Histoire Erotique

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Fantasme de retraité chap 1 devines qui vient dîner ?

Décidé à faire retrouver sa libido à mon épouse septuagénaire je lui écris mes fantasmes pour les lui faire lires et peut-être lui donner l'idée d'y succomber. Premier chapitre, où je rencontre un homme qui pourrait être notre première expérience de trio.

Proposée le 29/09/2023 par Agecanonix

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


A ma femme !
Nous venons de dépasser les 70 ans et ma libido est en super forme, mais ce n'est pas le cas de mon épouse.
Je ne sais pas comment refaire de nous des amants, des complices, retrouver un peu de la folie de notre rencontre après nos divorces respectifs ou nous faisions l'amour dans des lieux insolites, contre une clôture de maison, dans une voiture, sur le bord de la route, dans les couloirs d'hôtels.

Aussi, j'ai écrit une succession de fantasmes que je veux lui faire lire et peut-être l'exciter, ou espoir énorme, lui donner envie d'en réaliser certains !
Évidemment, ces histoires sont fictives et les noms imaginés. Ce sont des représentations imaginaires de situation excitante, purement fictive, parfois honteuse ou contraire à tous nos principes. Mais c'est justement l'expression de ces rêves utopiques, de ces pensées profondes et souvent inavouables qui nous délivrent de notre bonne conscience et pourraient gonfler notre libido.

Acceptera-t-elle les traits d'humour, les parodies parfois croustillantes, les situations improbables, mais avouables ?
Pourra-t-elle déchiffrer dans ces lignes la folie d'actes transgressant sa morale, juste pour le plaisir du délire, pour le délire du plaisir ?
Ces histoires mêlent fantasme et vécu, fera-t-elle la part des choses.
Mais peut-être que ces récits ne sont que des fantasmes d'hommes et que les femmes ne sont pas excitées par les mêmes situations ? Qu'en pensez-vous, chères lectrices ? Je me ferais un plaisir d'écrire d'autres histoires sur vos conseils, merci d'avance.

Devine qui vient dîner ce soir ?

Après un déplacement à Marseille où je résidais avant ma retraite, je reviens, ce vendredi soir, après une semaine d'éloignement. Je suis dans le TER à destination de la gare la plus proche de notre résidence.
Comme prévu, tu es sur le quai à attendre courageusement ce train qui s'arrête à toutes les gares du trajet et qui est régulièrement en retard.
Tu es partie de la maison en avance pour ne pas me laisser attendre, anticipant les éventuels embouteillages d'une route chargée d'actifs, profitant de leurs RTT.

Obéissante, mais aussi heureuse de me satisfaire, tu t'es habillée, selon mes instructions, pour me plaire. Chemisier blanc, laissant deviner ton soutien-gorge et une jupe noire droite s'arrêtant juste au-dessus des genoux.

Joueuse et déjà excitée à l'idée de me plaire, tu as pris l'initiative de laisser, dans la boîte à gant de la voiture, l'accessoire habituellement porté sous une jupe.
Je t'imagine te contorsionner dans la voiture en jetant des coups d'œil furtifs à droite et à gauche en faisant glisser ta petite culotte sur tes chevilles.
Tu cherches au fond de ton sac un kleenex rapidement glissé sur ton entrejambe pour éponger l'émoi que te procure la situation.
L'approche d'un balayeur qui s'avance lentement vers toi, à deux voitures de là, te fait rabattre ta jupe avant qu'il ne passe devant la voiture en t'adressant un gentil sourire.
Le rouge aux joues, tu fais semblant de fouiller dans ton sac à main pour lui laisser le temps de s'éloigner avant d'ouvrir ta portière. Il n'aura pas ainsi le loisir, en écartant tes jambes pour descendre de ton siège, d'apercevoir l'audace de ta tenue. Dommage pour le travailleur.

