Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Fanny et l'homme pressé

Une jeune demoiselle complexée Fanny vient de connaitre une première expérience sexuelle très très décevante avec un jeune homme très pressé. Fanny est en larmes. Joe plus expérimenté va t-il réussir à consolé Fanny?

Proposée le 25/04/2023 par Joe2

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Histoire vécue dans les années 90.
Je m’appelle Joe, j’ai 55 ans dans les années 90 , je travaillais pour un site touristique au bord d’un lac. L’été bat son plein. Avec le propriétaire et gérant de la structure nous dirigeons la structure. Nous employons une trentaine de salariés dont la plupart sont saisonniers. Entre autre j’ai pour mission de veiller à ce que les animations et les soirées se passe bien…
Habitant à 25 kms, J’ai à ma disposition sur site, une petite caravane, cela permets de ne pas rentrer chez moi lors des soirées tardives. Depuis quelques semaines je sors avec Isa, une fille sympa (10 ans plus jeune que moi, j’en avais 32), Isa travaille dans la même ville, on se rejoint certains soirs. Sexuellement ça se passe moyennement bien entre nous (branlette et missionnaire et c’est tout): elle est assez timide et peu entreprenante mais elle me plait beaucoup. Petit à petit je rajoute des jeux coquins à notre intimité. Je travaille sur la durée, on n’en ai qu’au début !!! J’ai connu des partenaires beaucoup plus coquines.

Ce soir-là, on se rejoint dans la caravane après la soirée au snack qui s’est très bien passée. Isa m’a très vite annoncé qu’elle ne pouvait pas rester tard … elle doit rejoindre de la famille : Ce qu’il faut traduire par « pas de sexe ce soir » … Je ne le prends pas très bien mais j’essaie tout de même d’éveiller son désir en passant de temps en temps et délicatement ma main entre ses cuisses, en vain … rien à faire : ce soir il n’y aura que des bisous … à plusieurs reprises elle me dit qu’il faut qu’elle parte.
Soudain, on frappe à ma porte. Joe, Joe « t’es là? »

Ben oui je suis là repondis-je. Je reconnais la voix de Xavier le gardien de nuit (jeune de 20 ans et grand gaillard de 1,90m) Tu peux me laisser la caravane stp un moment ?
Gonflé le mec, en principe il est en service. Mais comme je suis assez sympas et me doute que c’est pour une pause sexuelle je me dois de ne pas refuser de plus Isa me relance en disant qu’elle doit partir …ça tombe bien !!!

Nous sortons de la caravane laissant la place, quelle ne fus pas ma surprise de voir que le Xavier était accompagné de Fanny la fille de mon boss. Mon boss a 2 filles Fanny 17 ans et Sandra 16 ans.

Je suis un peu leur confident, elles m’apprécient beaucoup mais inutile de dire que mon boss me demande de veiller au grain lors des soirées : lui n’y assistant jamais…
Les 2 sœurs ne se ressemblent pas du tout : Sandra est une fille très élancée et Fanny pas très grande et un peu enveloppée… Fanny est très complexée de ses formes généreuses.
Je regarde Fanny qui baisse un peu les yeux, un peu honteuse d’avoir laissé le grand dadet oser me demander la caravane pour baiser !: je lui souris et demande à Xavier discrètement si il est équipé (d’un préservatif) il me dit Ok, lui dit d’être attentionné et en faisant un clin d’œil à Fanny histoire de lui faire comprendre que je n’ébruiterai pas sa petite histoires de jambes en l’air. Puis je raccompagne Isa en marchant vers sa voiture.

Je crois qu’il ne s’est pas passé 3 mn (j'exagère à peine) entre le moment de les laisser entrer dans la caravane et le moment ou j’entendis Fanny criait un « CONNARD », « T’ES UN GRAND CONNARD »
Je suis à peine à 100 m, me retourne et voit le Xavier partir et Fanny rentrer dans la caravane….

Je fais un dernier bisou à Isa et me dirige rapidement vers la caravane. Xavier est déjà loin. Mais la porte de la caravane verrouillée. Je demande à Fanny de m’ouvrir, elle refuse en pleurs, je sens que la petite galipette ne s’est pas bien passée..
J’insiste à plusieurs reprises et Fanny finit par m’ouvrir, je rentre, Fanny est couchée en chien de fusil dans le lit en pleurs.
Ferme la porte, je veux voir personne : je m’exécute.

