Histoire Erotique

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Tu te souviens ? : Je t'aime, mon a...mour !

Pendant l'année 2018, j'ai fait la rencontre d'une jeune femme, à peine la vingtaine, sur une plateforme d'écriture érotique. Petit à petit, nous avons senti que l'on s'attachait l'un à l'autre. En septembre 2018, nous avons décidé de nous rencontrer. Voici l'histoire de notre première fois...

Proposée le 4/09/2023 par Mysteriotic

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie


- Mon cœur... Je venais de te pénétrer pour la toute première fois. J'étais... enfin en toi, comme j'en avais souvent rêvé depuis qu'on s'était rencontrés. C'était tout doux... tout chaud à l'intérieur de toi, dans ton vagin. Tu étais à califourchon sur moi. Nous faisions de petits mouvements de va-et-vient pour commencer, toi comme moi. Tu sais que j'aime que tu prennes place au-dessus de moi, Bérénice. J'aime sentir le poids de ton corps quand on se fait des câlins. J'aime voir tes seins s'agiter parce qu'ils sont gros. Bérénice... ça me faisait un... je-ne-sais-quoi que l'on fasse l'amour.


- Mon amour... Toi aussi, tu sais que j'aime te chevaucher. Et d'ailleurs... toi... ça te laisse pas insensible non plus. Ne le nies pas, Théo... Je sais que tu aimes me regarder quand je suis comme ça. Et t'aimes plus particulièrement quand j'aime faire frotter mon minou quand t'es en érection. Et là... j'avais effectivement décidé de me mettre comme ça, sur toi. Si tu savais le nombre de fois où j'en ai rêvé... où j'en ai fantasmé... Tu le sais... il m'est même arrivée de me masturber en y pensant. Je me demandais... je m'imaginais comment ce serait... ce que je ressentirais quand ton sexe serait en moi et que tu me prendrais...

- Bérénice... je te laissais me chevaucher avec plaisir. Ché... rie... J'avais posé mes mains sur le bas de tes reins et je t'accompagnais dans tes mouvements. Ta peau était toute douce. Ce n'était que pur plaisir de poser mes mains sur toi. Bérénice... je faisais tout pour que le moindre contact... pour que la moindre sensation te soient agréables. Que tu sois à l'aise, pupuce... Tu étais belle. Et moi... j'étais honoré d'être l'homme à qui tu offrais ta virginité. Ce n'était que pur délice de t'avoir toute contre moi et de te faire l'amour, Béré'. J'avais tellement envie de toi.

- Théo... Je le sentais que tu avais très envie de moi. D'ailleurs... c'était une idée ou ton sexe continuait de grossir encore et encore dans mon vagin alors qu'il allait et venait lentement, doucement ? Moi c'était ce que je me disais. Cette sensation... Mmmh... c'était si... bon. Mon a... mour! Tu étais si doux avec moi alors que tu me faisais l'amour. Tu étais à mon écoute, tu faisais tout pour que je me sente bien. Tu savais que c'était ma première fois. Tu y allais doucement, avec moi. Je jouissais de ressentir le moindre centimètre de ton sexe dans le mien. Par ce biais, je me rendais compte que mon vagin était profond et que je pouvais t'accueillir loin... très loin en moi.

- On était au lit et qu'est-ce qu'on y était bien... Rhoo... Les draps étaient doux, ils étaient frais. Qu'est-ce qu'ils étaient confortables... Pour ma part, j'étais allongé sur le dos et je ne pouvais que te laisser coulisser en avant, en arrière, sur moi. Bérénice... qu'est-ce que tu étais jolie... Tu avais bien fait de libérer tes cheveux. Ils sentaient si bon. Je sais tout le soin que tu leur portes, ma puce. Et là... ils volaient au vent parce que tu allais et venais sur moi. Tu étais très mouillée. Nos mouvements ont commencé à être vraiment fluides. C'était si... bon. C'était parfait.

