Un été très chaud

Cet été là, j’avais tout juste 30 ans, à peine plus jeune que toi. On a passé nos vacances à profiter. Et on est parti dans un coin de notre île pour camper au bord de mer.

Proposée le 6/02/2024 par Héroze

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Fantasme

Cet été là, j’avais tout juste 30 ans, à peine plus jeune que toi. On a passé nos vacances à profiter. Et on est parti dans un coin de notre île pour camper au bord de mer.

Après avoir préparé la glacière et nos affaires , on a chargé le SUV et on est parti.
Plus de 4h de route où on chantait, riait et au détour de certaines lignes droites, tu caressais ma cuisse nue et chaude avec douceur.
Enfin arrivés, on a d’abord profitez de l’instant : tour de la plage, repérage de la fréquentation et diagnostique de notre emplacement. On a chacun ouvert une bière et on s’est attelé à notre campement : voiture reculé coffre face à la mer, toile étanche tendue, natte installée, glacière à l’ombre, bois ramassé et empilé et enfin, un foyer pour le feu. Après une bonne heure où nos regard se croisé pendant tout ce travail, on s’est enfin posé sur la natte avec notre seconde bière.
J’ai pris le temps de décortiquer mentalement tous tes gestes : ta sueur dessiné les muscles de tes bras et de ton dos, tes fesses musclées, la dorure de ton bronzage, ta chevelure décoiffée, tes regards que je sentais tour à tour sur mes fesses bombées, ma poitrine tendue et mes mains qui se caressaient.
C’est à ce moment là que je décide de retirer ma robe légère à fleurs pour dévoiler le bikini blanc que je portais : tanga blanc qui insisté sur la rondeur de mes fesses et le haut triangulaire qui ne cachait que mes mamelons déjà tendus d’excitation.
Il était 13h30 quand tu m’as proposé de m’endure de crème solaire… tu as commencé par mes épaules et au fur et à mesure que tu descendais la ligne de mon dos je sentais que tu te rapprochais de mes hanches.
Je me suis cambrée pour te montrer ce que j’espérais et tu as répondu en palpant mes deux pommes de manière ferme d’abord. Tu les as malaxé puis écarté. Je me suis cambrée un peu plus pour que tu puisses voir la rondelle que tu convoitais. Avec une dextérité indescriptible, tu as d’une main étiré le string et glissé un doigt déjà humidifié de salive dans mon trou. En m’entendant soupirée, tu as commencé à le remuer. Il a été rejoint par un autre puis encore un troisième.
Déjà haletante, tu m’as donné une petite fessée avant de t’allonger à côté de moi déjà le sexe dévoilé. Je me suis exécutée en venant déposer ma langue, puis en faisant des vas et vient de plus en plus serrés et profond.
Quand ta queue fut suffisamment salivée et dure, tu m’as redressé et défié de m’y empaler. Comme la vilaine fille que je suis, je me suis accroupie au dessus de toi. J’ai commencé par frotter mon clitoris trempée de désir puis, déjà presque à l’orgasme j’ai suivi le mouvement de tes bras et je t’ai laissé entrer en moi. La sensation de mon vaginaux chaud et humide d’envie t’as fait râlé de plaisir. Je sentais tes mains qui accroché mon cul de plus en plus fermement.
Ta main droite a dessiné ma colonne vertébrale pour arriver à m’obliger à me pencher vers l’avant. Maintenant presque à quatre pâtes au dessus de ta queue reluisante de mon désir, tu avais accès à mon rondelle déjà ouverte par tes doigts…
J’ai senti tes mains caresser mon cul et délicatement tu l’as écarté. Alors de tes indications j’ai fini la tête dans la natte, les mains de part et d’autre de mes fesses pour bien les écarter. La cambrure de mon corps te donner, désormais, accès et visuel totale sur mon petit trou rose. J’ai senti d’abord ta langue me lubrifier, les vas et vient me procuraient une montée excitation que je ne soupçonnais pas. Puis, j’ai senti ton pouce se frayer un chemin. Une fois à l’intérieur, je ressentais tous les vas et vient que tu faisais doucement. Sans même m’en rendre compte, je me cambrai davantage et commençais à ne plus maîtriser les petits soupirs de délices que maintenant ton index et ton majeur me procuraient en se glissant à l’intérieur de moi. Alors, tu m’ordonnas de bien écarter mon cul afin de que tu profites de mon trou fraîchement ouvert et tu as ajouté l’annulaire à tes mouvements…
Comme pour une récompense à mon obéissance, tu as cessé cette danse pour empoigner ton gland pour le frotter tout long de ma chatte humide. Avec mes râles de plaisir, tu es entré dans mon minou jusqu’à la garde.. les vas et vient étaient de plus en plus agressifs et tes mains ne lâchées plus mes hanches.
D’un coup, tu t’es immobilisé ! Tout en laissant ta queue bouillante dans ma chatte, tes doigts ont repris l’assaut de mon cul. J’ai senti la salive que tu venais de cracher.. ton index, ton majeur, l’annulaire.. j’espérais que personne ne passe, j’étouffais mes cris dans mes avant-bras. Puis tu as ajouté l’oriculaire… Je sentais la délicatesse de tes gestes et en même temps la force que ma chatte encaissée par tes coups de reins. Enfin, tu as entré lentement ta main sans mon cul, tu t’es penché sur moi et m’a soufflé des mots cochons, tout en continuant tes coups de hanche… J’étais aux anges, je ne maîtrisais plus mon corps, ne voyait plus la magnifique plage en face de moi.
Je sentais nos sueurs se mêlaient, la chaleur nous prendre dans son nid pour finir par jouir à plusieurs reprises.


Après cela, notre camping venait de prendre une nouvelle tournure qui s’annonçait torride et pleine de rebondissement…

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