Histoire Erotique

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Je vais plus loin avec ma collègue

Ma collègue vient passer le week-end à la maison et nous l'entraînons dans la découverte du trio. Elle Elle ne se fait finalement pas trop prier pour goûter à plein de choses nouvelles pour elle.

Proposée le 16/06/2023 par Hannapurna

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Samedi 26 août 2000

Je vais plus loin avec ma collègue Cette fois, c’est complètement à poil que j’ouvre la porte à Martine. Elle s’exclame immédiatement :
— Mais Caro, tu es toute nue !
— Ben quoi, tu m’as déjà vue comme ça, non ?
— Euh, oui, mais là, tu es presque dans la rue. Et s’il passait quelqu’un ?
— Justement, pour l’instant c’est désert, alors entre vite si tu veux pas que ça arrive.

Elle me suit et me donne un sac dans lequel il y a du vin et un gâteau. Elle tenait à ne pas venir les mains vides. Je lui montre la chambre d’amis en face de la notre et la laisse s’installer et se déshabiller tranquillement.

Quand elle nous rejoint, je vois qu’elle n’a pas fait de chichis pour ne rien porter sur elle que ses lunettes de soleil. Elle va faire la bise à Ber qui est dans la piscine, ce qui l’oblige à se pencher, lui offrant une belle perspective sur ses seins qui ballotent doucement.

Après une première baignade durant laquelle elle a l’occasion de se relâcher complètement, nous ressortons et nous essuyons pour profiter du soleil sur les matelas posés au sol sur la terrasse. Nous nous passons tous un peu d’huile de protection avant de nous abandonner aux rayons sur le dos.

Au bout d’un bon moment, comme elle se retourne pour exposer un peu le côté pile, je m’empresse de proposer à ma collègue de se passer mutuellement l’huile sur le dos pour plus de facilité. Elle accepte et comme je n’attends pas pour me mettre la première sur le ventre, c’est elle qui commence. Elle le fait très sobrement, des épaules aux chevilles, n’insistant que peu sur les fesses et n’aventurant pas ses doigts entre elles, bien que j’ai pris soin de bien écarter mes cuisses pour qu’elle puisse passer. A défaut d’y mettre les doigts, elle a certainement une vue dégagée sur ma fente et ma rosette.

Par contre, quand elle finit et que c’est à mon tour de m’occuper d’elle, je ne me gêne pas, me fixant tout de même la limite de ne pas l’attaquer sexuellement pour le moment, d'aller juste un peu plus que ce qu’elle m’a fait. Je me permets donc de déborder largement de son dos pour venir effleurer la naissance de ses seins. Puis mon action sur ses fesses se transforme en massage pendant lequel je vais assez loin entre ses deux globes sans pour autant toucher sa rosette que je découvre et qui est assez tentante. Enfin, lorsque je remonte le long de ses jambes depuis les chevilles, je termine contre le creux sous ses fesses puis je redescends vers les mollets. Je remonte à nouveau et cette fois je prends un peu plus en paume ses fesses, les écartant vraiment et opérant un mouvement tournant vers l’intérieur de ses cuisses qui amène mes pouces pratiquement au contact de sa chatte. je note que sa fente est bien brillante, et pas forcément à cause de l’huile. Elle tressaille un peu mais ne resserre pas ses cuisses et ne me fait pas de remarque.

C’est maintenant Ber qui me demande de m’occuper de lui. Machinalement, Martine lève la tête en l’entendant parler et elle constate qu’il est toujours sur le dos et qu’il bande :
— Oh, qu’est-ce…
— Oups, pardon ! Mais de voir deux belles femmes se caresser, j’ai pas pu résister. Mais je veux pas te gêner. D’ailleurs, je me mets moi aussi sur le ventre.

En effet, il se retourne, mais dans le mouvement qu’il fait à dessein de notre côté, Martine à tout le temps de bien voir sa bite en pleine érection et qui tient bien droite sous son ventre jusqu’à ce qu’il s’allonge dessus précautionneusement, la soustrayant à nos regard.