- Il n'y avait pas la moindre gêne, pour toi comme pour moi, joli oiseau. En ce qui me concerne, je me posais pas la moindre question et tu sais pourquoi ? Je faisais enfin l'amour avec mon petit ami et j'étais si bien avec lui. Au regard de ce qu'il s'était passé jusque-là, je savais qu'il était sincère et qu'il m'aimait. Je savais aussi que je le laissais pas indifférent et qu'il avait particulièrement envie de moi. Moi, du haut de mes vingt ans... Moi, la jeune bretonne plutôt solitaire... J'étais dans la chambre de cet hôtel en plein cœur de ma ville et j'étais enfin en train d'y vivre ma première fois avec LUI. Théo... Cet homme que j'avais rencontré sur Internet. On avait passé des mois à se connaître et là... nous y étions. Nous faisions l'amour.

- J'ai déplacé mes mains et je les ai posées sur tes fesses, chérie. Tu sais pourquoi ? Je voulais t'accompagner dans tes mouvements alors que tu me chevauchais. Ça et... je voulais sentir la douceur de tes fesses généreuses. Tu as un beau 'petit' cul, Bérénice. Quand je te le dis! Et là... c'était aussi simple que ça. Je voulais t'aider à aller et à venir sur moi. C'est pour ça que je me suis emparé délicatement de tes fesses et que j'ai accéléré un petit peu le rythme. Toi... tu as tout de suite compris. Tu as posé tes yeux sur moi, Béré'. Et tu as baissé ta tête dans ma direction. Tu voulais m'embrasser.

- Ché... ri... Oui... j'avais envie... d'un baiser. De plusieurs baisers. De tout pleins de baisers. Tu avais beau me faire l'amour... Je passais surtout un beau moment, un moment doux avec mon petit copain. Tu faisais de moi une amoureuse transie, Théo. J'étais attendrie. J'étais émue. Pour rien au monde j'aurais voulu que ce moment s'arrête. Au contraire ! Si on avait été maîtres du temps, ce moment... j'aurais voulu faire un arrêt sur image et que ça dure autant que ça nous plaisait. C'était juste toi et moi sur l'oreiller. On avait prévu tout plein de choses. Le musée des Beaux-Arts... Le grand parc... Les bords de la rivière... Que tu rencontres mes parents... Mais là, tout ce qui m'importait, c'était toi. Toi... et ton sexe en moi. Je voulais que tu continues de me faire l'amour comme ça.

– Moi aussi, je voulais continuer de te faire l’amour, Bérénice. J’avais pas envie qu’on s’arrête en si bon chemin, toi et moi. Tout simplement parce que tu me donnais grave envie, pupuce. J’avais tellement envie de toi. Tu allais et tu venais sur moi. J’allais et je venais en toi. On se regardait. On se mangeait des yeux. Tu étais si mignonne, Béré’. Oui… C’était juste pas possible de ne pas avoir envie de toi. C’était pas possible de te résister. Et la preuve ! Je voulais satisfaire le moindre de tes désirs, ma belle. C’était tout pour toi.

– Ta belle queue… je la sentais bien en moi et elle me donnait beaucoup de plaisir. J’étais si bien. C’était trop… bon. Tu faisais tout pour me mettre à l’aise. En retour, ce n’était que pur délice de t’avoir en moi. Tout se passait comme j’en avais rêvé depuis que j’avais été ado. Et dieu sait comme j’ai pu en rêver. Et là, tu étais à mon écoute et tu veillais à satisfaire le moindre de mes désirs. Je me donnais à toi, tout entière. J’en étais fière. À ce moment-là, tu pouvais pas savoir à quel point. Comprends-moi, joli oiseau ! Je faisais EN-FIN l’amour avec toi ! Mon a… mour… Mon a… mour ! J’aurais pas pu vivre mieux ma première fois. Ça, c’était pas possible. Mon amour… Tout ce que je voulais, c’était que ce moment ne s’arrête pas et que tu continues de me prendre.

