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Ma femme s'offre â un autre pour me combler

Constanza brillait par sa constance, mais parfois aussi son inconstance. Elle se voulait libre de son corps, sinon elle étouffait. Les príncipes liés à son éducation catholique, sa mère l'avais même poussée dans le lit d'un curé, lui interdisaient d'envisager un quelconque trio. Jusqu'au jour où ...

Proposée le 26/07/2023 par Sacha

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Constanza a toujours été, comment dirais-je, une femme à la fois très sage et très coquine. Elle ne se livrait jamais au premier venu, mais quitte à offrir ses charmes à un homme, elle se donnait tout entière et sans réserve. Elle disait plaisamment qu'elle s'appelait Constanza en raison d'un vice qui lui était cher et comme chevillé au corps, et qu'elle appelait la constance dans l'inconstance.

Lors de notre premier dîner, le serveur avait les yeux rivés sur son décolleté assez osé qui laissait plus qu'entrevoir des seins magnifiques. Il faut dire qu'il avait une vue plongeante. Pour ne pas être en reste, je me suis permis de la féliciter de la beauté de ses seins. À quoi elle se contenta de me répondre qu'on le lui avait souvent dit.

Du fait de sa mère, divorcée, Constanza avait reçu une stricte éducation catholique, style BCBG. Sa mère s'était entichée d'un jeune prêtre qu'elle invitait régulièrement à dîner. Mais il ne lui échappa pas que le jeune étalon s'intéressait beaucoup plus à sa fille, qu'il n'arrêtait pas de mater et reluquer. Et comme ce beau garçon s'était officiellement engagé à la chasteté durant l'exercice de son ministère, Constanza s'amusait à le tenter en jouant les ingénues perverses, les allumeuses, par exemple en oubliant de mettre un soutien-gorge sous son chemisier transparent, si bien que notre brave curé avait les yeux rivés sur ses tétons dressés.
Tant et si bien qu'un soir, dépitée, la mère décida que le jeune prêtre partagerait la couche de sa fille.

C'était comme ça. Constanza n'eut pas son mot à dire, c'était comme un devoir d'hospitalité envers un membre du clergé. Elle consentit donc à dormir nue contre lui. Elle n'en était pas spécialement éprise, mais pas non plus insensible à ses caresses. Ni à ses assauts. Elle se laissa prendre sans résistance écartant bien les cuisses pour faire bon accueil à son membre bien raide. Il la fit jouir.

Il faut dire que, comme elle le répétait vontiers, rien qu'à embrasser elle mouillait.

Après le dîner nous avons poursuivi notre galante conversation dans la chambre que j'avais réservée à l'hôtel. Elle s'allongea nue sur le ventre, ne gardant que sa petite culotte. Dessus on pouvait lire, sur les fesses dont la raie séparait les deux mots: TE AMO. Je lui demandai à qui s'adressait cette déclaration et elle me fit cette réponse superbe: à celui qui la lit.

La nuit fut à la hauteur de mes espoir les plus fous. D'un paroxysme rarement atteint dans l'érotisme. Elle m'a avoué adorer qu'on la lèche, et je me suis volontiers exécuté. Quand elle s'est offerte nue sur le dos, elle a mis ses bras en arrière, j'ai admiré les touffes légères, ce fin duvet mais sauvage qu'elle avait aux aisselles, annonçant sa belle toison pubienne.

En se rhabillant elle m'annonça qu'en fait elle était déjà avec quelqu'un et me demanda si cela ne me dérangeait pas trop si elle continuait à sortir et à faire l'amour avec lui de temps à autre. J'ai bien sûr accepté. Moi, ça m'excitait olutôt de l'imaginer les cuisses écartées pour un autre. Peu de temps après elle rompit avec lui.

Nous n'avons pas tardé à vivre ensemble. Elle s'y entendait à épicer notre relation. Quant elle me sentait sur le point de jouir, elle me chuchotait: "Viens, mon cocu !", et je giclais, en elle ou sur son ventre quand elle me branlait, ce qu'elle faisait d'ailleurs très bien, comme un mec. J'ai rarement vu une femme me branler aussi bien qu'un mec, en général elles ne savent pas trop rester dans le même axe.

