Initiation torublante

Cette histoire a eu lieu il y a bien longtemps, et les faits qui la composent sont depuis longtemps prescrits. Ils relatent simplement une première expérience sexuelle singulière qui va au-delà des touche pipi traditionnels, que ce soit d’ailleurs entre garçons ou avec des filles.

Proposée le 8/12/2023 par Furet

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

Cette histoire a eu lieu il y a bien longtemps, et les faits qui la composent sont depuis longtemps prescrits. Ils relatent simplement une première expérience sexuelle singulière qui va au-delà des touche pipi traditionnels, que ce soit d’ailleurs entre garçons ou avec des filles, la plupart parentes ou voisines. Ces temps sont ordinaires et fréquents, mais ce qui m’est arrivé cette année là a fait de moi un adulte par anticipation, et c’est pour cela que j’en parle aujourd’hui. L’une des protagonistes n’est sûrement plus de ce monde, et c’est e qui me pousse, en souvenir d’elle, à raconter cette histoire.

J’étais en classe de terminale, majeur depuis peu grace à VGE et j’avais eu un accident de mobylette qui m’a cloué sur un lit d’hôpital pendant quelques semaines. Un quotidien ordinaire ou l’on attend les soins et les repas sans pour autant pouvoir se déplacer, cloué au lit au plus fort de la jeunesse.

Le personnel était gentil et attentionné, la chambre que j’occupais était partagée avec un monsieur âgé qui était tombé d’un arbre en ramassant des fruits et s’était fracturé la hanche. Il allait sortir prochainement, parlait peu et était,pour autant qu’il m’en souvienne, assez rustre.

Madame G état une des aides soignantes qui s’occupait très gentiment de nous. La quarantaine, de jolis yeux, du dynamisme et toujours un bon mot pour nous donner le moral. Elle me faisait tous les jours la toilette : jambes,pieds, dos, poitrine, visage, coiffure. Un moment agréable avec toujours un bon mot pour donner la pèche.

Un matin, la voila qui me dit :
- Il faut faire la toilette complète.
J’étais au lit sans pouvoir marcher à cause d’une fracture et donc, obligé d’utiliser bassin et pistolet pour les besoins quotidiens.
Voilà qu’elle finit la toilette habituelle, puis abaisse mon slip qu’elle quitte entièrement en commence à me savonner les fesses, les bourses et le sexe ; Elle s’attarde sur ce dernier, décalotte le gland pour le nettoyer.

La situation est pour moi inhabituelle. Une femme de l’age d’être ma propre mère me lave le sexe et les fesses, ce qui a pour effet, malgré ma gène, de provoquer chez moi un début d’érection qu’elle remarque avec le sourire et me fait une tape en disant :
- Il se calme le petit monsieur.
Sa toilette terminée, elle reprt comme elle était venu, mais quelque chose s’était passé en moi. Pour la première fois, hors les attouchements entre garçons au collège, une femme , une vraie, m’avait vu et touché.

L’expérience s’est renouvelée deux jours, puis vint le week-end et les visites de la famille .
Le lundi, revoilà madame G que j’attendais avec une impatience coupable. Mon voisin de chambre devait sortir l’après midi et somnolait, comme la plupart du temps d’ailleurs. Au bruit du chariot dans le couloir, mon cœur et mon corps se sont emballés.

Madame G a, comme d’habitude, écarté mon drap et baissé mon slip, mais contrairement à d’habitude n’a pas pris de gant pour me savonner, elle le faisait avec ses mains enduites de savon et le contact était magique. Penchée sur moi, je voyais dans son décolleté deux seins dans un soutien gorge clair. Elle m’a fait u signe avec ses doigts sur la bouche, disant clairement « chut », puis elle a continué sa toilette,m’a rincé avec le gant et, contre toute attente, m’a tout simplement branlé. Je n’ai pas tenu longtemps et le coup est vite parti.