– Oh… oui, Bérénice. Et tu pouvais compter sur moi pour ne pas baisser le rythme de cette étreinte que l’on partageait. Même pas en rêve… C’était tout pour toi et j’avais pas l’intention de m’arrêter là. Pas avant que tu aies pris beaucoup de plaisir. Je vais même aller plus loin tant que j’y suis, Béré’. Je voulais que tu te lâches, que tu prennes ton pied. Je voulais que tu t’abandonnes. Je me répète, peut-être à l’excès, mon amour mais… C’était tout pour toi, rien que pour toi.

– Théo… C’était si romantique, tout ça… L’hôtel… La chambre… Tes yeux sur moi… Les mots que tu avais dit, que tu avais chuchoté… Je pensais à rien, je faisais le vide dans ma tête. C’était tout un contexte qui s’était créé progressivement et ça faisait que je m’épanouissais à tes côtés, a… mour. C’était aussi simple que ça. Et là… je ne pouvais être que bien. Oh… oui. On avais pris notre temps auparavant, quand on jouissait et qu’on se réjouissait des préliminaires. Ça avait eu pour conséquence que j’étais prête pour toi, joli oiseau. Aussi bien dans mon corps que dans ma tête. Et là… j’étais sur toi. J’étais à califourchon. Ton sexe allait et venait en moi et je le sentais, en effet. Vu que je mouillais mais comme c’était pas permis, c’était… bon de le sentir.

– Tu m’étonnes que c’était bon pour toi, Bérénice… En même temps… Je faisais tout pour que ce soit agréable pour toi. Tout devait se passer comme tu en avais envie, ché… rie. Tout devait être très bien sinon parfait. Oui, je sais… Toi comme moi, on pense que la perfection n’existe pas. Et pourtant… j’étais à l’écoute de tes désirs, mon amour et je voulais les satisfaire, chacun. Bérénice… tu me faisais fondre. Je craquais pour toi. Tout ce dont t’avais envie, je te l’aurais donné. Et là… je n’avais d’yeux que pour toi. Tout ce que tu voulais, je te l’aurais fait.

– Je les voyais, tes yeux sur moi. Ils étaient comme des projecteurs qui sont braqués sur une star. Mais là… c’était tout pour moi, rien que pour moi. Mmmh… Oui, Théo… Y’avait plus que moi dans ton esprit. Tu me mangeais dans la main, mon chéri. Tu me mangeais des yeux. Et ça… ça me faisait encore plus mouiller, tu sais ? T’avais même pas idée… Plus je mouillais, mieux ton sexe coulissait dans le mien. Plus je mouillais, plus c’était agréable. J’ai alors compris que je devais faire abstraction de tout. Et c’est ce qui s’est passé. Je me suis détendue au maximum et je me suis mise à davantage remuer et m’agiter sur toi, mon chat.

– Il a dû se passer quelque chose à l’intérieur de toi, ma chérie car j’ai pas compris sur le coup. Tu t’es mise soudainement à onduler. Tes mains sont devenues plus fermes sur ma poitrine et elles s’y sont agrippées. Qui plus est, je t’entendais bien, Béré’. Oui… Ta respiration était plus… prononcée. Tu gémissais… Tu soupirais… Je sais pas mais… tu devais particulièrement ressentir mon sexe et ses mouvements de va-et-vient à l’intérieur de ton vagin… Pour moi, il pouvait pas en être autrement. De plus, je sais pas pourquoi mais… Quand tu bougeais… C’était comme si ton vagin me prenait de plus en plus et qu’il me retenait prisonnier. En tout cas… c’était ce que je ressentais et j’y prenais bien plus de plaisir.