En cette belle fin de journée de printemps, tu traverses le parking de la gare en direction des quais et apprécies le léger souffle d'un vent tiède qui caresse l'origine du monde.
Je suis déjà derrière la porte, prêt à actionner le bouton qui va me délivrer d'un enfermement de trois heures depuis mon départ. L'air frais pénètre aussitôt et remplace celui du wagon lourdement chargé des exhalaisons d'une palanquée de légionnaires. Je ris dans ma barbe (de légionnaire), en pensant à la chanson d'Édith Piaf qui avait pris ces relents pour l'odeur du sable chaud... Personnellement, j'aurais plutôt imaginé une colonie d'adolescents revenant de trois semaines de bivouac, dans le Larzac, loin de tout ruisseau.

Je t'aperçois sur le quai, avançant, souriante, les lèvres en avant anticipant une bise appuyée d'une bouche en stand-by depuis une semaine.
Une fois ce contact physique établi, je m'écarte pour laisser approcher l'homme qui me suit. Aussi grand que moi, un tout petit peu plus athlétique, les cheveux blancs, vêtu d'un blue-jean blanc et d'une chemise de coton ouverte sur un torse bronzé. Un sac de sport à la main, sa veste, retenue par deux doigts, nonchalamment posée sur son épaule gauche. Son bagage posé à ses pieds, il ôte ses lunettes de soleil et avance sa main, précédée d'un sourire courtois sur le visage.

- Marc, Lucie, Lucie, Marc

Je te résume la situation. J'ai fait la connaissance de Marc dans le train.
Marc, breton, retraité de la fonction publique, vient dans la région en éclaireur, chercher un logement pour s'installer avec sa femme, Laure, également dans l'administration, en retraite dans trois mois.

Tous les deux, anciens fonctionnaires, nous nous sommes trouvé des affinités, des connaissances communes et nous avons sympathisé naturellement. Il m'a demandé si je connaissais un bon hôtel, dans la ville, mais, si tu es d'accord, je lui ai proposé de venir chez nous ce week-end. Il aura ainsi le temps de chercher un point de chute dans la ville qu'il aura décidé de prospecter et nous pourrons même l'aider en le conseillant sur les villes ou quartiers à éviter.

Te connaissant très bien, je décode ton regard qui scanne l'individu de la tête au pied avec un arrêt sur le renflement de son pantalon. Je devine une pointe d'intérêt, un soupçon d'étonnement, un peu de trouble et surtout l'impression d'être piégée.

Tu cogites à, comment, face à lui, récuser cette invitation sans passer pour une asociale. Toi qui te faisais une joie de me retrouver, après cette semaine d'abstinence et qui avait misé sur tes atouts pour me mettre, dès mon arrivée, dans les meilleures dispositions tu sembles un peu déçue.

Puis, ne trouvant aucun prétexte négatif recevable à déclarer, ton esprit vif et féminin analyse finalement la situation: allure fort sympathique, cheveux argentés, sourire charmeur, une certaine classe dans l'allure et l'habillement, un corps harmonieux plein de mystère. Tu sors de ta réserve, gommes tes réticences pour afficher un plaisir inattendu, mais feint à recevoir Marc.

- Ce sera avec plaisir, comme on dit ici. Bon, allons-y, je suis garée sur le parking payant.
- Je vous remercie Lucie, je comprends que cette invitation imprévue doit bouleverser vos projets et je vous prie de m'en excuser par avance.
- Ce n'est rien Marc, si je t'ai proposé de venir chez nous, c'est que je ne doutais pas du plaisir de Lucie à recevoir un « collègue » chez nous.

Lâchant enfin sa main, dix secondes, cette poignée de main, enveloppante et ferme m'a semblé relativement longue. Marc reprend son sac, chausse ses lunettes et nous demande une minute pour prévenir sa femme, par SMS, de son arrivée à destination.

Pendant le laps de temps où nous nous éloignons par discrétion, tu me prends le bras et en t'approchant de ma joue pour me faire une petite bise, tu me murmures à l'oreille :

- Tu es gonflé de m'emmener quelqu'un sans me prévenir, tu aurais pu m'avertir par SMS, je suis un peu gênée, d'autant plus que pour te faire plaisir, j'ai laissé ma culotte dans la boîte à gants.