Je formule aussi quelques excuses pour lui auprès de ma collègue, arguant que c’est la nature, puis je vais m’occuper de lui. Là, sachant qu’elle ne pourra pas s’empêcher de regarder, je fais le maximum. A savoir qu’après avoir enduit l’ensemble de la face pile de Ber, je termine par les fesses que je masse longuement. Puis ayant constaté en coin que Martine nous espionne discrètement, je fais toujours comme si je ne le savais pas et continue ma manœuvre. Je commence par descendre mes doigts dans la raie de Ber et la parcours ostensiblement, ne laissant pas de doute sur le fait que je lui caresse l’anus.

Puis je descends entre ses cuisses et mon mouvement montre bien que je suis en train de lui malaxer les couilles. J’arrête enfin et je jette un regard rapide vers ma collègue qui fait mine de sommeiller car je la vois vite fermer ses yeux. Faisant comme si j’étais rassurée, je commence à me caresser l’entre-jambes. Je ne regarde pas de côté à nouveau, mais je me doute bien qu’elle est en train de me regarder en train de me branler. Je continue juste un petit moment sans aller jusqu’à me faire jouir. J’arrête très vite comme si j’avais juste eu un petit coup de chaud et je jette un regard furtif vers elle comme su j’avais eu peur de me faire surprendre. J’ai juste le temps de la voir fermer à nouveau ses yeux.

Lorsque nous avons assez cuit sur cette face, c’est Ber qui déclenche la baignade suivante en annonçant qu’il va un peu se rafraichir. Je le suis en me levant, puis c’est Martine, qui a le temps de vois la queue de mon mari pas totalement débandée en train de battre pendant qu’il se dirige vers la piscine. Elle finit par nous rejoindre dans l’eau où tout reste soft, juste une trempette délassante.

Puis c’est Ber qui ressort le premier, ayant entretemps repris un volume de repos. Il va cette fois se mettre sur le dos dans un des transats après s’être essuyé et nous l’imitons, tous les trois en rang face au soleil. Chacun se tartine de protection solaire la face sans besoin d’aide. Etant bien placée entre eux deux, j’agrémente ma manœuvre en me caressant plus que de nécessaire les seins, insistant sur les tétons que je fais rouler entre mes doigts. Vérifiant à la limite de mon champ de vision latérale que ma collègue s’en aperçoit, je termine par mon triangle sud où j’insiste, cuisses bien écartées. Je finis même par me caresser sans ambiguïté le clito. Tournant la tête, je constate que Ber s’est laissé un peu aller lui aussi. Il s’est bien enduit partout et se caresse doucement la tige à nouveau toute droite. Puis nous cessons, le but n’étant pas d’aller jusqu’à l’orgasme à ce moment-là, mais juste de s’exhiber un peu. Je suis certaine que Martine a tout vu.

Malgré tout ça, elle ne se manifeste à aucun moment pour nous le faire savoir. Ce n’est que quand le soleil se cache derrière la maison et que nous décidons de rentrer prendre une douche avant l’apéro et le dîner qu’elle se lance à m’en parler un peu. Elle m’a laissée la suivre à la salle de bains. Nous somme donc entre nous mais elle attend que je sois en train de régler la température de l’eau pour se lancer :
— Euh, tu sais Caro, je vous ai vus faire tout à l’heure…
— Ah oui, quoi et quand ?
— Ben, te caresser quand tu étais sur Ber après l’avoir caressé en lui passant l’huile.
— Ah, et alors ?
— Eh bien, ça m’a un peu gênée que tu fasses ça en public.
— Oh, en public… tu exagères, y avait que nous trois !
— Oui, d’accord, mais quand même. Et après, quand on était sur les transats. Je vous ai bien vus vous faire plaisir, toi entre tes jambes et lui sur son sexe en érection.
— Bon, allez, tu sais tout de même à quoi ça ressemble une bite, non ? Et puis, c’est naturel qu’il bande quand il a sous le nez deux belles femmes en train de se caresser partout. Note, c’est un peu normal qu’il y mette de la protection solaire, ce serait dommage qu’il prenne un coup de soleil là et qu’il pèle, non ?

Cette dernière remarque humoristique la déride un peu et elle finit par en rire avec moi et me rejoint sans chichis sous le jet. Je ne fais rien pour aller plus loin, mais je la savonne bien partout et elle m’en fait autant, toutefois en insistant moins de son côté sur mes parties intimes. Puis nous sortons de la cabine et nous essuyons chacune de notre côté. Ber a fait en sorte de nous laisser seules pour ne rien brusquer et va se doucher quand nous revenons toutes fraiches au salon. Pendant qu’il se refait beau, je prépare l’apéro.

