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La perversion d'Ophélia

Fin juillet, Ophélia, jeune fille délurée de 21 ans, s'apprête à partir pour la fête de Bayonne rejoindre ses copines. Elle a réservé son trajet sur un site de covoiturage. Jean-Pierre Dutertre, son sympathique chauffeur, va tout faire pour rendre le voyage de deux heures le plus agréable possible.

Proposée le 23/06/2023 par descollages

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman


Fin juillet, Ophélia, jeune fille délurée de 21 ans, s'apprête à partir pour la fête de Bayonne rejoindre ses copines. Elle a réservé son trajet sur un site de covoiturage. Jean-Pierre Dutertre, son sympathique chauffeur, va tout faire pour rendre le voyage de deux heures le plus agréable possible.

La perversion d'Ophélia

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Au fond du magasin Étam de Bordeaux deux jeunes filles papotaient en rangeant la lingerie fine juste avant la fermeture. Il faut dire qu'Ophélia avait de quoi être excitée. Ce vendredi soir, elle devait partir à Bayonne pour la fameuse fête, donnant lieu à des débauches de toutes sortes durant plusieurs jours.

– Mais comment pars-tu ? Tu n'as pas de voiture... Interrogea Éva, sa collègue, vérifiant scrupuleusement le montant de la caisse.

– Ne t'inquiète pas, sur le site Bablacar, j'ai réservé le trajet pour 12 euros... Jean-Pierre, 57 ans, sera mon "super driver", regarde, on voit sa photo ici. Il a juste besoin d'être en confiance pour discuter apparemment. Seul Hic, c'est non-fumeur... Répondit la jeune hôtesse de vente.

– C'est comme ça que tu te débrouilles, tu n'as pas peur qu'il t'arrive des ennuis, on ne sait jamais...

– Pas de souci, j'ai toujours fait comme ça. Bon je te laisse, il faut que j'y aille ! À plus !

La voilà déjà partie, arpentant la rue Sainte-Catherine encore bondée de touristes. L'été tenait toutes ses promesses, mais l'air restait lourd et orageux pour le mois de juillet.

À cette saison, Les filles montraient leurs plus beaux atours, la plupart en minijupe. Ophélia n'avait pas quitté son jean moulant. Elle portait un joli haut fleuri, ultra court, noué par deux bandelettes de tissus. Ses jolis seins, 85 E, ne supportaient pas la moindre contrainte d'un quelconque soutien-gorge. Un comble pour cette vendeuse en lingerie.

Plus elle marchait vite, plus la pointe de ses aréoles frottait délicieusement. Libres d'aller où elles veulent, ses jolies mamelles appétissantes aguichaient la plupart des passants. Ophélia se sentait comme une vraie salope, et ce sentiment intime l'excitait particulièrement.

Après un quart d'heure de petite promenade, la voilà enfin arrivée à son appartement rue du Cloître. Le loyer était exorbitant pour cette petite brune d'un mètre soixante qui démarrait dans la vie. Mais son propriétaire avait le droit à quelques gâteries plusieurs fois par mois.

Il habitait juste en dessous. Le voisinage n'y prêtait guère attention, des vieilles de quatre vingt ans en moyenne, devenues pour la moitié complètement sourdes, faisant brailler leur téléviseur toute la journée.

Au bout d'une heure, le sac à dos était enfin prêt. Une bouteille de coca sur le filet de côté dépassait, entouré d'une petite serviette. Mince, elle était le point d'oublier son précieux paquet neuf de Malboro resté sur la table du salon. L'horloge du salon indiquait déjà 20 h 15.

Son rendez était fixé Place du Parlement à côté de la fontaine néo-baroque à 20 h 30 précises. En marchant tranquillement, Ophélia avait juste le temps. Pas question de faire attendre son chauffeur.

Les terrasses de la place mythique bordelaise étaient remplies de monde, animées par des conversations banales et feutrées de début de soirée. Cet endroit, encadré de veilles bâtisses, donnait un petit air de dolce vita.

Sur place, la jeune fille regarda sa montre, elle était ponctuelle. Mais personne à l'horizon. Ses yeux ne purent s'empêcher de regarder le marchand de glaces Ô sorbet d'amour. N'y résistant plus, elle s'avançait vers la file d'attente préparant sa monnaie.Au bout de cinq minutes interminables, le moment tant attendu.

– Bonjour Mademoiselle, qu'est-ce que je vous sers ? demanda la vendeuse, toute souriante dans sa tenue orange, tenant une cuillère métallique arrondie à la main.

– Je prendrais une au parfum "Fraise bonbon" avec un cône, c'est une tuerie ! répondit Ophélia les yeux étincelants de bonheur.

– 3 euros cinquante s'il vous plaît mademoiselle !

– Merci, bonne soirée !

À peine eut-elle la petite douceur dans les mains, que sa langue commença son petit travail de léchage. Au même moment, en se retournant, elle vit un homme les cheveux grisonnant tourné en rond près de la fontaine où des jets d'eau jaillissaient de la bouche béante de plusieurs statues.

La jeune fille leva la main, en criant " Monsieur, c'est vous pour le trajet pour Bayonne ?...."

Jean-Pierre Dutertre sursauta légèrement et croisa le regard de la jeune fille occupée avec son sorbet, dégoulinant légèrement sous l'effet de la chaleur. Elle prit la peine de lui serrer la main.

– Excusez-moi, mais j'ai pêché par gourmandise ! Elles sont trop délicieuses ici. Ça vous dérange si je termine, ce serait dommage de tacher les sièges de votre voiture...

– Euh, bonjour... euh non pas du tout... je ne suis pas à cinq minutes près, vous savez, en plus c'est la première fois que j'arrive en retard... bredouilla-t-il les yeux rivés sur les nichons provocants sur le point de déborder du petit haut fleuri.

Très vite, le conducteur sentit une excitation étrange se réveiller doucement au niveau de son pantalon. Regarder cette petite cochonne lécher les coulures du sorbet à la fraise, avec sa langue se tortillant dans tous les sens, laissait place à son imagination débridée.

Presque vers la fin de la dégustation, une coulure ruissela sur l'index d’Ophélia. Elle le plaça dans sa bouche pour le sucer lentement tout en fermant les yeux, laissant échapper un léger cri de plaisir.

– Vous ne voulez pas goûter ? demanda-t-elle spontanément.

Le doigt plongea à nouveau dans le cornet, elle le tendit sans attendre la réponse à Jean-Pierre Dutertre, qui n'eut pas d'autre choix de que de lécher le doigt de sa future passagère. Il sentit une décharge électrique l'envahir, sa queue banda subitement, cognant contre la braguette de son pantalon de costume clair.

– Eh bien ?

– Je ne connaissais pas ce parfum, un pur délice ! répondit-il, fixant intensément les yeux noisette de la jeune fille brune.

