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Amour d'outre tombe. 2

Sylvie découvre Xavier. Il a le même prénom que son défunt mari, pratiquement le même métier, mais la ressemblance s'arrête là. Il est monté comme un Dieu et sait se servir de son engin pour amener au Nirvana Sylvie, lui donnant un plaisir jamais ressenti.

Proposée le 31/07/2023 par mlkjhg39

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Amour d’outre-tombe.

Je ne sais pas ce qui me prend mais je tends mon bras droit avec hardiesse pour caresser cette colonne de chair. C'est doux et dur en même temps, chaud comme de la braise. J’ose empoigner cette flamberge massive et constate avec effarement qu'il y a bien deux centimètres qui séparent l’extrémité de mon majeur de celle de mon pouce. Putain de morceau !

Suite :
Je reprends enfin mes esprits, repose ce formidable phallus sur son ventre, constatant qu’il dépasse son nombril d’un ou deux centimètres. Je recouvre vite son corps du drap et quitte la pièce avant que je ne fasse une bêtise.
Je mets longtemps à m’endormir car mon esprit tourne en rond, la vision de son corps, de son organe réveille en moi le désir. *
Le lendemain matin, nous nous retrouvons à la cuisine pour le petit déjeuner, on dirait qu'il a fini de cuver. Il a l'air de bien supporter l'alcool et c'est heureux dans sa profession. Xavier s’excuse de la façon peu glorieuse de son comportement de la veille. C'est dimanche et nous retournons pour la deuxième fois à la Saint Vincent tournante mais comme il ne reste que peu de tickets, ils sont vite consommés et nous nous promenons bras dessus bras dessous, profitons le plus possible de cette belle journée. Il se comporte comme le plus galant des hommes, me faisant rire. Cela fait longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi bien, surtout au bras d’un homme, presque un inconnu finalement.

Vous croyez peut-être que nous sommes allés plus loin mais non. Le lundi matin, il reprend la route pour son Jura natal où le travail l’attend, après m'avoir invité cette fois-ci à la Percée du Vin Jaune qui se tient début février. Cette fois-ci, c’est lui qui m’hébergera. Pendant la semaine qui sépare ces deux évènements, mes rêves sont entrecoupés de fantasmes où je me vois jouer à la cavalière, empalée sur sa formidable verge. Plusieurs fois quand je me réveille, je constate une grande tâche humide sur mon drap housse. Je n'en reviens pas, j'ai dû tellement mouiller pendant mes rêves que j'en ai trempé mes draps.
Je viens de tromper mon défunt mari, bien que ce ne soit que par la pensée. Je suis une moins-que-rien, mais…car il y a toujours un « mais »
Je dois dire que s'il avait été un petit peu entreprenant, je lui aurais peut-être cédé dès la première nuit que nous avons passé sous le même toit.
Je me retrouve donc quelques jours plus tard sur la route et me rends dans un petit village du Jura surnommé Verges près de Mesnois. Ne vous foutez pas de moi elle ne croyez-pas que j'affabule car c'est la stricte vérité et si vous êtes curieux vous les trouverez sur une carte ou sur votre GPS. Il a préféré m'inviter dans la maison d'un ami plutôt que dans son village pour plus de discrétion.
Nous recommençons donc la visite des caves mais cette fois Xavier passe plus de temps à parler avec ses collègues vignerons et boit beaucoup moins. Une fois le soir venu, nous nous retrouvons donc en tête à tête dans le logement de Verges. Nous passons une agréable soirée qui se termine dans le jacuzzi et la conversation arrive je ne sais comment sur le nom de ce village. Je lui demande :
-Avais-tu eu une idée derrière la tête pour m’inviter dans ce village au drôle de nom ?
-Même pas, répond-t-il. Pourquoi me poses tu cette question ? Est-ce que tu crois que je veux amener la conversation sur ce que signifie ce nom ? Espères-tu voir la plus belle verge de Verges ?

