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Maeva, 22 ans, baisée par son professeur d'université

Le quotidien de Maeva va être bouleversé lorsqu'elle va tomber sous le charme de son professeur âgé de deux fois son âge. Cette charmante étudiante va découvrir le sexe avec un homme mûr et apprendre ce qu'est le sexe véritable, prise à la hussarde sur un coin de bureau.

Proposée le 19/07/2023 par almostlightspeed

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Assise devant mon pupitre, je notais le cours mécaniquement en pensant à la dispute que nous avions eu la veille avec mon petit ami Lucas. J’avais rencontré Lucas à la fac l’année dernière. C’était un garçon délicat et sympathique, avec un physique svelte et peu musclé, mais élégant.
A midi pile, ce cours de biophysique venait de se finir, et la salle se vidait petit à petit. Pour ma part, voulant m’assurer une bonne note pour le premier contrôle de l’année ayant lieu la semaine suivante, je me dirigeais vers le bureau du professeur au fond de la salle afin de lui poser quelques questions. C’était un homme d’une quarantaine d’années, une belle carrure, bien habillé et élégant. Il était très bon orateur et apprécié des étudiants. Je me dirigeai donc vers lui sans crainte.

- Excusez-moi Monsieur, j’aurai quelques petites questions à vous poser.

Il se retourna et m’écouta lui poser maintes questions sur le cours, il n’avait pas l’air offensé de ces questions, bien au contraire. Après plus d’une dizaine de minutes à refaire le cours point par points et voyant que le feeling passait bien, j’osai lui demander si il avait de la place pour une stagiaire dans son unité de recherche. En effet, je devais effectuer un stage à la fin de l’année et j’ai donc saisi l’occasion par pur opportunisme.

- Eh bien Maeva, passez à 18 heures à mon bureau et je vous montrerai mes travaux. C’est la salle 227, bâtiment D.

Il avait l’air intéressé par ma proposition et je repartais donc satisfaite en direction de mon prochain cours. À 18 heures précises, je tapai donc à sa porte. Il me demanda d’entrer et avant d’entamer la présentation, il me proposa que nous nous tutoyions.
Durant plus d’une heure, il me montra ses travaux, mais ce moment ne parut durer qu’un instant, tant ce professeur était passionnant. Je dois avouer que j’ai commencé à sentir une étrange chaleur montée en moi. Je ne saurais l’expliquer, mais être là à écouter cet homme confiant et passionné, cela commençait à me faire tourner la tête. Il faut aussi dire que je n’étais pas aidé par l’été indien qui sévissait de plein fouet en ce mois de septembre. Je commençais à établir des contacts visuels de plus en plus appuyés, cela de manière instinctive, guidée par mes hormones en ébullition. Je passais mes mains dans les cheveux en lui souriant. Il remarqua ce changement d’attitude en moi et à la fin de sa présentation, me demanda si j’avais des questions, mais avant même que je puisse répondre il me fixa dans les yeux et me dit :

- Tu as de très beaux yeux Maeva.

Le fou, il tentait de rentrer dans ma tête, ou bien c’est moi qui le laissais faire, à vrai dire, je ne sais plus, et ce n'était pas le premier à tomber sous le charme de mes yeux couleurs noisette. Dans tous les cas, nous avions tous les deux compris à ce moment là qu’il ne s’agissait plus d’une simple entrevue professionnelle. J’étais vraiment attirée par lui et en lui souriant, je lui dis :

- On pourrait boire un verre et discuter de cela en dehors de l’université.

Il posa alors sa main sur ma cuisse, argumentant :

- J’ai l’impression que tu souhaites plus qu’un poste de stagiaire, n’est-ce-pas ?