À les regarder ensemble, on eut dit un vrai petit couple. En quelques minutes ils avaient sympathisé, à leur manière, se lançant des regards complices... parfois même se touchant au niveau des épaules, ponctués de petits éclats de rires sincères.

Au moment où le clocher du quartier Saint-Pierre sonna 21 h 00, Ophélia ouvrit sa bouche d'admiration devant la BMW série 4 bleue métallisée. Son chauffeur souleva d'un air blasé le sac à dos pour le ranger dans le coffre très spacieux.

En galant homme, il accompagna Ophélia à la porte passager. La jeune vendeuse en lingerie commença à caresser les siège en cuir marron avant de s'asseoir dedans. Tout ce luxe la subjuguait. Jamais, elle n'avait goûté à un tel raffinement.

Enfin, un bruit sourd résonna à peine au moment de fermer la portière. Le moteur commençait à ronronner gentiment rue Fernand Philippart, la petite vibration du démarrage fit frissonner Ophélia, charmée par le délicieux confort du bolide de 245 chevaux.

L'auto-radio calé sur la station nostalgie diffusait un vieux tube des Bee Gees, au moment où la BMW passa la barrière du péage de l'autoroute A63, curieusement assez calme pour la période estivale.

– Vous auriez un peu d'eau ? demanda poliment, Ophélia dont la bouche réclamait cruellement à boire.

– Regardez dans le rangement de la portière... Je dois avoir une bouteille de coca qui doit traîner par là...

– Oh merci !

La jeune fille brune but au goulot bruyamment avant de reprendre son souffle. Elle fit couler un léger filet sucré le long de son menton pour terminer dans la raie de ses seins. Les deux masses charnues se soulevaient à chaque mouvement d'inspiration, et notre conducteur avait son œil droit rivé à ce savoureux petit spectacle.

Curieusement, le fait de se retrouver dans la voiture avait rompu le charme près de la fontaine. Ophélia reposa la bouteille à moitié vide et saisit machinalement son paquet de cigarettes, oubliant qu'il était convenu qu'elle ne fume pas dans l'habitacle où aucun grain de poussière n'était toléré.

Elle fit jouer la pierre du briquet, et tira une longue bouffée de tabac blond. Recrachant la fumée vers Jean-Pierre, elle ne tarda pas à sentir chez lui une pointe d'agacement.

– Oh, pardonnez-moi, un réflexe ! Je l'écrase si vous voulez...

– Non, ça ira pour cette fois... c'est Christine qui va encore gueuler...

– Vous êtes trop cool, vous savez ! Comme j'ai fait une grosse bêtise, on va faire un marché pour me faire pardonner... lança-t-elle, les yeux reflétant les lumières du tableau de bord dernière génération.

– Ah bon et lequel ? s'étonna Jean-Pierre, piqué par la curiosité.

– Vous avez le droit de me caresser avec un seul doigt sur mes seins, pendant toute la durée de me petite pause clope, qu'en pensez-vous ! proposa-t-elle, animée par un désir joueur et lubrique.

– Comme tu voudras... répondit-il, oubliant les règles polies du vouvoiement.

Il appuya sur le régulateur de vitesse à 120 km, puis lâcha la main droite du volant. Ses pieds désormais libres, Jean-Pierre pouvait plus aisément commencer la petite caresse de son index.

Prise d'une sensation de bien-être, la passagère ferma les yeux se laissant totalement aller. Le doigt expert s'attardait sur la petite boule turgescente encore cachée par le tissu. Mais très vite, fut libérée par le bienfaiteur, qui continuait de la titiller gentiment.

Ophélia tendit les jambes pour se décontracter, oubliant tout le reste. La fumée de cigarette avait envahi la voiture, elle appuya légèrement sur le lève-vitre pour laisser passer un peu d'air. Un vent violent dû à la vitesse sifflait, et perturbait par la même occasion l'atmosphère artificielle de la climatisation.

Ne perdant pas de vue la route, Jean-Pierre entreprit de dénouer les deux lacets qui serraient beaucoup trop fort les nichons outrageux de la petite brune alanguie. Malgré le manque d'aisance, il finit par arriver à ses fins.

D'un seul coup, les deux lourdes mamelles finir par céder. Libérer de leur apesanteur, elles étaient désormais toutes découvertes, offrant la vision des mamelons foncés aux pointes dressées vers le ciel, en attente de caresses prolongées. Le doigt en crochet fini par écarter les pièces de tissu de chaque côté pour montrer la magnifique poitrine dans sa totalité.

– C'est ce que j'appelle, une jolie paire de nichons ! murmura-t-il, tout en prodiguant ses petits soins bien dirigés.

– Ils te plaisent ? Ma meilleure copine en est presque jalouse, tu sais ! Mais j'ai l'impression que tu vas devoir regarder un peu mieux ta route, on a frôlé d'un peu top près le dernier poids-lourd... dit-elle faussement concernée par la petite embardée. D'autant plus que j'arrive pratiquement au filtre...

– Reste les nibards à l'air tu veux bien ? supplia-t-il, le visage grimaçant.

– Comme tu voudras... répondit-elle, écrasant lentement son mégot, pour le jeter par la vitre entrouverte.

– Tiens, tu peux me prendre le CD dans la boîte à gants, j'en ai marre de me coltiner les pubs en boucle. proposa-t-il, ne se lassant pas de caresser les globes de chair laiteux affriolants.

Ophélia enleva son haut qu'elle balança à l'arrière, puis se pencha en avant pour ouvrir le large clapet. Curieusement, il n'y avait qu'un seul CD. Elle le saisit et examina sa pochette. Un homme androgyne, aux oreilles décollées, fumait une interminable cigarette. Décidément.

Puis, elle plaça le disque laser dans la fente... un petit moment de silence... et les cris d'une femme rugirent d'un seul coup, dans un mélange de boîtes à rythmes des années quatre vingt. Le moins qu'on puisse dire, c'est que le morceau sortait des tubes Fm insipides... il frôlait l'indécence !

– Le morceau dure huit minutes exactement ! Je veux que tu danses pour moi... Mets-toi à poil, ne sois pas timide... je suis certain que ça va te faire mouiller... proposa Jean-Pierre qui sentait sa queue lui faire de plus en plus mal.

– Petit salaud ! Ne t'en fais pas, tu vas en prendre les yeux ! En plus j'adore exciter les vieux cochons comme toi... avoua-t-elle, s'empressant d'enlever son pantalon de jean trop serré.

Ne portant pas de culotte, elle exhiba sans pudeur sa chatte en broussaille. Les poils frisés et luisants renvoyaient des reflets lustrés, attirant le regard de son voyeur se léchant les lèvres légèrement du bout de la langue.

La jeune fille brune enleva la ceinture de sécurité, ce qui déclencha la sonnerie de sécurité, puis le tintement finit par se taire définitivement.

