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Ô belle demoiselle (5eme partie)

David est un jeune guide touristique qui a des difficultés à aller de l'avant après que son ex petite amie m'a laissé tomber il y a un an. Une jeune et belle demoiselle qui s'appelle Cécilia va débarquer dans la vie de David... et la métamorphoser.

Proposée le 4/08/2023 par Mysteriotic

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


- Oh oui! J'en ai bien... l'intention, princesse...

- J'aime... J'aime tes mains sur mes petits... seins !

- Ils sont si mignons...

- Tu sais pas à quel point tes mots me touchent, David. Je suis heureuse que ma toute petite poitrine te plaise autant que ça. J'aurais pas pu trouver un meilleur amant que toi...

Mes mains doucement et tendrement maintenues sur sa belle poitrine menue, je laissais Cécilia me chevaucher et aller et venir sur moi. Je me maintenais, je m'arrimais à ses seins minuscules qui pointaient et je constatais qu'elle était de plus en plus en sueur du fait des efforts qu'elle produisait en faisant l'amour avec moi.

Elle, elle jouait de son corps, plus particulièrement de son bassin pour me faire aller et venir en elle. Ainsi... elle variait les plaisirs et elle me faisait la pénétrer tantôt superficiellement dans les premiers centimètres de son vagin, tantôt profondément. Tantôt lentement, tantôt frénétiquement. Tantôt c'était limite si elle éjectait mon sexe du sien, tantôt elle me faisait la pénétrer loin dans son vagin. Je bandais tellement que j'étais stupéfait de l'ampleur et de la grosseur de mon érection. C'était moi ou bien...? J'avais l'impression que dans ces moments-là, Cécilia me faisait la pénétrer si profondément que... j'abordais les rivages inconnus de l'entrée de son col de l'utérus. N'avait-elle pas mal? Cécilia gémissait tellement, si bruyamment, à la limite de crier voire même de hurler.

- Mon a... mour!

- Cécilia... Cécilia...

- J'ai pas mal, mon joli David, si c'est la question que tu te poses... Je te rassure. Je gémis... Je crie... Mais tu me donnes tellement de plaisir... C'est si... bon... C'est... bon quand c'est profond en moi... Continue... Continue... T'arrêtes pas...

- Cécilia... Oui...

- Tu sens comme c'est bon à l'intérieur de moi?

- Tout... chaud...

- J'aime être... chaude...

- T'es bonne... Qu'est-ce que t'es bonne...

- Da... vid! Mmmh...

Si elle continuait de pousser ces soupirs, ces gémissements, ces cris alors qu'elle me tournait le dos, qu'elle me chevauchait et qu'on faisait l'amour, je ne répondrais de rien au moment où je jouirais dans son vagin. Et... à l'allure à laquelle elle allait et venait, mon plaisir, lui aussi, augmentait, croissait. Il était de plus en plus délicieux, de plus en plus intense. De plus en plus inexorable, de plus en plus irrépressible. Le mouvements de Cécilia sur ma queue étaient de plus en plus rapides, de plus en plus frénétiques. De plus en plus francs, de plus en plus profonds.

Elle me montait à merveille, si l'on pouvait dire. Elle avait dû être Andromaque ou une Amazone dans une autre vie, ce n'était pas possible ! Elle avait les bras légèrement portés vers l'arrière et c'était ainsi qu'elle parvenait à trouver un équilibre, certes précaire et instable, mais un équilibre où elle se cramponnait à moi, et ça lui permettait de me toucher par la même occasion. Moi... mes mains étaient tantôt sur la chute de ses reins, tantôt elles lui modelaient ses petits seins tout mignons et les lui caressaient. C'était... bon. C'était parfait. On entendait les oiseaux chanter. On était caressés à la fois par le soleil et par le vent tout léger qu'il y avait cet après-midi là. On entendait les branches du saule auprès duquel nous étions. On les entendait se balancer tout doucement, remuer. Nous faisions l'amour et nous nous sentions seuls au monde. Le reste n'avait pas, plus d'importance. Nous étions bien, si bien, elle et moi, à faire l'amour.

– Da… vid…

Elle venait en… core de soupirer. Cécilia ne pouvait décidément pas s'en empêcher, de soupirer. Mais il fallait la comprendre. Le plaisir était en elle. Le plaisir faisait partie intégrante d'elle, c'était aussi simple que ça. Faire l'amour avec Cécilia, ce n'était que pour pur plaisir. Ce n'était que pur délice.