– J’en avais tellement rêvé… Et là… c’était tout doux. C’était si… bon. Et… tu as raison, mon chat. J’avais appris entre temps à jouer de mon vagin et de ses muscles. J’en jouais… avec toi… Ton érection prononcée… Ta belle grosse queue… Mon a… mour ! Je te sentais particulièrement en moi. Je me souviendrai de cette sensation pour le restant de mes jours. J’en ai rajouté et j’ai joué de mes fesses. Toi… tu as relâché ton étreinte sur moi et tu as reposé tes bras le long de ton corps. Je l’ai vu et je m’en suis donnée à cœur joie. C’était à mon tour de te prendre, joli oiseau...

– Mon… dieu ! Béré… nice ! Quand tu en parles, je me remémore ce que nous avons pu vivre et ça me laisse pas indifférent. Ça reste clair comme de l'eau dans mon souvenir. Ça reste gravé dans ma mémoire. Tu étais émoustillante, jolie coccinelle. Tu étais si belle. Là, c'était sûr ! Je pouvais plus du tout le nier. Je te mangeais dans la main. Et là, ni une ni deux, tu t'étais mise à prendre le contrôle. C'était toi qui me faisais l'amour à présent. En effet, je te laissais avec plaisir me prendre… et me chevaucher à ta guise, Béré'. C'était si bon quand tu faisais ça. Je voulais que tu continues. J'aimais ça.

– Mon a… mour ! J'étais sur toi et j'aimais ça. Ça pouvait être mieux ? Je sais pas. En y réfléchissant… Hmm… Je ne pense pas. Tout ce qui se passait entre nous deux, c'était ce dont j'avais rêvé. Ni plus, ni moins. Tu y mettais de la douceur, tu y mettais de la tendresse. Tu y mettais ton amour, tu y mettais ton désir pour moi. Oui, Théo… C'était tout pour moi, rien que pour moi. Mais là… c'était moi qui prenais les rênes. Je prenais le dessus sur toi, mon chat. Ça aussi, j'en avais rêvé. J'en avais fantasmé. Et là, ni une ni deux, j'avais mis à exécution ce fantasme. C'était moi qui te faisais l'amour car c'était moi qui bougeais et qui te faisais aller et venir en moi, a… mour.

– Oh… oui, pupuce. C'était toi qui prenais le dessus. Soudain, c'était toi qui me faisais l'amour. C'était toi qui me baisais, j'aimerais même dire. Et c'était trop… bon. Ta chatte était toute douce. Elle était chaude à l'intérieur. C'était agréable. C'était parfait. J'aimais tout de ce moment que l'on vivait, que l'on partageait. C'était unique. C'était parfait. La femme que j'aimais était sur moi et je voyais son corps s'agiter là, juste sous mes yeux. Elle était belle. J'avais particulièrement envie d'elle. Il ne pouvait pas en être autrement. Bérénice… c'était tout pour toi, rien que pour toi. Tu étais si belle, mon cœur. Moi non plus, je n'en revenais pas, tu sais ? J'étais là, dans cette chambre d'hôtel et je faisais l'amour avec cette jeune femme que j'avais rencontré quelques mois plus tôt.

– Mon amour… Je me pâmais de tes yeux sur moi. Ça, c'est un truc qui restera dans ma mémoire. Tu me quittais pas un seul instant des yeux. C'était tout pour moi, rien que pour moi. Tu avais beau ne pas parler… tes yeux parlaient pour toi, Théo. Et ils me parlaient. Ils me disaient que tu n'en revenais effectivement pas. Ils me disaient que j'étais belle. Ils me demandaient de continuer et de remuer comme ça sur toi. Je ne ménageais pas mes efforts. Il n'était pas question que je m'arrête. Le plaisir, je le sentais en moi. Tu sais que je sentais mon sexe vibrer parce que tu me pénétrais ?