Ayant perdu une précieuse minute, le conducteur remit le cd à zéro, les miaulements de la femme en chaleur reprirent de plus belle.

La jeune passagère se retourna sur elle-même pour enrouler le siège avec ses mollets. Dans cette position acrobatique, Ophélia fit onduler son corps au tempo imposé par la musique assourdissante.

– Vas-y ouais, oh putain ! T'es douée, tu sais ! cria le chauffeur, qui avait haussé le volume.

En bonne allumeuse, la vendeuse de lingerie, commençait à lécher l'appui-tête, tout en frottant son sexe sur le creux du dossier de cuir. Cette vision improbable intriguait les automobilistes qui doublaient. Certains envoyaient des coups de klaxons approbateurs, ralentissant même volontairement pour ne pas en perdre une miette.

– Regarde comment tu les excites ! Encore ! Mieux que ça ! encouragea-t-il, vicieusement agitant la main droite de bas en haut.

Les paroles salaces, de notre disparu Serge Gainsbourg, plongèrent subitement la jeune effrontée dans un état de transe hors du commun. "Plus tu cries, plus profond j'irai... où je te dirai les mots les plus abominables..."

Soudain, le jus de son sexe saturé d'excitation finit par couler le long de sa cuisse. S'agitant dans tous les sens, secouant la tête de bas en haut, ses cheveux mi-longs virevoltèrent par saccades mécaniques. La voiture entière sentait la femme, la sueur et la mouille. Elle leva les bras, arborant des touffes de poils sous les aisselles, pour enfin s'écouler sur le siège au moment de l'orgasme final du morceau "Love on the Beat"...

Encore essoufflée par sa petite performance, Ophélia resta quelques secondes agrippée à l'appui-tête du siège baquet en cuir. Le chauffeur en profita pour scruter en détails la courbure parfaite de ses hanches.

– On dirait que ça t'a bien inspiré ce genre de musique. dit Jean-Pierre, appuyant délicatement sur bouton marche/arrêt de l'auto-radio devenu muet. Il vaut mieux que tu te rhabilles désormais, je n'ai pas envie que l'on croise une patrouille de flics. La nuit commence à tomber, c'est souvent à cette heure-ci qu'ils sortent...

Claquant des dents, fatiguée par sa danse érotique, la jeune passagère se remit comme il faut dans son siège. Puis, enfilant son pantalon, un sentiment de honte tout à coup parcouru son esprit confus. Les yeux baissés, elle noua timidement son petit haut, ajustant ses jolis seins à l'intérieur.

– Il y a une petite couverture polaire sous le siège si tu veux... proposa-t-il, pris d'affection pour cette petite cochonne qu'il rêvait de baiser dans toutes les positions.

À peine 10 minutes plus tard, la voilà endormie comme un ange, la tête collée contre la vitre. Dehors, le ciel sans lune, brillait de plusieurs étoiles perdues dans l'immensité, propice à la rêverie.

Désormais seul, le chauffeur en profita pour envoyer discrètement un texto à un vieil ami célibataire qui habitait dans les environs de Bayonne.

"Salut Damien, nous faisons halte à l'air de repos de Saubion, arrivée prévue à 22 h 30, viens avec tes deux amis habituels, j'espère que tu auras le temps de les prévenir (il te reste vingt minutes, désolé)... j'ai juste à côté de moi une petite nympho qui s'ignore. On va bien se marrer. À plus ! J.P."

Pour ce chef comptable d'une entreprise pharmaceutique, rien de plus simple que d'organiser une petite "sauterie" en pleine nature. Le lieu, bien connu dans la région, attire souvent des voyeurs occasionnels, sans compter certains chauffeurs routiers qui ont parfois besoin de se détendre. La soirée promettait d'être longue.

Mais, hélas... c'était sans compter un petit problème à régler. Christine Rappier, 54 ans, architecte d'intérieur. Sa deuxième femme. Souvent très pointilleuse sur les horaires, surtout quand il s'agissait de l'attendre pour manger. Cette fois, il fallait jouer serrer.

– Allô ma chérie, je vais au moins avoir une heure de retard, un accident sur l'autoroute, rien de grave... ça ne paraîtra pas dans les journaux... mais bon, tu sais ce que c'est... dit-il la voix faussement tragique.

– Oh mon Dieu encore, ça fait trois fois ce mois-ci ! Oh, tu me fais peur, sois prudent mon poussin... J'ai commencé le souper devant la télé. Tu trouveras du poulet froid dans le frigo, je serai sûrement couchée quand tu arriveras, j'ai eu une journée d'enfer... surtout prend ton temps. Je t'embrasse.

Parfois, les événements se présentaient mieux que prévu. D'habitude sa femme l'aurait incendié gentiment. Autant en profiter pour une fois.

Le conducteur, un peu fatigué, se frotta un peu ses yeux, il était temps de faire une pause. Ça tombait bien, l'aire de repos n'était plus qu'à 5 kilomètres.

Devant un poids-lourd hollandais, éclairé comme un sapin de Noël, commençait à ralentir, et mit son clignotant vers la droite. Encore un qui avait vraiment besoin de sommeil.

Prudemment, Jean-Pierre s'engouffra sur une petite portion goudronnée un peu en retrait, masqué par des pins parasols typiques du pays landais. Il coupa le moteur. Ophélia se réveilla et sortit de sa douce torpeur, la bouche pâteuse, les yeux embrumés.

– On est arrivée à Bayonne ? Demanda-t-elle, sur un ton un peu paniqué.

– Pas encore... j'ai besoin de prendre un peu l'air, mes jambes me font terriblement mal. Reste dans la voiture en attendant si tu veux, j'en ai pour cinq minutes.

– D'accord.

Jean-Pierre flanqua la portière, pour se diriger lentement vers un petit bosquet où quelques tables de pique-nique étaient disposés en intervalles réguliers. Au même moment, un bruit de moteur se fit entendre. Curieusement, la Peugeot 309 roulait tous feux éteints. Le véhicule se gara à 20 mètres derrière la BMW.

Le promeneur solitaire reconnut la voiture de son ami Damien. Il partit à sa rencontre d'un pas précipité. Voyant les deux passagers à bord, il sentit son cœur cogner à toute vitesse.

– Vous avez pu venir tous les trois, super ! chuchota-t-il, serrant la main à tour de rôle, à travers les vitres ouvertes, de ses meilleurs amis .

– Ben, on avait envie que nous présente ta nouvelle copine, tu comprends ? lança
Dominique, jouant avec son petit crucifix en bois pendant à son cou.

Cet ancien curé de campagne de 75 ans, était un prêtre défroqué. Le Vatican, l'avait renvoyé définitivement de l’État clérical, pour de trop nombreuses plaintes de certaines jeunes paroissiennes, la plupart encore vierges. L'affaire avait fait beaucoup de bruit dans les Landes. Depuis, ses activités étaient davantage nocturnes, beaucoup plus discrètes.