Mais comme elle avait des príncipes, une relation ouverte était pour elle hors de question. J'ai donc laissé tomber cette option, non pour la tromper, vu qu'elle me comblait à tous égards, mais pour l'inciter elle à me tromper pour m'exciter encore plus . Ça m'excitait de l'imaginer prise en levrette par un homme auquel elle aurait taillé une bonne pipe.

Mais l'idée semble avoir fait son chemin en elle. Un jour elle m'annonça qu'elle me réservait une surprise.

Et en effet, au dîner, elle apparut dans un petit ensemble rouge, et sans soutien-gorge. Ravissante. Puis on toque à la porte, c'était lui la surprise, l'invitation. Elle prit place à table entre lui et moi.

Dès l'apéritif, elle me regarda droit dans les yeux en me disant qu'elle n'avait pas mis de petite culotte. Je pouvais même vérifier si je voulais. Il n'y avait qu'à tendre la main. Mais par coutoisie je dis à notre hôte: "À vous l'honneur !". Il ne se fit pas prier, posa sa main sur sa chatte et confirma qu'elle avait la vulve à l'air. Au dessert, j'ai ramassé ma serviette tombée par terre, et en me penchant j'ai pu constater que non seulement elle avait la vulve à l'air mais qu'il avait la main posée sur sa chatte.

Il comprit que j'avais tout vu, et demanda crânement à Constanza si cela lui plairait qu'il goûtât davantage à sa chatte. Pour toute réponse, mais éloquente, elle se dénuda entièrerent, laissant jaillir ses beaux seins. Ce fut plus fort que moi, je pris un sein dans ma bouche, lui léchant le téton érectile et l'aréole, tandis que lui s'occupait de l'autre sein tout en passant sa main entre ses cuisses. Elle nous déclara: "Je suis toute mouillée, trempée à cause de vous, on va s'étendre pour se reposer un peu".


Une fois sur le lit, elle s'empressa de le déshabiller complètement. Quand elle lui baissa le caleçon, sa queue toute raide jaillit qu'elle s'empressa de prendre en bouche, tout en ayant une main qui me branlait légèrement. Puis elle s'allongea en écartant les cuisses, lui dit "viens !", tout me disant à moi: "Caresse moi les seins, je sais que ça t'excite".

Elle gémissait de plaisir, elle n'avait plus aucune retenue dans ses propos, me disant regarde comme il me saute bien. Puis vinrent les cris et les spasmes lorsqu'il la fit jouir. Elle mit ensuite ses doigts dans son vagin, puis me les mit dans la bouche, me demanda de lui lécher la vulve, toute trempée, tandis qu'il s'affairait à lui peloter et pétrir les seins tout en l'embrassant à pleine bouche. Je les voyais faire et bien faire sous mes yeux. Mais aussi dans le miroir, meilleur film porno vu de ma vie.

Elle finit par s'endormir en se disant comblée, et que oui, c'est bien le partage. Comme elle n'avait pas mis de petite culotte durant cette soirée mémorable et follement excitante, il n'avait pas pu lire TE AMO. Mais ses fesses le lui avaient dit et déclaré à leur façon.

Bref elle l'avait aimé le temps d'une nuit, et alors? Elle ne m'en aimait pas moins. J'étais follement excité par tout ce qui venait de se passer, en plus elle m'avoua que ce serait peut-être un peu long d'attendre mon prochain anniversaire pour passer du bon temps ensemble, avec moi et qui donc ? Le même, ou de préférence quelqu'un d'autre.

Nous avons passé depuis lors bien des nuits à faire l'amour dans une folle excitation partagée. Constanza constante dans l'inconstance. Elle eut juste un caprice: me tromper juste comme ça, avec quelqu'un qui la mettrait en chaleur bien sûr, en rut comme elle disait, mais sans moi. Tout en me le disant après coup, donc après qu'il ait tiré son coup et qu'elle se le soit enfilé. Parce qu'elle avait quand même des principes. Elle me redit: j'adore baiser. Cela au fond m'excitait encore plus.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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