– C'était si bon de te sentir tout autour de moi, ma puce. Et je dois dire que… ça m'excitait beaucoup de te regarder bouger, onduler comme tu le faisais. Et plus tu maintenais ce rythme, plus je me sentais pris. Non seulement tu maintenais ce rythme, mais j'avais comme l'impression que tu augmentais la cadence de tes mouvements. Ai-je raison ? Ai-je tort ? Bérénice… Tu allais et tu venais plus fréquemment. Plus vite, plus fort sur mon sexe. Et… aussi… c'était moi ou ton sexe était de plus en plus serré et qu'il retenait prisonnier mon membre ? C'était toi qui me faisais l'amour, Béré'. Tu étais si belle. Et plus tu bougeais comme ça… plus je sentais mon plaisir monter en intensité.

– Thé… o… Toi aussi, tu me faisais l'amour ! Ne l'oublies pas, voy… ons ! C'était ton sexe qui était en moi. Il était beau. Il était gros et il allait et venait à merveille dans mon vagin tout mouillé. J'avais beau être à califourchon sur toi, mon cœur… c'était bel et bien ton sexe que je sentais. Et dieu sait que je la sentais à merveille, ta belle queue. Oh… oui. Je m'en lassais pas le moins du monde, de ta queue. Tes yeux sur moi… Je me laissais aller. Tu me faisais me sentir belle. Je vais même aller plus loin, joli oiseau. Je me sentais carrément sexy. J'étais la femme à qui tu faisais l'amour et tu n'avais d'yeux que pour moi.

– Princesse… Tes cheveux étaient longs et ils étaient lâchés. Ils volaient au vent et ils semblaient n'en faire qu'à leur tête. Ça et le fait que tu étais en Andromaque sur moi… Ça te donnait un côté sauvage, ma belle… et ça me plaisait. Et quant à tes seins… Rhoo… Ils me faisaient de l'oeil. Ces deux beaux monts d'amour… ils étaient gros et ils s'adonnaient à une danse qui leur était propre et ce, au moindre de tes mouvements, Bérénice. Je les aimais… Je les aime toujours tellement et tu le sais. De les voir s'agiter comme ça, juste sous mon nez… Je sais pas ce qui m'a pris alors, pupuce.

– Ah ? Tu sais pas, mon chat ? Eh bien, moi… je vais te dire ce qu'il t'est passé par la tête. C'était clair comme de l'eau. C'était aussi simple que ça, Théo. Tu étais émoustillé parce que j'étais nue et c'était moi qui bougeais, qui te baisais. Si tu savais à quel point je me suis sentie désirée, bébé… T'as pas idée… Mon petit ami me laissait bouger juste au-dessus de lui et c'est moi qui laissais son sexe aller et venir à l'intérieur de moi. De voir tout ça… car tu le voyais… ça t'a fait un… je-ne-sais-quoi. Et je le comprends, ça. Tes mains ont atterri de nouveau sur mes fesses et tu les prenais fermement. Tu me les malaxais, tu me les pétrissais, mes fesses… et t'aimais ça, hein ? C'était clair comme de l'eau. C'était toi qui me baisais. Et je te sentais plus spontané, plus hardi, plus vigoureux. Tu me baisais à présent, Théo...

– Mon amour… Mon bel amour… Mon unique amour...Tu étais très mignonne. Ah… Ce mot… «Mignonne»… C'était comme ça que je t'avais considérée, Bérénice. Tu m'avais envoyé un jour une photo de toi. Tu m'avais demandé comment je te trouvais. Jusqu'alors, on s'était contentés des e-mails, des appels et des SMS. Mais… déjà… j'avais craqué pour toi. Ça en était fait de moi car je savais que j'avais un faible pour toi, Béré'. J'avais aucun doute là-dessus. Oh… non. Et là, quand j'ai reçu cette photo où tu portais la robe bleue et où tu avais ce sourire timide à tes lèvres, j'ai été ensorcelé. Tout simplement.