Nous avons fait tout naturellement en sorte de rester nus et elle nous a imités sans questions, s’y étant bien habituée. Nous relâchons totalement toute pression érotique jusqu’à la fin du barbecue, mais en veillant évidemment à bien faire boire Martine, sans aller jusqu’à la mettre hors d’état. Juste ce qu’il faut pour la désinhiber et attaquer la suite.

La suite, c’est un film dans le salon sur notre home-cinéma qui fascine Martine avec la taille de son écran et le son fabuleux qu’il délivre. Nous avions regardé par avance sur Canal+ ce qu’il pouvait y avoir comme film érotique mais pas trop hard (genre Emmanuelle) et qui soit assez récent pour justifier sa vision. Il y avait justement Monella qui passait pour la première fois à la télé et qui avait l’air léger, joyeux et gentiment érotique selon les critiques. l’idéal pour ne pas effaroucher notre invitée.

Donc, bien installés dans le canapé moelleux, Ber au milieu, nous entamons la projection avec devant nous encore quelques digestifs et des boissons fraiches histoire de rester dans l’ambiance. Effectivement, le film ne sera pas un chef d’œuvre immortel, mais c’est gentillet. Vers la fin, c’est Ber qui commence les grandes manœuvres. Il se laisse aller à bander doucement, puis sa tige se dresse franchement. Prise par le film, Martine ne porte même pas cas à ce mouvement pas assez important dans le bas de son champ de vision.

Je descends ma main sur la bite de Ber et l’empoigne doucement, rien de plus au début. Toujours pas de réaction. C’est quand je me mets à le branler un peu qu’elle finit par s’apercevoir du mouvement. Mais comme elle ne dit rien toujours pour le moment, je continue. Maintenant elle n’a plus de doute sur le fait que je le branle sous son nez.

J’y vais tranquillement, juste en rythme de croisière, et le film prend fin. Apparemment dans l’indifférence totale, surtout pour Martine qui a depuis un un moment un autre centre d’intérêt. Ber se lève pour rallumer un lampadaire dont l’abat-jour prodigue une lumière diffuse pendant que j’arrête la projection avec les télécommandes diverses (décodeur, projecteur, ampli). Puis il revient s’assoir, précédé par son gland décalotté qui attire irrésistiblement le regard de Martine. Il ne fait rien pour le cacher et je referme à nouveau mes doigts autour pour continuer ma petite branlette devant elle comme si c’était l’habitude. Elle finit enfin par réagir :
— Euh, ne vous gênez pas, surtout, faites comme si j’étais pas là…
— Merci, j’avais peur que ça te gêne !
— Euh… c’était sarcastique, juste pour faire remarquer que ce que tu fais est pas normal.
— Comment pas normal ? On regarde un film érotique, mon mari bande, je m’en occupe. C’est normal, non ?
— Euh, oui… Si vous êtes seuls tous les deux, pas en présence d’autres personnes !
— Oh, dis, tu nous a déjà vus faire tout à l’heure, et on s’est douchées ensemble…
— Oui, mais…
— Mais quoi ? Ça te fait des choses ? Dis que mon massage t’a pas fait mouiller !
— Oh, tu exagères…
— Dis-moi aussi : ça fait combien de temps que tu n’a pas fait des choses depuis que tu as quitté ton dernier copain, même un simple branlette ?
— Euh, oui, bon…
— Et dis-moi que ça ne t’excite pas de nous voir faire !
— Bon, c’est vrai que c’est un peu excitant, mais…
— Alors pas de mais, profite, branle-toi toi aussi. Mieux : comme je suis pas jalouse et que j’aime bien partager avec les amis, tu peux faire ce que tu veux avec Ber !
— Quoi ?

Je ne lui répond pas et lui prends d’autorité la main pour la poser sur la tige de Ber qui n’attendait que ça. Je referme ses doigts dessus et lui imprime le mouvement au début. Quand je sens qu’elle continue de son plein gré, je la laisse faire seule. Je me lève et vais derrière le canapé m’occuper de ses seins que je malaxe, surtout les bouts qui pointent pour me confirmer son accord total tandis que Ber envoie un doigt en direction de son clito. Quand elle est bien lancée, Ber la fait mettre à genoux devant lui et elle ne marque aucune retenue quand elle se trouve en face de ce gland qui la nargue. Elle le lèche avec appétit puis le gobe pour le faire coulisser entre ses lèvres.

