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Promixa estacion Plaça de la Cayalunya

Une journée mémorable à la plage ne se termine pas vraiment comme prévue, lorsque Jay fait la rencontre inopportune de ce qu’il croit être des pickpockets.

Proposée le 26/05/2023 par Jay19

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Thème: Homme dominé
Personnages: HH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


La journée avait été formidable. Ensoleillée et chaude. Parfaite pour passer un moment à se faire bronzer et profiter de la mer dans cette station balnéaire bien gaie qu’est Sitges.
J’avais bien profité de la plage que j’avais arpentée zieutant des centaines de mecs plus canons les uns que les autres. J’ai certainement eu quelques flirts. Mais, sans plus. J’aurais pu finir en boîte pour la soirée. Mais, je traînais avec moi mon sac de plage qui aurait été un embarras. Alors, je décidai de rentrer à Barcelone par train où se trouvait mon hôtel.
Il était 20 :00 quand le train se mis en marche. Je n’étais pas le seul à rentrer à Barcelone, les wagons ramenaient les plaisanciers par dizaines, la plupart portant encore leurs vêtements de plage. J’avais réussi à me trouver une petite place confortable à l’arrière d’un wagon qui était remplie à craquer. Ça sentait le mâle, le sel de mer et la crème solaire. L’atmosphère était assez festive.
Bien que le train arrêtât à quelques occasions pour laisser descendre les passagers, les portes ne s’ouvraient parfois pour rien. Juste avant la destination finale qui était Barcelona Sants, un couple monta à bord. Un chauve portant une chemise ajusté et un jeans skinny et son copain, coupe dégradée, barbe de trois jours, en short saillant et tee-shirt blanc. Tous deux bien musclés et tatoués se frayèrent un chemin parmi les fêtards. Je me mis à les observer discrètement. Contrairement aux autres passagers occupés à discuter et rire, ils semblaient chercher quelques chose ou quelqu’un. Ils balayaient le wagon de leurs regards.
Le train ralentit, arrivant en gare. Les portes s’ouvrèrent, et les mecs debout depuis Sitges descendirent les premiers. Je me levai, suivant la foule pour descendre sur le quai. Les deux mec canons étaient juste à côté de moi. Le chauve me regarda avec des yeux perçants, sans rien dire. Je ressentis de l’excitation et de l’appréhension à la fois. Un mélange d’émotion qui venait s’ajouter à la fébrilité et l’excitation d’avoir passé la journée avec des mecs quasiment nus enduits de crème solaire au maillot mouillé. Mon cerveau me jouait des tours, me dis-je. Je me sentais salace. Je mourrais d’envie de baiser.
Arrivé sur le quai, je me dirigeai vers la station de métro. Je regardai autour de moi, mine de rien. La foule était dense. La plupart se dirigeait, comme moi, vers la bouche de métro. Je me sentais suivi. Je n’en étais pas certain. Plutôt intuitif. Cela m’excitait et me stressait à la fois. Je montai à bord de la rame en direction de ma destination finale. On était cordé comme des sardines. Je m’agrippai fermement un poteau pour me tenir. Les portes se fermèrent. Je pouvais sentir l’odeur enivrante de musc de mon voisin tant qu’il était prêt. Je me relevai la tête et je croisai du regard le mec chauve qui me fixait. J’eut un frisson d’excitation. Que me vouait-il ? Juste un peu en retrait derrière lui se tenait son mec qui me regardait aussi. Je détournai le regard un instant. Le temps de réfléchir. Devrais-je sortir rapidement à la prochaine station ? Ou rester ? Suivre un groupe prétendant y faire partie ? Mais qu’est-ce qui m’arrivait ? Je m’inventais un scénario parce que deux mecs me mataient. Je tentai de chasser mes idées folles et je jetai un regard vers les deux mecs. Ils s’étaient rapprochés de moi. Je commençais à sérieusement à angoisser, mais j’étais aussi bandé.