Elle avait le gant et la cuvette pour me faire la toilette post jouissance, m’a souri et s’est retirée sans mot dire. Je venais d’avoir mon premier orgasme dans les mains d’une femme qui avait au moins vingt-cinq ans de plus que moi.
Le lendemain, mon voisin de chambrée avait été libéré. Elle est entrée avec un grand sourire, a refermé la porte à clé derrière elle, ce qui était encore possible à l’époque et ne l’est plus aujourd’hui. Elle m’a dit-e
- Il va bien le petit jeune homme ?
Elle a vu en soulevant le drap que j’allais pour le mieux, a baissé mon slip en disant d’un air grave
- Il ne faut parler de cela à personne, sinon je serais renvoyée.
Je l’ai assurée de mon silence et elle n’a pas perdu de temps. Pointant mon sexe du doigt, elle a dit
- ce petit oiseau a pris de bien belles habitudes
Elle a pris mon sexe en main et a commencé à le masser. Pas de toilette pour le moment, mais les deux premiers boutons de sa blouse étaient ouvert et j’ai pu à nouveau admirer ses seins dont un était mal soutenu et me laissait entrevoir une aréole. Elle m’a à nouveau fait promettre de me taire et a sorti le sein de son logement en me disant
- Touche

Je ne savais pas trop comment faire, je n’avais jamais touché la poitrine d’une femme, mais j’ai finalement avancé ma main et touché l’objet du désir, tiède et si doux que j’ai encore une fois rapidement inondé sa main tandis que son souffle s’accélérait.
Le jour suivant, j’eus le désagrément de ne pas la voir arriver seule mais flanquée d’une stagiaire qui était en formation aux soins. Je la connaissais, elle avait trois ans de plus que moi et nous nous étions croisés dans notre scolarité.
C’est elle qui a eu la charge, sous l’œil expert de madame G, de me faire la toilette complète. Situation incroyable que d’avoir le sexe sous la main, il est vrai gantée, d’une jeune femme que j’aurai bientôt de recroiser dans la rue.
Le regard amusé de madame G m’a presque mis en colère, et pour la première fois, je n’ai pas pu bander,à mon grand désespoir. J’avais peur qu’elle colporte des bruits sur les faiblesses de mon anatomie.
Heureusement, le lendemain, madame g est venue seule, en plaisantant sur la scène de la veille.

J’eus la surprise de voir que sa blouse était généreusement déboutonnée, mais je n’étais as au bout de mes surprises. Elle a pris ma main et l’a glissée sous sa blouse, en bas de son vente. Elle m’a guidé pour la glisser dans sa culotte. Je n’en revenais pas, c’était chaud, doux, agréable. J’ai soulevé la blouse pour voir ce lieu secret merveilleux du corps d’une femme, Il était moite, elle a brièvement baissé sa culotte pour me le montrer, puis s’est ressaisie et a fini de me soulager.
J’étais content d’avoir tout eu, tout vu et désolé de sortir le surlendemain. Inutile de dire que j’ai attendu le matin suivant avec beaucoup d’impatience, sachant que ce que je vivais ne se reproduirait pas de sitôt. Elle est entrée et m’a dit .
- je vais te faire un cadeau que tu n’oublias pas, ce sera la récompense pour ton silence.

Elle a fermé la porte à clé, a baissé mon slip, a embrassé mon sexe et l’a pris dans sa bouche. C’était chaud, brûlant et doux à la fois, et quand j’ai accroché ses cheveux pour lui dire que j’allais venir, elle ne s’est pas retiré et tout est parti dans sa bouche.

La toilette finie, elle m’a dit-elle- Je n’ai jamais fait ça et je le referai jamais à personne, c’est un moment dont nous partagerons le secret.
Le lendemain, je sortais avec ma mère et nous l’avons croisée dans le couloir. Elle m’a serré la main en disant à ma mère
- Vous avez là un bien gentil jeune homme !

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