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Le départ de Mathilde

Dernière aventure pour Mathilde qui a décidé de prendre son envol pour de nouvelles aventures d'en d'autres lieux et/ou sous d'autres formes. Un témoignage de ma passion sur sa capacité à faire bander et rendre fou à travers quelques gestes...

Proposée le 7/07/2023 par JMPR04

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Mathilde est partie…

C’est sur ça va être mal écrit, mal dit mais ce ne sera ni du mépris, ni de la colère, juste un appel dans le vide, une bouteille jetée à la mer, une prière sans bougie…aucune lueur à mes rêves, mes espoirs. Pourtant, je ne peux, ne veux pas me résoudre à oublier son corps, ses mouvements, nos ébats, nos délires. L’amnésie de son corps n’est pas une réponse à ma souffrance, le silence de mes nuits ne taira pas ses soupirs.

Chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque instant est un combat entre ma raison et ma passion pour elle. La première me dit d'accepter le sable du temps étouffer ces souvenirs charnels, la seconde me supplie de tenter de gravir les montagnes de l’espoir pour que juste une fois, un moment, un instant nous puissions revivre un souffle, un dixième de ce que nous avons vécu.

Mais la réalité est là, deux êtres, deux vies, deux réalités, deux histoires avec des blessures suffisamment grandes pour accueillir un gouffre de tristesse et de peur que seul un pont de raison peut franchir et laisser filer la passion, la folie. L’amour et la passion n’ont pu résister à ces réalités et à nos quotidiens.

Les nouveautés du présent, l’éloignement de ces moments, le brouillard du passé morcellent le tout que nous faisions quand nos corps nus s’enlasser avec passion et violences pour mieux se blottir l’un contre l’autre après. Je ne me souviens déjà plus de Mathilde dans sa globalité, je me rappelle de ses travers craquants, de ses maladresses si uniques, de ses angoisses si délirantes et de nos délires si fous.

De son corps, me revient des flashs :

Ses yeux si brillants qui venaient dire baise moi au lieu de ses mots. Ses yeux si excités quand elle voyait que j’avais entendu sa demande et que ma main prenait ses cheveux et bousculait sa tête en arrière pour l’embrasser avec passion. Ses yeux si pétillants lorsqu’elle prenait ma queue d’une main et de l’autre massait mes couilles. Ses yeux si ébahis devant un nouveau jeu, un nouvel ordre, une nouvelle soumission qu’elle ne devrait pas refuser mais surtout qu’elle ne voulait pas refuser. Ses yeux si apeurés devant un nouvel objet qui avait pour seul mission de lui stimuler, pénétrer, défoncer son sexe déjà bien trempé. Ses yeux si passionnés quand, après avoir été l’objet de mes fantasmes les plus profonds, elle sentait mon sexe dur s’approchait d’elle. Ses yeux si pervers, lorsque, prenant à pleine bouche ma bite, un petit coup de dent me faisait comprendre que j’étais sous son emprise et non le contraire malgré les soumissions qu’elle avait subi. Ses yeux si ahuris quand elle prenait mes coups de reins qui claquaient son cul avec violence. Ses yeux si épuisés après une intensité sexuelle que seul nous deux arrivions à construire dans notre bulle. Ses yeux si amoureux après avoir soufflé la dernière taffe de sa cigarette.


Ses seins que je lui demandais de me montrer dans des endroits les plus fous au risque d’en faire profiter les autres. Ses seins que je lui demandais de photographier lors d’une réunion de la plus haute importance. Ses seins qu’elle devait caresser lorsqu’elle dansait nue pour moi. Ses seins qui débordaient de son chemisier lorsque l’excitation était trop grande pour elle. Ses seins que j’aimais tant lécher, caresser, souiller. Ses seins qui ondulaient au rythme des mouvements de son bassin lorsqu’elle était sur moi. Ses seins qui se tendaient lorsqu’elle jouissait en se penchant en arrière. Ses seins que j’aimais recouvrir d’aliments pour mieux les lécher, les bouffer comme affamé par ce corps que j’aimais tant. Ses seins que j’aimais tant souiller de mon sperme lorsqu’elle me branlait avec passion.