Fanny est en crise de larmes et n’arrête pas de fustiger le Xavier, « connard !, le conard !, et puis je suis une grosse conne, je me suis fait baiser voilà !!!
Fanny est inconsolable. Je m’approche du lit, elle est de dos toujours avec sa chemise mais déboutonnée en grande partie, nue en bas, je vois par terre son pantalon et sa culotte.
Je couvre Fanny avec le plaid et la prend dans mes bras.
Fanny prend ma main et me dis que ça n’a pas duré ’1 mn, qu’il s’est juste vidé les couilles et puis s’est rhabillé rapidement. Et en plus il va se vanter qu’il a tiré son coup. Envaillie par la honte et la colère…

Je la laisse parler puis lui dit qu’à 20 ans nous les mecs on n’est pas très malins avec les filles et puis qu’il n’y avait pas de quoi se vanter et que la honte c’était plutôt à lui de l’avoir : moins d’ 1 mn !!!
Vraisemblablement Xavier était éjaculateur précoce rien de bien flatteur auprès de la gente féminine et masculine …

Je comprends que je vais devoir rester auprès de Fanny un moment. Elle ne veut plus sortir de la caravane et ne veux pas rejoindre sa sœur et ses copines.
Je reste donc, assis sur lit, Fanny est recroquevillée de dos en position fœtale elle me tient la main serrée contre elle. En guise de petite caresses réconfortantes, Je bouge de temps à autres un peu les doigts qui touche délicatement les bourrelets son ventre. Les pleurs se calment petit à petit mais la position assise est inconfortable, après quelques minutes je me couche contre son dos.

Le plaid sur le bas, la chemise ouverte, Fanny prend mon bras pour l’enrouler contre elle : cela la réconforte. Je sens alors que malencontreusement mon pouce vient se coller contre ce que je pense être son sein droit. Fanny à une belle poitrine, un bon 95. La situation est un peu incongrue et ne manque pas d’éveiller une petite excitation en moi mais je reste prude. Cherchant un meilleur confort, Fanny bouge encore un peu et moi aussi, ma main s’ouvre un peu, puis sa main plaque la mienne contre elle tendrement un peu plus fort et ma main s’enroule autour du globe. Je ne sais quoi penser de la situation, Fanny ne détourne pas ma main qui est littéralement posé sur son nichon. Le moment est plein de tendresse mais je me dis que si Fanny a besoin de réconfort, elle a également dû être excitée au début de la rencontre et elle n’a pas jouît c’est sûr. Je me persuade petit à petit que je ne dois pas tenter de caresses osées, mon statut ne me le permet. Mais l’excitation monte de plus en plus sachant que je la sais nue en bas. Maintenant mon érection est au max, peut être va-t-elle la sentir, je bouge légèrement mes doigts sur le sein, Fanny répond avec de tous petits gestes de main qui conforte mes caresses quasi imperceptibles. Mon visage dans ses cheveux, délicatement je lui fais un bisou dans le cou. Elle va mieux.
Je passe mon bras gauche un peu ankylosé sous son cou, elle m’aide en se soulevant la tête ma main droite en profitant pour peloter un peu plus le sein. Je me dis que je deconne, avec la fille du patron (mineure de surcroît), mon cerveau n’est plus trop objectif je n’ai pas baiser depuis 4 jours si seulement Isa avait voulu je serais beaucoup moins excité.

Je continue mes caresses avec ma main droite, cela devient de plus en plus explicitant. Puis Fanny fit un petit rire et me dit d’un ton un peu moqueur en citant mon prénom et nom : « dis donc Joe M.. , je crois que tu es en train de me peloter les nichons… !!! ce à quoi je répondis avec assurance et sur le ton de l’humour « pas du tout j’en caresse qu’un »….et en ajoutant de suite « c’était déplacé excuse-moi mais tu es très jolie et j’ai un faible pour les filles jolies comme toi….je vais te laisser, encore désolé c’était vraiment déplacé.