– Da… vid…

– Ma belle Cécilia…

– Libère-toi, mon cœur… Libère-toi à présent… C'est ce que je te demande. Tu me fais l'amour, et j'a… dore… Mais… moi aussi… je veux que tu prennes… ton pied… Pilonne-moi… Défonce-moi… Je veux tout ça… Je… veux…

– Cécilia…

– Je… veux…

– Mais… toi ? Et toi ?

– Je le prends déjà… mon pied… C'est… chaud… Chaud… bouillant, comme de la lave en fusion… dans mon corps… dans mes veines… dans mon sexe… J'en ai même le feu au cul, si tu veux tout savoir… Tu peux pas t'imaginer… à quel… point…

– Hmmmm…

J'ai entendu ces mots, et alors… ça a été plus fort que moi. Elle avait dit qu'elle avait carrément le feu au cul. Très bien. J'avais reçu le message cinq sur cinq. Tout en restant précautionneux, j'empoignais davantage fermement ses petits seins. Le bout de mes doigts sur ses tétons… je me suis mis à les pincer tout doucement, ses tétons.

– Da… vid !

– Ché… rie !

– J'aime… J'aime tes ca… resses ! Pu… tain !

– C'est tout chaud en toi…

– Tout… bon… Et… toi… tu es bien… dans mon minou… Je… le… sais…

– Céci… lia… Continue de me chevaucher… de me baiser... Je vais t'y aider, à jouir… Je te le promets.

– Oh oui, trésor ! Je veux ! Je veux !

– Ma belle… Tes tout petits seins pointent… Tes tétons sont tout durs… Et quand tu me chevauches et et que tu vas et que tu viens sur moi, je le sens, ton corps tout chaud. Tu es en chaleur… Et tu ne demandes que ça… Tu ne demandes qu'elle… Ma… queue dans ta chatte… Avoue ! Avoue que tu es venue vers moi pour ça… Tu voulais te prendre des coups de queue aujourd'hui… A… voue-le…

– A… mour… Oui…

Je me suis arrimé plus fermement à elle, et dès lors, mes mains se sont posées sur la chute de ses reins. Je l'ai faite aller et venir sur moi plus franchement. Elle, elle s'est mise à gémir, et à crier plus bruyamment. C'était comme si le plaisir la transformait en une créature assoiffée de plaisir et de jouissance. Et moi, je ne demandais que ça : qu'elle jouisse sous mes coups de butoir. Grâce à mes coups de queue en elle.

– Putain, Cécilia ! Caresse-toi !

– Chéri… Je la sens, ta queue en moi… Elle me défonce… Elle est grosse… Elle est… bonne… AH !

Elle venait de crier une fois de plus de manière bruyante. Elle ne contrôlait plus rien et elle se laissait aller. Il faut dire que je la ménageais plus depuis qu'elle m'avait carrément demandé de la pilonner, de la défoncer. Je la prenais avec force, avec ardeur, franchement. Je la faisais aller et venir sur mon sexe. Nos sexes s'entrechoquaient à mesure que notre partie de jambes en l'air devenaient de plus en plus bestiale. C'était baiser, il n'y avait pas d'autre qualificatif pour décrire ça à ce moment-là, ce que nous vivions, Cécilia et moi.

Ses chairs étaient mouillées. Humides. Trempées. Détrempées. Elles enserraient à merveille mon sexe pendant mes va-et-vient en elle. C'était agréable. C'était parfait.

– Da… vid !

– Miss… Ce n'est que pur délice d'être en toi et de te baiser comme tu en as envie...

– Ce n'est que pur délice de me prendre tes coups de queue dans la chatte, joli garçon…

À mesure que l'on baisait et qu'elle mouillait , un bruit de clapotis se faisait entendre, et ce, de plus en plus.

– Da… vid ! David ! David !

Elle haletait. Elle soupirait. Elle gémissait. Et soudain, elle s'est mise à crier mon prénom. C'était comme si sa vie en dépendait.

– David ! David ! David ! David ! T'arrêtes pas… Surtout pas…

– Ça, il en est pas question, miss…

– Je plaisante pas. C'est trop bon… T'arrêtes pas… T'arrêtes pas… Je vais… je vais jouir !