– Mon amour… Mon bel amour… Mon unique amour… J'avais espéré que tu dises que j'étais belle. Ni plus, ni moins. Et quand j'ai ouvert ton SMS et que je l'ai lu, ce mot… «Mignonne»… sur le coup, je te cache pas que j'ai été déçue. Parce que… effectivement… je voulais que tu me dises que j'étais belle. Tout simplement. Carrément. Et là, tu m'écrivais que j'étais… mignonne. Pour moi, ça avait beau être positif comme qualificatif de beauté, bien sûr… c'était quand même… comment te dire, mon chat… un peu moins fort, un peu moins émoustillant que «belle». Mais là, et c'est quelque chose que j'aime chez toi, mon amour… tu m'as rassurée et tu m'as dit que «mignonne», à tes yeux… c'était beaucoup beaucoup. Tu as même ajouté que tu n'avais d'yeux que pour moi.

– Mon cœur… Effectivement… j'avais senti dans ta réponse que tu avais espéré davantage. Mais… et là, je te rejoins, princesse… je pouvais plus détacher mes yeux de cette photo, cette toute première photo que tu m'envoyais. Je te voyais pour la première fois. Cette robe bleue t'allait bien. Elle te le mettait en valeur, ton corps. M'en veux pas, a… mour mais je les ai toute de suite remarqués, tes seins lourds. Oh… oui. Comment il aurait été possible de ne pas les voir, Béré' ? Impossible. Tes cheveux étaient lâchés et ils t'arrivaient aux épaules à ce moment-là. Je m'en souviens, Béré'. Je me souviens de tout. Et pendant que je te parle, c'est comme un film qui passe dans ma tête…

– Un film érotique, mon cœur… Un film X dont nous étions à la fois les réalisateurs et les acteurs. J'espère qu'il te plaît toujours, mon chat… Que vois-tu au moment où l'on se parle ? Moi je pense que… hmmm… tu en es au moment où tu as repris les choses en main. Si c'est le cas… hmmm… moi aussi, c'est ce qu'il est en train de passer dans mon esprit. Tu me saisissais fermement les fesses et c'était comme ça que tu t'arrimais à moi. Moi ? J'aimais ça. Dans mon corps, dans ma tête, j'étais à toi. Je me laissais faire parce que j'avais confiance en toi. Pour rien au monde j'aurais voulu que le rythme diminue, Théo.

– On regarde la même scène alors, jolie coccinelle. Ce moment-là, mais c'était… Je sais pas s'il y a des qualificatifs, pupuce. Ce dont je suis sûr par contre, c'est que tu m'excitais. De te voir encore et toujours sur moi, ça me… Bérénice… On en avait parlé de nombreuses fois, quand on faisait l'amour via le téléphone rose. Mais là, encore une fois, c'était pour de vrai. Tu étais à califourchon et tu me chevauchais. Tes seins ballottaient et ils s'agitaient comme bon leur semblait parce que je te prenais. Je te prenais. Oh… oui. Et j'allais plus fort, plus vite en toi, mon cœur. Et tu sais pourquoi ?

– Hmm… Laisse-moi deviner, joli oiseau… Toi aussi, tu prenais autant ton pied que moi, je le prenais. Et je peux te dire que je le prenais, mon pied. Et pas seulement à l'intérieur de mon corps ou carrément dans mon vagin… Non… De te voir comme ça alors que tu me mangeais des yeux et que ton regard était posé sur moi… De te sentir particulièrement bien en moi pendant que tu allais et que tu venais plus vite, plus fort… Moi aussi, ça me… , tu sais, Théo ? Si tu avais continué comme ça, sur ce rythme, j'aurais répondu de rien au moment où je jouirais comme une folle. Et… si tu te souviens bien, a… mour… C'est ce qu'il s'est passé. Ni plus, ni moins. J'ai joui une nouvelle fois.