N’étant plus utile derrière le canapé, je fais le tour et vais me mettre derrière elle pour lui entreprendre d’abord les seins que je masse longuement sans qu’elle ne s’en plaigne. Donc je passe à son centre de gravité que je trouve en pleine ébullition et humide à souhait. Là elle dés-embouche Ber et proteste un peu pour la forme, mais finalement elle me laisse lui doigter le clito et la fente pendant qu’elle reprend sa fellation.

Elle est à fond dedans quand Ber la fait se relever et la guide au-dessus de lui pour qu’elle s’empale sur sa bite. Elle s’y cloue jusqu’à la garde puis entame une belle chevauchée. Pour ma part, je lui caresse maintenant l’anus et quand je sens qu’elle se décontracte de ce côté j’y aventure la première phalange de mon majeur qui est absorbée sans délai. Comme je l’ai bien lubrifiée auparavant avec ma mouille, je vais plus loin et elle l’accepte jusqu’au bout. Je lui branle le cul pendant qu’elle se démène sur Ber et elle finit par gueuler sa jouissance bien fort.

Histoire de la laisser récupérer, Je l’aide à se déplanter du pieu de Ber et la fais assoir à côté de lui. Il n’y reste pas longtemps car il se lève et me fait mettre en levrette devant ma collègue. Pendant qu’il me pistonne, je vais un peu plus loin avec elle en lui caressant bien le clito et la fente. Encore étourdie par son orgasme, elle n’a plus de réticence. J’y mets donc la langue et elle se laisse faire.

Après un petit moment dans cette combinaison, nous changeons encore de position. Je prends la place de Martine sur le canapé pendant qu’il la fait mettre à genoux devant moi et qu’il la prend sans attendre en levrette. Elle repart illico alors qu’il la bourre dans toute la longueur. Dans cette position, les seins de notre partenaire balancent largement d’avant en arrière sous les coups de reins de Ber qui vient claquer ses cuisses conte ses fesses.

Quand je juge qu’elle est assez partie pour la suite, je prends sa tête pour l’attirer vers ma fourche grande ouverte. Je sens dans mes mains qu’elle hésite un peu, mais j’insiste et elle plaque ses lèvres sur mon abricot. Au début elle n’en fait pas trop, puis elle se met à me lécher de plus en plus franchement. Je ressens les secousses que lui impulse Ber dans son dos directement par l’intermédiaire de sa langue sur mon clito.

Elle jouit à nouveau et Ber la fait se retourner et mettre à genoux pour lui présenter sa bite à sucer. Elle ne fait pas de manières et gobe le gland tout en attrapant sa tige pour le branler en même temps. Il ne résiste pas et lui lâche tout dans la bouche. Je constate avec plaisir qu’elle aime vraiment ça car elle fait en sorte de bien garder les lèvres serrées autour de la queue pour ne rien perdre. Et elle avale entièrement la copieuse livraison.

Après ces grandes manœuvres, nous nous octroyons un moment de repos, tous trois emmêlés sur le canapé. Pendant que Ber lui caresse un téton, elle me demande :
— Dis, je suppose que c’est pas la première fois que vous faites ça avec une invitée ?
— Non, comme tu t’en doutes.
— Et vu que tu as aussi fait mettre Sophie nue au bureau et qu’elle est venue ici…
— Bingo ! Eh oui, elle s’est elle aussi un peu défoulée avec nous.
— Eh bien, vous y allez fort.
— En fait, la première fois où j’ai fait ça avec une collègue de travail, c’’était en 1991 au bureau où je travaillais dans les Alpes.
— Ouais, donc une longue expérience, je vois…
— En fait, je parle de collègues de travail. Sinon, déjà deux ans avant avec ma cousine.
— Ta cousine, carrément !
— Eh oui. Et toi ?
— Ben moi, c’était une première. Aussi bien de faire ça avec une autre femme que de le faire à trois. Mais je regrette pas, c’était bon. Surtout que ça faisait longtemps…

Pendant ce temps, Ber a continué à la chauffer et sa bite a elle aussi retrouvé de la vigueur. Je lui demande de me laisser et la place et j’annonce à Martine :
Bon, puisque ça t’a plu, approfondissons un peu la question !