Quant à Damien, le chauffeur de la vieille guimbarde, était un vieux gars qui avait bossé toute sa vie dans la boucherie familiale. Le teint rouge, le visage joufflu lui donnait un air bon vivant. Il était resté puceau toute sa vie. À 72 ans, autant dire que sa bite ne lui servait que pour pisser plusieurs fois dans la nuit.

Enfin, le colosse sur le siège passager, c'était Gérald. Cette armoire à glace de 68 ans continuait de travailler au noir comme bûcheron. Divorcé depuis 10 ans maintenant, il avait pris la fâcheuse habitude de tabasser sa femme quand l'envie le prenait. Malgré son âge, sa grosse queue de 15 centimètres au repos avait gardé la vigueur de sa jeunesse. Souvent des jeunes filles, du bourg de Saubion, venaient lui rendre visite à tour de rôle pour boire un petit café le mercredi après-midi, pour parfaire l'apprentissage de parties fines.

– Les gars, on fait comme on a dit : chacun joue son rôle comme l'autre fois avec la petite Cindy, vous vous rappelez ? Je n'ai pas envie de me faire griller sur Bablacar, d'autant plus que je veux garder mes cinq étoiles et que…

– Fais nous confiance ! Merde. Coupa net le curé, agacé par l'excès de baratin, auquel il avait été tristement habitué durant sa vie monastique.

– Bon, je vous laisse...

Heureux de les avoir à ses côtés pour ce soir, Jean-Pierre s'en alla furtivement dans un autre bosquet pour ressortir au niveau d'un petit parvis en dalles blanches. Il aperçut Ophélia dehors, à côté de la BMW se contorsionnant, à moitié courbée.

– Quelque chose ne va pas ? interrogea-t-il, intrigué.

– Oh, rien j'ai juste une furieuse envie de faire pipi... gémit la jeune fille.

– Ah, tu trouveras les toilettes publiques par là-bas sur ta droite...

Ici, pas question d’urinoirs insalubres. Pourtant, en y regardant de plus près, la jeune fille brune avait remarqué des étuis usagés de préservatifs non ramassés par terre çà et là.

Dès qu’elle eut franchi les petits murets blancs de séparation, l’allumage automatique se mit en marche, ce qui rassura Ophélia, un peu intriguée par ce lieu inconnu.

Elle appuya quelques secondes sur le bouton vert qui siffla immédiatement, confirmant l’ouverture de la lourde porte métallique des toilettes. Un miroir déformé, lui renvoya son image de visage fatigué.

faute de temps, sans prendre la peine de disposer des feuilles de papier, elle baissa son pantalon de jean jusqu’aux mollets en se tortillant. À peine eut-elle posé ses jolies fesses sur le trône en acier, que le sifflement caractéristique de son urine brûlante sortant de sa chatte légèrement contractée, résonna bruyamment dans la cuvette, faisant caisse de résonance.

Arrivée au terme de son pipi, un sentiment étrange l'envahit. Sa vulve ainsi humidifiée, lui lança des appels de plus en plus significatifs. Pressée un peu par le temps, elle n'eut pas l'audace de se masturber ici.

Luttant contre ses propres pulsions sexuelles, elle se rhabilla en toute hâte, et appuya sur le bouton rouge pour sortir de l'endroit exigu.

Au même moment, trois hommes firent irruption, et la croisèrent sans y prêter attention. Des "vieux", accoutrés d'un pantalon et d'une chemise blanche, coiffés d'un béret basque. Sans oublier le fameux foulard rouge. Apparemment, ces trois acolytes devaient eux aussi se rendre à la célèbre fiesta, dont la réputation n'était plus à faire.

Curieusement, leur moyenne d'âge allait de 70 à 80 ans. Les anciens avaient bien le droit de s'amuser, pourquoi pas ? se dit-elle, s'aspergeant un peu d'eau du robinet sur le visage pour se réveiller, tout en se lavant les mains.

Elle les entendit brailler pendant qu'ils se soulageaient dans les pissotières suspendues, derrière l'autre mur.

– Sacré Jean-Pierre, toujours à ramener des petites salopes ici... Le covoiturage c'est vraiment devenu une agence de baise...

– Il a de la chance de rouler en belle bagnole, t'en chope des gonzesses avec une BMW pareille... Tu te rappelles la dernières fois quand il nous a présenté Cindy... On pouvait plus l'arrêter... Elle suçait comme une vraie pute.

Attentive à ces derniers mots, Ophélia n'en croyait pas ses oreilles. Ainsi donc, son vicieux de chauffeur passait son temps à embarquer des filles innocentes pour que ses amis s'occupent personnellement d'elles de façon très intime.

La jeune brune, emprunta le chemin goudronné dans la nuit noire. Aux environs de 11 h 00, la température restait caniculaire. Une chaleur estivale au fragrance de pins incitait à ne pas se coucher tôt. Justement Ophélia eut une petite idée, qui à coup sûr plairait à toute le meute de ces mâles en rut.

Enfin elle arriva au pied de la voiture, et vit son chauffeur installer derrière le volant, fenêtres grandes ouvertes, jouant avec la lumière du plafonnier.

– Jean-Pierre, j'ai envie d'une clope avant d'y aller... je sais que tu étais sur le point de partir... ça te dérange, implora-t-elle avec une mine de chien battu.

– Pas du tout, je préfère rester dans la voiture... juste besoin de jeter un coup d’œil à mon téléphone... le boulot... enfin, tu comprends... répondit-il, levant à peine la tête vers elle.

Au moment où les trois hommes passèrent dans son dos à quelques mettre d'elle, Ophélia fit semblant de chercher un briquet dans son sac, tenant nerveusement sa cigarette.

– Vous voulez du feu ? demanda Damien, le visage luisant, essoufflé d'avoir marché une minute.

– Oh, merci ! Vous êtes gentil. C'est un tel bazar dans mon sac, il faut vraiment que je le range.

La lueur de la flamme du briquet illumina sa poitrine découverte. Les trois vicieux eurent juste le temps de contempler les gros nichons appétissants, débordants du petit haut noué.

Ophélia savait pertinemment qu'il n'en fallait pas plus pour les rendre fous. Elle avait su capter leur attention, c'était le moment de passer à l'action.

– Vous allez à la fête de Bayonne ? interrogea-t-elle naïvement.

– Oui, tous les ans... on vient se détendre autour d'une bonne bouteille avec les amis... répondit le curé, qui avait oublié de remettre sa petite croix en bois autour du cou, pour ne pas éveiller de soupçons.

– C'est la première fois pour moi, on m'a mis en garde contre la viande saoule... certaines de mes copines ont été abusées... enfin elles ne s'en sont pas plaintes bien au contraire. Cloé m'a raconté qu'elle avait passé un sacré bon moment l'année dernière. Vous voulez que je vous raconte en détails ?... poursuivit-elle, devant les visages médusés de son petit auditoire.

