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