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Amitiés franco-espagnoles

Pedro, en Andalousie, me fit l'honneur d'accepter mon invitation à me rejoindre dans ma chambre d'hôtel, voisine de la mienne, après un dîner partagé. Il faisait très chaud. Nous avons pris une douche ensemble. Entre garçons, pourquoi se gêner? Puis nous avons fait l'amour

Proposée le 26/08/2023 par Sacha

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


J'avoue avoir toujours été attiré par les garçons, friand de mâles, un peu exhibitionniste sur les bords, et toujours heureux de leur offrir mes charmes, auxquels ils sont rarement insensibles. Ce qui pour moi était assez facile, vu qu'il suffisait que je je m'allonge nu sur le dos et cambre bien les fesses, que j'ai assez rebondies.

À vingt ans j'avais encore bien des contrées à explorer, et à laisser explorer, ainsi que toutes les richesses alors inspouçonnées de l'amour entre hommes.

Les branlettes entre copains avaient certes leur charme, c'était beaucoup mieux que de se branler seul en fantasmant sur leurs bites, c'était tellement mieux à deux: plaisir non seulement partagé mais encore au moins dédoublé. On jouit autrement, et beaucoup mieux à deux. Et on jouit aussi de faire jouir.

Mais si contente et joyeuse que fût ma queue de se sentir honorée et vigoureusement prise en main par un jeune expert en la matière, un garçon de mon âge, je sentais bien que quelque chose encore me manquait, inavouable penchant peut-ètre, mais que je préfère dire en toute clarté. Alors quoi?

Entre collégiens, il nous arrivait aussi de nous caresser les fesses à titre de prélude, et rien que ça suffisait à me faire bander, mais c'est à peine si nous les effleurions. Il est bien arrivé, mais trop rarement, qu'une main un peu plus audacieuse s'aventurât dans ma fente, s'attardant mine de rien sur ma rondelle, je frissonnais d'aise, mais ça s'arrêtait là.
Jusqu'au jour où ...

Jusqu'au jour où, en vacances en Espagne, plus précisément en Ansalousie, j'eus la chance de rencontrer Pedro. C'était mon voisin de chambre dans l'hôtel au bord de la plage, et comme moi célibataire.

Un soir nous avons sympathisé, pour ainsi dire. En d'autres termes: une très forte attirance réciproque nous a poussés l'un vers l'autre. Après un dîner partagé, Pedro me fit l'honneur d'accepter mon invitation à poursuivre notre conversation dans ma chambre.

Pedro parlait aussi français et moi espagnol, en sorte que nos deux langues se mêlaient avant de se rejoindre en un fougueux et langoureux baiser, annonciateur de bien d'autres plaisirs. Rien qu'à l'embrasser je mouillais.

Il faisait si chaud en cette période estivale que nous n'avons pas tardé à nous retrouver l'un et l'autre en short. Presque nu et le frôlait, je ne pouvais détacher les yeux de son short, sous lequel je ne sais quelle divinité sommeillait où s'éveillait, et ce début d'arc-en--ciel m'excitait bien. J'avais une folle envie de me mettre sa queue en bouche.

Avant de passer aux choses sérieuses nous avons pris une douche commune, histoire de nous rafraîchir. Nos deux corps s'offraient nus l'un à l'autre, dans toute leur splendeur.

Nous nous sommes frictionnés la nuque, le dos, les fesses, sans oublier le sexe. Il faut dire que nos sexes commençaient à s'affoler, à bander au ciel, et nous avons commencé à jour au jeu des petites épées. Mais ce duel ludique entre nos deux queues, c'était au fond une manière de faire plus ample connaissance.

Nous sommes retournés nous allonger, entièrement nus cette fois. Entièrement épilé, il écarta les jambes pour offrir ses couillles à ma langue qui s'empressa de les lécher. Je pris sa queue en bouche, lui la mienne, on se sentait merveilleusement bien dans cette communion mystique vulgairement appelée un 69, comme c'est bon de se sucer entre garçons, d'avoir fait se tendre une belle verge qui ne demandait que ça !

Pressentant ses désirs, je me mis en levrette. Il me faisait tellement de bien que je n'avais aucune honte à lui offrir mon cul comme une chienne en chaleur. Il me doigta le petit trou, qui se contractait et se dilatait, puis je sentis son gland s'aboucher à ma rosette, ventouse lubrifiée par ses soins et je l'ai alors supplié de m'enfiler, ¡ por favoooooooor!

Sa queue était enfin en moi, nos couilles se touchaient. Tout cela fut si excitant que notre coït ne dura guère. Il déchargea en moi sa semence au moment où sa main qui me branlait me fit gicler.

C'était bon, chaud, voluptueux, jouissif.

Et on a remis ça. Otra vez.

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