À cet instant, un silence se fit naturellement. Chacun se regardait, sachant très bien ce qui allait se passer. Les trois hommes s'approchèrent pour l’encercler gentiment.

– On va te montrer comment on s'occupe des gamines dans ton genre. lança le bûcheron, qui commençait déjà dénouer le petit haut des ses grandes mains velues.

Un léger frisson parcourut les reins d'Ophélia. Elle aimait ce petit jeu dangereux au beau milieu de la nuit, dans un endroit isolé. Cette petite excitation la fit fermer les yeux quelques secondes.

Enfin, Jean-Pierre leva la tête et vit les ombres masculines autour de sa passagère. D'habitude c'était lui qui orchestrait les choses, cette fois on dirait que tout le monde était d'accord pour ne pas perdre son temps à de futiles palabres.

Il resta dans la voiture, à les regarder se rapprocher. Ophélia savait pertinemment que son chauffeur voulait se rincer l’œil, elle se laissa aller innocemment par les trois hommes qui la pelotaient de partout.

– Ça te plaît ? dis-moi, dit l’ecclésiaste masquant sa voix, remplie de fièvre. Tu sais ce qu'on va faire, on va baisser ton jean beaucoup trop serré, histoire de voir la couleur de ta petite culotte.

Amoureux des fentes poilues odorantes, le pervers catholique n'en croyait pas ses yeux, lorsqu'il finit de déboutonnés les quatre rivets. Le pantalon descendu à mi-cuisse, il put constater, à sa grande stupéfaction, l'absence totale de culotte.

– Tu avais trop chaud ma poulette ! dit le cochon rougeaud en extase devant la toison luisante de la jeune fille. Eh Monseigneur, va me chercher ta lampe frontale j'aimerais bien qu'on y voit un peu plus clair.

– Tout de suite. répondit l'autre, déjà parti vers la Peugeot 309.

Pendant ce temps, Gérald le bûcheron, trop occupé à soupeser les mamelles comme deux beaux melons bien mûrs qu'il devait choisir patiemment, le mercredi matin jour de marché.

– C'est comment ton prénom ? Demanda-t-il, caressant avec sa moustache la nuque délicate de le petite brune.

– Ophélia, répondit-elle dans un petit gémissement.

– On va t'appeler Lili, d'accord... "Lili la salope"... on aime les jolies insolentes comme toi... c'est si rare.

À cet instant elle croisa le regard de son chauffeur, qui avait pris soin d'allumer les feux en veilleuse de sa voiture. Elle savait que la scène lubrique était en train de l'exciter, et son plaisir en fût décuplé.

Voilà Dominique qui revint, lampe attachée sur le front par des bandes élastiques oranges et noires, pointant sur la partie intime toute luisante. "Enfin une chatte naturelle" se dit-il. Il en avait marre de ces femmes accros à l'épilation, sous prétexte qu'elles voulaient toutes ressembler à des stars du porno.

Attiré par cette masse de poils frisés un peu en désordre, il ne tarda à plonger dedans avec sa bouche pour y savourer le parfum musqué de cette vulve parfaite. Puis, plaçant méthodiquement son nez au niveau du clitoris dressé fièrement, l'ancien curé entreprit de lécher délicatement la fente charnue et sensible.

Derrière elle, Ophélia d'un seul coup un morceau de chair dur et très chaud. Le mystérieux appendice de Gérald parcourrait sa raie des fesses de haut en bas, cherchant sûrement une ouverture hospitalière.

– Arrête de bouger tu veux... on va faire un jeu si tu veux bien... Tu connais "Am, stram, gram... questionna-t-il en se tenant le pénis de la main droite pour le guider.

– Oui, mais, je ne comprends pas très bien... dit-elle, un peu inquiète subitement.

Au moment de dire "gram"... C'est sa chair qui reçut la réponse. Son œillet rose et tellement serré dû accepter la douleur démoniaque d'une perforation inattendue. Sans ménagement, l'énorme verge avait pris place dans l'intimité de son anus qui palpitait.

La main gauche posée sur sa bouche, pour ne pas attirer l'attention des chauffeurs routiers garés un peu plus haut, il l'enculait allègrement. Les gémissements de la jeune fille la firent baver sur les doigts autoritaires de Gérald.

– Tu t'attendais pas à un truc pareil hein ? ricana-t-il, tu me rappelles l'autre vierge de la semaine dernière... j'ai bien cru quelle allait s'évanouir. Ça t'apprendras à te allumer des vieux chnoques comme moi.

Quand il comprit que le moment pénible était enfin passé, le bûcheron lâcha sa main pleine de salive.

– Espèce de salaud, vous êtes, vous êtes... pesta Ophélia, le visage enragé. Mais à peine eut-elle fini de vociférer, qu'une sensation étrange l'envahit.

On eût dit que son petit trou acceptait tranquillement la visite de cette énorme verge dans son cul, prodiguant de merveilleuses petites contractions . Son corps tout entier pris de légers spasmes, désormais, envoyait des décharges voluptueuses au niveau de son fessier rebondi.

– Putain, tu n'as pas été tendre sur ce coup-là ! gloussa Damien, le bide se soulevant à chaque éclats de rires.

Un peu mal à l'aise pour cette besogne spéciale, Gérald ordonna à son ami curé de libérer la place. Du coup, Ophélia se retrouva les mains plaquées sur le capot de la BMW, les mamelles libres d'osciller au moindre coup de reins de son assaillant.

– Jean-Pierre, regarde comme il me baise bien ! lança-t-elle, à demie essoufflée, fixant intensément les yeux attentifs de son chauffeur.

N'y tenant plus, ce dernier sortit de la voiture pour mieux la contempler en plein exercice copulatoire. La lueur des phares mettaient en valeur la silhouette de la jeune femme en mouvement, dont le visage se crispait a chaque poussée de son partenaire.

Il ne put résister à lui caresser le sein gauche, pour enfin lui pincer le téton raidi d'excitation. Un peu sadiquement, Jean-Pierre continua la petite torture, ce qui fit gémir bruyamment la jeune fille.

Peu à peu, Ophélia commençait à sentir le poids de sa lourde paire de couilles velues cogner de plus en plus fort contre ses fesses. Le gaillard ne ménageait pas ses efforts pour la pénétrer bien à fond. Elle se sentait remplie, possédée, totalement à sa merci : cette domination étrange lui plaisait.

– C'est tellement bon de te baiser, tu es tellement serrée ! souffla Gérald, sur le point de jouir.

– Je veux sentir ton jus ! Allez continue ! insista Ophélia, les seins plaqués sur le capot brûlant. Fais-moi du bien ! Implora-t-elle, les sourcils en accents circonflexes.

