Elodie E11

Le travail d'Elodie continue. Frustrante et peu passionnante. Jusqu'à ce qu'un groupe de lascars se pointe. Et que l'un d'entre eux ouvre un incendie entre ses cuisses. Un incendie démentiel....

Proposée le 17/01/2024 par DomiNancy

Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

Elle venait d’enchaîner les hommes. Elle ne négociait pas les prix. Ils lui disaient combien ils étaient prêt à mettre et ce qu'ils voulaient et elle acceptait. A sa plus grande surprise, ils avaient offert plus qu'elle ne pensait à chaque fois. C'est qu'elle devait leur faire de l'effet. Et c'était flatteur. Même si aucun de ces mâles en mal de femelle n'avait réussi à lui procurer vraiment du plaisir.

Elle attendait le dernier client. Elle vit s'approcher un groupe de 6 lascars. Dont un grand black musclé et imposant. Et comme par hasard, ils s’arrêtèrent à sa hauteur.
« Salut »
« Salut ». Elle regardait surtout le grand black. Les petites frappes l'entourant lui faisaient moins d'effet.
« T'es pas mal toi »
« Merci. Vous voulez quoi ? »
« Tout dépend ce que tu proposes miss »
« Dis ce que tu veux et on verra si on fait affaire ». Le grand black la dévorait des yeux. Il n'avait pas encore dit un mot mais c'est lui qu'elle voulait.
« On se ferait bien sucer »
« Tous ? »
« Oui »

Elle était un peu déçue. Elle imaginait déjà le membre de cet animal puissant qu'elle avait en face d'elle la défoncer. Elle décida de prendre les choses en main.
« Je vous suce tous sans capote mais lui, il me baise. Ok ? » Elle désigna le black en disant ça.
« Vraiment ? T'es bizarre comme pute toi ! »
« T'inquiète pas pour ça. Alors ça vous va ? »
Et le black prit enfin la parole.
« Ok à deux conditions. Un, mes potes te giclent tous dans la bouche et tu avales »
« Ok. Et la seconde ? »
« Si je te fais jouir, tu me laisses t'enculer. Après tout, c'est moi qui paye pour avoir du plaisir, pas toi »

Elle prit le temps de réfléchir, surtout en voyant le sourire en coin de ses potes. Ils devaient savoir qu'il était monté comme un cheval et que son cul allait ramasser comme jamais. Mais putain, elle venait de se taper 7 mauvais coups à la suite alors si celui là la faisait jouir... « et puis merde » se dit elle.
« Ok. Et question prix alors ? »
« 50 pour chacun de mes potes, 100 pour moi avec ou sans ton cul »
« Ok. Suivez moi. »

Et elles les entraîna vers son petit coin. Les billets furent à peine échangés que les mecs sortirent leurs bites en arc de cercle autour d'elle. De belles bites remarqua t'elle. Jusqu'à ce que son étalon sorte la sienne.

Énorme ! Largement plus de 20cm, probablement 25. Et large comme sa paume de main. Une bite démentielle. Qui ferait peur à n'importe quelle femme. Sauf elle. Elle avait déjà pris de gros calibre, en double pénétration même des fois. Mais jamais une bite de cette taille.

Elle s'agenouilla et attaqua son office. Une bite dans la bouche, une dans chaque main et les autres attendant qu'elle se tourne vers eux. Elle les entendait la traiter de pute, commenter sa prestation. Ils n'avaient aucun respect pour elle. Mais elle s'en foutait. Ca faisait longtemps qu'elle avait compris que le respect n'avait pas sa place dans le sexe et encore moins dans le plaisir.

Elle les faisait tous bander et elle finit par arriver devant cette bite qui la faisait fantasmer. Elle essaya en vain de la mettre dans sa bouche mais elle put à peine prendre son gland. Alors elle fit courir sa langue dessus comme elle put.

Mais après quelques secondes, elle comprit qu'elle ne pourrait faire guère mieux avec sa bouche. Elle leva les yeux vers lui pour lui demander :
« Tu as une capote à ta taille ? »
« Oui » et il la sortit avant de l'enfiler lentement en la regardant.
Un des autres lui dit : « tu vas voir ma petite, dans la cité c'est son engin qui sert à dépuceler les filles dans les caves. Il paraît qu'elles n'arrivent jamais à oublier ça ».

Elle n'avait aucun mal à le croire. Elle se redressa, lui tourna le dos et elle se pencha en s'appuyant sur le mur. Attendant qu'il la défonce. Elle sentit ses deux mains agripper ses hanches. Elle ferma les yeux. Mais elle n'eut pas le temps de trop se concentrer car un des autres attrapa sa tête pour la tirer vers sa bite et plonger sa queue dans sa bouche.