Je te regarde avec le sourire de « Lou ravi ». Une pointe d'excitation se manifeste en dessous de ma ceinture.

- Tu ne pouvais pas mieux m'accueillir, après cette semaine d'éloignement je...

L'arrivée de Marc arrête notre petit aparté :

- Merci pour votre patience, je rappellerai Laure de chez vous, si vous le voulez bien, pour lui expliquer la situation.

Arrivés au parking, je prends le volant. Tu t'assois près de moi, Marc ayant refusé poliment ton siège pour s'installer à l'arrière. Il t'ouvre courtoisement la portière pour que tu prennes place. Je vois son regard se poser furtivement à la hauteur de tes jambes, a-t-il remarqué quelque chose ?

Pendant le parcours qui nous mène chez nous, tu es complètement détendue, un peu fébrile même et surtout intarissable. Aurais-tu, toi aussi, surpris son regard sur le détail vestimentaire qui ne lui était pas destiné ? Ceci expliquerait cette excitation verbale dont tu n'es pas coutumière avec les inconnus :

- Alors, d'où es-tu précisément ? Je peux te tutoyer ? J'ai un neveu qui demeure en Bretagne ! Régis a aussi un ami de régiment à Nantes ! Que recherches-tu comme logement ? Une maison ? Un appartement ? Ta femme est fonctionnaire ? As-tu des enfants ?

Bref, toute une suite d'interrogations plus ou moins curieuses que je n'avais même pas songé à formuler et auxquelles il répond posément avec une pointe d'amusement.
Je règle le miroir de courtoisie pour partager votre discussion. J'y surprends, plusieurs fois, son regard glisser dans l'axe supposé de tes jambes.
A cause des horribles ralentisseurs et surtout de tes fréquentes rotations vers l'arrière pour le sonder, ta jupe est sensiblement remontée à mi-cuisses, ce qui a, inévitablement, capté son attention.
Ton chemisier, que tu avais laissé entrouvert pour m'exciter, bâille à chaque mouvement vers lui. On peut facilement entrevoir la dentelle de ton sous-vêtement et l'arrondi généreux de ta poitrine que tu trouves toujours volumineuse. Moi, je l'adore comme beaucoup d'hommes si j'en crois les regards qu'ils t'adressent quand tu les croises. Elle se gonfle au gré de tes mouvements et de ta respiration, accentuant ma petite pointe d'excitation qui devient plus présente, mais que j'arrive encore à dissimuler.

Notre passager, pour mieux entendre tes questions et te répondre, je suppose, s'est assis au milieu de la banquette arrière. Penché entre nos deux sièges, il s'offre ainsi une proximité plus intéressante pour apprécier tout ce que tu lui dévoiles, en toute innocence, je crois...

Nous voilà chez nous. A peine garé à cheval sur le trottoir, Marc se précipite pour ouvrir ta portière dans un geste qui se veut encore une fois galant. Je le suspecte un brin plus vicieux quand je vois, une nouvelle fois, son regard se perdre en haut de tes cuisses que tu tiens naturellement écartées pour sortir du véhicule.

Je me repose la même question qu'au départ : voit-il que tu es nue dessous ?
D'autant que, soit par distraction, soit volontairement, tu as oublié les clefs de la maison dans l'accoudoir, ce qui t'oblige à une contorsion vers l'intérieur pour les saisir et laisser ainsi un angle et une durée encore plus favorable au voyeurisme de notre invité.

Le petit mot « de rien », à peine audible, à ton remerciement pour son geste, me laisse penser qu'il estime avoir été bien récompensé.
Cette situation n'est pas pour me déplaire et mon sexe s'épanouit dans mon blue-jean serré.
Une fois la voiture remisée, nous emportons nos valises dans la salle à manger. Marc te complimente pour la décoration de notre intérieur, ce qui ajoute encore plus d'intérêt à cet invité-surprise dont tu apprécies de plus en plus la courtoisie et le bon goût.