Je la fais allonger sur le canapé et viens me mettre tête-bêche au-dessus d’elle en commençant sans attendre à lui lécher le clito tout en lui présentant le mien juste contre sa bouche. Cette fois elle y va franchement et me rend la pareille. Ber est dans mon champ revue et je lui fais comprendre que j’ai besoin de certains accessoires. Il s’éclipse et revient avec des vibros de divers calibres et mon strapon. Je lui fais un clin d’œil et en prends un moyen que je mets en route pour le promener sur la fente de Martine. Celle— ci grogne un peu pour manifester son approbation pendant que je sens Ber venir pointer son gland dans ma raie où il commence à balader de haut en bas jusqu’à s’intercaler entre les lèvres de notre partenaire et mon abricot bien lubrifié. Je sens qu’elle lui tête un peu le gland au passage, puis enfin il s’introduit dans mon vagin et s’active.

De mon côté, j’ai aussi investi celui de Martine avec le gode que j’ai mis en route sur des vibrations lentes et j’imprime un mouvement synchronisé avec celui de mon mari. Nous restons tous en phase un moment, puis il décide de changer de trou. Comme je n’attends que ça, le gland passe la porte sans heurt et le reste suit en douceur. Ma collègue est aux premières loges pour voir ça. Je prends mon pied tranquillement et Martine aussi jouit à nouveau sous les ronronnements de l’engin qui lui parcourt l’intérieur.

Nous ne la laissons pas refroidir. Je la fais mettre à quatre pattes sur le canapé pendant que Ber se fait une petite toilette avec des lingettes qu’il avait ramenées en même temps que les jouets. De nouveau bien propre et toujours en grande érection, il lui présente son gland qu’elle connait maintenant bien et qu’elle gobe illico. Pendant ce temps je reprends mes manœuvres avec un petit vibro que je promène dans la fente de Martine pour bien le lubrifier puis je m’attarde un peu plus sur sa rosette. N’entendant pas de protestations, je pousse un peu et j’ai la bonne surprise de voir qu’elle prend ça comme tout à l’heure elle a accepté mon doigt. Je décide donc d’aller directement plus loin. Je fais signe à Ber, mais il a bien vu ce que je faisais et comprend que le moment est venu de prendre ma place.

Il quitte la bouche de notre partenaire et vient se mettre derrière elle pour la prendre en levrette dans un premier temps. Juste quelques aller-retour pour bien graisser son engin et il le présente devant l’autre trou. Il force à peine et le gland passe le seuil. Il attend un peu pour aller plus loin mais c’est elle qui pousse en arrière pour s’empaler sur sa tige jusqu’à la garde. Elle a l’air d’avoir l’habitude. Il le lui fait remarquer :
— J’ai cru comprendre que tu aimes bien ça…
— Oh oui, encule-moi ! Oui, fort !
— OK, puisque tu le demandes !

Donc il se cramponne à ses hanches et la pistonne amplement. De mon côté je passe mon strapon pour lui présenter ma bite factice à sucer. Elle le fait sans plus s’étonner de rien et ne me lâche que pour bramer sa jouissance. Ber n’attend guère plus et lui lâche tout au fond du boyau.

Après une telle séance, tout le monde est plus ou moins essoré, il est donc temps d’aller faire dodo. Pour qu’elle récupère tranquillement, nous l’installons dans la chambre d’amis et la laissons après l’avoir bordée. Nous en faisons de même, satisfaits de notre journée.


Dimanche 27 août 2000

Ce matin, tout le monde se lève assez tard et c’est Martine qui est la dernière à nous rejoindre. Quand elle nous retrouve dans la cuisine, elle a tout de même enfilé un T-shirt alors qu’elle constate que nous sommes entièrement nus. Vu l’heure, nous étions en train de préparer un bon brunch pour tenir lieu de petit et gros déjeuner à la fois. Elle nous aide à tout porter dans le salon et nous nous posons pour manger. Je lui fais la remarque :
— Dis, non seulement il fait assez chaud, mais en plus on t’a déjà vue toute nue…

Elle rit et fait passer son T-shirt par-dessus sa tête pour se retrouver dans la même tenue que nous. Alors que nous terminons, elle finit par me lancer sur la soirée d’hier :
— Dis donc Caro, hier vous m’avez surprise, mais c’était vraiment bon !
— Oui, nous aussi tu nous as surpris. Avec Ber on ne savait pas comment tu allais réagir.
— Ben, au début j’ai été un peu paniquée de vous voir faire des choses devant moi. Mais après, comme je suis un peu en manque ça m’a bien excitée.
— C’était un peu le but. On s’était dit que si tu ne disais rien pour nos premières exhibitions, c’était bon, on pouvait aller jusqu’au bout.