Là, je me suis piégée toute seule. Je fais la fière en lui répondant :
-De Verges, je ne sais pas, mais as-tu souvenir quand tu étais chez moi que je t'ai déjà vu complètement à poil dans la douche tellement tu étais bourré, peut-être que oui. Mais ce que tu ignores, c'est que j'ai fait plusieurs visites dans ta chambre de peur qu'il ne t'arrive quelque chose et que j'ai été confrontée à la plus belle érection d’hommes de ma vie. Je dois bien reconnaître, vu ma petite expérience en ce domaine, que la nature a été très généreuse avec toi.
Il m'avoue enfin :
-Petit à petit au fil de nos conversations, je suis tombé amoureux de toi. Je sais que j'ai déjà eu pas mal d'aventures, mais ce que j'éprouve pour toi n'a rien à voir avec les sauteries d’un soir d'un homme célibataire très courtisé. Et j’ai essayé de te montrer mon principal atout.

Pendant ses explications, la belle déformation habituelle dans son slip de bain est devenue de plus en plus conséquente. Il n'est pas difficile de deviner que sous ce fin tissu, une bête vient de se réveiller et barre en diagonale son slip, uniquement retenue par l'élastique qui enserre sa taille. Cela doit être inconfortable pour lui, car il met sa main sur son sexe pour le redresser plus à la verticale. De ce fait, l’élastique n'est plus assez costaud et un gland mafflu montre le sommet de son crâne dégarni.
J'ai déjà vu des photos de lui représentant la même scène, mais là, cette chose palpite à moins d'un mètre de moi. Xavier pourrait se rapprocher de moi pour profiter de cet avantage mais il n'en fait rien, plongeant ses yeux dans les mains.
-Ma chère Sylvie, tu vois qu'il n'y a pas que moi qui soit amoureux de toi et de ta plastique. Mais je suis un homme galant, quoi que tu puisses en penser, je te laisse donc l'entière liberté pour la suite.
-C'est très gentil de ta part Xavier, mais le pour le moment je me contenterai d'admirer, peut-être pourrais-tu retirer complètement ce ridicule slip qui ne cache plus grand-chose.

Il obtempère à ma demande et retire son maillot de bain qu'il envoie nonchalamment sur le sol de la pièce. Je revois de nouveau cette teub formidable, cette matraque tendue à tout rompre que la réfraction de l'eau fait paraître encore plus énorme. Il s'extrait alors de l'eau du jacuzzi et s'assoit sur la margelle, posant ses mains bien à plat de chaque côté de son corps. Dans cette position, son missile se dresse à la verticale comme prêt à décoller.
Je ne peux pas résister bien longtemps à cet appel et me déplace dans le jacuzzi pour me retrouver entre ses jambes, posant mes mains sur ses cuisses. Ma tête est à moins de vingt centimètres de son pénis dardé. Il me prend alors une main et la pose délicatement sur la hampe massive, puis repose la sienne sur le bord de la margelle, me laissant le choix de ce qui va suivre.
Je retrouve à nouveau ce que j'ai ressenti l’autre jour dans son lit, toujours aussi impressionnée face à cette confrontation de « La Belle et la bête ». Sous son regard attendri, je me hasarde enfin à branler cet incroyable chibre qui finit sa croissance dans ma main trop petite pour pouvoir complètement l'emprisonner entre mes doigts. Il me rassure.
-On va y aller doucement pour le moment, je te laisse jouer avec mon chibre autant que tu le désires, si tu décides d'aller plus loin après, je te porterai dans mes bras jusque dans la chambre.