– Tu m'étonnes que tu as joui, ma belle… Forcément, vu que je te prenais à présent plus vite, plus fort… Je te pilonnais même, désormais. C'était plus fort que moi. J'avais le diable au corps à mon tour et je me laissais aller. C'était aussi simple que ça. Je m'abandonnais au plaisir. À ce plaisir que l'on se donnait et que l'on se partageait, toi et moi, Bérénice. J'avais toujours autant envie de toi. C'était si fort. Et pour tout te dire, pour être honnête avec toi… quand je pensais à toi, des fois, je me mettais à bander alors même que j'étais au boulot, là-bas… ça en devenait presque… comment te dire… inconfortable.

– Tu… bandais au travail ??? Mon a… mour… Mon a… mour ! Oh mon cœur… Si j'avais su… Petit… cachottier ! Petit coquin, Théo ! Si j'avais été présente… on se serait consacrés un petit moment à nous et je me serais occupée de toi. Dis… Qu'est-ce que tu en penses, mon chat ? Je t'aurais plaqué contre un mur et j'aurais posé un doigt sur tes lèvres… Je t'aurais demandé de te laisser faire… J'aurais sorti ta chemise de ton pantalon… Ton pantalon, je l'aurais déboutonné et j'en aurais abaissé la braguette… Ni une, ni deux, ton caleçon aurait subi le même sort… Je me serais agenouillée et je t'aurais sucé et pompé jusqu'à ce que tu gicles dans ma bouche ou sur mon visage… Thé… o… Et si c'était à ça que tu pensais pendant que tu me baisais ? Dis-moi...

– Arrêtes, Bérénice ! Rien que de t'entendre dire ces choses-là, je continue de bander et ça me fait mal à force . Et si je bande encore et encore, y'a deux solutions, Béré'. C'est aussi simple que ça. Soit je reviens en toi et je te reprends ton petit cul. Soit je te demande de te mettre à genoux et tu me suces jusqu'à ce que tu me sentes jouir dans ta bouche. C'est toi qui vois, jolie coccinelle. Pour reprendre le fil du film de notre première fois… Voilà. Tu as joui une nouvelle fois et c'était un bel orgasme que tu as eu, n'est-ce pas ? Oh… oui, ce devait l'être… Tu es belle quand tu jouis, Béré', tu sais ?

– Mon amour… Mais J'AIME quand tu bandes dur pour moi ! Ta belle grosse queue… elle est toute à moi, rien qu'à moi. Elle est la seule que je branle. La seule que je prends dans ma bouche, que je suce, que je pompe. La seule que je masturbe entre mes jolis seins lourds. La seule qui me pénètre… mon vagin… mon anus… Oh… oui, Théo. Tu es le seul homme avec qui je fais l'amour, avec qui je baise… et j'aime ça. Oh… oui. Et quand tu me fais jouir, mon chat… Eh bien… dans ces moments-là… ça me rappelle qu'il n'y a qu'un seul homme dans ma vie et cet homme… c'est toi, mon chat. J'aime que tu me donnes un orgasme, Théo. Tu sais pas à quel point…

– Je… crois savoir, jolie coccinelle. Ça fait deux ans maintenant qu'on est ensemble. Je te connais de mieux en mieux et je sais quelles sont tes réactions pendant l'amour. Tu fermes les yeux quand c'est trop bon et que tu laisses le plaisir prendre possession de toi. Tu me regardes, les yeux dans les yeux, et tu me supplies quand tu as envie de quelque chose en particulier ou comme si tu penses que je vais te priver d'un orgasme. Tu portes l'une de tes mains à ton sexe et tu te caresses parce que tu veux nous donner plus de plaisir à tous les deux, quand je suis en toi et que je te fais l'amour, ma belle. Tu vois, Bérénice ? Je te connais plus que tu ne l'imagines. Tu es… tout simplement… la femme que j'aime et que je désire. Tu es la femme de ma vie, Bérénice et je veux que tu deviennes mon épouse. Je t'aime, ma jolie coccinelle.