Nous lui faisons visiter rapidement le rez-de-chaussée. Tu entrouvres la porte de notre chambre. Il se penche par-dessus ton épaule pour l'observer. À moins que ce ne soit pour se rapprocher de toi et plonger dans le parfum « Trésor de Lancôme » qui exhale de ton corps. Il examine lentement la pièce comme s'il y avait des mystères à découvrir ou des situations à imaginer. Peut-être veut-il s'imprégner de l'atmosphère de ton intimité ?

- Elle est grande votre chambre, j'aime bien votre papier peint, et ce marron donne de la profondeur.

Une main appuyée sur le montant de la porte, l'autre nonchalamment pendante semble effleurer ta fesse gauche. Placé derrière vous, mon sexe n'en finit pas de gonfler et devient douloureux dans sa prison de toile bleu denim.

Nous revenons ensuite dans la salle à manger, non sans avoir reproduit le petit manège de la chambre verte à la cuisine, en passant par la salle de bain. Évidemment, les pièces plus étroites, comme ces deux dernières, favorisent encore plus le petit rapprochement physique qu'il cherche et qu'apparemment, tu ne fuis pas.

Nous décidons de lui faire visiter la suite et surtout l'étage où il va dormir durant ces deux jours. Du moins, je le pense.

- Il reste l'étage, là où tu vas dormir.
- OK, je te suis ! dit-il, enthousiaste.

Contre toute bienséance, tu le précèdes pour gravir l'escalier. Il te laisse un bon mètre d'avance. Il est à la hauteur de tes jambes et dispose d'une vue imprenable sur tes cuisses. Je présume que te sachant sans culotte, tu dois commencer à avoir quelques sensations sous ta jupe. Tu imagines que si tu montes plus vite ou si tu te courbes un peu, il aura une vision inespérée.

Cette idée t'excite autant que moi et c'est tout émoustillée que tu lui dévoiles sa chambre.
Comme en bas, tu ne dégages pas complètement l'entrée, lui laissant ainsi une nouvelle opportunité de se rapprocher. C'est la cinquième fois que cette scène se reproduit et il doit penser qu'il peut s'enhardir sans risque. Cette fois, il pose, délicatement sa main droite sur ton épaule. Tétanisée par ce contact, je te vois frissonner, ton fessier, semble chercher une hypothétique rencontre avec son corps.

Mais ma présence lui impose de garder une distance décente entre vous deux et il s'écarte quand il commence à sentir ton rapprochement de son bas-ventre que je devine dans d'aussi bonnes inclinations que moi.

- C'est super et cosy, cette petite chambre est charmante, je vais passer un agréable séjour ici, merci encore pour votre accueil, c'est sympa, j'espère que je pourrais un jour vous rendre la politesse.
- Installe-toi, tu as des serviettes dans la commode et tu peux évidemment utiliser la douche à côté. Attention, l'eau chaude est longue à venir. Ne te presse pas, nous avons le temps avant de manger, le dîner est déjà prêt.

Tu le devances dans le couloir pour lui présenter la salle de bain, avant d'effectuer un demi-tour vers l'escalier pour descendre. Ce prompt revirement le surprend et c'est dans l'étroit couloir que vous vous croisez, juste devant le petit meuble mauve. Ta poitrine est obligée d'effleurer son torse et votre petite hésitation pour dégager le passage à l'autre vous conduit, au contraire, à vous frôler plus encore. Tes tétons, habituellement peu proéminents, semblent avoir pris du volume et pointent sous ton chemisier. Les petites excuses prononcées n'en sont pas vraiment et cachent mal le trouble qui vous gagne.