Dans un sens, je suis contente qu'il ne me brusque pas, me contentant de mon joujou, je m’enhardis, une main saisissant ces bourses prometteuses pendant que l'autre va et vient sur cette hampe magnifique, calottant et décalottant la grosse fraise à son extrémité. Je n'y tiens finalement plus et gobe son gland entre mes lèvres, titillant le méat du bout de ma langue. J'ai rarement fait ça avec mon défunt mari, n’y éprouvant que peu de plaisir, mais là, il y a de la matière…
J’avale avec difficulté la grosse prune et quelques centimètres de cette formidable poutre qui n'a rien à voir avec la bûchette de mon mari. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais je ne me reconnais plus. Ma main droite monte et baisse à une vitesse folle sur son nœud pendant que l'autre pétrit ses bourses et que ma bouche attend le résultat de toutes ces sollicitations sexuelles. Je croyais réussir à le faire jouir en quelques minutes comme mon défunt mari mais je dois m'escrimer pendant presque vingt minutes avant de l'entendre geindre et sentir sous mes doigts vibrer d'impatience son bâton crémeux. Je repose vivement mes deux mains sur ses cuisses ne gardant en bouche que l'extrémité de son gland d’où jaillit enfin une véritable fontaine de foutre. Je m'attendais à une petite dose comme avec mon mari, mais là je suis confrontée à un flot presque ininterrompu d’une semence épaisse. M’étouffant presque sous la dose, je recrache son gland qui une fois libéré, monte et baisse par les contractions ininterrompues de son périnée, projetant des arabesques de foutre qui passent au-dessus de ma tête avant de se diluer en filaments dans l'eau du jacuzzi, me crépissant aussi les cheveux et le front des restes de sa crème au passage. **
Quand enfin la source se tarie, je plonge la tête sous l'eau pour me nettoyer un peu le visage. Quand je refais surface toujours entre ses cuisses, je constate effarée que malgré que la bête a baissé un peu la tête, il ne faudrait pas beaucoup de sollicitations de ma part pour que le fauve se réveille. Suis-je prête à aller plus loin ?
Est-ce que mon défunt chéri y est pour quelque chose dans l’enchainement de tous ces heureux hasards ? Déjà ce numéro qui ne sonne plus dans le vide, puis le même prénom, à peu près le même âge et le même genre d’activité. Si ce n’est pas un signe d’outre-tombe de sa part, me donnant sa bénédiction posthume…
Xavier me prend le bras et m'aide à sortir du bassin, passe une main dans mon dos puis se penche pour mettre l'autre sous mes genoux et me soulève comme une plume. Comme je me laisse faire, nous quittons la pièce et il se dirige vers la chambre, me portant dans ses bras. Je sens au bas du dos l’impérieux mandrin qui reprend tout doucement déjà sa rigidité.
Il vient de me déposer sur le lit, je m'attends à ce qu'il m'arrache mon maillot de bain et me prenne immédiatement comme l'aurait fait Xavier mon défunt mari, mais il n'en est rien. Il me retire mon maillot deux pièces et commence à me caresser.
-Tu aimes mes seins ? Je lui demande, bravache. Tu peux sucer mes nichons. Je suppose que tu y pensais en te branlant chez toi.

Il ne me répond pas mais remonte les mains depuis ma taille mince, les met en forme de coupe sous mes globes laiteux et les malaxe lascivement. Mes mamelons sont très larges et rosé foncé, avec des extrémités raides et assez protubérantes.
Xavier incline la tête, emplissant ses larges mains avec mes mamelles encore assez fermes, les malaxe férocement puis les presse, enfonçant ses pouces dans les mamelons. Je frissonne de plaisir, le massage de mes seins se communique directement à ma chatte qui dégouline, et pas de l’eau du jacuzzi. Il s’étend à côté de moi, ouvrant sa bouche pour engloutir un mamelon durci d’excitation et commence à le lécher méthodiquement, suçant et creusant ses joues, juste comme il devait le faire pour téter quand il était bébé. Je gémis, le besoin de sentir son sexe dans ma chatte s’accroît encore plus fort avec un tel traitement.
-Tu… tu peux toucher ma chatte maintenant, je l’implore.

A suivre…

*, tapez : hors normes 2folie, pour voir de quoi je parle si ça vous intéresse.
**, tapez : explosif 2folie, idem.

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Commentaires de l'histoire :

lejonc
mignons tous le deux. J'ai cherché Verges, petite commune du Jura.
Posté le 1/08/2023


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