Une rencontre incroyable 2

Les deux amis profitent des derniers instants qu'ils ont avant de se séparer. Il dansent en se frottant l'un contre l'autre, le tresse commence à les gagner, l'heure tourne, il est temps de rentrer. Paul demande à Marianne de l'inviter à prendre un dernier verre à son hôtel.

Proposée le 22/06/2023 par michelle2

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme

Marianne sent bien le membre tendu de Paul contre son ventre, elle soupire doucement, lève les yeux vers lui avec un petit sourire narquois. Il lève les yeux au ciel en haussant les épaules. Ils évoluent lentement sur la piste jusqu'à la fin de la danse. Les regards qu'ils échangent sont pleins de tendresse, il la raccompagne jusqu'à la table en lui tenant la main.

Il s'assoit à côté d'elle, et pose sa main sur sa cuisse. Elle pose sa main sur la sienne, en la pressant doucement. Paul avance progressivement sa main vers l'endroit qu'il convoite. Marianne fait une pression plus forte sur l'intruse, pour l'en dissuader. Paul n'insiste pas, il remplit les verres, l'heure tourne, le tresse monte dans les corps. Il est temps de partir, Paul raccompagne Marianne, jusqu'à son hôtel, les deux ont le coeur gros. Ils savent qu'ils ne se reverront peut-être jamais. Paul demande :

-Tu m'offres un dernier verre ?

Marianne sourit et répond :

-Si le bar est encore ouvert, oui !

Par chance, la barmaid est encore là malgré l'heure tardive. Marianne demande une bouteille de champagne, grisée un peu plus ou un peu moins, cela ne change rien. Les deux montent à l'étage et entre dans la chambre. Paul fait sauter le bouchon, mais ils ont oubliés les verres, ils éclatent de rire et boivent à tour de rôle au goulot. Paul devient plus audacieux, il enlace Marianne, et la serre très fort contre lui. Elle ne refuse pas l'étreinte, elle se fait chatte en se blottissant contre Paul.


Les visages sont si près que leurs lèvres se frôlent, Marianne prend Paul par le cou et pose ses lèvres sur les siennes. Le baiser qu'ils échangent est fougueux, les langues font un petit ballet dans la bouche de Marianne avant de se nouer. Les souffles sont bruyants, les mains de Paul glissent sur le fin tissu des vêtements de Marianne, à la recherche de ses formes. Il fait glisser le zip de la jupe. Marianne s'écarte, le regarde, elle semble fondre, elle lui dit :

- Aime-moi, Paul, aime-moi !

Sans dire un mot, il degrafe un à un les boutons du chemisier, en dégage les épaules frêles de Marianne et le fait tomber sur les sol. La jupe ne tarde pas à suivre. D'un geste habile, il faut sauter l'agrafe du soutien-gorge, qui rejoint les autres habits sur le sol. Marianne est tremblante, mal à l'aise, elle baise les yeux. Paul retire sa chemise, son pantalon et saisit à bras le corps, Marianne, la dépose sur le lit, et l'observe un instant, avant de monter sur le lit.

Ses mains douces se posent délicatement sur la poitrine généreuse de Marianne, qui pousse un gros soupir, en fermant les yeux. Avec une douceur incroyable, Paul masse les lobes, les rend plus fermes, fait dresser les bouts avec une dextérité inouïe. Marianne gémit faiblement à chaque palpation de ses seins. Elle sursaute lorsque la bouche de Paul se pose sur ses mamelons, et les fait doubler de volume. Sa main par en expédition sur le corps fébrile de Marianne, elle lui caresse le ventre, et très lentement passe sous l'élastique de la culotte. Les doigts audacieux s'approchent dangereusement de son antre brulant. Ils s'enfoncent dans la fine toison soyeuse, la triture un court instant avant que deux doigts s'insèrent entre les grandes lèvres deja humide. Marianne se cabre, elle souffle par saccades, comme un animal pourchassé par un chasseur. Les intrus noueux font plusieurs passages dans le sillon qui s'humidifie de plus en plus. Ils s'accrochent à la perle qui est deja très sensible, et sans brusquerie la triture, un petit moment avant de la branler. Marianne pousse des gémissements de bêtes blessées.

Paul se redresse et avec tact retire la culotte de Marianne qui ne cesse de geindre, il se place face à elle, automatiquement, elle ouvre les cuisses.

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