Elle allait et elle venait sur moi sans arrêt. C'était frénétique. C'était fou. C'était dingue. C'était intense.

Je coulissais à la perfection en elle. C'était une sensation très agréable et qui m'avait manqué depuis Karine, je dois le reconnaître.

Mes mains sur le corps moite de Cécilia… C'était trop bon de la sentir aller et venir sur moi, sur mon sexe.

– David…

Soupir de Cécilia.

– Ca… resse-toi… Cé… ci… lia…

– Oui, mon coeur…

Nouveau soupir de Cécilia.

Sur ces mots, je sentais mon sexe particulièrement plus enserré par le sien. Elle portait ses doigts sur son minou et elle se caressait. Elle en soupirait. Cécilia m'excitait grave, c'était aussi simple que ça. Ce n'était que pur plaisir de lui faire l'amour, de la baiser.

– David… Tu aimes qu'une fille te caresse les couilles ?

– Comment tu as… deviné, ma belle ?

– On est sur la même longueur d'onde, joli garçon. Moi aussi, je veux… ton plaisir… Ton sperme… en moi… Tu n'as pas oublié ? Je veux pas que tu m'oublies, tu m'entends, David ? Je veux pas.

– Pas question de ça, mon coeur. Même pas en rêve.

– Bien. À présent, tu te laisses aller et tu me laisses te caresser…

J'en ai gémi de plaisir quand elle a passé sa main qu'elle avait léché au préalable et qu'elle avait donc imprégné de sa salive, et ce sur la tige de mon sexe. La réaction… Ma réaction a été immédiate: mes mains ont légèrement remonté sur son corps et s'arrimaient à elle avec fermeté. Elle, le plat de sa main me caressait. La stimulation due à ses caresses en était… pfiou… délicieuse. Sa main est descendue et a maintenu la caresse sur mes testicules. Elle les massait. Avec le plat de sa main, elle les palpait délicatement. C'est délicat, les bijoux de famille, c'est vrai.

– A… mour… Tu la sens, ma main ? Tu la sens ?

J'en ai gémi de plaisir.

– Mon a… mour… Baise… moi !
Baise… moi, David ! Baise-moi ! Je VEUX que tu me pilonnes et que tu me défonces…. Maintenant !
– Princesse…
– David… Mon David… Je demande que ça… Que tu me baises… Parce que ta queue en moi… C'est trop bon… Je suis insatiable…
– T'aimes... ça, te prendre un bon coup de queue ! T'aimes ça…
– J'aime ça, David…
– Et mes mains sur tes tout petits seins… Tu… aimes ?
– Mes seins… Ils sont si sensibles… Et pourtant si petits… Mais le truc… C'est qu'il faut être délicat… très délicat… avec ces deux toutes petites merveilles…
– Elles sont si belles, tes deux toutes petites merveilles… Et quand elles pointent… Rhoo… !
– Tu t'en occupes si bien, joli garçon… On a beau avoir des petits seins comme moi, nous les filles, ça n'enlève en rien au plaisir qu'on prend quand on nous les caresse…
– J'aime… tes tout petits seins… J'aime… les petites poitrines…
– David… Je comprends mieux alors…
– J'ai un faible pour les petits seins, Cécilia. Depuis toujours. Je ne plaisante pas avec ça.
– Joli garçon…
– Ils sont si beaux, les tiens. Tout mignons, princesse… Ils me plaisent beau… coup…

Sur ces mots, je les ai pincés tout doucement, ses mamelons. Du fait qu'elle prenait du plaisir alors que je continuais de stimuler et de caresser ses seins, ses tétons étaient durs et ils continuaient de s'allonger. Cécilia a eu comme un tremblement, comme si elle avait la chair de poule, alors que j'osais cette caresse de ses seins.
Elle poussait des gémissements de plus en plus rapides, de plus en plus rapprochés les uns des autres. C'était la même chose quand elle soupirait. Elle était au comble du plaisir, à son paroxysme, et elle se sentait bien.

– Mmmh… David…

Soupir.