Pendant que nous parlons, Ber qui est debout en train de débarrasser revient de la cuisine avec beau début d’érection assez prometteur pour la suite de la journée :
— En tout cas, tu aimes ça visiblement, et même certaines nouveautés.
— J’avoue, c’était nouveau pour moi de faire des choses avec une femme.
— Mais tu as vite appris, à ce que je t’ai vue faire avec Caro.
— C’est vrai, c’est bon aussi, finalement.
— Et par contre c’était vraiment pas ta première sodomie, non ?
— Euh, non et j’avoue que j’adore ça !

Martine se lève en disant qu’elle va faire la petite vaisselle de notre brunch et Ber la suit à la cuisine, précédé par sa bite bien dure déjà à l’horizontale. Dès qu’ils sont partis, je m’harnache vite fait de mon strapon qui était resté avec les autres jouets sur le petit buffet du coin de la pièce. J’arrive dans le dos de Martine et je constate qu’elle a une façon particulière d’aider Ber à faire la vaisselle puisqu’en fait elle tient sa queue dans la main et le branle doucement. Je n’ai donc aucun scrupule à me plaquer derrière elle en insérant ma bite factice entre ses cuisses et lui dire sur un ton amusé :
— Dis donc, c’est ça que tu appelles aider Ber ?
— Oh, c’est lui qui a pris ma main pour la poser là…
— Oui, je m’en doute, le connaissant. Et tu n’as pas trop protesté, je vois.

Ber annonce que c’est fini pour la vaisselle et on se désunit un instant, le temps de retourner au salon. Martine se retrouve assise avec nos deux bites devant elle :
— Ça fait drôle de te voir avec un sexe d’homme, même si je sais que c’est un faux.
— J’aime bien de temps en temps me transformer, ça permet de varier les plaisirs. Tiens, suce-moi pour commencer !

Comme hier, je lui présente l’engin et elle le fait volontiers, tout en branlant Ber qui cette fois n’a pas eu a prendre sa main pour qu’elle se lance sur la manœuvre. Puis au bout d’un moment elle prend l’initiative de changer de gland dans sa bouche. Mais comme je m’y attendais car il adore ça, Ber lui demande une toute autre caresse :
— Non, attends ! Depuis que j’ai vu tes superbes seins, j’en ai envie. Tu connais la branlette espagnole ?
— Evidemment, un de mes ex adorait ça lui aussi!

Il la fait mettre à genoux devant lui et elle se laisse guider pour enserrer la tige entre ses doudounes moelleuses et la faire coulisser sur toute la longueur. Je vois au clin d’œil que me lance Ber qu’il apprécie bien cette caresse qu’elle maitrise parfaitement. Le gland apparait brièvement au-dessus des seins à chaque aller-retour pour venir presque buter sous son menton. Elle en profite par-ci par-là pour y mettre un coup de langue.

Mais il se force un peu et la fait stopper pour s’assoir dans le canapé et la faire mettre à genoux entre ses jambes pour continuer avec la bouche uniquement. Dans cette position, pendant qu’elle lui pompe le gland, je vérifie qu’elle est suffisamment lubrifiée et je promène ma bite sur sa fente pour l’enduire avant de le pointer sur son vagin que j’investis en douceur. Puis je l’empoigne par les hanches et la pistonne amplement :
— Tu aimes que je te baise ?
— Oui, c’est bon. Et c’est la première fois qu’on me baise pendant que je suce quelqu’un.
— C’est donc vrai que t’as jamais fait ça à plusieurs ?
— Non, jamais. Mais je me dis maintenant que j’aurais dû essayer quand mon dernier mec me l’a proposé.
— On va se rattraper, t’inquiète !