Enfin, Gérald ne put se retenir plus longtemps et elle le sentit se vider dans son trou dévasté de plaisir. La décharge fut telle, que le foutre vint à déborder du petit anus palpitant. Le baiseur satisfait, continua quelques secondes de doux va-et-vient bruyants, comme pour savourer l'instant de jouissance exceptionnelle.

Enfin il sortit sa queue luisante, laissant l'orifice se détendre, à moitié béant. Chacun à tour de rôle vint contempler l'anus ravagé encore palpitant. Les trois autres mâles furent unanimes : la petite avait pris cher dans le cul.

– Ne bouge pas petite salope, j'ai un cadeau pour toi ! vociféra à voix basse Dominique, les yeux illuminés de vice.

Délicatement, Le curé introduisit son doigt jusqu'à la garde dans l'orifice tiède pour en prélever la semence poisseuse. Puis, il passa son index devant la bouche d'Ophélia, pour enfin la forcer à sucer la liqueur.

– Mmm, c'est délicieux ! se surprit-elle à dire. Les yeux à demi-fermés, enroulant sa langue contre le phalange qu'elle nettoya parfaitement.

– Ainsi donc tu aimes le foutre ! dit Jean-Pierre lançant un regard complice à ses amis. Alors, tu as mérité un feu d'artifices digne du 14 juillet.

D'un coup, les hommes sortir chacun leur bite autour d'Ophélia, qui put comparer à loisir les détails de leurs engins respectifs. Concernant Jean-Pierre, il avait une bite de taille moyenne, mais très gonflée. Les deux autres avaient carrément des queues minables et joufflues, à moitié molles. Malgré les mensurations modestes, la jeune fille était ravie de les voir se palucher rien que pour elle.

– Oh, mes salauds ! Toutes vos bites poilues rien que pour moi ! s'écria-t-elle,
tout en léchant ses lèvres, avec sa langue aguicheuse.

De son côté, Gérald remballa la sienne, puis se mit à titiller tendrement la chatte de jeune fille brune. D'abord sur les lèvres, puis par de faibles pénétrations pour la faire languir au maximum. Son index alternait sur le bourgeon rouge, des petits cercles qui s'élargissant de plus en plus, pour descendre à nouveau dans la fente à la texture souple.

Le bûcheron aimait jouer avec cette dévergondée insouciante. Son sourire fit apparaître ses dents blanches de sa large mâchoire d'animal carnassier. Malgré toute la violence qui sommeillait en lui, le voilà devenu tendre avec elle, qui n'en demandait pas moins.

Se tordant de plaisir, elle aurait voulu l'accompagner avec sa main, mais Gérald l'empêcha de se toucher elle-même.

– Occupe-toi de jouer avec leurs bites tu veux bien ! ordonna-t-il, à Ophélia.

Promptement, elle agrippa les verges dressées dans chaque main. Peu habituée à ce petit exercice d'apparence anodine, Ophélia les serrait beaucoup trop fort, dû au stress de la situation.

Malgré cela, Jean-Pierre et Dominique ne lui en tinrent pas rigueur. Au contraire, cette maladresse juvénile les comblait de bonheur. Après tout, elle était là pour s'entraîner à devenir la meilleure pute du monde.

À force de se faire masturber, les jets de foutres finir par jaillir joyeusement. Ce fût Dominique qui se libéra le premier, après quelques gémissements rauques. Puis Jean-Pierre arrosa copieusement la poitrine de sa bienfaitrice. En terme de quantité, c'était un vrai champion. Sa bite intarissable avait envoyé pas moins de cinq jets successifs. Un véritable déluge.

Ophélia ébahit par cette prouesse surprenante, le remercia d'un regard tendre et appuyé.

Le pauvre Damien en solitaire, se débattait dans son coin, sans obtenir de probant résultat. Le gros cochon soufflait péniblement, sûrement à cause des paquets de cigarettes journaliers qu'il fumait chaque jour.

– Viens-là, mon chéri ! Je vais m'occuper te toi ! proposa Ophélia sur un ton aguicheur.

Quittant le capot de la voiture, pour une position plus confortable, le jolie brune s'agenouilla devant l'homme désemparé. Ce puceau campagnard, n'avait pas l'habitude qu'une femme s'intéresse à lui, qui plus est de cette façon très coquine.

Elle enfourna la queue dans sa bouche sans difficulté, étant donné la taille largement en-dessous de la norme, du viril appendice. Chaude et humide la bouche accueillante fit tressaillir l'ancien boucher, plongé dans un rêve éveillé.

Un peut plus tard, criant de plaisir comme un petit animal blessé, Damien caressa les cheveux de la fellatrice débutante. Ses amis ricanèrent nerveusement à côté de lui. Un peu jaloux, ils contemplèrent les lèvres qui pompaient bruyamment la queue lubrifiée à merveille. Ophélia se délectait. Non pas de cette verge qui puait l'urine, mais plutôt de la situation. Elle se sentait comme la star d'un film cochon amateur, forcée à satisfaire une bande de pervers.

Bouche grand ouverte, elle branla la verge prête à exploser. Désireuse de faire profiter à tout le monde le fruit de son travail, Ophélia continua ses mouvements saccadés en soutenant le regard de Damien.

– Rahhhh ! Han ! Cria le gros lourdaud, le visage cramoisi, des gouttes de sueur perlant sur son front brillant. Je jouis ! oui, oui ! Putain de salope ! Tu m'a fais craché !

Un peu déçue, Ophélia vit un jet ridicule sortir du gland écarlate. Le petit champignon charnu lâcha quelques gouttes qui eurent peine à atteindre sa bouche. En revanche, son sperme était sucré, ce qui l'incita à avaler la maigre semence tout d'un coup. Puis elle nettoya le gland rose comme une sucette d'épicerie.

– Eh les gars, vue qu'elle est chaude... ça vous dirait qu'on l'envoie faire la pute ? proposa le bûcheron, sur un ton étrangement lubrique.

– Ouais... rhabille-toi, tu vas nous faire ton petit numéro... Vas voir le routier derrière son gros camion rouge là-bas, ça tombe bien il est sorti fumer sa clope.

Les quatre hommes aidèrent Ophélia à remettre son pantalon de jean et son petit haut fleuri noué à la perfection, oubliant même de nettoyer le foutre qui souillait sa poitrine. Curieusement, sans réfléchir, la jeune fille se laissa embarquer par le défi proposé . Elle prit son petit sac à main rouge, et marcha tout en balançant son joli cul en direction du semi-remorque garé plus loin.

Pendant ce temps, les autres se cachèrent à toute vitesse dans les sous-bois environnant, riants comme des gosses. Dans les buissons, au feuillage clairsemé, ils s'accroupirent sans faire de bruit. À quelques pas, un lampadaire éclairait la jeune fille qui quémandait du feu d'une voix douce, pour la deuxième fois de la soirée.