Nous le laissons à sa valise et à sa toilette. Je décide, moi aussi, de passer par la douche pour me libérer des odeurs du train qui me collent à la peau.
À peine dénudé, la porte coulisse et se referme sur toi. Tu te laisses tomber sans un mot à mes pieds, empoignes ma verge et m'avales. Ta langue danse, s'immisce, titille le bout pour en récupérer les gouttes préséminales qui suintent. Tes lèvres massent ma chair et glissent jusqu'à mes bourses que tu palpes d'une main. L'autre pétrit mes fesses. Un de tes doigts s'infiltre dans ma raie et cherche à investir mon petit trou. Il ne m'en fallait pas plus pour m'amener à un point de non-retour. Je te calme en emprisonnant ta tête dans mes mains pour ne pas jouir trop vite. Ta main me caresse et tes joues se creusent à chaque aspiration. Tu lâches mes fesses pour insinuer ta main sous ta jupe et te pénétrer.

Un gémissement sourd filtre de ta bouche affairée et ta main s'impatiente sur moi. Tu me sens soumis, prêt à éjaculer. Tu te relèves, entres dans la douche et poses tes mains contre le mur en me présentant ton dos. Je ne peux résister à cette convocation, je soulève ta jupe. J'écarte tes fesses et te pénètre sans autre forme de politesse. Ton vagin est tellement fluide, que je n'ai aucun mal à m'emboîter jusqu'aux testicules.

Jusqu'ici silencieuse, tu pousses un cri de soulagement à cette intromission tant retardée par cette situation.

- Haaaaaa, oui, c'est bon, j'en avais tellement envie, je ne pouvais plus tenir, je me serais fait prendre devant lui si l'on n'était pas descendu. Enfonce-toi, que je te sente bien, vas-y tape, plus fort, c'est bon, oui, ouiiii.

Tu pinces aussitôt tes lèvres, prenant conscience que notre invité peut t'entendre dans la pièce au-dessus de nous où il est nu dans la douche. Au lieu de te calmer, cette seule pensée te rend folle de plaisir et c'est toi qui donnes des coups de reins pour accélérer ma pénétration. Tu gémis de plus en plus, retenant tes plaintes tout en espérant qu'il en perçoive suffisamment pour interpréter ce que nous faisons et le frustrer.

Chaque fois que tu entends l'eau qui s'arrête de couler, tu imagines ses mains qui glissent sur lui, savonnant les moindres replis de son corps. Tu intensifies tes ruades. J'ai du mal à rester en toi. J'insinue ma main sous toi pour atteindre ton clitoris et te caresser. De l'autre, je happe un sein que je palpe de plus en plus fort en tirant sur tes tétons exceptionnellement dressés.

Au moment où tu entends le raccrochage du pommeau de sa douche, tu émets une longue plainte sourde de jouissance, sûrement consciente qu'il ne peut qu'avoir été un témoin auditif de ta jouissance. Tu t'enfonces le plus possible sur mon sexe. Je libère mon sperme au fond de ton vagin.

- Je te sens, je sens ton sperme dans ma chatte, c'est bon, je jouis, je jouis, c'est tellement bon !

Tu pivotes vers moi un fil de sperme nous relie. Mon jus coule sur tes cuisses, tu m'embrasses en glissant ta langue dans ma bouche. Tu frottes ton pubis sur ma verge encore tendue. Je sens tes poils qui entretiennent mon excitation. Désolée, minou, mais il faut se préparer sinon il va nous attendre dans le salon. Tu m'abandonnes à ma toilette en m'annonçant que tu vas changer de jupe, celle-ci étant maculée de mon plaisir. Je te demande de rester sans culotte.

Tu émets un « hoooo » mi-outré, mi-coquin, et tu sors de la salle de bain pour rejoindre la chambre. Je suis persuadé que tu vas accepter sans hésitation mes désirs.
Ma douche achevée, je m'habille et m'installe dans le salon.
Quelques minutes plus tard, Marc me rejoint en soupirant de plaisir.

- Ça fait du bien une bonne douche, je suis parti hier soir de chez moi, car je devais passer par Paris pour régler une affaire avant de venir ici. J'ai dû quitter le TGV à Valence, prendre un premier TER pour Nîmes, puis un autre de Nîmes jusqu'ici, c'est crevant tous ces changements.