Elle essaya de le sucer aussi bien que la situation le permettait tout en appréhendant la pénétration qui n'allait plus tarder. Elle avait cette queue raide entre les lèvres quand elle sentit son intimité être écartelée comme jamais. Il commençait à entrer en elle, doucement mais de manière implacable.

Et sa petite chatte, pourtant serrée, s'enroulait parfaitement autour de cet engin, comme un fourreau étroit. Son cri fut étouffé par la queue dans sa bouche et heureusement. Car elle aurait littéralement hurlé sinon.

Il poussait son sexe dans son bas ventre en maintenant fermement ses hanches. Elle croyait qu'il allait l'éventrer tellement cette bite était grosse dans son ventre alors qu'elle n'en avait pas la moitié encore.

Elle était incapable de faire autre chose que de se concentrer sur son ventre qui était en train de se faire défoncer. Alors le type dans sa bouche prit les choses en main. Il lui baisait la bouche à son tour.

Elle était littéralement embrochée et baisée par la bouche et par la chatte. Elle se faisait l'effet d'être un de ces poulets à la broche qu'on trouvait sur les marchés.

Petit à petit, ce salaud s'enfonçait dans ses entrailles. Il n'arriverait pas à tout lui mettre, il le savait. Mais les 2/3 était déjà dans son ventre. Il décida que ça suffirait et il commença à la limer en rythme.

L'autre gicla dans sa bouche et elle l'avala comme convenu. Le laps de temps qu'il y eut entre la première et la deuxième queue dans sa bouche lui permet de respirer et de gémir de douleur et de plaisir.

Puis une nouvelle bite prit sa bouche. Là encore, elle se contenta de se laisser faire. La verge dans sa chatte ne lui laissait pas l'occasion de faire autre chose que d'encaisser. Son ventre était vraiment rempli comme jamais. Elle se sentait pleine à craquer. C'était un peu douloureux.

Mais il n'y avait pas que ça. Il y avait aussi du plaisir. Un plaisir physique mais aussi un plaisir psychique. Elle ne s'était jamais autant senti femelle que là. Jamais autant senti comme un animal. Elle avait l'impression que le fait d'être prise, possédée si intensément, lui montrait ce qu'était le pur plaisir de la femelle.

Ce plaisir était un peu en bruit de fond mais il était là. Et il ne l'empêcha pas d'avaler le sperme du second qui gicla dans sa bouche en la traitant de pute. Puis d'enfiler le troisième dans ses lèvres.

La bête qui se trouvait derrière elle commençait à la défoncer en rythme et de manière puissante, lui arrachant un gémissement à chaque coups de reins. Ce qui excitait les autres. Le troisième et le quatrième se vidèrent dans sa bouche en quelques secondes à peine. Et le dernier fut à peine plus résistant.

Une fois ces 5 giclées de sperme avalées, elle se redressa pour mieux s'appuyer au mur. Elle s'attendait à encaisser fortement maintenant. Et elle ne fut pas déçue. Elle devait serrer les dents pour ne pas hurler à réveiller tout le quartier tellement il la baisait fort.

Elle aimait tellement ça qu'elle se prit à désirer qu'il l'encule. Que ce soit encore pire. Encore plus bestial, plus animal. Elle s'imaginait ce sexe démentiel ouvrant son cul serré et le déchirant littéralement. Son plaisir montait vitesse grand V et une fois libéré, elle obtiendrait cette sodomie. Cette punition. Cette délivrance. Ce plaisir. Cette envie d'une vie.

Mais, à sa plus grande surprise, son étalon ne tint pas aussi longtemps qu'elle. Et il finit par gicler dans la capote avant qu'elle ne jouisse. Ce qui la frustra au delà de ce qu'elle n'avait jamais connu. Non seulement elle n'avait pas joui mais il venait de la priver de l'envie la plus animale qu'elle n'avait jamais eu.

Il lui mit quelques coups de reins supplémentaires mais il finit par sortir d'elle. Elle retrouva suffisamment ses esprits pour se rappeler ce qu'elle faisait ici de base. Elle se retourna promptement et lui retira la capote. Qu'elle empocha comme les 7 précédentes.

Elle regarda son étalon et elle vit dans le regard qu'il était satisfait. Ce qui n'était pas son cas. Après quelques propos graveleux, ils partirent en groupe, la laissant là.

Elle se rhabilla puis elle retourna sur le trottoir. Il lui restait certes une capote en poche mais elle avait atteint l'objectif fixé. Alors elle marcha jusqu'au bar où il se trouvait. Avec le ventre en feu et une seule idée en tête : soit il me fait jouir, soit ses petits jeux s'arrêteront là.....

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Commentaires de l'histoire :

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