Comme le destin est parfois curieux. Elle était tombée sur un black. Quelle chance. La plupart des routiers sont gras avec une sale gueule fatiguée. Lui avait l'air sportif, aux épaules larges. Ses pectoraux mis en relief, par son t-shirt trop moulant, ravirent la petite brune tout à fait comblée.

On ne pouvait pas entendre la conversation, mais à les regarder, tout semblait prendre le chemin du charme et de la séduction. Ophélia jouait avec ses cheveux les enroulant d'une seule main. Lui, bougeait nerveusement se grattant l'arrière du crâne comme pris au dépourvu, devant les nichons outrageux de cette fille tombée du ciel en pleine nuit.

Puis, la jeune vendeuse peu farouche, habituée à côtoyer des clients, prit les devants. Elle devint plus tactile, tout en restant courtoise. Maintenant, le jeune black riait bêtement, emprunt d'une gêne de plus en plus visible. Une main dans la poche de son short, essayait de calmer son érection de plus en plus visible.

Au bout d'un petit moment, le couple se déplaça lentement vers la BMW, les autres comprirent tout de suite quoi faire. Ophélia voulait qu'il la baise dans la voiture. Elle avait dû lui faire croire qu'elle en était l'heureuse propriétaire.

À l'instant où les deux tourtereaux atteignirent la luxueuse berline, Ophélia essaya d'ouvrir la portière à tout hasard. Ouf... elle était ouverte. À croire que tout le monde avait bien compris son petit manège, Jean-Pierre eut le temps d'actionner la condamnation centralisée à distance, pendant que les amoureux transis se roulaient des pelles avec leurs deux langues lascives.

Les mains du jeune routier ne tardèrent pas à délacer le petit fleuri de la jeune fille toute excitée. Caressant en détails les mamelles, il sentit une substance poisseuse lui coller aux doigts. Intrigué, il huma discrètement le bout de son majeur. L'odeur était sans équivoque, il s'agissait bien de sperme. Apparemment cette petite cochonne avait déjà reçu quelques offrandes masculines avant de venir à sa rencontre.

Après de courtes cajoleries d'usage, la jeune fille brune n'en pouvait plus.

– Oh, s'il te plaît, baise-moi en levrette, pitié, j'ai la chatte en feu ! supplia Ophélia, baissant son pantalon en jean.

Portière ouverte, elle s'appuya sur le siège passager des deux mains, proposant sa jolie croupe à son chanceux partenaire. La position "prête à baiser" ne manqua pas de rendre fou le camionneur les yeux écarquillés.

Au seul bruit du zip de la braguette, Ophélia tressaillit. Impatiente de sentir la verge d'ébène s'introduire dans le fourreau des plaisirs, elle recula un peu afin de mieux sentir le gland brûlant caresser la fente de ses jolies fesses.

– Il faut que je t'avertisse, les femmes ont l'habitude de me dire que je suis bien "monté"... n'aie pas peur, je vais y aller en douceur... dit-il paisiblement, fier de posséder une bite aussi impressionnante.

Ophélia n'était pas vierge, loin s'en faut. À chaque soirée étudiante, elle squattait la chambre parentale de ses amies pour se faire tringler par plusieurs mecs à la chaîne. On l'avait même baptisé "la reine des salopes". Tant qu'elle n'avait pas pris une dizaine de bites dans sa chatte, la jeune étudiante d'alors n'était pas satisfaite. À croire que seul le foutre pouvait la calmer.

Ce soir, c'était autre chose. Du sérieux, avec des pervers de tout poil. Elle allait terminer en beauté avec ce gros calibre. Au moment de la pénétration l'énorme bourgeon rosé, la bouche de la jeune délurée s'ouvrit d'étonnement.

– Hou ! Je... enfin... ouf ! gémit-elle, se mordillant la bouche. Ok, je comprends mieux... je veux bien que tu prennes un peu ton temps alors... suggéra-t-elle, encore sous l'effet de la surprise.

Les mains du black empoignèrent ses larges hanches, pour davantage se caler contre elle. Centimètres par centimètres, la pénétration se fit d'une lenteur interminable, mais nécessaire. Parfois la verge noire n'hésitait pas à revenir en arrière, pour mieux rentrer par la suite.

– Qu'est-ce que tu mouilles bien ! remarqua-t-il, c'est moi qui te fait cet effet-là ? s'étonna-t-il, sentant le torrent humide de sa fente vulvaire.

Ophélia ne répondit pas tellement préoccupée à recevoir cette énorme queue en elle. Manquant de souffle par moments, sa respiration finit par se réguler, malgré son cœur qui cognait à tout rompre.

La voyant enfin prête, il lui envoya un furieux coup de bassin vers l'avant, pour lui montrer qui était le patron. Ses couilles gigantesques, pendantes et bien pleines, s'écrasèrent contre la raie des fesses moite de transpiration.

– Aaaaaah, mon Dieu ! Hou ! cria-t-elle simplement, le visage crispé par la douleur.

– Essaie de te taire, tu veux bien ! Je n'ai pas envie que tu rameutes tout le parking... murmura-t-il, entamant de lents va-et-vient dans le vagin épousant désormais parfaitement le diamètre de sa queue extrêmement gonflée.

Se retenant de gémir de toute ses forces, Ophélia serrait des dents. Le silence rendait leur fornication encore plus immorale et interdite. Seuls les petits clapotis vaginaux commencèrent à émettre des sons de plus en plus significatifs.

Un peu coupée du monde la jeune fille brune avait totalement oublié la bande de vieux cochons. Où étaient-ils passés à cet instant précis. Il fallait bien se douter qu'ils rodaient sûrement dans les parages.

Ce n'était pas tout les soirs qu'une scène de baise aussi torride, était offerte en spectacle. Quoique, allez savoir. La campagne environnante regorgeait parfois d'épouses insatisfaites, faisant cocu leur mari, avec d’infatigables jeunots.

Or, quelques minutes plus tard, marchant comme des chats dans la nuit, voilà nos acolytes arrivés juste derrière le camionneur en pleine action. Il rugissait gentiment, pendant que son membre d'une vingtaine de centimètres pilonnait la chatte trempée de sa fabuleuse partenaire.

Mais, leurs yeux voulaient en voir davantage. Un rayon de lumière balayait le sol pour s'attarder sur les fesses de la jolie brune. À peine surpris par l'arrivée de la petite troupe, le camionneur continuait de bourrer gentiment Ophélia, totalement déchaînée.

– Je crois qu'on va avoir de la visite ma chérie ! dit-il, sur un ton plat, frisant l'indifférence.

– Alors commence ça se passe "Lili la salope" ! Tu te fais bien défoncer au moins. lança le curé, jouant fébrilement avec sa lampe frontale dans les mains.

– Eh, mec on veut surtout pas t'interrompre, d'autant plus que tu as l'air de te débrouiller comme un chef... on aimerait juste rester un peu tu comprends... proposa humblement le gros lard, triturant sa moustache grisonnante.