– Je… savais… ! Je… savais… qu'ils étaient… sensibles, mes… seins…. Mais… là… À ton… contact, c'est… plus… Bien… plus…

Elle haletait et elle avait de plus en plus de difficultés à s'exprimer à présent. Elle avait clairement le souffle court. Il faut dire que je ne la ménageais plus avec mes coups de butoir particulièrement francs et… audibles. Je la baisais. Je la pilonnais. Je la défonçais. Mes testicules claquaient contre les chairs de sa porte du plaisir. On entendait tout aussi bien le clapotis qui se produisait en elle du fait de sa cyprine ruisselante qui s'écoulait et que je sentais couler hors de son sexe et qui se déversait abondamment sur mon membre.

– David… David… C'est trop… bon ! Pu… tain ! Je suis toute proche… Toute… proche… Ça vient… Je sens que ça… vient… T'arrêtes pas… T'arrêtes pas…

Et là, comme de par hasard si l'on pouvait dire, elle s'est remise à bouger sur moi et à me prendre en Andromaque inversée. Son sexe absorbait le mien si fluidement, si agréablement.

–Tu sens comme c'est… mouillé, comme c'est… chaud et… doux en moi ? C'est… si… bon… entre nous, ché… ri…
– Continue, ma belle… Pour moi…
– Je veux, bébé… Je veux !
– Vas-y, ma belle… Lâche-toi… Jouis.

– Da… vid ! S'il te plaît. Continue… Continue de me faire aller et venir sur toi… Continue de me baiser comme ça… T'arrêtes pas…
– Chérie… Même pas en rêve… Oublie pas ce que je t'ai dit pendant nos préliminaires… «Les petites salopes dans ton genre, elles doivent jouir.»
– Je n'ai pas oublié.
– C'est si… bon d'être en toi… de te baiser...
– Joli garçon… C'est si… bon de t'avoir en moi…

C'était comme une partie de ping-pong entre nous. On ne calculait rien. On se laissait juste guider et… emporter par le courant du plaisir. On vivait l'instant présent. On savait qu'il n'y avait que très peu de chances pour que l'on remette ça un jour. Cet après-midi, ce parc.

– David… Je les aime, tes coups de queue… Ils sont si bons… Je prends que du plaisir avec toi cet aprèm'. C'est trop… bon !
– Et… toi ! Ta… cha… tte ! Elle est toute mouillée ! C'est tout… doux et si… agréable… à l'intér… ieur !
– David… Tu me donnes en… vie de me caresser encore là, quand tu me parles comme ça !
– Cécilia ! Pu… tain ! Caresse-toi, alors !
– Joli garçon… T'aimes… ça… quand je me touche… Hein, t'aimes ça !
– T'assumes complètement ton plaisir quand tu fais ça…
– Parce que ça me plaît de me masturber… Je me masturbe depuis que je suis ado, et j'a… dore ça… Je kiffe ! Quand je me caresse, je me passe mes fantasmes dans ma tête… et ça m'excite grave… Et quand je me branle le clito et quand je me mets des doigts dans la chatte… dans mon cul… je suis toute dévergondée… J'aime… ça… Ça me fait jouir. Et là...
– Et là… Je suis en train de te prendre en plein air et t'aimes ça… Ça t'ex… cite…
– Qu'un beau gosse comme… toi me fasse l'amour… me baise… Mmmh… Oui… Ça m'ex… cite…
– Ta chatte est si bonne… Je la sens vibrer…
– Je VIBRE, Da… vid !
– Toi… Tu vas jou… ir…
– Da… vid ! Je veux ! Je VEUX !
– Vas-y, ma belle. Lâche-toi. JOUIS !

J'étreignais fermement Cécilia et je la faisais aller et venir sur ma queue. Cécilia n'en finissait plus de haleter. Son corps était moite. Du fait que son corps était couvert, recouvert de sueur, il me devenait de moins en moins aisé de maintenir mon étreinte ferme sans que mes mains ne glissent. Mais c'était agréable de l'étreindre, son corps, à Cécilia. De le toucher. De le caresser. Je voulais qu'elle se sente bien, jusqu'au bout.
Je sentais que mon sexe coulissait avec aisance dans le sien. C'était si fluide, et ça, plus particulièrement quand elle se caressait. Elle haletait. Elle gémissait. Et à présent… elle hoquetait de plaisir. Je ne sais pas pourquoi… mais j'avais comme l'impression… qu'elle était sur le point de jouir...

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