Après une fraction de seconde de réflexion au cours duquel j’ai pensé honteusement à Lucas et à ce qu’il ressentirait s’il apprenait cela, mon regard innocent se transforma en un regard de prédatrice lui indiquant qu’il avait gagné. Son expression devint espiègle et il remonta sa main vers l’intérieur de mes cuisses tout en m’attrapant le cou pour m’embrasser. Je me laissai faire et à mesure que j’embrassais cet homme, je sentais que les barrières de la bienséance s’effaçaient petit à petit. Me laissant aller à ce jeu, je passai ma main sur son entrejambe et je sentis alors qu’un bel engin se cachait sous ce pantalon. Soucieuse de ma réputation si cette affaire venait à se savoir, je lui demandai en me retournant vers la porte un peu inquiète :

- Il n’y a personne qui va entrer ?

- Non je t’assure, il n’a plus personne au bureau à cette heure-ci, répondit-il en regardant sa montre.

En effet, il était 19 heures passées et personne ne risquait de nous surprendre ici. Je recommençai alors à l’embrasser tandis que ma vulve s’humidifiait franchement. J’étais en chaleur, sur le point de me dévergonder avec un homme deux fois plus âgée que moi.

- Et si tu te mettais sous le bureau, me dit-il une main encore dans mes beaux cheveux bruns.

Je glissai sans discuter sous le bureau, en lui offrant mon plus beau regard d’allumeuse.
Il baissa alors sa braguette et je me chargeai de sortir son sexe de son caleçon. J’étais estomaquée, il avait un sexe d’étalon. Encore au repos, elle était déjà bien longue et épaisse, la simple vue de cette dernière me fit des papillons dans le ventre. Je commençai donc à le masturber avec timidité tandis qu’il se tassa dans son siège en me caressant les cheveux. Ma petite main avait bien du mal à se saisir de son gourdin. Je la fis tout de même coulisser de haut en bas afin de le faire durcir et je sentais que mon action commençait à faire effet. J’y mis alors toute mon expertise et je saisis l’engin à deux mains comme je l’avais vu dans des films, jusqu’à l’avoir complètement fait durcir. En jetant mon regard sur le sien, je remarquai qu’il était plus que satisfait de sa nouvelle stagiaire, et il en profita pour me faire passer à l’étape supérieure.

- Tu peux la mettre dans ta bouche aussi.

Encore une fois, je m’exécutai sans discuter. Je n’avais jamais cédé à de pareilles avances d’un inconnu, moi qui étais si soucieuse de l’hygiène, et ce n’étaient pas les occasions qui avaient manqué. Mais, cette fois-ci, je ne pu me refuser ce plaisir, qui me pendait littéralement aux lèvres et je gobai son sexe telle une prostituée. Je sentis son engin tout entier dans ma bouche, faisait tourner ma langue autour de son gland, il avait un goût puisant, un goût d’homme.
En faisant passer mes lèvres de la base de sa verge à son gland luisant de salive, je le sentais durcir, de même qu’il lâchait des soupirs de plaisir. Je ne sais comment de temps je suis resté agenouillé sous le bureau à m’affairer sur sa queue, mais ce dont je suis sûr c’est que j’aurais pu y rester des heures.

- Hmm..., c’est trop bon, viens-là !

Il me prit alors par le bras et m’embrassa à pleine bouche. Je fourrai alors ma langue dans sa bouche, cette dernière qui s’affairait il y a quelques secondes encore sur le membre viril de mon nouvel amant. J’adorais ce contrôle viril qu’il exerçait sur moi. Je mis alors mes mains derrière son cou pour l’embrasser de plus belle. En le regardant dans les yeux, je lui fis savoir qu’il pouvait passer à l’étape supérieure.

- Prends-moi !

C’était sorti tout seul de ma bouche. A ce moment, j’abandonnai le dernier lien qui faisait de moi une simple étudiante pour me livrer entièrement à cet homme qui me faisait tant envie.
Sa réponse ne se fit pas attendre, il me retourna et me plaqua avec autorité contre son bureau. Il savait maintenant ce que je voulais. Après avoir soulevé ma jupe et écarté ma culotte, il frotta son sexe en pleine érection contre mes fesses.