La visite surprise du petit groupe apportait encore plus de piment à la situation, comment refuser une telle proposition. Le camionneur était encore plus excité de sentir leur présence, il sentit même sa queue faire un léger soubresaut.

À ce moment précis, la levrette prit des allures de rodéo sauvage. Ophélia se tortillait de toutes ses forces sentant monter un plaisir extrême. Elle secouait la tête de droite à gauche faisant volé ses cheveux mi-longs. Cette fois, c'est son cul puis ses hanches qui donnaient le rythme augmentant de plus en plus.

– Encore plus profond ! J'aime sentir ta grosse paire de couilles claquer contre mes fesses ! cria-t-elle, oubliant déjà les consignes de discrétion.

– Je connais un seul moyen de la faire taire... lança le bûcheron qui rebandait à nouveau, devant les sursauts frénétiques de la petite salope en chaleur. Tu vas me sucer en même temps !

D'un coup, il ferma la portière, puis resta debout le dos plaqué contre la voiture, la queue bien dressée vers le haut. Son mandrin n'avait plus qu'à être dégusté. Gérald joua un peu avec caressant les lèvres de la jeune fille avant de l'enfiler dans la bouche déjà entrouverte.

– Aller suce, et fais ça bien ! Évite de mordre le gland. dit-il lui agrippant fermement sa crinière brune pour la tenir en respect. Ça te plaît de faire la pute hein ?

– Mooonh ! Ohhhh ! Mmmm ! gémit-elle la bouche bien remplie.

Enfin tout le monde put apprécier le silence à nouveau. Chacun pouvait reluquer le cul admirable d'Ophélia qui luisait dans la pénombre. Le curé éclairait par dessous, tant bien que mal, la chatte écartée se faisant ramoner en saccades énergiques : le spectacle était saisissant.

Puis, ce fut l'instant de grâce. Le camionneur envoya un ultime coup de bassin très violent. Serrant sa large mâchoire carrée, le visage déformé, ses yeux se figèrent trois petites secondes.

– Et maintenant, prends mon foutre ! Haaaaah ! dit-il, réprimant un cri étouffé dû à l'orgasme de sa décharge abondante.

À son tour, Ophélia fut prise d'une vague de plénitude ponctuée de jouissances successives. Les jambes en coton, elle manqua de s'écrouler. Jamais elle n'avait connu de telles sensations. La taille énorme du phallus noir, qui l'avait déchiré, y était sûrement pour quelque chose.

Toujours est-il qu'elle devait rester dans cette position pour terminer la fellation de son autre partenaire sur le point lui aussi d'envoyer sa purée de sperme. Le camionneur laissa donc sa verge se dégonfler progressivement dans le vagin aux parois engluées. Il se pencha en avant pour prendre délicatement ses gros seins devenus sensibles avec le tsunami de voluptés.

N'y tenant plus à cause de vilaines crampes au niveau des cuisses, Ophélia décida de cracher sur le bourgeon palpitant, puis branla la bite magnifique pour la stimuler davantage.

– Salope tu triches, suce, allez suce bon Dieu ! rouspéta Gérald, devenu très exigeant. C'est pas compliqué, tu enroules ta langue sur mon gland et tu aspires à fond bordel !

Obéissante aux injonctions, elle s'exécuta. Ses joues se creusèrent. Sa langue s'agitait dans sa bouche remplie de salive épaisse. Au bout d'un moment quelque chose changea. Gérald semblait se crisper de plus en plus, soufflant bruyamment.

– Oh oui... Reste la bouche fermée surtout ! Et avale ! ordonna le bûcheron au bord de l'extase.

Ne pouvant y échapper, elle avala d'un seul trait les salves de sperme déversées au fond de sa gorge. Le goût amer au début, devint très vite délicieux. En petite gourmande, elle suça le gland du plat de la langue comme un chiot affamé, pour ne pas en perdre une goutte.

Puis, le camionneur se retira de sa chatte trempée. Il passa un doigt sur les lèvres fripées de la fente, avant de l'introduire à l'intérieur. Le black prit soin de goûter cyprine mélangée à son foutre. Réitérant l'opération, ce fut au tour d'Ophélia de goûter le mélange des deux jus crémeux.

– Le meilleur moyen de me satisfaire dans les règles, c'est de me nettoyer la bite tu ne crois pas ? proposa le camionneur lorsque la jeune fille se retourna vers lui.

Sans répondre, elle s'accroupit, puis commença une pipe majestueuse. Elle savourait cette verge qui lui avait donné tant de plaisir. Jamais elle n'aurait pu assez le remercier. Le gland gardait encore l'odeur de sa mouille, par moments elle avait l'impression de sucer une femme tellement la fragrance était imprégnée.

Le bourgeon écarlate enfin nettoyé, le camionneur lui tenait le menton en soutenant son regard. Une certaine connivence était née entre ces deux-là. Mais c'était le moment du départ. Tristement, Ophélia se leva pour l'embrasser sur la bouche afin de sceller un baiser d'une délicieuse minute.

Autour, un peu jaloux, les autres commencèrent à s'activer. Le trio embrassa sur les joues la gamine exténuée, puis regagnèrent la Peugeot 309 cachée dans la pénombre.

Jean-Pierre, lui, avait déjà pris sa place au volant de sa BMW feignant de fouiller dans sa boîte pour ne rien trouver de spécial. Ophélia suivit jusqu'au semi-remorque son prince charmant, lui caressant les fesses musclée une dernière fois, avant qu'il ne monte pour de bon dans sa cabine impressionnante, décorée de guirlandes éclairant le portrait d'une femme provocante sur le calendrier Pirelli.

Rebroussant chemin, elle arriva essoufflée au pied de la voiture, regardant tristement, les petits feux rouges rectangulaires du camion, s'en aller dans la nuit d'encre.

– Il y en aura d'autres tu sais... dit Jean-Pierre pour la réconforter. Et puis tu vas rejoindre tes copines à la feria de Bayonne.

– C'est gentil murmura-t-elle tendrement.

Le moteur commençait sérieusement à vrombir, puis la BMW accéléra dangereusement sur l'autoroute à moitié déserte. Au bout d'une vingtaine de minutes, ils finirent par atteindre leur destination. Les fêtards avaient envahi les rues, tenant des gobelets en plastique, braillant des chansons paillardes.

Reclus, un groupe de plusieurs jeunes filles attendait Ophélia dans une ruelle transversale, un peu plus au calme. Jean-Pierre prit la peine d'accompagner sa passagère jusqu'au coffre pour lui tendre son sac à dos. Ils s'embrassèrent distraitement sur les joues, avant qu'elle ne parte les rejoindre.

– Merci monsieur ! je vous recontacte pour le retour sur Bablacar, je ne serai peut-être pas seule cette fois ! lança-t-elle, lui faisant un clin d’œil plein de malice.

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