– Je suis si bien quand je suis avec toi, mon chat. Ça pourrait être jamais mieux. J'oublie tout quand tu me prends dans tes bras. Tu me fais fondre quand tu me regardes dans les yeux et que tu me dis que je suis belle, que je suis la femme de ta vie. Et quand tu m'embrasses… quand tu me caresses… quand ton sexe est en moi et que tu me fais l'amour… je perds le contrôle, je perds la raison. Il n'y a plus aucune logique. Je me contente de me laisser aller et de savourer l'instant présent, avec toi. C'est aussi simple que ça. Je t'aime, joli oiseau.

– Si tu savais à quel point toi aussi, tu me fais fondre, Béré'. Rhoo… Tes yeux… Tes longs cheveux châtains… Ta bouche, ton sourire… Ton corps mince… Tes beaux gros seins… Ton pubis et tes poils… Ton minou… Ton petit cul… Tu me rends fou, Bérénice. Si tu savais… Tu es si belle. Je te veux à mes côtés pour le restant de mes jours. J'ai envie d'imaginer comment chaque jour peut être avec toi. Et quand je te dirai oui à la mairie et à l'église… quand je te passerai la bague au doigt… je serai tout à toi, rien qu'à toi.

– Mon amour… Mon a… mour ! Mon coeur bat très fort quand je t'entends me dire ces mots-là. J'ai des papillons dans le ventre, si tu veux tout savoir, Théo. Et pour être tout à fait franche avec toi, mon joli oiseau, j'en ai les larmes aux yeux. Tu es le premier homme que j'ai dans ma vie et tu me dis tout ça. J'ai pu t'en parler… Y'a eu des gars au collège, au lycée, à qui je savais que je plaisais. Mais moi… les garçons, tu sais, à ce moment-là… ça m'intéressait pas. Ils avaient beau être mignons et me draguer… J'y prêtais pas attention. Et puis… toi, Théo… tu as débarqué dans ma vie et j'ai tout de suite su que tu étais différent. Pour la première fois, j'ai laissé sa chance à un homme et c'est la meilleure décision que j'ai jamais prise.

– Dès nos premiers échanges, dès les premiers messages… j'ai craqué pour toi, Bérénice. Je lisais tes textes et je m'imaginais dans la peau de l'homme qui était le héros de tes histoires érotiques. Tu parlais de tes seins blancs, tu parlais de tes fantasmes. Tu t'y mettais à nu, Bérénice et ça, je l'ai rapidement compris. C'est comme ça que tu m'as fait craquer et que je t'ai proposé que l'on se rencontre. Pour moi aussi, ça a été la meilleure décision que j'ai jamais prise. Deux mois plus tard, on se retrouvait dans ta ville bretonne et on y a passé un week-end qui restera gravé dans nos mémoires, à toi comme à moi.

– Tu m'as faite jouir, mon chat. Plusieurs fois, même. J'avais le souffle coupé parce que ça avait été tellement fort, ce que j'ai ressenti. Moi aussi, j'avais envie de te faire jouir. Alors, j'ai baissé ma tête et je t'ai englouti dans ma bouche. Je t'ai masturbé d'une main. Je t'ai sucé, je t'ai pompé. Toi, tu as rapidement glissé une main dans mes cheveux, tu m'as guidé. De haut en bas… De bas en haut… Je te regardais. Tes yeux étaient tout pleins d'amour. J'ai lâché prise et j'ai placé ton sexe entre mes seins et je t'ai branlé avec, tendrement, lentement. On se regardait. On se mangeait des yeux. J'étais si heureuse, j'étais fière. Et soudain ta respiration a été plus rapide, plus irrégulière. Tu as gémi plus souvent. Tu as fermé les yeux. Et puis tu as crié… et tu as joui. Ton sperme… J'ai senti plusieurs longs jets de ta semence et j'en avais beau-coup entre mes seins. Tu avais joui, joli oiseau ! Je t'avais fait jouir. L'homme que j'aime venait de jouir entre mes seins et c'était toi qui lui avais donné cet orgasme en cadeau. Je t'aime, Théo. A… mour… A… mour !

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