Ses joues rosies me laissent penser qu'il a dû se soulager, lui aussi, pour faire tomber la pression accumulée depuis la gare, sûrement accentuée par les échos de notre douche.
Tu sors de la chambre avec une nouvelle jupe, plus évasée que la précédente et un chemisier vaporeux qui laisse voir ton soutien-gorge par un décolleté généreux qui captive aussitôt notre regard.

- C'est bon Marc, il ne te manque rien là-haut ?

Celui-ci, absorbé par la contemplation de ta poitrine, met un certain temps pour te répondre, ce qui te force à répéter ta question.
Marc, c'est bon ? Il ne te manque rien là-haut ?

- À part ma petite femme non, cette chambre donne envie de cocooner !
- Désolé, elle est livrée meublée, mais pas occupée, pour cela, il faut réserver, ce sera pour une autre fois peut-être !

Après un petit rire troublé, tu nous laisses pour organiser le dîner ou du moins partager en trois, tous les bons plats que tu m'avais mitonnés.
Nous profitons de cet intermède pour rechercher, sur l'ordinateur, des sites immobiliers de la région et faire un premier tri correspondant aux attentes de Marc.
Un quart d'heure plus tard, tu nous rejoins, un plateau débordant de petits canapés pour l'apéritif. En t'inclinant vers la table du salon, ton décolleté, comme tu l'avais sûrement imaginé, nous offre une vue plongeante sur ta poitrine. Nous ne manquons pas de regarder ouvertement le panorama. Consciente de l'attention que l'on te porte, tu sembles flattée. Tu fais durer notre plaisir, arranges, déplaces, tournes les petits bols de nourriture qui n'en avaient pas réellement besoin. Ta poitrine se déplace de gauche à droite, au gré de ton inclinaison et nous fascine.

Pendant que j'apporte les bouteilles, tu déplaces un pouf pour t'installer en face de nous.
Te sachant nue sous ta jupe, tu resserres tes cuisses. Pour répondre à mon regard interrogatif, tu profites de l'inattention de Marc penché sur l'écran du PC. Tu pivotes sensiblement vers moi, ouvres le compas de tes jambes pour satisfaire ma curiosité et vivifier ma libido qui n'en avait pas besoin. J'entraperçois tes poils pubiens qui me confirment ton adhésion à placer la soirée sous le signe de l'audace.

Mon sourire « jocondeux », mais discret te rassure sur mon épatement. Tu refermes tes cuisses sagement sur notre petit secret en me laissant avec une belle érection difficile à cacher.
Tu ne souhaites pas en rester là. La télé est allumée sur les infos régionales pour que Marc puisse se faire une idée de la région à l'occasion d'un quelconque reportage. Ceci te permet, quand le commentaire d'une séquence t'interpelle, d'avoir des excuses aux fréquentes rotations vers l'écran.

Ce faisant, tu laisses ostensiblement bâiller tes jambes. Un spectateur attentif peut y voir de belles choses. Je soupçonne Marc d'être un observateur attentif et de s'en être aperçu. Il accentue quelquefois ces remarques sur le sujet en cours, pour provoquer ta curiosité et son plaisir.

À d'autres moments, il fait malencontreusement tomber une cacahuète, qu'il s'empresse de ramasser en se ployant à l'excès. Je présume qu'il en profite pour laisser musarder ses yeux vers le Graal qui se laisse complaisamment regarder. À la troisième cacahuète, il se justifie d'une gaucherie soi-disant innée :

- Bon sang, que je suis maladroit, ce doit être la fatigue, excusez mon étourderie, je vais salir votre tapis.
- Ce n'est pas grave (dis-tu en riant) ce sont des cacahuètes sans matière grasse.