- Tu es prête, Maeva ? , me chuchota-t-il à l’oreille.

- Oui, plus que prête

Il me pénétra alors d’un puissant coup de rein sans demander son reste. Je ne pus m’empêcher de lâcher un râle de surprise et de satisfaction. Il s’enfonça sans vergogne jusqu’à la garde dans ma petite chatte inexpérimentée et il ne tarda pas pour me faire son premier retour.

- Elle est toute serrée dis-moi.

- Oui... je ne suis pas habituée faut dire, répondis-je en soupirant.

Il laissa alors échapper un léger ricanement de satisfaction et m’attrapa par les hanches pour me pilonner. Avec cette accroche, la force qui ressortait de ses coups de reins était plus que bestiale et je me laissais pleinement aller. La situation m’excitait tellement, me faire prendre sur un coin de table à la hussarde, c’était divin. Je sentais que des gouttes de cyprine me coulaient le long des jambes, ce qui n’était pas de trop pour aider à faire coulisser sa verge dans mon orifice.

- Oh purée c’est bon, t’arrêtes pas s’il te plaît !

- Je ne compte pas m’arrêter... tu sais comment te faire embaucher toi dis donc, dit-il d’un ton sarcastique.

Je sentais son pubis taper contre mes fesses, il ne faisait pas semblant. Toutefois j’espérais que le bruit de nos ébats ne serait pas entendu par un curieux passant par là. Mais à vrai dire, l’excitation que j’éprouvais à ce moment était si intense que personne n’aurait pu gâcher mon plaisir.
Il me faisait femme et je compris ce que signifiait se faire baiser.

Après plusieurs minutes à me faire ainsi broyer la chatte, je sentis une délicieuse et intense chaleur me parcourir le corps, me faisant complètement perdre la tête durant quelques secondes, tandis que ma chatte lâcha un flot de cyprine incontrôlable.

- Haaaa… c’est trop bon vas-y t’arrêtes pas.

Je venais de jouir pour la première fois de mon existence, mon vagin dégoulinait de mouille et mon professeur approchait lui aussi de l’orgasme.

- Je vais venir Maeva, dit-il d’une voix suave.

Il se retira à toute vitesse de mes entrailles et je me mis spontanément à genoux devant lui, le regardant fixement dans les yeux et en espérant qu’il me vide sa semence dans la bouche.

- Tu sais comment me faire plaisir, dit-il en comprenant ce que j’avais en tête.

Je saisis alors sa queue en souriant et commençai à le branler dans ma bouche, elle était dégoulinante suite à l’orgasme humide que j’avais eu, ce qui la rendait luisante, faisant ressortir les veines saillantes qui la parcouraient. Je gâtai du mieux possible cette verge qui m’avait fait tellement de bien.

Moins d’une minute après, je sentis de puissants jets chauds venir me tapisser la gorge tandis que Monsieur se laissa aller dans un viril grognement de plaisir. Son foutre était tellement épais que j’eus du mal à déglutir, mais qu’est-ce qu’il était savoureux, rien à voir avec ce qui sortait du pénis de mon copain. Je ne m’arrêtais pas de le sucer, voulant que ce moment ne s’arrête jamais.

- Maeva, c’était divin, t’es vraiment douée.

Je lui répondis d’un air gêné :

- Merci… et ne t’inquiètes pas, personne ne saura ce qu’il s’est passé.

En partant, je fis mine d’être détachée de la situation, lui souriant et lui disant des banalités tandis qu’il se rhabillait, comme ci ce genre de mésaventures m’arrivais souvent. En vérité, j’avais l’impression d’avoir vécu l’aventure d’une vie avec cet homme. Il m’avait tellement comblée que je ne souhaitais que rentrer et m’écrouler sur mon lit en repensant à cette baise.

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