Son cou, ses oreilles, ses pieds, ces zones si sensibles pour elle que le moindre coup de langue, que la moindre caresse, le moindre mordillage étaient pour elle l’expression d’un plaisir traduit par des soupirs puis par des expressions rageuses « vas-y prends moi », « vas-y dedans ». Et devant tant de sollicitation de sa part, je n’avais qu’une envie de continuer à parcourir ce territoire de sensualité et de plaisir sans fin alors qu’elle n’attendait que l’apogée d’un coit avec intensité et violence de ma bite la prenant par derrière.

Sa bouche avec ses caresses de la langue et ses baisers si profonds, si langoureux qui me faisaient tressaillir, chavirer de plaisir. Sa bouche qui prenait ma bite comme un fruit et le happer pour mieux le déguster. Sa bouche gourmet et experte face à mon sexe prèt à lui délivrer la substance de mon plaisir et de ma passion. Sa bouche venant s’empaler sur ma bite quand je lui attachais les mains dans le dos et lui imposait la plus intense soumission des fellations. Sa bouche qui ralait devant une bite qui allait au plus profond d’elle, sa bouche qui cherchait l’air quand je retenais sa tête contre mon pubis. Et pourtant sa bouche disait « encore », quand je lui permettait de respirer quelques secondes. Sa bouche qui absorbait avec gourmandise mon sperme quand je lui giclais dedans. Sa bouche qui lâchait un rire pervers, sadique, un rire de contentement quand je crachais le liquide de mon envie sur son visage. Un rire qui me disait « en fin de compte c’est moi qui t’es baisé, t’as pas pu te tenir espace de salaud »

Son cul aussi vorace que beau. Cet outil d’excitation massif lorsqu’elle se déshabillait devant moi sur le rythme de musique techno. Ce cul si soumis lorsqu’elle voulait faire la cuisine et qu’elle n’arrivait pas à terminer le moindre plat, la tête dans la casserole, les vêtements la contenant, la rendant prisonnière de ma bite qui pilonnait au rythme de ses hurlements. Son cul qui lui a fait découvrir le plaisir du sexe juste par une petite fessée lors d’une douce levrette. Son cul qui a pris tant de coups de rein, de coup de cravache, son cul mordu, léché, fouetté, griffé, souillé, défoncé. Ce cul qu’elle ne demandait qu’à montrer, exhiber pour exciter les autres en leur faisant bien comprendre que seul moi en était le maître.

Son sexe, sa chatte, son vagin, sa vulve, son Clito centre de son plaisir, lieu de mon refuge dans ce quotidien qui nous oppressait tout les deux. Son sexe si doux, si gourmand, le lieu de nos plaisirs communs, le mien à travers ma langue caressant son clito, goûtant sa cyprine, Son sexe accueillant mes doigts avec volupté. Son sexe englouti par un plaisir non contenu la faisant chavirer dans des convulsions incontrôlables. Son sexe qui dans une ultime jouissance, une ultime lasciveté libéré un liquide conséquent entre ses cuisses. Son sexe qui après tout ces jeux, stimulations, s’offrait à ma bite qui n’attendait plus que cela pour témoigner de ma passion pour la belle Mathilde. Mais toujours avec cette envie que ce moment ne s’arrète jamais, que ce quotidien ne nous rattrape pas dans le refuge qu’était son sexe.

Mais le quotidien, la réalité nous ont rattrapés. Notre refuge s’est éloigné, les chemins devenant de plus en plus escarpés pour l’atteindre. C’est la faute à personne, c’est juste une réalité de la vie qui nous a amené à devoir prendre des routes différentes. Nos passions, nos délires, nos exhibitions n’étaient qu’à nous. Les spectateurs de nos jeux n’étaient que des instruments de notre plaisir égoïste. Ils étaient les barrières de notre refuge. Sans Mathilde, je ne pourrai jamais rejoindre ce refuge et réciproquement. Pourtant il semblait beau ce chalet du plaisir que nous avions construit maladroitement au hasard d’une claque sur les fesses lors d’une douce levrette.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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