Je la bourre en levrette un moment, puis Ber de libère se sa bouche pour aller se coucher sur le canapé. Je guide Martine qui s’empale sur lui pour le chevaucher et je la fais se pencher en avant pour dégager son petit trou. Je la doigte juste un peu avec de sa mouille mais je constate qu’elle est déjà bien ouverte car ça coulisse facilement. Je me place alors derrière elle et lui prends le cul sans trop de ménagements. Ma bite factice entre sans effort et je commence à remuer, donnant le rythme à notre ensemble.

Si j’en crois ce qu’elle nous a dit juste avant, c’est donc aussi son premier sandwich. Et ça a l’air de lui convenir comme menu. Elle le confirme par ses clameurs et ne tarde pas à jouir. Je la laisse redescendre tranquillement, mais pas refroidir complètement :
— Dis donc, tu as pris un méga-pied !
— Ouais, c’était géant ! Je regrette encore plus de pas avoir fait ça avant.
— Allez, un peu à moi. Viens là que je t’équipe…

Je place le strapon sur Martine et l’ajuste bien. Je la fais s’admirer dans la grande glace du salon Elle a l’air de trouver ça amusant de se retrouver avec une belle bite, même si c’est une fausse. Puis je me mets d’abord à genoux devant elle pour la sucer pour lui montrer l’impression qu’on peut avoir en se retrouvant dans la position d’un mec, avant de me retourner et de me mettre à quatre patte pour lui demander :
— Allez, viens, prends-moi en levrette !

Elle se positionne et n’hésite pas trop à m’investir la fente pendant que Ber vient me présenter son gland à sucer pour l’entretenir. Martine est bien arrimée des deux mains à mes hanches et me pistonne assez bien, pour sa première expérience en tant que mâle. Je la laisse aller un petit moment, puis je propose de changer de position. Ber s’allonge sur le tapis et je vais le chevaucher puis je tourne la tête et dis à ma collègue :
— Allez, à ton tour de me prendre la rondelle, je l’ai bien méritée cette double !

Elle semble se prendre au jeu et se met derrière moi. Elle hésite un peu au moment de me perforer la rondelle, mais elle finit par y mettre timidement le gland. Je n’attends pas plus et bouge mes fesses à sa rencontre pour absorber le reste en lui disant :
— Vas-y, n’aie pas peur, j’ai l’habitude et j’adore ça au moins autant que toi !

Du coup elle y va franchement, me cramponnant par les hanches pour m’enculer copieusement. Pour une débutante, elle se débrouille bien. je ne tarde pas à m’abandonner à un bel orgasme, puis nous nous dégageons tous les trois et Ber demande à ce qu’on l’aide à terminer lui aussi.

Il s’assoit dans un transat et c’est à deux que nous nous partageons son gland. Il ne retarde pas son éjaculation mais la réserve à Martine, en tant qu’invitée. Et elle ne se retire pas au moment où il lui lâche ses salves dans la bouche. Elle avale tout.

Puis nous plongeons dans la piscine pour nous remettre un peu de ces péripéties. Martine nous avoue qu’elle se doutait que nous étions des gens assez libres et ouverts, mais pas au point d’en arriver là. Mais elle ne le regrette pas, ça lui a permis de prendre un pied comme elle n’en avait pas eu depuis longtemps. Et de découvrir de nouvelles choses.

L’après-midi est bien avancé et c’est l’heure où ma tante doit nous ramener Lola. Et comme je la connais, Marie-Lou est ponctuelle pour faire son apparition. Elle m’apprend qu’avec ma fille elles sont allées marcher dans la foret et qu’elles se sont bien dépensées.

Je lui présente Martine qui est un peu gênée de se trouver nue devant une inconnue. Mais comme je suis restée à poil pour aller lui ouvrir et que Ber sort dans la même tenue pour aller lui faire la bise, elle s’enhardit à sortir elle aussi pour aller s’essuyer avec la serviette posée sur son transat. Puis elle nous dit qu’elle va rentrer. Elle va s’habiller dans la chambre et revient nous dire au-revoir, merci pour ce beau week-end et à demain au bureau pour moi.

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Commentaires de l'histoire :

Samsord
J'adore ton style d'écriture. Impossible de ne pas bander.
Posté le 8/09/2023

Anonyme
Enfin une histoire qui prend son temps, bien écrite , sans fautes d’orthographe et qui remplit pleinement son but : exciter ! Bravo et merci !
Posté le 1/09/2023


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