Fanny se retourne vivement et me dit d’une voix tremblante :
« C’était trop agréable, toi tu es tellement beau, je pensais pas que tu puisses avoir de l’attirance pour moi, mes 3 copines aussi fantasme sur toi, en plus tu es tellement doux, je suis trop flattée, après ce qui s’est passé, je ne pouvais pas espérer mieux pour me consoler, mais tu veux aller jusqu’où ?
Je ne savais plus quoi répondre après ce flux de compliments mais j’ai été en tous cas très rassuré.
Je lui répondis que je n’étais pas contre continuer mes caresses et que si on se plaisait on ne devait pas trop se poser de questions mais que souhaitait-elle ?
Je me laisse faire Joe, c’est presque un rêve pour moi.
Fanny, je vais te caresser pour te donner du plaisir.

On s’est embrassés, je léchais vivement sa langue et sa bouche tout en pelotant avec assurance ses seins. Elle découvrit le plaid de ses jambes, puis délicatement je descendis ma bouche sur son cou puis sur ses seins que j’ai tétés langoureusement en les poignant comme pour en faire sortir du lait. Fanny était en extase, elle qui n’avait eu aucune caresse auparavant….

Je descendis encore pour atteindre sa toison, Fanny n’en revenait pas, j’écarte ses cuisses, puis en laissant glisser ma langue en remontant de l’intérieur de sa cuisse jusqu’à sa fente, j’entrepris le léchage de minou de long en large, m’aidant de mes doigts experts. J’ouvre ses lèvres pour découvrir son clito, le branle un peu du pouce puis de la langue, Fanny ne doit pas en revenir qu’une langue experte puisse atteindre le point sensible qu’elle titille certainement régulièrement lors ses branlettes. On ne m’a jamais fait ça dit-elle tremblante.
Ça m’excite vraiment de lécher la chatte fourrée précédemment par la longue bite de l’autre (je l’avais entendu s’en vanter un jour).
J’en ai profiter pour me débraguetter et me branle difficilement un petit peu.

Fanny n’y tient plus les premiers spasmes se font ressentir, je décide de pénétrer 2 doigts tout en continuant de lécher, puis m’aventure à y mettre le pouce, libérant un doigt qui descend sur son petit trou, la jeunette qu’elle est, s’offusque un peu, mais je sens la rondelle se dilater et je lui enfonce le majeur dans l’anus. Le pouce dans la chatte, le doigt dans le cul, la langue léchant le clito, Fanny oubliant sa frustration et sa colère en se dandinant à coup de rein finit par jouir violement. Je remonte ma bouche pour l’embrasser tendrement, elle tremble encore un peu, me serre fort dans ses bras me dit qu’elle a des étoiles partout puis me demande si je veux « venir en elle»,
je lui réponds en rigolant qu’elle a déjà vu beaucoup d’horreur aujourd’hui qu’il vaut mieux qu’elle reste sur son orgasme, j’en avait très très envi mais c’était trop pour aujourd’hui et pour notre conscience …. (C’est la fille de mon boss quand même…)

j’ajoute que j’allais surement me branler un peu après et que je penserai à elle (un peu maso le mec mais je suis comme ça), nous aurons bien d’autres opportunité pour vivre d’autres techniques sexuelles en attendant qu’elle pense à moi lors ses masturbations(rires). Elle s’offusque de nouveau, comme si elle ne pratiquait pas la branlette, chose un peu tabou à l’époque chez les filles. Je lui affirmais que tout le monde faisait ça et que c’était très bon dans tous les sens du terme….
Sur ce, Fanny me quitta et rentra sans rejoindre sa bande, il est possible qu’elle se fit un petit plaisir solitaire en pensant à moi (ou pas); qui sait ?

je sortis également de la caravane et fis un tour voir si tout se passait bien dans puis revins dans la caravane, alla à la douche (collective), il est 2h du mat, pas de bruit, je passe la mousse du savon sur ma verge encore gonflée, je sais qu’il ne me faudra pas plus de 7 ou 8 va et vient pour faire sortir le jus, je fais durer le plaisir, ferme les yeux, revois la chatte ouverte de Fanny, la sensation de son anus qui s’ouvre ……les premiers jets atterrissent sur la cloison et s’est très bon.

A suivre...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Moi, un homme soumis par un autre homme. (3ème partie)
L'homme fontaine (3)
L'homme fontaine (2)
L'homme fontaine (4)
L'homme fontaine (1)