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Confession d'une fermière à la vie bien remplie.

J'ai rencontré une fermière bien gourmande en Chalosse qui m'a confié comment elle organise sa vie après le décès de son mari. En particulier avec ses amants réguliers ou non. Il faut dire que j'en fais partie. Voici son témoignage. On sait vivre et s'amuser à la campagne....

Proposée le 27/09/2023 par Sucette

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Thème: Chantage
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Moi, c'est Madeleine, Mariée pendant 45 ans et veuve depuis 3 ans.
Nous avions une ferme de 50 hectares de production maraîchère, des oies et du maïs et quelques lapins. Mon mari est mort d'une rupture d'anévrisme au retour de la chasse et je ma suis retrouvée seule à diriger l'exploitation. C'est moi qui m'occupais de la gestion du personnel et des clients. Nous approvisionons plusieurs supermarchés, des grossistes et des revendeurs sur les marchés. Je m'occupe de toute la partie administrative et financière.
Cela n'a pas été difficile et pour les champs, il y a mon contremaître, Maxime dit Max dans la force de l'âge. C'est mon mari qui l'a formé, il y une trentaine d'années et il connaît tout du métier. Nous employons une dizaine d'ouvriers et de saisonniers souvent d'une année sur l'autre. Certains vivent dans leur camion aménagé d'autres en caravanes. Nous leurs louons aussi des chambres dans une annexe.
Max, lui aussi, y possède son propre logement. Voilà pour les présentations.
Quand j'ai connu mon mari, j'avais dix sept ans et il m'a mis enceinte à la sortie du bal. C'était un bel homme, une force de la nature comme quoi...
Tous les matins, il m'embrochait au réveil, il m'en faisait sauter sur lui puis me prenait en levrette. Il me labourait lentement puis vigoureusement jusqu'à l'épuisement. Souvent je le finissais dans ma bouche où il éjaculait sur mes seins pour ne pas avoir d'enfants. Puis j'ai pris la pilule et plus tard un stérilet. Il ne m'a jamais sodomisé. Nous n'y pensions pas, par contre j'ai avalé des litres de sperme qu'il avait abondant. A la campagne, on ne jette rien !
Max n'a jamais eu de femme, elles préfèrent la ville à la campagne. Enfant de l'assistance publique, il n'avait pas de famille. Plusieurs fois par an il allait aux putes comme il disait.
Une fois, après un bon repas, j'étais descendu à la cave remplir un pichet de rouge, nous avons du Madiran qui titre 14 degrés, il est venu derrière moi, m'a enserré la taille, il m'embrassait dans le cou tout en glissant ses mains sous ma jupe. Je n'ai pas réagi de suite, engourdie par l'alcool. Il s'est senti encouragé, il a baissé ma culotte de coton et glissé ses doigts dans mon vagin bien humide, il m'a branlé pendant qu'il des défaisait. J'ai senti son sexe dur comme du bois sur ma raie puis entre mes cuisses, me tirant en arrière, je me suis involontairement cambré, il m'a alors pénétré d'un coup jusqu'à taper contre ma matrice. Au bout de quelques va et vient, il a éjaculé puis aussitôt il s'est retiré et sauvé. Je n'ai pas réalisé ce qui m'était arrivé. Je me suis sentie salie et honteuse. Je me suis essuyé avec un chiffon sale et remonté a table.
Le lendemain matin je suis allé voir Max et je lui ai dit que s'il recommençait mon mari le tuerait.
A sa mort j'ai dit à Max que dorénavant j'étais sa patronne, que je n'avais rien oublié et qu'au premier écart, je le foutrai à la porte.
A propos de Max, j'ai fait une autre découverte. Nous avions un saisonnier maghrébin en situation irrégulière. Cela nous arrive fréquemment et nous ne déclarons pas tout le monde. Un soir je vois Max rentrer chez lui puis j'entends des bruits caractéristiques d'une relation sexuelle. Le lendemain, j'interroge le petit qui finit par m'avouer que tous les soirs il doit le sucer et qu'après il le prend comme une femme (sic).

En ce qui me concerne, depuis mon veuvage, je prends des amants parmi mes ouvriers. Je les choisi autour de la trentaine et de plusieurs semaines d'abstinence.
Je les fais venir chez moi dans mon bureau. Moi même, je suis soignée, coiffée, légèrement maquillée, parfumée, vêtue d'un chemisier laissant deviner des seins pigeonnants.
Je les interroge sur leur travail, leur installation, l'entente avec le contremaître et les autres employés. Puis je leur pose des questions plus intime, s'il aime les femmes, si leur compagnie leur manque, à quand remonte leur dernier rapport puis je m'épanche sur ma solitude, ma jeunesse passée. Parfois je leur fais des reproches sur la qualité de leur travail, parfois,je leur fais miroiter la gratuité du logement, puis je leur fixe rendez vous pour le soir même. Propre et soigné.

Je n'ai jamais eu de refus ou de problème.

Je les invite dans mon boudoir. En fait une chambre avec salle d'eau attenante à mon bureau.
Lumière tamisée, alcool pour se détendre, miroirs, j'embrasse fougueusement mon amant, caresse sa verge sur son pantalon puis je defais ses boutons de chemise, caresse ses pectoraux, masse ses épaules, defais sa ceinture, ouvre son pantalon et saisis son sexe.
Puis je me tourne et lui demande de caresser ma poitrine, j'ai un déshabillé pour l'occasion qui m'arrive à mi cuisses. Ensuite je lui demande de me pincer les tétons, de les étirer puis de les prendre en bouche et de téter goulûment, ensuite je les fais agenouiller et je plaque mou pubis sur leur visage.
Je leur demande de bouffer ma moule puis de sucer mon clitoris et de bien lécher. Je les guide et encourage. Quand je me relève, je leur demande de se déshabiller entièrement, je prends quelques photos et leur demande de se masturber pour augmenter la taille de leur bite. Je filme aussi. Parfois je fixe un anneau autour du sexe et des testicules, j'en ai même un qui se termine par un doigt dans l'anus.
Il doivent alors m'honorer, d'abord en missionnaire puis en levrette comme le faisait mon mari. S'ils éjaculent trop vite, je leur demande de me boire a nouveau et de recommencer les préliminaires, le temps qu'il recharge. J'ai besoin d'une quinzaine de minutes pour jouir. Parfois, on prend une collation et on refait l'amour dans le lit.
Mais maintenant, j'ai d'autres envies. Je voudrais me venger de Max. Le voir se faire sodomiser par plusieurs de mes amants.
Parfois, je voudrais fouetter mes amants impuissants. Je rêve de leur frotter le sexe avec des orties, de les sodomiser avec un godemiché... J' ai un peu peur de moi.

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Commentaires de l'histoire :

Bill0377
Très intéressant, il faudrait pouvoir écrire la suite, histoire d'exorciser vos ressentiments et de donner libre cours à vos envies dominatrices
Posté le 3/10/2023


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