La rame de métro se mit à ralentir. Je fis mine de rester à bord. Les deux mecs me surveillaient et étaient qu’à un mètre de moi maintenant. Les portes s’ouvrirent. Et brusquement, je pivotai sur moi-même et sortis du wagon. Je me mis à marcher rapidement en direction de la sortie et j’entendis la rame repartir. J’écoutais si quelqu’un était derrière moi, n’osant pas regarder derrière. Je poursuivis mon chemin. Lorsque je sortie du métro, je me dirigeai tout de suite vers l’avenue del Portal de l’Àngel, me disant que je pourrais toujours entrer dans un commerce si la situation le dictait. Puis au feu, heureusement au vert, je m’engageai sur l’avenue et ralentis le pas. Je respirai profondément. Je me retournai et je vis, à trois ou quatre mètres de moi, les deux mecs du train qui me suivaient toujours. Au lieu d’entrer dans un magasin, je décidai de ralentir le pas et de m’arrêter, de faire du lèche-vitrine. Je me dis qu’ils allaient simplement dans la même direction que moi, et que je les laisserais passer devant. Or, arrivé à ma hauteur, le mec chauve me prit doucement par le bras. Je me retournai vers lui. Il fixa son regard perçant droit dans mes yeux, pendant que son ami m’aborda par l’arrière. J’étais prit en souricière. Je pensai que son ami me viderait le cabas et je serais quitte pour m’avoir fait avoir par des pickpockets. Mais non, le mec derrière moi en short saillant me suggéra de les suivre sans faire d’histoire. Je sentais ses lèvres frotter sur mon oreille, son souffle sur mon cou, son zob me frôler la fesse. Le chauve me sourit gentiment me voyant résigné et obéissant. Je déclarai forfait et me mis en marche, un homme chaque côté de moi.
On déambula en silence sur l’avenue jusqu’à la croisée d’une ruelle. La pénombre s’installait doucement. On me tira par le bras pour m’indiquer la direction. On entra dans une ruelle derrière les grands magasins qui fermaient à cette heure tardive. Le mec chauve m’emmena derrière un conteneur de recyclage de carton. Il passa derrière moi et me fit une clé immobilisant mes deux bras derrières mon dos. Il me tira vers lui jusqu’à s’appuyer sur le mur. Je n’eus autre choix que de m’appuyer sur lui ayant perdu pied. Son mec m’attrapa la mâchoire de sa main et m’enfonça sa langue profondément dans la gorge. Il se colla sur moi. Me dévore le cou. Retourna m’attraper ma lèvre inférieure avec ses dents et tira dessus avant de la libérer. Il me regardait avec lubricité pendant un moment. Me fixant toujours, il déboutonna mon short qui tomba à mes pieds. Il se pencha et avala ma queue qui ne demandait qu’à être sucée malgré ma frayeur. Je me mis à gémi au rythme des assauts de ce suceur expert. L’homme qui me tenait derrière mis sa main sur ma bouche pour me faire taire, libérant mes mains qui prirent la tête du mec devant pour la caresser d’approbation. Mon corps était en transe. J’avais peine à reprendre mon souffle tant mon cœur battait. J’entendis des fermetures éclairs s’ouvrir. Le mec devant avait sorti sa queue de 20 cm bien ronde et son ami était sur le pont d’enfoncer la sienne dans mon cul. On m’intima de me mettre à genou. Le gars derrière m’accompagna. Pendant que je relevai la tête, la belle teub bien ronde s’offrit à moi pour déguster. Elle me fut enfoncée profondément dans la gorge. Le même scénario prévalu derrière. Le mec m’enfonça sans crier gare et se mit à me détruire le fion énergiquement. Pendant ce qui m’a semblé une éternité, les deux mecs canons me farcir la bouche et cul agressivement. Je les entendais couiner et râler. Puis, ils ralentirent, m’éjaculèrent dans le visage et le dos. Ils frottèrent leur queue sur moi pour étendre le sperme fraîchement giclé. J’ai dû les lécher et me nourrirent de leur sève. Ils me tapotèrent la joue. Remballèrent leur virilité et me laissèrent là derrière le conteneur prêts à reprendre en chasse leur prochaine victime.

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Commentaires de l'histoire :

Patoche1624
Bravo très belle histoire, je découvre tes récits c'est super
Posté le 14/06/2023


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