Mais, personne n'est dupe sur les raisons cachées de cette soi-disant maladresse et ces remarques ne modifient en rien ton attitude, car tu insistes dans tes petites exhibitions.
Le repas étant prêt, nous gagnons la table. Nous te complimentons sur l'entrée que tu nous as rondement dressée. Elle est suivie d'un plat délicieux comme tu sais les faire. Nous accompagnerons ce repas d'un bon vin local de quatorze degrés, sorti de derrière les fagots. L'apéritif, plus le vin détendent l'atmosphère à souhait, surtout pour toi qui n'as pas l'inclination à boire autant d'alcool.

Il nous semble connaître Marc depuis des années et lui-même se sent très à l'aise et nous le dit. Tu m'avoueras, plus tard, qu'à plusieurs reprises, tu as senti son genou effleurer faiblement le tien et s'écarter ensuite, comme s'il s'agissait d'un mouvement fortuit et naturel. Ceci n'était pas fait pour apaiser ton trouble.

- Heureusement, je n'avais pas encore réservé de chambre d'hôtel. Je m'apprêtais à manger plutôt un steak/frites, qu'un aussi bon repas. Je ne pensais pas, ce matin en quittant Laure, que je serais ce soir en si bonne compagnie. D'ailleurs, j'ai oublié de l'avertir de mon installation, excusez-moi.

Marc se lève de table, passe derrière toi, bien que de mon côté il y ait plus d'espace. Il pose ses mains sur tes épaules pour suspendre ton mouvement dans le but de lui faciliter le passage. Je remarque une contraction de ses doigts dans ta chair. Il profite de sa lente glissade pour plonger encore une fois son regard dans ton décolleté. Ton trouble manifeste te laisse quelques instants les yeux dans le vague, avant de sursauter en te levant, dès son passage, pour quitter la table et préparer un café que nous allons boire au salon. Je m'occupe de ranger la vaisselle. J'en profite pour t'embrasser dans le cou et caresser ton fessier en passant ma main sous ta jupe.

Tu romps rapidement l'attouchement, craignant que Marc ne nous surprenne à moins que ce ne soit pour me dissimuler ton excitation, que j'ai, cependant, eu le temps de constater. Sa main aurait-elle été esquivée si promptement ? La question reste en suspens. Par contre, la réponse de mes doigts, portés à mon nez, confirme mes soupçons. Tu es excitée comme une puce. (C'est comment une puce excitée ?).

À son retour, Marc nous fait part des remerciements de Laure pour l'accueil que nous lui avons réservé et nous assure qu'elle est impatiente de connaître ces personnes, dont il a flatté l'hospitalité.
Nous l'engageons à lui dire le plaisir partagé de faire sa connaissance. Tu en profites pour lui demander s'il a une photo d'elle. Un homme fidèle fait toujours suivre des photos de sa chérie. Marc passe ce test avec succès, en sortant son Smartphone pour faire défiler quelques souvenirs.

Il nous présente une femme, cheveux mi-longs, très bruns. La soixantaine, des yeux marron qui respirent la malice, de taille moyenne. Elle a de bonnes joues qui se gonflent joliment quand elle rit. Des formes pulpeuses, une poitrine généreuse plantée sur un bassin solide, complètent cette silhouette qui ne me déplaît pas (c'est vrai que la maigreur ne m'inspire pas du tout).

- Laure est un peu complexée par sa morphologie, mais c'est comme ça que je l'aime, car j'apprécie les courbes et les rondeurs et déteste ces femmes anorexiques des magazines.

Tu sembles apaisée par ces photos, en découvrant une personne qui ne te déplaît pas et qui ne sera pas en concurrence avec toi. De même, les goûts de Marc te rassurent sur son regard sur les femmes et finissent par te libérer.

Bref, cette harmonie de goût te convient. Néanmoins, comme d'habitude, tu trouves les autres mieux et tu juges sa silhouette très bien, même que tu aimerais lui ressembler. Évidemment, Marc profite de cette occasion pour te flatter sur ton physique en te certifiant que tu n'avais rien à envier à Laure, qui, d'ailleurs, a les mêmes réflexions et inquiétudes que toi (encore un point commun)...

(À suivre)

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